Afoussatou Amadou de l'Université d'Abomey-Calavi représentera le Bénin à la finale 2025 du concours « Ma thèse en 180 secondes » (MT 180). La lauréate a remporté, mercredi 25 juin 2025, la phase nationale devant 17 autres challengers.
En trois minutes, Afoussatou Amadou a convaincu le jury du concours « Ma thèse en 180 secondes » avec son projet de recherche « Poisson ou poison : Rime ou réalité ? La jeune chercheuse a défendu son sujet tout comme dix-sept doctorants venus de l'Université de Parakou et de l'Université d'Abomey-Calavi, le jeudi 25 juin 2025. Son projet de recherche propose une méthode en quatre étapes (floculation, sédimentation, désinfection, détoxication) pour nettoyer l'eau de façon naturelle, en s'appuyant sur la science verte.
La lauréate défendra les couleurs du Bénin à la finale internationale du concours prévue en Roumanie. Afoussatou Amadou, très émue, a déclaré : « Je vais représenter non seulement le Bénin, mais aussi toutes les institutions de l'UAC, le réseau des jeunes chercheurs du CAMES, et toutes les femmes battantes du domaine scientifique ». Elle se dit prête pour la finale internationale et espère ramener le trophée mondial au Bénin. « Je m'engage à donner le meilleur de moi-même. Et pourquoi pas, ramener le meilleur prix ? ».
Micheline Panewai recevant le 3è prixA l'issue de la délibération, le jury a décerné le 3ᵉ prix à Micheline Panewai pour son titre « Deux molécules, un espoir de demain ».
Jean-Richard Ahouansou-Karl, 3è prix du concoursLe 2ᵉ prix est revenu à Jean-Richard Ahouansou-Karl pour « Les vers de terre en grève : et si on écoutait la terre ? »
La présidente du jury, Stéphanie Dos Santos, Représentante de l'IRD au Bénin - Ghana – Nigeria – Togo a salué le niveau des candidats. « Félicitations à toutes et tous pour vos performances et pour les autres vous n'avez pas du tout démérité. Bravo à vous ! », a-t-elle indiqué.
Côté public, plus de 3.000 votes en ligne ont été enregistrés. Le Prix du Public a été attribué à Hamidath Bissilola Sakpata pour son sujet « Servir en formant, former en servant », avec 900 voix.
Les lauréats de la phase nationale du MT 180, édition 2025 repartent chacun avec un trophée et un chèque de 1.000.000 FCFA (1er), 500.000 FCFA (2è), 250.000 FCFA (3è) et 100.000 FCFA (prix du pubic).
Dès l'ouverture, Fawaz Tairou, responsable du Bureau national de l'Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), a rappelé l'enjeu du concours : « Présenter son sujet de manière concise et convaincante, tout en respectant le chrono de 3 minutes ».
La cérémonie s'est tenue en présence de la Ministre de l'Enseignement Supérieur, Eléonore Ladékan qui a salué l'initiative permettant de valoriser la recherche et d'impliquer la jeunesse scientifique.
Le recteur et le vice-recteur de l'UAC étaient également présents pour encourager leurs étudiants.
Le jury était composé de personnalités du monde scientifique et académique. Il est présidé par Stéphanie Dos Santos, Représentante de l'IRD pour le Bénin, le Ghana, le Nigeria et le Togo. Les autres membres sont : Professeur Charles Ligan, Directeur du Centre de Gestion et de Communication de l'UAC, Thiburce Montcho, Administrateur général de BenAfrique, Venance Ahouansou, lauréat béninois de l'édition 2024.
Ma thèse en 180 secondes permet aux doctorants de présenter leur sujet de recherche, en français et en termes simples, à un auditoire diversifié. Chaque étudiant ou étudiante doit faire, en trois minutes, un exposé clair, concis et néanmoins convaincant sur son projet de recherche. À l'automne 2025, la Roumanie accueillera la finale internationale– la date et la ville restent à préciser.
Marc MENSAH
L'Agent judiciaire de l'Etat (AJE), Gilbert Ulrich Togbonon invite une liste de personnes à Natitingou, Kandi et de Parakou. Les interessés sont attendus à l'antenne respective de l'Agence dans leurs localités à compter du lundi 30 juin 2025 pour le retrait d'une pièce les concernant. (Liste)
Au cours d'une visite de travail qu'il a entamée au Brésil mardi 24 juin 2025, le chef de l'Etat Patrice Talon a rencontré ce jeudi 26 juin, le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva. Le renforcement de la coopération entre le Bénin et le Brésil était le principal sujet de discussion entre les deux chefs d'Etat.
Une liaison aérienne directe entre le Brésil et le Bénin sera bientôt établie. Le sujet a été abordé au cours d'un entretien entre Patrice Talon et son homologue brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva. L'objectif selon ce dernier, est de stimuler le commerce bilatéral et promouvoir le tourisme entre les deux Etats.
Les discussions entre Patrice Talon et le président Lula da Silva ont également porté sur le renforcement de la coopération bilatérale dans les secteurs de l'agriculture et de l'enseignement technique et professionnel. A cet effet, le Brésil, riche de son expérience en matière d'agro-industrie et de formation technique, entend mettre son savoir-faire au service des priorités du Bénin.
