Illustrated page from Sara Ghannoum’s new book “Tom Alien and the Plastic Mess”
In the leadup to the United Nations upcoming Climate Change Conference in Glasgow, better known as COP26, IPI MENA hosted a webinar on October 27, 2021, entitled “MENA’s Youth and Environment,” to highlight the importance of involving and educating youth regarding environmental issues.
Moderated by Dalya Alawi, Policy Analyst, the event featured a reading by three-time children’s book author, Ms. Sara Ghannoum, to students in classrooms from Bahrain, Lebanon, and the United Arab Emirates.
IPI MENA Director Nejib Friji pointed to how “young people are engaging with climate and biodiversity science and policy in a way that previous generations haven’t.” He added, “the aim must not be just to educate, but to also inspire and engage the children in bringing a positive behavioral change.” Such steps are necessary in order to create a positive cycle and generation of climate activists dedicated to sustainable development, he stated.
Ms. Ghannoum’s new book “Tom Alien and the Plastic Mess,” is devoted to raising awareness on the dangerous effects of environmental pollution amongst children. Following her reading, she recalled a short anecdote of her 6-year-old son’s reaction to her book, to demonstrate how youth-led action is significant for the fight against climate change. As the future generation, “we need their drive and creativity to take action and solve the environmental mess we have created.”
Her reading was followed by a question-and-answer segment, raised by the young participants, which revolved around how to start the recycling conversation with adults, which items were recyclable, and what they can do to start making a change. Throughout her responses, Ghannoum addressed their concerns, and encouraged the students to educate those around them, and to “keep raising your concern, and don’t give up!”
In his remarks, Executive Director of British School Bahrain, Mr. John Maguire commended the school’s ‘eco warriors’, an initiative spearheaded by students to raise awareness and take action in ensuring all members of the school community – pupils, teachers, and parents – are more environmentally friendly. He also noted the school’s community-driven initiatives, such as beach clean-ups, where they are partnering with private companies to recycle and renew the collected materials. In addition to plastic waste, Mr. Maguire also shed light on the school’s commitments to reduce food waste.
H.E. Muhammad Ayub, Pakistan’s Ambassador to Bahrain, explained how “as the world’s fifth-youngest country, with youth comprising 53% of the population, making Pakistan green and clean is a priority.” He shared his country’s vulnerability to climate change, and their campaign to plant 10 billion trees by 2028, reiterating how “youth are the vanguards of this movement,” and their crucial role globally, to help our world.
Similarly, German Ambassador Kai Boeckmann shared an example from his country, where it is becoming an increasingly common practice, and importantly so, for young people to hold politicians and other leaders in society to account, especially with regard to climate action. He referred to one of the most viewed television shows during Germany’s ongoing elections, was where children aged 10-12 years old were being posed to candidates.
Mounir Bouchenaki, Advisor to Bahrain Authority for Culture and Antiquities and the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO), recited UNESCO’s purpose to conserve both the world’s cultural and natural heritage, wherein “education is the pillar for all transformation in the world.” “The awareness,” as raised by Ms. Ghannoum’s book, “is important,” he stressed. It is through such coordinated actions by all countries at COP26, that will result in a cleaner and more agreeable planet.
On the same note, Mr. Friji closed the event in wishing a successful COP26 summit to call on all leaders to heed the global calls for action through clear programs, initiatives, and strategies to save our planet from scorches of climate change.
All audience members praised the enthusiastic participation of the students and commended Ms. Ghannoum’s book as an example of how to engage younger children in making a change and being advocates for climate action. The event was attended by; British School of Bahrain, Bahrain, International College of Beirut, Lebanon, and American School of Dubai, United Arab Emirates, and includes the ambassadors of Bangladesh, Korea, Philippines, and Yemen, alongside other members of Bahrain’s diplomatic corps, media, as well as civil society.
