Le monde se réjouit de la décrue du nombre de cas de contaminations du Covid-19, une nouvelle suite à laquelle l’Algérie a décidé de rouvrir ses frontières aériennes. Une véritable joie pour la diaspora algérienne et les amoureux de voyages.
Cependant, cette décrue et ce recul considérable du coronavirus n’estompe pas le fait qu’il existe encore et qu’il demeure une menace inquiétante. Rappelons que le monde entier s’est renfermé sur lui-même et l’Algérie aussi pendant plus de deux ans.
Raison pour laquelle la réouverture vient porteuse de conditions de voyage. Des conditions et des mesures préventives reconduites afin de retourner à la vie normale et encourager une décrue plus importante voire une éradication, compte tenu de l’appréhension commune d’une autre vague du virus.
Ligne Algérie – Tunisie : nouvelle condition de voyageLa Tunisie demeure l’une des destinations préférées des algériens, cette dernière a vu ses vols s’augmenter également pour répondre à la forte demande. Air Algérie a donc programmé pour la ligne : Alger-Tunis-Alger deux vols par semaine, ces derniers s’ajoutent à un vol déjà existant.
Chaque pays fixe ses conditions d’entrée sur le territoire, Air Algérie a mis à jour les conditions d’entrée en Tunisie : tout les vaccinés de 12 ans et plus ( vaccinés ou non vaccinés ) doivent présenter un test PCR négatif moins de 72h avant le vol.
Pour rappel, le député à l’émigration, Abdelouahab Yagoub a révélé que la réouverture des frontières terrestres avec la Tunisie sera pour bientôt.
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Le Conseil des Ministres s'est réuni mercredi, le 27 octobre 2021, sous la présidence de Monsieur Patrice TALON, Président de la République, Chef de l'État, Chef du Gouvernement.
I- MESURES NORMATIVES.
Approbation des règles de politique de sécurité des systèmes d'information de l'Etat.
Avec l'adoption, par le Conseil des Ministres, en sa séance du 6 mai 2020, de la stratégie nationale de sécurité numérique et de son plan d'action 2020-2022, le Gouvernement entend créer un cyberespace sécurisé pour une économie numérique attrayante. Cela suppose le respect des règles définies par la Politique de sécurité des systèmes d'information de l'Etat pour favoriser la confiance des utilisateurs dans les usages qu'ils font de ces systèmes.
Aussi, cette politique apparaît-elle comme le support de base pour la mise en œuvre des mesures techniques, organisationnelles et physiques, par les structures de l'Etat, afin de protéger leurs systèmes d'information respectifs.
Somme toute, la Politique de sécurité des systèmes d'information vise à :
contribuer à la promotion des bonnes pratiques de sécurité au sein des entités de l'Etat ;
harmoniser la protection des infrastructures des systèmes d'information à l'échelle de l'Etat ;
définir le cadre relationnel entre l'Agence nationale de la sécurité des systèmes ----d'information et les entités de l'Etat ;
contribuer à l'essor de l'économie numérique au Bénin en favorisant la consommation des services et produits de confiance numérique.
C'est pourquoi, dès l'approbation des règles régissant cette politique, les entités concernées disposeront d'un délai d'un an pour définir un plan d'action destiné à leur application dans le but d'atteindre la conformité totale au bout de trois ans.
Par ailleurs, ont été adoptés les décrets portant :
attributions, organisation et fonctionnement des ministères de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale, de l'Industrie et du Commerce, de l'Eau et des Mines puis des Sports ;
nomination des membres des Conseils d'administration des Agences territoriales de développement agricole ;
augmentation du capital social de la société béninoise d'infrastructures numériques (SBIN) S.A. par apport en nature
II- COMMUNICATIONS.
II-1. Approbation de la Stratégie nationale de développement du sous-secteur des semences végétales (2022-2026).
L'état des lieux de ce sous-secteur renseigne que de nombreux défis doivent être relevés pour permettre d'obtenir de meilleurs rendements agricoles.
Il s'agira, entre autres, d'accroître les superficies emblavées concernant les principales cultures de base, d'améliorer leur productivité en favorisant aux exploitants agricoles l'accès aux semences de variétés améliorées, pour porter le taux de couverture de 20 à 50% d'ici à 2026.