Une mission brésilienne est annoncée à Cotonou, après la visite du chef de l'Etat Patrice Talon. Cette mission aura pour mandat, d'examiner des projets concrets de coopération, afin de donner une traduction opérationnelle aux engagements pris lors de cette rencontre entre les chefs d'Etat.
F. A. A.
Le nouveau Directeur Général de Fabrimétal Bénin, filiale béninoise du Groupe MMD STEEL, Salim Baalbaki a été présenté officiellement aux partenaires, acteurs du secteur industriel, personnel, représentants d'institutions et médias. C'est lors d'une conférence de presse suivie d'un cocktail dinatoire, mercredi 25 juin 2025, à l'hôtel Golden Tulipe Le Diplomate à Cotonou. La rencontre a permis de dévoiler la vision renouvelée de l'entreprise et les grandes orientations stratégiques à venir.
Fabrimétal Bénin a officiellement présenté son nouveau directeur général, Salim Baalbaki, succédant à Samer Mansour. L'entreprise sidérurgique devenue incontournable sur le marché béninois a saisi l'occasion pour dévoiler sa vision et ses stratégies.
Lors de la cérémonie, mercredi 25 juin 2025 à Cotonou, Noorali Manji, président du groupe MMD, maison-mère de Fabrimétal, a salué l'arrivée d'un DG doté de trente années d'expérience dans le domaine de la sidérurgie. « Nous avons une confiance totale en ses capacités à relever les défis à venir, à renforcer nos partenariats, à stimuler l'innovation et à insuffler une nouvelle dynamique à Fabrimétal Bénin ».
Samer Mansour, DG sortant, a salué la continuité d'un rêve né en 1961 : celui de bâtir une Afrique forte avec des matériaux solides et fiables. Il rappelle que Fabrimétal est aujourd'hui présent dans 9 pays africains, avec plus de 740 000 tonnes d'acier vendues en 2024, et 5500 collaborateurs. L'entreprise ambitionne, selon lui, d'élargir sa gamme de produits, d'étendre sa présence géographique, de produire et vendre 1 million de tonnes d'acier en 2030.
En ce qui concerne l'aventure béninoise, elle a commencé en 2023, avec déjà 40 % de parts de marché, plus de 500 emplois créés et une capacité installée de 120 000 tonnes.
L'usine béninoise est la seule à produire du fer FE500, essentiel pour les fondations robustes. Fabrimétal Bénin participe déjà à des chantiers d'envergure : extension des bassins portuaires, logements sociaux, centre d'affaires maritimes, ou encore musée international du Vodun.
Bâtir un écosystème de la construction durable
Le nouveau DG, Salim Baalbaki entend accélérer la transformation et l'expansion du secteur industriel au Bénin grâce à « l'innovation, la persévérance et une vision claire ». Son ambition est d'anticiper les besoins du marché, renforcer les liens avec les distributeurs, développer des produits durables et à forte valeur ajoutée. Il s'engage à optimiser la performance industrielle et à réduire l'empreinte carbone. La marque FMB, symbole de qualité locale, restera au cœur de la stratégie.
Salim Baalbaki veut faire de Fabrimétal un acteur de référence au Bénin et dans la sous-région. « La sidérurgie est un pilier de développement. Nous devons viser l'excellence, anticiper les besoins, et construire des solutions durables ».
La stratégie du nouveau DG de Fabrimétal Bénin repose sur trois piliers : l'excellence opérationnelle, avec un engagement fort pour la fiabilité, la qualité constante et une gestion rigoureuse des processus ; l'innovation durable, visant à réduire l'empreinte carbone et à proposer des produits à haute valeur ajoutée ; enfin, la proximité avec les clients et partenaires, grâce à une approche sur-mesure, une écoute attentive et des relations basées sur la transparence. « Chaque barre d'acier que nous produisons est une promesse de sécurité et de durabilité pour les générations futures », a ajouté Salim Baalbaki.
DUFERCO, un partenaire de poids
Présent à la cérémonie, Thomas Pouzet, senior trader du géant DUFERCO, a confirmé la solidité de la collaboration avec Fabrimétal. « Le Bénin est dynamique, rigoureux et tourné vers la qualité. Fabrimétal en est un digne représentant ». DUFERCO, un des leaders mondiaux du trading d'acier (14 millions de tonnes par an), a vu dans Fabrimétal un partenaire fiable. « Nous ne cherchons pas que des producteurs. Nous cherchons des alliés qui partagent nos standards d'excellence », a-t-il indiqué.
Après plusieurs années de collaboration, DUFERCO se dit prêt à renforcer ce partenariat industriel et accompagner le développement de Fabrimétal dans un marché africain en pleine ébullition.
La cérémonie fut aussi l'occasion de saluer les efforts du gouvernement béninois, notamment à travers les représentants des ministères de l'Économie, de l'Industrie et du Cadre de Vie.
Fabrimétal s'inscrit résolument dans la dynamique portée par l'État pour booster le tissu industriel national, créer des emplois qualifiés et valoriser les ressources locales. « Le fer, ce n'est pas qu'un matériau. C'est la base d'un pays qui se construit », a résumé Salim Baalbaki.
A propos de Fabrimétal Bénin
Fabrimétal bénin est une filiale du groupe MMD STEEL. Créé en 2006, le groupe MMD est un acteur incontournable de la sidérurgie en Afrique subsaharienne. Il est présent en RDC, au Rwanda, en Angola, au Ghana, au Burkina Faso, au Mali, au Sénégal, et au Bénin.
