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Agrégateur de flux

Bruno Retailleau : « Nous voulons faire du texte une loi contre le chômage de masse »

Le Figaro / Politique - dim, 12/06/2016 - 18:30
INTERVIEW - Le patron des sénateurs LR défend la position de la droite concernant le projet de loi El Khomri, discuté en séance publique au Sénat à partir de lundi.
Catégories: France

Code du travail: la droite veut tout changer en 2017

Le Figaro / Politique - dim, 12/06/2016 - 18:00
Les candidats à la primaire tiennent unanimement pour responsable de la crise la méthode employée par Hollande pour réformer le marché du travail.
Catégories: France

Brexit : « La France a sa part de responsabilités dans le détricotage de l’UE »

IRIS - dim, 12/06/2016 - 16:28

La campagne en faveur du Brexit a si bien résisté, qu’elle est à égalité avec le camp du maintien dans l’UE. Pourquoi ?
D’abord parce que le camp du Brexit a joué sur le mythe de la grandeur du Royaume-Uni. Même si le petit-fils de Churchill appelle à voter pour le maintien de la Grande-Bretagne dans l’UE, ceux qui ont la nostalgie de l’époque de son grand-père, les personnes âgées, modestes, les gens les moins éduqués ont tendance à se mobiliser pour voter, contrairement aux jeunes et aux électeurs des milieux favorisés. Ensuite, parce que, comme en 2005 en France, les électeurs veulent profiter de ce référendum pour protester contre le leadership de David Cameron. Enfin, parce que la presse europhobe est majoritaire en Grande-Bretagne et qu’elle est lue par des millions de gens qui jouissent davantage d’un sentiment de supériorité en Afrique ou en Asie, là où l’ex-empire rayonnait, plutôt qu’en Europe où ils n’aiment pas être sur un pied d’égalité.

N’est-ce pas aussi parce que David Cameron a fait une mauvaise campagne ?
Après avoir fait un mauvais choix, celui d’organiser ce référendum, il a fait une très mauvaise campagne. Entre la nostalgie de l’empire que j’évoque, les rivalités de politique intérieure et les vrais enjeux de l’avenir de l’Union européenne, il aurait dû comprendre qu’à toutes ces interrogations on ne peut pas répondre par oui ou par non. En outre, après avoir négocié avec Bruxelles un mini-Brexit en cas de maintien dans l’UE, il a littéralement pataugé pour convaincre des conséquences néfastes d’un maxi-Brexit.

Ne craignez-vous pas qu’en cas de victoire du Brexit il y ait un effet domino dans les autres pays tentés par une sortie de l’Europe ?
Non, le risque est davantage celui d’un détricotage de l’UE et la France y a sa part de ­responsabilité. Elle a été le moteur de l’Europe depuis le 9 mai 1950 et la déclaration Schuman, mais elle a cessé de l’être après la victoire du non au référendum de 2005. Si à l’époque elle avait relancé une Europe à deux vitesses, le référendum britannique n’aurait peut-être pas été initié. Aujourd’hui, c’est à la France de refonder ces deux cercles : l’un autour de la zone euro vers plus d’intégration économique et politique, mais sans laisser tomber le second. Pour ceux qui ne peuvent ni ne veulent entrer dans le noyau dur de l’UE, il faudrait parfaire le marché unique et embellir le projet sur les valeurs afin que chacun se sente plus à l’aise dans la grande famille européenne.

Propos recueillis par François Clémenceau

Újvidék: Hétéves kislányt mart meg egy kutya

VajdaságMA (Szerbia/Vajdaság) - dim, 12/06/2016 - 16:27
Egy hétéves kislány és édesapja sérültek meg vasárnap délután Újvidék Köves városrészében, amikor egy sárhegyi kutya rájuk támadt, tudósít a 021 hírportál.

