International standards and good practices concerning the human rights of armed forces personnel were the focus of an event, co-organized by OSCE Office for Democratic Institutions and Human Rights (ODIHR) and the European Organization of Military Associations (EUROMIL) in Riga on 7 June 2016.
The roundtable gathered representatives from military associations and unions, authorities, ombudsperson institutions and civil society organizations from Estonia, Finland, Germany, Latvia, Lithuania, Poland and Ukraine to discuss the state of the right of military personnel to form associations, and the necessary conditions to enable such associations to safeguard the rights of servicemen and servicewomen.
"For many years now, ODIHR has advocated for OSCE participating States to permit all members of the armed forces to join either professional associations or trade unions representing their interests," said Ewa Sapiezynska, Human Rights Officer at ODIHR. "These associations or unions should be consulted in discussions concerning the conditions of service for men and women in the armed forces."
Emmanuel Jacob, President of EUROMIL said: "The freedom of association is still limited for military personnel in some countries, for which reason EUROMIL member associations in Lithuania and Latvia asked for further support on this issue. With this roundtable meeting we hope to provide a platform for the exchange of ideas and best practises."
Discussions also included gender aspects related to service in armed forces.
"We discussed how servicemen and servicewomen benefit from forming trade unions and independent associations," said Jacek Zmarz from the Polish Council of Senior Officers. "The recruitment and advancement of women in the armed forces, as well as parental leave for both men and women in the military were brought to the table."
The event was organized as part of ODIHR´s programme on human rights, gender and security, which supports OSCE participating States in making their security sectors human rights compliant and gender responsive.
Related StoriesThe next meeting of the Subcommittee on Human Rights will take place on Wednesday 15 June 2016, from 9.00 - 12.30 and from 15.00 - 18.30 in meeting room PHS 4B001.
Representatives of NGOs as well as other organisations are requested to accede to the EU Transparency Register and follow the procedures therein for access to the European Parliament.Le président nigérian Muhammadu Buhari a embarqué lundi pour Londres, reconnaissant des problèmes de santé, mais il s’est voulu rassurant malgré l’annulation de plusieurs déplacements récemment.
« J’ai déjà dit aux Nigérians que je partais pour 10 jours pour faire examiner mon oreille », a-t-il déclaré aux journalistes au moment de monter à bord de l’avion présidentiel à Abuja, la capitale, avec son médecin personnel.
La présidence a annoncé dimanche soir que M. Buhari, 73 ans, avait « une otite persistante » et qu’on lui avait conseillé de consulter un otorhinolaryngologiste dans la capitale britannique, « à titre purement préventif ».
Le vice-président Yemi Osinbajo dirigera le pays en son absence, comme le prévoit la Constitution.
L’état de santé de M. Buhari fait l’objet de nombreuses rumeurs. Mais la présidence nigériane a toujours été très réticente à communiquer sur les maladies de ses hôtes par le passé.
L’ancien président Umaru Musa Yar’Adua est décédé dans l’exercice de ses fonctions en 2010, des suites d’une maladie des reins entourée du plus grand secret.
Au terme d’une période de flottement, son vice-président, Goodluck Jonathan, est devenu président par intérim.
L’ancien dictateur militaire Sani Abacha est également mort au pouvoir en 1998. D’une crise cardiaque, selon la version officielle, mais jusqu’à présent les rumeurs persistent quant à la cause exacte de son décès.
Un journaliste nigérian a fait remarquer lundi à M. Buhari que les Nigérians étaient particulièrement inquiets quand leurs présidents tombaient malade, au vu de l’histoire récente. Ce à quoi le chef de l’Etat a rétorqué: « Y a-t-il qui que ce soit qui ne tombe jamais malade? »
M. Buhari a annulé trois visites ces deux dernières semaines: Une à Lagos, la capitale économique, une dans le sud pétrolifère du pays, théâtre depuis le début de l’année d’une série d’attaques de rebelles, et un sommet de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao).
Il est aussi apparu affaibli lors d’un sommet sécuritaire à Abuja le 14 mai et lors d’une intervention télévisée pour le premier anniversaire de son accession au pouvoir, le 29 mai.
Il ne s’agissait assurément pas de l’enjeu électoral du siècle, tant l’élection partielle d’hier à Dunaújváros ne portait que sur le remplacement d’un membre démissionnaire de l’assemblée municipale. Chaque conseiller étant élu par quartier, le scrutin ne concernait même pas tous les électeurs de cette ancienne «ville socialiste modèle», autrefois bastion du MSzP. Pourtant, la victoire de la candidate Fidesz, Fruzsina Lassingleitner, a été précédée d’une agitation peu commune de la part des états major des partis, MSzP et DK en tête. Le premier refusant de se ranger derrière le second, la querelle fratricide n’a pu être évitée. Sentant les bénéfices qu’il pouvait tirer d’une telle division de son opposition, Viktor Orbán n’a pas hésité à s’impliquer personnellement dans la campagne, en promettant la semaine dernière près de 20 milliards de forints d’investissement public au service du développement de la ville.
Alors que le MSzP était persuadé de devancer DK, né d’une dissidence autour de l’ancien premier ministre Ferenc Gyurcsány, il se fait littéralement humilier en arrivant, avec 97 voix, quatrième derrière le Jobbik (199 suffrages). Avec 241 électeurs, DK parvient donc tout juste à se hisser à la deuxième place derrière le Fidesz (405 voix), lui permettant à la fois de marquer des points sur le leadership à gauche et de montrer qu’il peut mobiliser davantage que l’extrême-droite. Avec 84 votants, le parti écologiste de gauche PM montre quant à lui sa difficulté à s’installer en province, alors qu’il dispose d’une solide assise à Budapest. Alors que le Fidesz a essuyé de notables défaites lors de plusieurs scrutins partiels, cet embrouillamini au sein de la gauche a permis à peu de frais à Viktor Orbán de laver ces affronts.
Source : Népszava
The hearing focused on the plight of various minorities inSyria and Iraq and also on possible action to be taken by the internationalcommunity and the EU.
For the full press statement see below.