MMD accumule plusieurs décennies d'expérience dans la production de fer à béton dans l'Afrique subsaharienne. Au fil du temps, le groupe a acquis la maîtrise des compétences techniques et le savoirfaire nécessaire à la production d'armatures aux normes internationales.
Grâce à sa technologie TMT, Fabrimétal fournit le meilleur fer à béton au marché béninois. Une technologie qui consiste à faire subir un choc thermique à la production, par le réchauffement et le refroidissement instantané.
Productrice d'acier cent pour cent fabriqué au Benin, Fabrimétal Bénin s'impose par le respect des normes internationales, la qualité de son acier testé et certifié par plusieurs structures indépendantes dont la SNERTP, Bureau Véritas.
M. M.
La Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) a mis en demeure ce jeudi 26 juin 2025 huit (8) promoteurs de radios pour non-respect des obligations contractuelles. L'annonce a été faite lors d'une plénière de l'institution.
Deux décisions ont été prises lors de la plénière de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC). La première, référencée N°25-041/HAAC, concerne MIFON FM. Son promoteur est sommé d'achever entièrement les travaux d'installation. À défaut, il risque le retrait pur et simple de sa fréquence.
La seconde décision, N°25-042/HAAC, s'adresse à sept autres stations : Couffo FM, Maroowo FM, Radio Dialogue FM, Aifa FM, As Salam FM, Radio Gbetin et Nostalgie FM. Les promoteurs de ces radios sont appelés à se conformer aux conventions signées avec la HAAC. La HAAC indique que des lettres d'avertissement avaient déjà été envoyées.
L'institution de régulation des médias rappelle qu'en cas de récidive ou d'inaction, les fréquences seront retirées sans autre procédure, confromément à l'article 49 de la Loi n° 2022-13 du 5 juillet 2022.
M. M.
Ulrich K.M. DEHOU n'est plus membre du parti Mouvement des élites engagées pour l'émancipation du Bénin (MOELE-Bénin). Il a annoncé sa démission à travers une correspondance adressée à Jacques AYADJI, président du MOELE-Bénin.
Démission au sein du MOELE-Bénin. Le directeur adjoint du protocole et coordonnateur national à l'emploi et à l'entrepreneuriat au sein du parti, Ulrich K.M. DEHOU a quitté la formation politique présidée par Jacques AYADJI. L'annonce a été faite à travers une lettre en date du lundi 23 juin 2025. A travers la note de démission, l'ex militant du MOELE-Bénin évoque des raisons de convenances personnelles pour justifier son départ. Il n'a pas manqué d'exprimer sa gratitude envers le parti qui lui a permis de faire ses premiers pas dans l'arène politique.
S'étant retiré du MOELE-Bénin, Ulrich K.M. DEHOU garde le suspens quant à sa prochaine destination politique.
F. A. A.
Depuis près de neuf ans, l'ONG Acting for Life (AFL) œuvre à l'insertion professionnelle des jeunes dans le secteur du bâtiment, tout en appuyant le développement de filières territoriales d'écoconstruction dans trois pays (Bénin, Togo et Mali). À l'occasion d'un colloque ce mercredi 25 juin 2025, au CCRI John Smith de Ouidah, la responsable Programme, Léa Pottier est revenue sur les résultats de ce programme soutenu par l'Agence Française de Développement.
Avec ses partenaires de l'ACAD au Bénin, GEVAPAF au Togo et APAPE-PH au Mali, l'ONG Acting for Life (AFL) a formé des centaines de jeunes dans le secteur du bâtiment. L'accompagnement a débuté en 2013 au Mali sur fonds propres de Acting for Life autour des métiers de la pierre. En 2016, AFL reçoit le soutien financier de l'Agence Française de Développement (AFD). Ce financement permet aussi de démarrer en 2022, le projet MADE (Maçons de Demain, former et insérer dans l'écoconstruction) » dans l'Atacora et la Donga (Bénin) ; les régions de la Kara et des Savanes (Togo) et de Bandiagara (Mali).
Le projet s'est axé sur la formation des jeunes à la maçonnerie et à l'écoconstruction ; l'insertion des jeunes ; l'appui à la filière écoconstruction et le renforcement de la participation des jeunes en vue de leur insertion socio-économique. Selon Léa Pottier, le projet cible des jeunes vulnérables et déscolarisés, âgés entre 16 et 30 ans avec un objectif de 20 % de femmes. « Ce n'est pas toujours atteint, mais on a quand même des femmes maçonnes », a indiqué la responsable Programme. Le nombre de bénéficiaires en formation longue (2 à 3 ans) est de 60 et les jeunes sont entièrement pris en charge. 69 jeunes initialement des maçons ont été formés uniquement à l'écoconstruction et 6 centres de formation ont été appuyés par AFL. La formation se veut complète : elle associe théorie, pratique sur chantiers-écoles, et apprentissage de compétences transversales comme la ponctualité, le travail en équipe etc. « Au total, il y a eu presque 600 jeunes formés depuis 2013 », a déclaré Léa Pottier.
Après leur formation, les jeunes bénéficient de kits d'insertion, de plans d'affaires et d'autres accompagnements. « Au niveau de l'insertion, les chiffres ne sont pas très élevés pour l'instant parce que de nombreux jeunes formés pendant le Projet d'Appui aux Métiers de la Pierre et de l'Eco-construction (Pampec) sont encore en formation », a précisé la responsable Programme.