Euro-2016 : la vente d'alcool restreinte les veilles et jours de match après les violences à Marseille

France24 / France - dim, 12/06/2016 - 16:23
Au lendemain des graves incidents survenus à Marseille, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé dimanche l'interdiction de la vente d'alcool dans les "périmètres sensibles" les veilles et jours de match de l'Euro.
Catégories: France

Au Niger, après l’attaque de Boko Haram, l’urgence humanitaire

LeMonde / Afrique - dim, 12/06/2016 - 16:19
Les Nations unies appellent à une mobilisation internationale pour faire face à une crise grave et urgente dans la région de Diffa, à l’est du Niger.
Catégories: Afrique

Entretien avec le Député européen Antonio Panzeri : Questions en Syrie, sécurité en Europe et relations avec l’OTAN

EU-Logos Blog - dim, 12/06/2016 - 15:25

Le 23 Février 2016 a été une date importante pour la question de la crise syrienne. Ce jour-là, après un an de tentatives concrètes, les deux parties du conflit (les forces gouvernementales et la résistance) ont convenu d’un cessez-le-feu pour trouver une solution politique au conflit. Dans le même temps les deux puissances mondiales, les Etats-Unis et la Russie, ont également promis un effort pour assurer la trêve. Officiellement, le cessez-le-feu a commencé le 27 Février.

Dans ce conflit, l’Europe s’est fait remarquer pour son rôle humanitaire et politique, excluant toute intervention militaire. Cependant, déjà depuis les premiers jours de Mars, plusieurs pays voient la trêve comme une simple couverture et dans les faits dans les jours suivants, certaines des conditions imposées pour le cessez-le-feu avaient été brisées par les deux parties, en particulier par le gouvernement de Bachar el-Assad.

La question syrienne est fortement liée à deux événements qui ont secoué l’équilibre de la politique de défense de l’Union européenne. Le premier est la relation avec la Turquie, et les accords sur la question des migrants. Le deuxième événement est la conséquence du premier, à savoir la présence de l’OTAN dans la mer Égée: une OTAN qui sort des schémas du Traité de Washington pour renouveler sa propre identité. Dans son discours du 8 Mars à la Plénière à Strasbourg, Antonio Panzeri, membre du groupe des «Socialistes et démocrates» du Parlement européen a exprimé sa position sur l’accord UE-Turquie.

Le 2 mai, il a accepté de répondre aux questions sur les sujets mentionnés ci-dessus. L’objectif était de créer un dossier à partir des interviews, afin d’inspirer de nouvelles idées et articles. Ce qui suit est la transcription du corps de l’interview[1]:

En ce qui concerne le conflit syrien, et le rôle joué par l’Union européenne …. Pensez-vous que l’Europe devrait faire plus? Ou elle aurait pu faire plus? Quelles sont pour vous les politiques décisives que l’UE devrait mettre en place pour résoudre le problème en Syrie?

Oui, je suis conscient, et j’en suis convaincu. Je comprends tous les problèmes que l’Union européenne a, il y a 28 diplomaties, il est difficile d’exprimer une vision unifiée, et c’est la raison pour laquelle l’Europe ne peut pas jouer un rôle de premier plan. Nous ne pouvons pas nous targuer de pouvoir intervenir et solutionner le problème seul, et je ne peux pas faire endosser cette responsabilité aux dirigeants de la politique étrangère européenne parce que ce n’est pas dans la nature européenne. Nous devrions en appeler à la responsabilité de chaque Etat membre, qui devrait céder une partie de sa souveraineté, et ne pas se concentrer seulement sur ses propres intérêts. Je me demandais toujours pourquoi la France était si intéressée par la Syrie, et en effet c’est parce que la Syrie était une colonie française jusqu’en 1925, mais ce n’est pas une excuse. L’Europe aurait pu faire plus, et éviter de rester repliée sur elle-même.

La première chose à faire serait de parler d’une seule voix, et de forcer les Etats-Unis et la Russie à se mettre d’accord sur certaines choses, comme l’idée du cessez-le-feu, la construction du pays qui doit être basée sur l’intégrité et en soulignant la présence des sunnites et des Kurdes. Je ne parle pas de l’indépendance de la région kurde, car cela poserait des problèmes avec la Turquie, mais nous parlons de gestion efficace et d’un plan prévoyant une évolution durable.

Dans l’affaire syrienne, il y a des retards aussi en raison de l’absence d’un certain réalisme, il fallait procéder par étapes, et pas en mettant d’office deux fronts en opposition. Il y avait besoin d’une condition de transition qui devait également impliquer Assad. Par contre on a insisté sur le soutien des forces de l’opposition, jusqu’au moment où la Russie est intervenue, et elle a réussi à changer les cartes sur la table.