C'est donc pour faire jouer au sous-secteur son rôle de levier de l'accélération de la transformation de l'agriculture béninoise que la présente stratégie nationale est adoptée.
Le ministre de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche veillera à son application efficiente aux fins de parvenir aux résultats escomptés.
II-2. Mise en concession des sites abritant les usines de production de jus d'orange de Zakpota, de jus d'ananas d'Allada et de purée de tomate de Kpomassè.
Pour rappel, les unités de transformation de produits agricoles installées en 2015 n'ont jamais été mises en service. Le Conseil des Ministres avait décidé en octobre 2016, de procéder à leur cession, mais l'appel d'offres s'était avéré infructueux, les montants proposés par les soumissionnaires étant largement en-deçà des prix d'acquisition et d'installation.
Aussi, afin de sauvegarder les investissements, le Conseil du 29 juillet 2020 avait-il autorisé la reprise du processus de cession desdites unités de transformation.
Au terme des travaux du comité technique de dépouillement et d'évaluation des offres, seules les unités de transformation de tomates à Kpomassè, d'ananas à Allada et d'orange à Zakpota ont été retenues.
Ainsi, celles-ci feront l'objet d'un contrat de concession avec les sociétés CAJ ENGINEERING SARL et ORANA SA, qui paieront des redevances annuelles à l'Etat, conformément aux textes en vigueur.
Lesdites sociétés se sont engagées pour des investissements conséquents destinés à la relance des unités concernées, dans des délais déterminés. Il est à préciser que si aucun investissement n'est effectué dans les six mois qui suivent la signature ou si la mise en exploitation n'est pas effective dans les dix-huit mois, l'Etat pourra leur retirer la concession.
Les ministres chargés du dossier sont instruits de procéder diligemment à l'accomplissement des formalités y relatives.
II-3. Autorisation de sélection de vingt boursiers pour une formation en administration hospitalière au profit des aspirants à la fonction de médecin-directeur d'hôpital.
Au regard des faiblesses observées dans la gouvernance des formations sanitaires publiques en général et des hôpitaux en particulier, le Gouvernement a fait l'option de professionnaliser la fonction de médecin-directeur d'hôpital. Ceci exige la disponibilité de ressources humaines qualifiées.
C'est pourquoi, le Conseil a marqué son accord pour la sélection de vingt médecins généralistes, candidats à la formation de master en administration hospitalière. Celle-ci se déroulera alternativement en France et au Bénin, et sera assurée par l'Ecole de Hautes Etudes en Santé publique de Rennes en partenariat avec l'Institut régional de Santé publique de Ouidah.
II-4. Mise en concession du site abritant la Société des Industries textiles du Bénin (SITEX) S.A. pour la reprise de l'exploitation.
Confrontée à la vétusté de ses équipements, la SITEX S.A. connaît d'énormes difficultés de production qui, depuis 2003, impactent négativement autant ses activités que la qualité de ses produits.
Afin de la réhabiliter et relancer l'activité industrielle dans la ville de Lokossa, le Gouvernement a conclu un accord avec la Société DONGACO S.A. qui a soumis une offre de reprise.
Aux termes dudit accord, cette Société va notamment :
conserver le nom commercial, la marque SITEX, en continuant à assurer la présence de cette entité pionnière dans la transformation du coton fibre sur le marché national, régional et international ainsi que la filature industrielle et l'impression de marques prisées ;
maintenir les emplois existants, en créer de nouveaux et générer de la valeur ajoutée pour l'économie béninoise en investissant durablement dans l'industrie de transformation ;
racheter l'ensemble des stocks, matières premières, consommables, encours et produits finis correspondant à des demandes en instance.
Ce faisant, la pérennité de l'activité de transformation du coton béninois sera assurée avec l'acquisition, par la nouvelle société, d'équipements modernes. Le repreneur disposera d'un délai de 18 mois pour faire les investissements nécessaires et mettre en exploitation l'usine à son plein potentiel.
Pour ce faire, le Conseil a autorisé la formalisation de l'accord pour la mise en exploitation de l'outil industriel, moyennant une redevance annuelle à verser à l'Etat, conformément aux textes en vigueur.
III- RENCONTRES ET MANIFESTATIONS INTERNATIONALES.