À ce jour, 82 % des jeunes issus des formations courtes exercent effectivement dans le domaine, contre 53 % pour les formations longues (certains étant encore en apprentissage). Les revenus mensuels de ces jeunes tournent autour de 70 000 FCFA au Bénin et 100 000 FCFA au Togo selon les chiffres communiqués.
Soutien à la filière écoconstruction
MADE, c'est aussi un appui à la filière écoconstruction. « On a choisi au-delà de la formation des jeunes, de soutenir les extracteurs qui sont au début de la filière. Ils sont renforcés en équipement et formation. 8 groupements ont été appuyés dans les 3 pays depuis le début du projet MADE. 37 communes ont été sensibilisées sur les avantages de l'écoconstruction », informe la responsable Programme.
Grâce à un fonds d'appui, plusieurs infrastructures publiques ont été construites avec les matériaux locaux par les jeunes formés dans les pays bénéficiaires. Pour renforcer la participation des jeunes en vue de leur insertion socio-économique, les partenaires de ces zones fragilisés par l'insécurité organisent des sessions avec des jeunes et les autorités locales afin de dialoguer et d'envisager la pérennité des actions.
Le programme a mobilisé un budget total de 2,8 millions d'euros (environ 1,8 milliard FCFA), financé à 75 % par l'AFD. Le volet malien a coûté 240 000 euros, contre près de 934 000 euros pour le Bénin et le Togo. « Le programme se terminera en août 2025, c'est pour cela qu'on a jugé important d'organiser ce colloque pour que les acteurs qui ont contribué au projet et les experts de l'écoconstruction ainsi que les architectes puissent échanger. On espère vraiment qu'il y aura des perspectives après ce projet », a ajouté Léa Pottier.
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Le Ministère des Sports du Bénin et l'ambassade de France au Bénin annoncent le lancement de la deuxième phase du programme Vivre ensemble par le sport. Un évènement inaugural marquera ce lancement le jeudi 10 juillet à 14h30 au Centre d'Activités Sportives (CAS) de Parakou.
Le sport, levier de cohésion sociale et d'engagement . Un an après les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, le sport demeure une priorité pour la France dans ses actions de coopération. Il constitue un outil puissant pour renforcer les liens entre les sociétés civiles, en particulier auprès de la jeunesse. A l'approche des Jeux Olympiques de la jeunesse de Dakar 2026 ; l'élan se poursuit avec le programme vivre ensemble par le sport, qui soutient les organisations de la société civile béninoise (OSC) mobilisant le sport comme vecteur d'inclusion et de paix et s'inscrivant dans l'une des trois composantes :
Favoriser le vivre ensemble : encourager les échanges communautaires autour du sport et diffuser des messages de paix, d'union et d'inclusion.
Favoriser l'insertion sociale et professionnelle des jeunes : intégrer le sport à des dispositifs de réinsertion ou de formation.
Promouvoir l'égalité femmes-hommes : valoriser la pratique sportive féminine pour lutter contre les stéréotypes de genre.
Bilan 2024 : un projet pilote au nord du Bénin
En 2024, la première édition a permis à 9 OSC des départements de l'Atacora, de l'Alibori, du Borgou et de la Donga de déployer des actions ciblées auprès de 500 bénéficiaires, parmi lesquels des jeunes déscolarisés, des femmes et des personnes en situation de handicaps.
Un passage à l'échelle ambitieux pour la phase 2
Forte de ce premier succès, la deuxième phase du programme voit plus grand :
21 organisations seront accompagnées en 2025, soit plus du double de la première édition.
Une priorité est donnée à la formation des encadrants et à la diversification des disciplines, avec notamment de nouvelles disciplines comme l'escrime, la capoeira, la gymnastique, ou encore la lutte.
Cette nouvelle dynamique vise à mutualiser les savoir-faire, favoriser l'échangeentre structures et renforcer l'impact local auprès des publics vulnérables.
L'identification de nouveaux partenaires permettra de faire fructifier les échanges et de mutualiser les apprentissages de chacun auprès des populations cibles.
Au programme : des initiations et démonstrations de lutte, de gymnastique, de capoeira et d'escrime, des rencontres
avec les OSC partenaires.
L'entrée est libre, gratuite et ouvertes à toutes et tous,
sans limite d'âge.
Liste des 21 organisations de la société civile membre de la phase 2 du programme vivre ensemble par le sport
All Circus
Benin Espoir et Solidarité Académie (BESA)
Etônam
Fédération Béninoise De Volley-Ball
ONG Vivre En Santé
Réseau éducatif et de promotion des arts, de la culture et du sport desjeunes du Bénin (Repac-SJ-Benin)
Sud Nord Actions (SNA)
Tout Puissant Handisport
Utilisation des technologies de l'information et de la communication au service de l'Education et du développement durable (Uticed)
Youth Sport Education (YSE)
Fédération Béninoise D'escrime
Sos Savane
ONG Gandjaanon
Association pour le développement dans les communautés (Adecom)
Fédération Béninoise De Gymnastique
Su Wusua Daa ONG
Association des jeunes pour la promotion de l'éducation et de la culture (Ajepec)
Fédération béninoise De Lutte
Association Capoeira Bénin
Initiative pour l'éducation et le contrôle du tabagisme (IECT)
Enfants Du Benin Debout
Le Projet d'appui à l'alimentation scolaire, à la nutrition et à la scolarisation des enfants hors école au Bénin (PAASEB) a été officiellement lancé le mardi 24 juin 2025 à Cotonou.
