L'arrestation du Premier ministre Abdalla Hamdok, ainsi que d'autres membres civils du Conseil souverain, est totalement inacceptable et représente une grave menace pour le processus de transition au Soudan selon la Fondation Mo Ibrahim. Ils doivent être libérés rapidement et le gouvernement de transition rétabli pour fonctionner pleinement.
Les informations selon lesquelles l'armée a tiré sur des manifestants et les ont blessés sont profondément troublantes. La Fondation Mo Ibrahim appelle au calme et au respect du droit démocratique du peuple soudanais à se rassembler pacifiquement.
La semaine dernière, de nombreux Soudanais sont de nouveau descendus dans la rue pour exprimer leur soutien au gouvernement civil et au processus de transition lancé en 2019. À l'époque, après des mois de protestations pacifiques de la société civile dans tout le pays, le Soudan est finalement sorti de décennies de régime militaire et islamiste, par des moyens pacifiques, pour s'engager dans un nouveau chapitre de son histoire.
« La transition du Soudan vers la démocratie, que le peuple soudanais s'est tellement efforcée d'obtenir, est attaquée à la suite d'une prise de pouvoir flagrante. La Fondation exprime son plein soutien au Premier ministre Abdalla Hamdok et au processus de transition. J'exhorte les amis et les partenaires du Soudan à travers le monde à s'exprimer maintenant pour condamner ce qui est, dit simplement, un coup d'État, et à prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir que les progrès durement acquis des deux dernières années ne soient pas vains », a déclaré Mo Ibrahim, président de la Fondation Mo Ibrahim.
La Fondation est aux côtés de tous les Soudanais attachés à la paix et au dialogue inclusif. Pour elle, un régime civil démocratique est le seul moyen d'assurer une paix et un développement durables.
L’épidémie du coronavirus en Algérie et en décrue constante. Rassurés, les citoyens ont tendance à bouder la vaccination, se montrant de plus en plus réticents. Cependant, les spécialistes ne cessent d’alerter contre une éventuelle nouvelle vague qui pourra être désastreuse.
Lancé en début de l’année en cours, puis relancées à maintes reprises, la campagne de vaccination peine toujours à capter l’attention de la population, hormis durant les périodes de forte recrudescence épidémique. C’est ce qui s’est, en effet, passé lors du pic de la 3e vague.
À ce jour, à peine 23,32% de la population ont reçu deux doses. 31,32% de la population n’ont reçu que la première dose, selon les chiffres officiels. D’ailleurs, le ministre de la Santé a déploré, hier, le taux faible des citoyens vaccinés contre le virus.
Interrogé à ce propos par le quotidien Liberté, le membre du Comité scientifique Dr Mohamed Bekkat Berkani pointe carrément l’approche communicative des autorités, malgré les efforts consentis en matière de fourniture des quantités suffisantes des vaccins.
« L’État n’a pas réussi à convaincre la population de se faire vacciner »« Si l’État a fourni beaucoup d’efforts pour l’acquisition des vaccins et réussi à les produire dans notre pays, il n’a, en revanche, pas réussi à convaincre la population de se faire vacciner », a-t-il constaté.
Le président du Conseil National de l’Ordre des Médecins estime également que l’État n’est même pas parvenu « à rendre ce vaccin obligatoire dans certains segments de la population, comme celle activant dans le secteur de la santé ou de l’éducation ».
Pour étayer ses propos, l’intervenant cite le cas « certains pays, dit démocratiques et très à cheval sur la question de la liberté », qui « ont fait appliquer des lois de contrainte pour vacciner le plus grand nombre de personnes possible ». D’ailleurs, il n’a pas hésité à affirmer que « la liberté de l’individu s’efface devant l’urgence sanitaire, bien évidemment au profit de la collectivité ».
« L’État ne communique pas de manière agressive »Dans le même sillage, il explique que l’État a « manqué d’audace », notamment concernant les « campagnes de vaccination qui n’étaient pas du tout agressives », et « pas à la hauteur de l’urgence sanitaire ». Ainsi, le résultat est que les Algériens ne veulent pas se faire vacciner.
Pour le docteur, la décrue de l’épidémie du coronavirus ces derniers jours y est également pour quelque chose. « Tout le monde est au courant des chiffres de contamination balancés chaque soir par les médias ». Cette décrue fait « que la majorité pense que l’épidémie de la Covid-19 n’est qu’un mauvais souvenir ».
Ici encore, l’intervenant évoque la faillite de l’État en matière de communication. « L’État a encore failli sur ce plan en ne communiquant pas assez et surtout pas de manière agressive pour convaincre la population du danger ».
Dans le même sens, il cite un autre facteur qui encourage la réticence des citoyens ; il s’agit « des fake-news amplifiées par les réseaux sociaux, présentant le vaccin comme inefficace ou pire, en lui attribuant prétendument des dangers pour la santé ».
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Lors du traitement d'un conteneur au Port Autonome de Cotonou (PAC), un véhicule rempli de cartouches y a été découvert dans la soirée du mardi 26 octobre 2021.