L'Organisation du Monde Islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) et le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) ont tenu, mardi 26 octobre 2021, une séance de travail afin d'élaborer un plan d'action pour renforcer la coopération entre les deux organisations, examiner les programmes et projets pouvant être mis en œuvre conjointement dans les domaines de l'éducation, du développement des enfants, du renforcement des capacités des jeunes, de la formation aux compétences et aux emplois de demain et à la technologie de l'intelligence artificielle.
Ont pris part à la séance pour l'ICESCO des experts des Secteurs de l'Éducation, des Sciences, de la Culture, et des Sciences humaines, et du Centre de Prospective stratégique. Du côté de l'UNICEF, nombre de responsables au Bureau de l'Organisation au Maroc ont assisté à cette rencontre. Les deux parties ont partagé leurs expériences, présenté les projets et programmes relevant des domaines de l'éducation, des sciences et de la culture, et ont décidé de ceux qui seront mis en œuvre conjointement.
Lors de cette séance de travail, il a été convenu que le Secteur des Sciences et de la Technologie de l'ICESCO et l'UNICEF coopéreraient à la mise en œuvre du programme de l'ICESCO pour l'amélioration des services d'eau, d'assainissement et d'hygiène dans 1000 écoles rurales des pays du monde islamique, qui vise à fournir de l'eau salubre et propre, et d'intensifier la sensibilisation, l'éducation et la formation à l'adoption de comportements sains, à travers l'organisation de sessions de formation pour les enseignants et les élèves.
S'agissant du domaine de l'éducation, le Secteur de l'Éducation de l'ICESCO travaillera avec l'UNICEF pour renforcer les capacités des enseignants à suivre les avancées technologiques et à les employer dans le domaine de l'éducation, et contribuer à réduire le décrochage scolaire des filles. Tandis que le Secteur de la Culture de l'Organisation coopérera avec l'UNICEF pour examiner les moyens d'améliorer l'éducation culturelle dans les écoles et les écoles de la deuxième chance. Par ailleurs, le Secteur des Sciences humaines de l'ICESCO et l'UNICEF collaboreront dans le domaine de la qualification des jeunes et le renforcement de leur rôle dans la construction de la paix.
Il a été également convenu de tenir conjointement des ateliers entre le Centre de Prospective stratégique et l'UNICEF sur la perception de l'avenir par les jeunes, dans le cadre de la promotion d'une culture de prospective, pour sensibiliser aux possibilités qui s'offriront à l'avenir, à travers le lancement de la campagne « L'avenir du point de vue des jeunes », qui relève d'un mémorandum d'entente signé entre les deux organisations.
Les proches du jeune étudiant de 22 ans confondu à un braqueur et brûlé vif, parlent de Eloi Dogo et font une demande.
Confondu à un braqueur, Eloi Dogo, étudiant en troisième année de Droit à l'Université de Parakou et en service dans une agence de micro finance, a été brûlé vif le jeudi 21 octobre 2021 à Parakou. Les proches de la victime présentent le jeune étudiant.
« Eloi, il était le contrôleur de notre agence ici à la Direction (…). C'était un monsieur vraiment calme, simple et serviable. Il venait très tôt ouvrir pour nous, dès fois même ranger ou nettoyer un peu avant qu'on arrive », témoigne une collègue de Eloi Dogo. Celui qui a été pris pour un ‘'braqueur'' au petit matin du jeudi 21 octobre 2021, « n'avait pas de relation avec des amis bizarres », selon le témoignage de ses collègues de l'agence de micro finance.
Michel Dogo, frère de la victime, ne comprend encore ce qui arrivé à Eloi Dogo. Il a quitté son domicile à Banikani pour se rendre au service, lorsqu'il a été pris à parti par une foule surexcitée à la recherche d'un braqueur. Eloi Dogo est mis à mort à environ 500 mètres de son bureau. « C'est incompréhensible ! », s'insurge Mocktar Adamou, doyen de la Faculté des Droits et Sciences Politiques (Fadesp) à l'Université de Parakou, à l'annonce de la mise à mort de son étudiant. « Il y a des disfonctionnements (…) C'est pas possible (…) C'est incompréhensible(…) Arrêter un délinquant et garder un délinquant pendant 4 heures, ni la police n'a rien dit, ni la justice n'a rien dit, ni les simples citoyens qui auraient pu empêcher la commission de cette infraction, 4 H de temps se sont écoulés et la population passe publiquement à l'acte. (…) C'est la police qui a été fragilisée », se désole Mocktar Adamou, doyen de la Faculté des Droits et Sciences Politiques (Fadesp) à l'Université de Parakou.