Le gouvernement initie un autre projet dans le domaine de l'alimentation scolaire. Il s'agit du Projet d'appui à l'alimentation scolaire, à la nutrition et à la scolarisation des enfants hors école au Bénin, officiellement lancé au cours d'un atelier mardi 24 juin 2025, par Alain HINKATI, directeur général de l'Agence nationale de l'alimentation et de la nutrition (ANAN), coordonnateur dudit projet.
S'adressant aux participants lors de la cérémonie officielle de lancement, il a rappelé les objectifs du PAASEB. Il s'agit d'après lui, de présenter, d'une part, le projet dans ses différentes composantes, afin que chacun comprenne clairement les axes d'intervention et les résultats attendus et d'autre part, partager les modalités de mise en œuvre, notamment à travers un focus particulier sur les procédures spécifiques et les directives de la Banque islamique de développement (BID), qui seront applicables dans la gestion technique, financière et administrative du projet.
D'un montant global de 25.000.000 de Dollars US, soit environ 12,5 milliards de francs CFA, le PAASEB, financé par la BID vise spécifiquement selon les services de communication du gouvernement, à appuyer la généralisation de l'alimentation scolaire dans les écoles primaires publiques du Bénin pour l'atteinte d'un taux de 100% en 2026 ; à appuyer le développement des économies locales en renforçant les chaînes de valeur agricoles ; à appuyer l'amélioration de la santé et de la nutrition de l'apprenant et des communautés ; à contribuer à la scolarisation des enfants hors école et à leur maintien dans le système éducatif formel.
Le représentant de la Banque islamique de développement, le Coordonnateur du Projet, le Coordonnateur résident du Programme alimentaire mondial (PAM), le représentant de Plan International Bénin, et plusieurs autres acteurs impliqués dans la mise en œuvre du projet ont pris part à la cérémonie officielle de lancement du PAASEB.
F. A. A.
Le Président de la commission formation CCI Bénin, Christian MONDJANNAGNI a procédé, mardi 24 juin 2025, à l'ouverture officielle du séminaire axé sur le thème : « Gestion de la maintenance : un levier stratégique pour booster la performance industrielle au Bénin ». Le séminaire qui se tient à l'hôtel Azalai de Cotonou, est organisé en partenariat avec l'Université Mohamed 6 Polytechnique TECHNIX.
Des chefs d'entités industrielles, responsables à divers niveaux des entités industrielles ont pris part du 24 au 25 juin 2025, à un séminaire sur la gestion de la maintenance. Selon le Président de la commission formation CCI Bénin, Christian MONDJANNAGNI, ce séminaire vise à accompagner les entités industrielles pour une démarche proactive, tournée vers la performance, l'innovation et la durabilité.
Depuis 2016, souligne-t-il, les réformes conduites par le Gouvernement du Bénin ont induit des améliorations notables dans la structure économique de notre pays. « S'appuyant sur les fruits de cet engagement qui s'est traduit par un essor industriel réel de notre pays, nous, acteurs du secteur, sommes déterminés à travailler pour améliorer les performances au niveau de nos entités industrielles, et de ce fait, renforcer note compétitivité sur le plan régional et sur la sphère mondiale », a déclaré Christian MONDJANNAGNI.
La maîtrise de la gestion de la maintenance permet entre autres de fiabiliser les équipements, de réduire les arrêts non planifiés dans le fonctionnement des installations, et in fine de préserver la qualité des produits sur le marché. Le séminaire est animé par les experts Tarik TALIBI, Omar MOUTTAQUI, et Houda BACHRAOUI.
Le Président de la commission formation CCI Bénin, Christian MONDJANNAGNI espère qu'à l'issue du séminaire, les participants adopteront une nouvelle approche de la maintenance, en passant de la logique de « maintenance subie à la logique de « maintenance stratégique », créatrice de valeur.
La CCI Bénin au cœur de l'accompagnement des entreprises à travers l'IRAE
Ce séminaire a été également l'occasion pour la CCI Bénin de présenter aux participants son Institut pour le Renforcement de l'Accompagnement Entrepreneurial (IRAE-CCI Bénin). Cet Institut a pour mission principale de renforcer les capacités des entreprises et de soutenir le développement de l'entrepreneuriat au Bénin. « Nos formations sont spécifiques et adressées aux entreprises. C'est pour ça que la gestion de la maintenance qui fait partie de la vie de l'entreprise nous intéresse aujourd'hui », a déclaré Patrice ADJIWANOU, Responsable IRAE-CCI Bénin.
L'IRAE, informe-t-il, offre également des formations de courte durée ainsi que celles axées sur des approches spécifiques (Approche GERME ; SME Loupe). « Nous avons aussi en notre sein, un programme qui accompagne les jeunes entrepreneurs qu'on appelle ‘'Parcours de l'entrepreneur''. Ce parcours a été un manque dans l'écosystème entrepreneurial béninois. La CCI Bénin a tout fait pour mettre en place ce dispositif », a affirmé Patrice ADJIWANOU. Grâce à l'IRAE, les entreprises peuvent donc bénéficier d'un accompagnement personnalisé et renforcer leurs compétences pour s'inscrire durablement dans une dynamique de performance.
