Le secteur de la santé en Algérie s’est considérablement fragilisé par l’impact de la pandémie de la covid-19. Outre le mal que le personnel soignant a trouvé pour parvenir à faire face aux fux considérable des contaminés, les autres patients ont été gravement touchés par la surcharge et le manque du matériel.
Dans le cadre des réformes hospitalières, le ministre de la Santé a reçu aujourd’hui l’ambassadrice turque, S.E Mahinur Ozdemir. Les discussions étaient portées sur les relations bilatérales entre les deux pays, mais surtout sur les possibilités de partenariat entre l’Algérie et la Turquie dans le domaine de la Santé, indique un communiqué du département de Benbouzid.
Un projet prometteurLe ministre, lors de cette rencontre, a notamment souligné « l’importance d’élargir le champ de la coopération et du partenariat algéro-turc ». Benbouzid n’a pas manqué de saluer « le niveau atteint par la médecine en Turquie, qu’il s’agisse du traitement ou du processus de la prise en charge des patients ».
L’ambassadrice turque de son côté a rassuré sur « le niveau atteint dans les relations entre les deux pays », tout en évoquant leurs « dimension historique ».
La diplomate turque a ensuite « suggéré de préparer la signature d’un programme de travail et d’un protocole d’accord précisant les étapes de la réalisation d’éventuels projets de partenariat entre les deux pays », indique le communiqué du ministère.
Outre les échanges de visites et d’expériences entre les médecins turcs et algériens, Mahinur Ozdemir a également évoqué l’organisation de « réunions consultatives en vue du processus de jumelage entre les hôpitaux turcs et algériens à l’avenir ».
Sans trop s’attarder sur les détails de cette coopération qui pourrait donner un nouveau souffle au secteur de la santé en Algérie, le communiqué du département de Benbouzid s’est vite conclu sur la volonté des deux parties de « de poursuivre le travail de coordination pour faire avancer les relations bilatérales et construire un partenariat qui sert les intérêts communs des deux pays ».
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Written by Ionel Zamfir.
The 2021 G20 Summit, to be held in Rome on 30 and 31 October, was expected to bring together the major economies’ leaders in a physical meeting for the first time since the pandemic began. However, several leaders (of Russia, Japan, Mexico and China) have announced that they will not attend in person, limiting opportunities to hold informal bilateral meetings in the margins of the summit. Important decisions designed to put the global economy and society on course towards a greener and more sustainable future have already been sketched out at ministerial level meetings. These now need to be endorsed by the heads of state or government.
With its informal nature, the G20 is a vital global platform, bringing together the leaders of all the major developed and emerging economies, regardless of their political systems. In a global context characterised by growing rifts between the major geopolitical powers, the US and China in particular, the 2021 summit will be an opportunity to show how committed countries still are to multilateral rules and cooperation, but also how much trust remains to sustain the G20’s customary voluntary commitments.
The leaders at the summit are expected to reaffirm their commitments to boosting economic recovery, while mainstreaming green and digital objectives. They may also discuss more ambitious climate objectives than their ministers have managed to agree. The summit should take the final decision on the historic reform of global taxation, agreeing on a global minimum tax rate for firms operating multinationally. Vaccine equity and other health challenges relating to the pandemic will also figure on the agenda.
For the EU, the summit is an opportunity to reaffirm its unabatedly strong support for multilateralism. The European Parliament has expressed support for the tax reform debated at G20/OECD level.
Read the complete briefing on ‘The 2021 G20 Summit: Bridging global rifts for a greener and more sustainable future‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
Le Conseil des ministres s'est tenu ce mercredi 27 octobre 2021.
Plusieurs décrets ont été adoptés en Conseil des ministres. Il s'agit des décrets décrets portant approbation de la politique de sécurité des systèmes d'information de l'Etat ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère de l'Industrie et du Commerce ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère de l'Eau et des Mines ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère des Sports ; nomination des membres des Conseils d'administration des Agences territoriales de développement agricole ; approbation des statuts du Centre de Formation pour l'Administration locale (CeFAL) ; augmentation du capital social de la société béninoise d'infrastructures numériques (SBIN) S.A. par apport en nature .
Des communications ont été également présentées lors du Conseil des ministres du mercredi 27 octobre 2021.
Le gouvernement a procédé à l'Approbation de la Stratégie nationale de développement du sous-secteur des semences végétales (2022-2026) ; Mise en concession des sites abritant les usines de production de jus d'orange de Zakpota, de jus d'ananas d'Allada et de purée de tomate de Kpomassè ; Mise en concession du site abritant la Société des Industries textiles du Bénin (SITEX) S.A. pour la reprise de l'exploitation ; Autorisation de sélection de vingt boursiers pour une formation en administration hospitalière au profit des aspirants à la fonction de médecin-directeur d'hôpital .
Le gouvernement a également procédé à des nominations au ministère de l'Economie et des Finances ; au ministère de la Justice et de la Législation ; au ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts et au ministère de la Santé.
M. M.