Le délégué de la localité décline quant à lui sa responsabilité dans le drame en avançant avoir alerté le commissariat d'arrondissement à temps.
Les autorités policières ont indiqué que« les enquêtes sont lancées et justice sera faite ».
La famille dit avoir foi en la justice et espère que quelque chose sera fait
Pour l'heure, les collègues de Eloi Dogo sont traumatisés pour ce qui est arrivé.
M. M.
Aucun citoyen ne sera admis dans un service public dans le département du Mono s'il n'est vacciné contre le Coronavirus. Le préfet Bienvenu Milohin à travers communiqué en date de ce mercredi 27 octobre 2021 a informé toute la population.
Conformément à la décision du Conseil des ministres du mercredi 20 octobre 2021, seules les personnes vaccinées seront autorisées dans les services publics du département du Mono, et ce, à compter du 02 novembre 2021. L'accès aux services publics sera subordonné à la présentation d'un pass vaccinal ou d'un résultat de PCR datant de moins de 48h. Bienvenu Milohin a invité ses administrés à se rendre dans les centres dédiés, afin de recevoir leurs doses de vaccin. Il y va du « bien-être collectif », a expliqué le préfet.
Cette décision du gouvernement est déjà effective dans plusieurs localités du Bénin.
F. A. A.
Le sujet de l’immigration est sensible, mais il est devenu particulièrement tabou depuis qu’il a occupé une grande place dans la crise diplomatique et les désaccords entre l’Algérie et la France. Des listes, des chiffres et des lois ont été évoqués à ce sujet, qui, manque manifestement de clarté et d’organisation, ce dernier point est justement au cœur des déclarations récentes du président français.
La France est l’un des pays qui reçoit le plus de migrants clandestins venant de l’Afrique notamment le Maghreb, un bon nombre de harraga algériens y est installé. Le Président français Emmanuel Macron s’est exprimé à ce sujet, affirmant l’intention d’établir « une politique migratoire beaucoup mieux organisée, en particulier avec l’Afrique ». Cela englobe une meilleure protection contre les migrants clandestins et une reconduite systématique dans leur pays d’origine, sous l’égide d’un « traité de paix et d’amitié avec l’Afrique ».
Il a réitéré dans le même sillage un souhait incluant l’Europe pour parvenir à un consensus autour d’un « pacte global pour la migration », cela pourrait se concrétiser lors sa prise de fonction à la tête de la présidence tournante de l’Union européenne (UE) en janvier 2022.
Les pays européens sont-ils sur la même longueur d’onde ?Récemment beaucoup de pays européens ont démontré leur mécontentent vis-à-vis de la situation du flux migratoire, qui est, pour le moins qu’on puisse dire incontrôlable.
C’est pour cela que douze pays membres de l’Union européenne ont décidé d’avoir recours à des mesures drastiques pour le contrer à l’instar de la construction de murs et de barrières anti-migrants, un souhait éteint par la Présidente de la Commission européenne Ursula Von Der Leyen qui a refusé de financer ce projet. D’autres comme la France songent à établir une méthode plus organisée et moins hostile pour gérer ce phénomène qui n’a eu de cesse d’augmenter.
Une pression migratoire que subit la société françaiseEn effet, Macron a évoqué la pression du flux migratoire croissant que la France reçoit engendrant une crise d’intégration qui selon lui devrait être améliorée.