Akpédjé Ayosso
Paulin AKPONNA n'est plus ministre de l'énergie, de l'eau et des mines. Il a été relevé de ses fonctions par un décret ce jeudi 26 juin 2025.
Patrice TALON procède à un remaniement technique de son gouvernement. Le ministre de l'énergie, de l'eau et des mines, Paulin AKPONNA a été relevé de ses fonctions et remplacé par José Didier TONATO, ministre du cadre de vie en charge des transports et du développement durable. La décision a été prise à travers un décret signé du secrétaire général du gouvernement après avoir consulté le bureau du parlement. Le reste du gouvernement selon le décret signé de Edouard OUIN-OURO, reste inchangé.
F. A. A.
Le Palais des congrès accueille dès ce vendredi 27 juin 2025, la 5e édition des Nuits artistiques et culturelles de Cotonou. Ce grand rendez-vous artistique est une initiative du Ministère du tourisme, de la culture et des arts, mise en œuvre par l'Agence de développement des arts et de la culture (ADAC).
À partir du 27 juin, le Palais des Congrès devient le théâtre d'une nouvelle édition des soirées consacrées à la créativité et à l'expression scénique à l'occasion des NACC. Cet évènement est désormais inscrit en milieu d'année, juste après la fête de la musique, afin de permettre la mise en œuvre des initiatives privées en fin d'année.
Les NACC offrent un espace ouvert à une multitude de disciplines : théâtre, danse, humour, arts visuels. Cette cinquième édition ne dérogera pas à la règle. Elle entend au contraire aller plus loin, en révélant aussi bien des figures confirmées que de jeunes talents.
Des soirées gratuites ouvertes à tous
Les habitants de Cotonou et environs pourront assister à une programmation foisonnante. Les spectacles proposés les 27, 29 juin, 4 et 5 juillet sont conçus pour faire écho aux sensibilités diverses du public et refléter la pluralité de la scène locale.
L'évènement s'inscrit dans la volonté du gouvernement de démocratiser l'accès à la culture et de renforcer le lien entre les artistes et les communautés. Dans un contexte de redynamisation du secteur culturel béninois, les NACC s'imposent plus que jamais comme un catalyseur de talents et un miroir vivant de la scène béninoise. Une invitation à célébrer, ensemble, la beauté de l'expression artistique sous toutes ses formes.
Dans la matinée de ce jeudi 26 juin 2025, le chef de l'Etat Patrice TALON selon des sources concordantes, a sollicité le bureau de l'Assemblée nationale pour le remplacement de Paulin AKPONNA, ministre de l'énergie, de l'eau et des mines.
Sanction au gouvernement de Patrice TALON. Le ministre de l'énergie, de l'eau et des mines, Paulin AKPONNA est en phase d'être relevé de ses fonctions. Le bureau de l'Assemblée nationale, apprend-on, est sollicité à cet effet.
José Didier TONATO, ministre du cadre de vie en charge des transports et du développement durable est proposé pour le remplacer. Un décret du chef de l'Etat est attendu pour confirmer le départ de son ministre de l'énergie de l'eau et des mines.
Les raisons précises du départ de ce collaborateur du chef de l'Etat ne sont pas encore connues. Cependant, lors d'une visite à Parakou il y a quelques jours, Paulin AKPONNA a exprimé sa profonde consternation face à l'absence persistante d'eau potable et d'électricité malgré des investissements massifs engagés depuis 2016. Il a dénoncé à l'occasion, la gestion opaque et irresponsable du budget public. Il s'est aussi s'insurgé contre le ‘'siphonage'' des ressources publics sous la gouvernance de Patrice TALON.
F. A. A.
Les candidats à l'examen du Brevet d'études du premier cycle (BEPC), session de juin 2025, seront fixés sur leur sort le lundi 7 juillet prochain.
Le calendrier de déroulement de l'examen du BEPC suit son cours normal. Après la phase écrite et celle de l'anonymat, place est fait à la correction des copies, en cours depuis le lundi 23 juin dernier. Afin de s'assurer du bon déroulement de cette phase sensible de l'examen, le ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Véronique TOGNIFODE a effectué une descente au centre de correction du CEG Sainte Rita ce mercredi 25 juin 2025.
Au terme de cette visite et des informations qui lui sont parvenues de tous les autres centres de correction répandus à travers tout le pays, la ministre rassure : « Tout se déroule dans les normes ».
Pour le directeur des Examens et concours, Armand NATTA, le calendrier de déroulement de la session de juin 2025, de l'examen du BEPC se déroule normalement. La première délibération, a-t-il annoncé est prévue pour le lundi 7 juillet 2025.
Cette année 2025, 128.898 candidats dont 64.209 filles ont composé à l'examen du BEPC.
F. A. A.
Au Bénin, les députés de la 9e législature ont adopté à l'unanimité, la loi 2025-14, qui encadre désormais le secteur de la microfinance. Le texte en plus des innovations majeures qu'elle apporte, renforce la gouvernance du secteur et protège les bénéficiaires.
Une nouvelle loi gouverne le secteur de la microfinance au Bénin. Le texte adopté à l'unanimité des députés oblige désormais les Institutions de microfinance (IMF) à se doter d'un Conseil d'administration. Le but visé étant de renforcer la gouvernance interne du secteur. Le texte adopté par la représentation nationale définit les rôles et responsabilités de l'autorité de tutelle, élargit le champ des activités autorisées aux IMF et instaure un capital social minimum.