Le Conseil a autorisé :
l'organisation, le 2 novembre 2021, en mode virtuel, du dialogue public-privé sur le financement des micro, petites et moyennes entreprises du secteur informel de la zone Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
IV- MESURES INDIVIDUELLES.
Sur proposition des ministres respectifs, les nominations ci-après ont été prononcées :
Au ministère de l'Economie et des Finances
Directeur général adjoint des Douanes : Monsieur Boubacar CAMARA
Au ministère de la Justice et de la Législation
Après avis du Conseil supérieur de la Magistrature
Membre de la Commission de l'Instruction de la Cour de Répression des Infractions économiques et du Terrorisme :
Monsieur Vitondji Lionel Armand DOSSOU NOUATIN
Au ministère de la Santé
Directeur départemental de la Santé du Zou : Monsieur Winnoc GOUDJO
Directeur de l'Agence nationale des Soins de Santé primaire : Monsieur Mètoyigbéna Blaise GUEZO-MEVO
Au ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts
Inspecteur général du ministère : Madame Marie-Reine Nicole Sèssiédé KPODOHOUN épouse GBAGUIDI
Directeur des Systèmes d'Information : Monsieur Charly Oswald M. AGOSSOU.
Fait à Cotonou, le 27 octobre 2021,
Le Secrétaire Général du Gouvernement,
Edouard OUIN-OURO.
Des dérogations à l'obligation de délivrance des factures normalisées sont faites à certaines catégories de personnes et d'entreprises.
Les personnes, activités et opérations qui bénéficient temporairement des dérogations à l'émission de factures normalisées sont les agriculteurs ; éleveurs ; jardiniers ; pêcheurs et assimilés qui vendent leurs produits en l'état ; les personnes physiques qui revendent sur étalage les produits alimentaires non transformés, les personnes qui donnent en location, à titre individuel ou personnel, des immeubles nus à usage d'habitation.
La Société Béninoise d'Energie Electrique (SBEE) ; la Société Nationale des Eaux du Bénin (SONEB) ; les Banques et établissements financiers ; les sociétés de gestion et d'intermédiation ; les sociétés d'assurance et de réassurance à l'exclusion des courtiers ; les exploitants de véhicules légers de transport en commun ; les compagnies aériennes étrangères installées au Bénin et qui vendent exclusivement les produits de leurs compagnies sont également dispensées de l'obligation de délivrance des factures normalisées.
Sont également dispensées, les personnes physiques (les particuliers) pour les fournisseurs de biens et services de menues valeurs au profit des entités publiques et privées dans la limite de cent mille (100.000) francs CFA et par bénéficiaire ; les personnes justifiant d'une dérogation écrite expresse accordée par le Directeur Général des Impôts en raison de la spécificité de leurs activités.
Des documents tenant lieu de facture normalisée
Selon la Note du DGI en date du 26 octobre 2021, certains documents sont considérés comme tenant lieu de facture normalisée et admis en déduction, conformément aux dispositions de l'article 236 et du point 4- C de l'article 21 du Code Général des Impôts. Il s'agit, entre autres, de factures émises par les entreprises, avant la date butoir de l'obligation de délivrance des factures normalisées ; de titres de perception et avis d'imposition ; de quittances de paiement délivrées par les services publics ; de déclarations de recettes du Trésor public ; reçus de paiement des frais de péage, des documents douaniers ; des factures émises par les personnes non assujetties notamment les établissements publics administratifs, les associations ou organismes sans but lucratif reconnues par l'Etat ; factures de fournisseurs étrangers de biens corporels ; factures de prestataires étrangers ne disposant pas d'établissement stable au Bénin.
M. M.
Plusieurs nominations ont été prononcées ce mercredi 27 octobre 2021 en Conseil des ministres. Des cadres de l'administration ont été promus au ministère de l'économie et des finances, au ministère de la justice, au ministère de la santé et au ministère du tourisme, de la culture et des arts.