Un véhicule haut de gamme de couleur noire et de marque américaine entreposé sur le parc tampon unique a été transféré au Commissariat du Port Autonome de Cotonou (PAC), mardi 26 octobre 2021 vers 17h.
Les agents du PAC ont découvert dans ledit véhicule une importante quantité de cartouches, selon Le Potentiel.
D'autres substances nuisibles et des objets dangereux ont été également découverts lors du traitement des conteneurs, selon la même source.
Le véhicule rempli de cartouches a été transféré au Commissariat du Port Autonome de Cotonou (PAC) pour les nécessités de l'enquête.
M. M.
L'accès aux services de la mairie, des arrondissements et toutes autres structures de la commune d'Abomey-Calavi est subordonné à la présentation d'une preuve de vaccination contre la Covid-19 ou d'un résultat PCR de moins de 48h. La décision a été prise par Angelo Evariste Ahouandjinou, maire de la commune.
Dans un communiqué radiodiffusé en date du 25 octobre 2021, le maire de la commune d'Abomey-Calavi informe les populations qu' « il est désormais rendu obligatoire au niveau des services de la mairie, des arrondissements et toute autres structures sur le territoire de la commune », la mesure prise par le gouvernement en conseil des ministres le 20 octobre dernier.
« Par conséquent, l'accès à toute prestation de services est conditionné à la présentation d'une preuve de vaccination ou à la présentation d'un résultat PCR datant de moins quarante-huit-heures. De même, les organisateurs d'événements, de manifestations, ou toutes autres activités sont tenus à l'application stricte de cette mesure avant toute occupation de salle », indique le communiqué du maire d'Abomey-Calavi.
Angelo E. Ahouandjinou précise que la « mesure sera rigoureusement appliquée pour l'atteinte d'une couverture vaccinale totale ».
M. M.
Lors des travaux de la 2e réunion ministérielle conjointe UA-UE qui eu lieu à Kigali dans le Rwanda, le ministre des Affaires étrangères et de la communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, a plaidé pour une meilleure politique concernant les migrants.
En effet, Lamamra, dans son discours devant les représentants de plusieurs pays africains et européens, dont l’Angola, la Zambie, le Danemark, la Belgique, Luxembourg, la France et la Libye, a souligné l’importance de changer de politique envers les migrants.
La problématique de la migration, estime le chef de la diplomatie algérienne, « nécessite une approche globale et à long terme ». Il ajoute que la politique qui doit s’appliquer à cette question doit traiter « les causes profondes du phénomène dans le cadre du respect du droit international pour protéger les migrants et les membres de leurs familles ».
Solidarité, coopération et tolérancePour Lamamra, afin que l’on puisse régler la problématique de la migration « il est nécessaire de promouvoir une vision commune pragmatique ».
Le chef de la diplomatie algérienne a notamment souligné l’importance de se tourner vers « les principes de solidarité, de coopération et de tolérance, au lieu de l’approche des politiques de sécurité et de diabolisation de la migration, qui se propage souvent dans le contexte de calculs politiques et électoraux ».
Ramtane Lamamra a également, toujours lors de la tenue des travaux de la 2e réunion ministérielle conjointe UA-UE, indiqué que la sécurité, la paix et le développement, forment le trio sur lequel est bâtie la stratégie de l’Algérie.
Le diplomate algérien a notamment expliqué que les relations entre l’Union Africaine et l’Union Européenne doivent « émaner de la conviction de la sécurité commune ». Pour Lamamra l’Europe, au même titre que l’Afrique, doit assumer pleinement ses responsabilités.
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Club governance formats such as the G20 and G7 have an important role to play in raising the level of ambition to effectively combat climate change and achieve the Sustainable Development Goals (SDGs). This was the key message that came out of a virtual expert conference organised by the German Development Institute / Deutsches Institut für Entwicklungspolitik (DIE) in cooperation with the Center for Strategic and International Studies (CSIS), Indonesia, and the Sustainable Development Solutions Network Europe (SDSN Europe). The conference brought together key experts and policy makers from G7 and G20 countries, assessed the outcomes of the G7 Carbis Bay summit and looked ahead not only to the upcoming G20 summit in Rome but also the G7 and G20 presidencies in 2022 chaired by Germany and Indonesia respectively.
Club governance formats such as the G20 and G7 have an important role to play in raising the level of ambition to effectively combat climate change and achieve the Sustainable Development Goals (SDGs). This was the key message that came out of a virtual expert conference organised by the German Development Institute / Deutsches Institut für Entwicklungspolitik (DIE) in cooperation with the Center for Strategic and International Studies (CSIS), Indonesia, and the Sustainable Development Solutions Network Europe (SDSN Europe). The conference brought together key experts and policy makers from G7 and G20 countries, assessed the outcomes of the G7 Carbis Bay summit and looked ahead not only to the upcoming G20 summit in Rome but also the G7 and G20 presidencies in 2022 chaired by Germany and Indonesia respectively.