Appuyant sur la différence entre le droit d’asile et les autres formes migratoires, le chef de l’État français a indiqué « chaque cas individuel, vous arriverez à me convaincre en tant qu’homme qu’il faut les garder, mais en tant que président je ne peux pas vous dire que cette situation soit viable, car cela vide de son sens ce qu’est l’asile ».
L’Europe, réussira-t-elle à établir une politique migratoire commune et efficace ?
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En finir avec la pandémie n’est pas encore envisageable en Algérie. Au-delà de la décrue, les spécialistes s’intéressent beaucoup plus aux taux de vaccination et au risque des nouveaux variants. Une quatrième vague, de ce fait, pourrait être plus dangereuse que la précédente, s’inquiètent certains.
Aujourd’hui, le 27 octobre 2021, l’Algérie a enregistré 79 nouveaux cas de contamination à la covid-19, contre 87 annoncés hier mardi. Le bilan demeure donc sous la barre des 100 cas quotidien. Une chose rassurante, mais qui ne doit pas nous faire oublier que seuls 10 % de la population sont vaccinés.
Les mêmes chiffres du ministère de la Santé indiquent que 5 nouveaux patients sont décédés ces dernières 24 heures des suites de complication liées au coronavirus. En outre, l’Algérie a connu aujourd’hui 65 nouvelles guérisons.
Les derniers chiffres dévoilés ce mercredi par le département de Benbouzid font monter le bilan total des contaminations à la covid-19 depuis le début de la pandémie à 206.069 cas. Les cas de décès causés par le virus atteignent aujourd’hui les 5904 cas.
Zéro covid en Algérie ?Il ne faut même pas y penser, s’accordent à dire la majorité des spécialistes. L’Algérie, malgré la courbe descendante des contaminations n’est pas prête à tourner a page de la pandémie. Pour cause, la campagne vaccinale qui fait du surplace, au point ou les 13 millions de doses de vaccin que stocke le pays risquent de finir « non-utilisées ».
Cette inquiétude a été affichée hier par le ministre de la Santé lui-même. Abderrahmane Benbouzid a également déclaré : « Je suis peiné de voir que le nombre des vaccinés en Algérie est minime comparé aux autres pays ». « Pourquoi ? S’est-il interrogé, nous les Algériens avons-nous une immunité spéciale ? Que reprochons-nous au vaccin que le monde entier s’administre ? »
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Pour le compte des dernières éliminatoires pour la Coupe du Monde 2022 au Qatar, les Verts s’apprêtent pour les deux derniers matchs face à Djibouti et le Burkina Faso, respectivement, le 12 et le 15 du mois de novembre prochain.
Les hommes de Belmadi sont déterminés à remporter la victoire lors des deux rencontres prochaines. Ces derniers sont en effet, en pleine préparation, dans le but de satisfaire les Algériens, notamment le public sportif, qui attend avec impatience la qualification des champions d’Afrique à la Coupe du Monde.
À cet effet, le prochain match retour, prévu pour le 12 novembre face à Djibouti, a été initialement prévu à Rabat au Maroc, avant que la Fédération Internationale de Football (FIFA) ne décide de changer le lieu en Égypte.
Sur ce, ladite confrontation a été reprogrammée au stade d’Alexandrie en Égypte, tout en gardant la même date, mais aussi la même heure.
Le match retour face à Djibouti au Caire ?Ce mercredi 27 octobre, les choses semblent changées. En effet, et selon nos sources, la Fédération algérienne de football a reçu une correspondance officielle de la FIFA, précisant que le match retour des Fennecs face à leurs homologues djiboutiens se tiendra au stade international de la capitale égyptienne, le Caire.
Cette rencontre, entrant dans le cadre de la cinquième journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, aurait fini, encore une fois, par changer de lieu. Sachant que la date et l’heure sont toujours les mêmes.
Pour rappel, la FAF avait précédemment reçu une correspondance de la FIFA indiquant que le stade avait été changé pour Alexandrie, avant de se rétracter et de le programmer au Caire.
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