Sur propositions des ministres respectifs, les nominations ont été prononcées
Au ministère de l'Economie et des Finances
Directeur général adjoint des Douanes
Monsieur Boubacar CAMARA
Au ministère de la Justice et de la Législation
Après avis du Conseil supérieur de la Magistrature
Membre de la Commission de l'Instruction de la Cour de Répression des Infractions économiques et du Terrorisme
Monsieur Vitondji Lionel Armand DOSSOU NOUATIN
Au ministère de la Santé
Directeur départemental de la Santé du Zou
Monsieur Winnoc GOUDJO
Directeur de l'Agence nationale des Soins de Santé primaire
Monsieur Mètoyigbéna Blaise GUEZO-MEVO
Au ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts
Inspecteur général du ministère
Madame Marie-Reine Nicole Sèssiédé KPODOHOUN épouse GBAGUIDI
Directeur des Systèmes d'Information
Monsieur Charly Oswald M. AGOSSOU.
Lors de son passage à Barcelone, dans le cadre des travaux du Sommet mondial sur l’avenir du tourisme, le ministre du tourisme, Yacine Hamadi, a salué les efforts de l’Algérie dans la lutte contre la pandémie de la covid-19.
Le ministre a notamment déclaré que l’Algérie est « l’un des premiers pays à prendre d’importantes mesures proactives à même d’accompagner le tourisme vers la reprise ».
Yacine Hamadi, exposant la stratégie de l’Algérie contre la covid-19, a souligné que ce sommet mondial « intervient dans le contexte d’une pandémie mortelle qui a mis le monde devant des défis inattendus« .
Pour une relance du tourisme ?Le ministre a ensuite affirmé que l’Algérie « a été l’un des premiers pays à prendre d’importantes mesures proactives à même d’accompagner le chemin de la reprise du tourisme ». Pour étayer son constat, Yacine Hamadi a évoqué le « renforcement des systèmes de prévention sanitaire, l’adoption d’un système de quarantaine adaptatif, et la mise en place de protocoles sanitaires ».
La stratégie vaccinale adoptée par l’Algérie, a, selon le ministre du Tourisme, « conduit à la vaccination d’un nombre important de personnes ». Pour rappel, l’OMS a félicité l’Algérie, il y a quelque semaines, après avoir devenu le 11ᵉ pays africain a dépassé la barre symbolique de la vaccination de 10 % de sa population.
Pour conclure, le communiqué du ministère a exposé le souhait de l’Algérie que le sommet mondial organisé par l’Espagne devienne un point de partage « des stratégies et des visions communes pour parvenir à un tourisme durable et global à travers la promotion du tourisme rural, le développement du tourisme urbain, le développement du tourisme médical tout en insistant sur le tourisme vert ».
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Le public sportif a dernièrement reçu la nouvelle tant attendue, celle de la réouverture des stades, qui lui permet d’y accéder aux tribunes, afin de supporter son équipe préférée de près.
À cet effet, la Fédération algérienne de football annonce officiellement, aujourd’hui 27 octobre, le retour des supporters dans les différents stades algériens, et ce, à partir du deuxième tour du championnat de Ligue 1 professionnelle.
Dans un communiqué publié sur sa page Facebook officielle, ladite Fédération a confirmé que le retour du public sportif commencera à partir du deuxième tour, qui se jouera à la fin de cette semaine.
» Faisant suite aux décisions des autorités publiques de rouvrir les enceintes sportives (stades et salles omnisports) au public, la Fédération algérienne de football (FAF) porte à la connaissance de l’opinion sportive que le retour des supporters est autorisé à partir de la 2ème journée du championnat de Ligue 1 professionnelle « , lit-on dans le communiqué.
Les autorités exigent de présenter le pass sanitaire avant d’accéder aux stadesDans le même sillage, la FAF a indiqué dans son communiqué que le retour des supporters se fera conformément au protocole sanitaire approuvé. Ainsi, la même source a souligné la nécessité de présenter un pass sanitaire prouvant la réception du concerné, de ses deux doses de vaccin.
» Le retour est programmé dans le strict respect du protocole sanitaire en vigueur, la présentation d’un Pass sanitaire (vaccinal) prouvant l’injection des deux doses et le respect des mesures barrières et autres afin d’éviter toute contamination à la COVID-19 « , précise la même source.
Par ailleurs, il convient également d’indiquer que le deuxième tour du championnat de Ligue 1 professionnelle se jouera ce week-end, avec 7 rencontres qui auront lieu vendredi, et deux autres confrontations sont prévues samedi.
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