Ces mesures selon le rapport de la commission des finances, visent à garantir une meilleure solidité financière des institutions et à limiter les risques systémiques. L'amélioration du principe de proportionnalité, le renforcement de la gouvernance, l'introduction de la finance islamique, la consolidation des exigences comptables et prudentielles, ainsi que la protection des coopérateurs et le traitement des IMF en difficulté constituent les principales innovations.
Au cours du débat général, les discussions ont porté entre autres sur la protection des bénéficiaires, surtout leur surendettement, l'harmonisation des garanties exigées par les IMF, la mise en conformité des IMF et la protection des institutions face aux clients de mauvaise foi, etc.
Cette nouvelle loi qui encadre le secteur de la microfinance au Bénin a été saluée par les députés, toute tendance confondue.
F. A. A.
Parfois, des enchaînements insondables ramènent à notre conscience des mémoires de figures marquantes dans des circonstances qui relèvent de coïncidence ou de synchronicité d'événements divers. Ainsi en est-il de quelques récentes actualités relatives à l'avenir énergétique des nations africaines et plus spécifiquement les perspectives – salutaires, je dirais - du développement de centrales nucléaires, actualités qui me portèrent vers le souvenir de l'éminent scientifique et enseignant que fut le Professeur Abdou Moumouni Dioffo dont l'université nationale du Niger reçut le nom en hommage. Moumouni naquit le 26 juin 1929 au Niger. Ancien diplômé de l'école William Ponty de Dakar, il poursuivit ses études dans le système français jusqu'au doctorat d'état en sciences physiques en 1967. Il compte parmi les membres fondateurs de la FEANF (Fédération des étudiants d'Afrique noire en France). Enseignant, il s'investit dans la recherche scientifique et technique, notamment dans le domaine de l'énergie solaire.
Je garderai toujours une conviction personnelle qui est que le professeur Abdou Moumouni, scientifique théoricien autant que praticien, aurait été une ressource à même d'encadrer le déploiement de l'énergie nucléaire dans l'espace économique ne serait-ce qu' ouest-africain bien des décennies en avance si l'histoire et ses contingences l'avaient permis. C'est cette réflexion qui refit surface en lisant cet entrefilet de presse en annexe qui notait « la levée de l'interdiction du financement du développement de l'énergie nucléaire par la banque mondiale. »
L'évocation du souvenir du Professeur Abdou Moumouni nous rappelle que bien souvent des destins œuvrent bien en dessous des potentialités qu'ils portent parce que l'histoire n'est pas au rendez-vous. Le Niger qui a vu naître Abdou Moumouni Dioffo et tant d'autres scientifiques et ingénieurs compétents aurait pu dans un cadre coopératif se poser depuis bien des décennies comme un prospère pourvoyeur d'énergie électrique fiable pour le développement industriel de toute une sous-région africaine au lieu d'être classé comme un des pays les plus pauvres de la planète.
Puissent les générations montantes s'en souvenir pour infléchir et forcer l'histoire, en vue de maximiser leurs énergies dans l'accomplissement de leurs missions au sens où Frantz Fanon le stipulait.
G. Théophile Nouatin
https://24haubenin.info/?L-Afrique-doit-miser-sur-le-nucleaire-modulaire-Pr-Lassina-Zerbo
Le Centre Culturel de Rencontre International John Smith de Ouidah a accueilli, le mercredi 25 juin 2025, un colloque dédié à l'avenir de l'écoconstruction au Bénin et dans la sous-région. Il est organisé par l'ONG Acting for Life (AFL), à quelques semaines de la clôture d'un programme lancé en 2016 au profit des jeunes dans le secteur du bâtiment.
Neuf (09) années d'activités, trois pays engagés (Bénin, Togo, Mali), et des centaines de jeunes formés aux techniques de construction à base de matériaux locaux. C'est dans le cadre d'un programme visant à favoriser l'insertion professionnelle des jeunes dans le secteur du bâtiment et à appuyer le développement des filières territoriales d'écoconstruction.
La troisième et dernière phase du programme initié en 2016 est consacrée depuis 2022 au projet MADE « Maçons de Demain, former et insérer dans l'écoconstruction ». Ce projet vise à donner l'accès aux jeunes en situation de vulnérabilité à des formations en maçonnerie et écoconstruction. « Ce que je retiens, c'est qu'on donne des capacités et d'autres connaissances à nos jeunes pour leur permettre d'utiliser les matériaux locaux afin de participer au développement de notre cité », a relevé le maire de Ouidah, lors de la cérémonie d'ouverture. M. Christian Houétchénou a exprimé son souhait de voir naître à Ouidah un centre de formation dédié à l'écoconstruction.
Piloté par Acting for Life et mis en œuvre avec ses partenaires de l'ACAD au Bénin, de GEVAPAF au Togo et d'APAPE-PH au Mali, le programme est cofinancé par l'AFD à hauteur de plus de 800 millions de FCFA. Il s'achève en août 2025.
Le directeur des opérations de AFL, Cédric Touquet, a rappelé les principes des interventions dans les pays bénéficiaires. Il s'agit entre autres de l'appui des savoir-faire locaux, mise en réseau des compétences et la collaboration avec les acteurs locaux ainsi que la coopération avec les collectivités territoriales. Des principes appliqués dans la région de Mopti (Mali) depuis 2010, jusqu'aux régions de Kara et des Savanes (Togo) et des départements de l'Atacora et de la Donga (Bénin).
Pour Guillaume Reisacher, directeur adjoint de l'AFD au Bénin, l'éco-construction, n'est pas un simple phénomène de mode, c'est une réponse concrète, au défi du changement climatique, de l'urbanisation rapide et de la lutte contre la précarité. « Elle est aussi une opportunité de création d'emplois qualifiant pour une jeunesse en quête de sens et de perspective. C'est dans cet esprit que l'Agence Française de Développement a décidé de soutenir le projet MADE », a-t-il déclaré. Le projet MADE, relève Reisacher, illustre parfaitement la vision que porte l'AFD, une transition juste qui conjugue formation, insertion, innovation et écologie tout en respectant les spécificités culturelles et matérielles de chaque territoire.
Le représentant du ministère du Cadre de vie, Oscar Atingla, s'est réjoui de la transformation qu'opère désormais les jeunes femmes et hommes (devenus maçons, techniciens, entrepreneurs grâce au projet MADE) sur leur territoire.
Procédant à l'ouverture de ce colloque, le préfet de l'Atlantique, Jean-Claude Codjia, a insisté sur le caractère impératif de l'écoconstruction. Le projet MADE, indique-t-il, est un exemple concret de ce que peut produire l'alliance entre innovation, tradition et engagement citoyen. « Je forme le vœu que les recommandations issues des travaux puissent nourrir les politiques publiques, orienter les stratégies de formation et d'insertion et renforcer les synergies entre les acteurs engagés sur ce chantier commun », a-t-il ajouté.
Le colloque a offert un espace d'échanges pour réfléchir aux moyens de pérenniser les acquis du projet MADE. Les discussions se sont axées sur les défis et enjeux de l'écoconstruction au Bénin, au Togo et au Mali.
Akpédjé Ayosso
Les groupes d'assurance Sanlam et Allianz se sont unis en Afrique pour créer, en septembre 2023, Sanlam Allianz Africa (SanlamAllianz). Les responsables de la nouvelle marque d'assurance ont annoncé, ce mercredi 25 juin 2025 à l'hôtel Golden Tulip de Cotonou, le déploiement de la marque SanlamAllianz au Bénin. SanlamAllianz Africa totalise plus de 240 années d'existence et d'expertise en assurance, assistance et services financiers pour les particuliers, entreprises et collectivités.
SanlamAllianz est une marque mondiale qui dispose d'une vaste expertise et de ressources importantes. Il s'agit du plus grand groupe panafricain de services financiers non bancaires, opérant dans 27 pays du continent africain.
« Aujourd'hui, nous ne sommes pas ici simplement pour dévoiler un nouveau nom, mais pour annoncer une nouvelle ère. À partir de ce jour, nous opérons sous une nouvelle identité commune aux deux filiales SanlamAllianz Bénin », a déclaré le Directeur Général de SanlamAllianz Bénin, Edmond Bossou. Selon lui, « ce changement de marque n'est pas seulement un changement de nom, c'est le reflet d'une ambition renouvelée, d'une vision partagée et d'un engagement renforcé envers nos clients, nos collaborateurs ainsi que le marché béninois des assurances. »
Cette fusion s'inscrit dans une stratégie plus large de Sanlam, qui vise à intégrer le top 3 des parts de marché dans les pays où il est présent. Pour Allianz, cette alliance marque un retour dans certains pays africains qu'il avait quittés, comme le Bénin, le Burkina Faso, le Mali et le Togo.
« Le changement de nom vise à unir nos forces pour mieux vous servir, mieux servir nos clients. Ce changement est bien plus qu'une décision stratégique. C'est le fruit d'une ambition partagée entre deux leaders mondiaux des services financiers : Sanlam, premier assureur panafricain, et Allianz, un groupe mondialement reconnu pour son expertise et sa solidité financière. Les deux marques totalisent plus de 240 années d'existence et sont cotées en bourse », a ajouté M. Bossou.
La Directrice Générale de SanlamAllianz Bénin – Assurance Vie, Mariam Nassirou, a pour sa part souligné que l'objectif est de déployer une marque unique, garante d'une cohérence stratégique sur l'ensemble du continent.
« La transition vers SanlamAllianz marque une étape stratégique majeure dans l'histoire de notre compagnie. Elle symbolise la convergence entre deux géants de l'assurance pour créer un leader panafricain de référence, à la fois solide, innovant et tourné vers l'avenir », a-t-elle affirmé.
Au total, la fusion Sanlam-Allianz constitue une étape importante dans le paysage de l'assurance en Afrique, créant un acteur panafricain puissant et compétitif, prêt à relever les défis d'un marché en pleine croissance.
La compagnie entend aujourd'hui capitaliser sur les synergies du groupe pour proposer des produits innovants répondant à la demande croissante d'une clientèle de plus en plus exigeante, dans un marché fortement concurrentiel. « Cette alliance nous permet d'accroître la digitalisation de nos services, d'enrichir nos offres de produits en assurance vie et non-vie, et de renforcer notre présence dans toute la région, et particulièrement dans les départements du Bénin », a indiqué le directeur.