Vous parlez aussi d’une approche de «politique étrangère cohérente», qu’est ce que vous entendez quand vous parlez de cohérence? En quelle occasion l’UE n’a pas été cohérente?

La France et l’Angleterre influencent grandement la politique étrangère européenne en raison de leur ancienne vocation coloniale. Il y avait un diplomate anglais qui, en 1800, a déclaré que l’Angleterre n’avait pas d’amis ou d’ennemis pour toujours, elle n’avait que des intérêts, et le siècle après Charles De Gaulle a dit la même chose. On l’a vu aussi sur l’affaire libyenne. Si l’Europe veut jouer un rôle elle doit reconstruire un chemin unifié. Si elle ne peut pas le faire nous aurons beaucoup de discours, mais peu d’action.

L’UE est académiquement définie comme puissance normative, économique, civile… ceci me fait penser à la coopération militaire avec l’OTAN: la Grèce et l’Allemagne ont demandé de l’aide à l’OTAN et non à l’UE, l’UE ne sait-elle donc pas gérer la crise dans la mer Egée ?

Le processus d’élargissement de l’OTAN est l’un des problèmes que rencontre l’Union européenne. L’UE entretient des politiques et stratégies différentes de l’Alliance atlantique et ce chevauchement nuit à l’Union européenne: nous l’avons vu dans l’affaire de l’Ukraine. Je considère injuste de positionner l’OTAN à 200 km de Moscou, car ceci suscitera des réactions russes, au-delà des atrocités que Poutine a fait et va probablement de nouveau commettre. Toutefois, le fait est que nous ne pouvons pas être d’accord avec la politique de l’Alliance atlantique, mais nous avons besoin d’une politique de défense commune européenne qui ne se chevauche pas avec celle de l’Alliance atlantique.

Dans la Méditerranée centrale où est en cours l’opération Sophia, l’UE (compte tenu de toutes les dépenses et les différences dans la participation de chaque État) effectue un travail relativement effectif. Pourquoi l’Allemagne a-t-elle fait appel à l’OTAN et non à l’UE? L’Allemagne n’a pas confiance en l’Union? Elle demande de plus en plus de l’aide à l’Alliance atlantique, qui à mon avis, a perdu sa vraie raison d’être depuis 1989. Elle est née en opposition à l’URSS, mais après sa chute, l’OTAN a dû se réinventer. J’ai suivi ses politiques et les déclarations de Stoltenberg, et il parle toujours plus d’une OTAN préventive, ce qui est une contradiction parce que l’OTAN est née en tant que puissance défensive. Maintenant, on parle de l’OTAN par rapport aux mesures préventives prises contre la Russie. Et là, je comprends les difficultés structurelles de l’OTAN qui doit maintenant s’adapter: depuis 27 ans l’OTAN doit adapter sa politique étrangère et ses approches. Maintenant, elle a aussi commencé à apporter son soutien concernant la question des migrants.

Ceci est un discours complexe! En se référant à la question initiale, je pense qu’ils ont fait appel à l’OTAN car il est plus facile d’activer un service de l’OTAN qu’un service européen. La route de l’OTAN semble plus viable parce que la Grèce, l’Allemagne et la Turquie font partie de l’Alliance.

Il faut considérer deux processus. Le premier est l’élargissement de l’UE à partir du 2004. En 2004, il y avait deux doctrines qui se sont affrontées dans le monde: celle de Bush qui se fondait sur l’exportation de la démocratie par la guerre (cf la guerre en Irak), et celle de l’exportation de la démocratie à travers le processus politique adoptée par l’UE. Cependant, les pays du bloc soviétique avaient des ressentiments à l’égard de Moscou, et ces pays regardaient les États-Unis comme modèle, et non Bruxelles. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant des difficultés à éviter les chevauchements. La vieille Europe d’avant 2004 a été forgée après la Seconde Guerre mondiale et voulait instaurer la paix; les nouveaux arrivants sont entrés parce qu’ils avaient des problèmes économiques et sociaux et pour s’éloigner des velléités expansionnistes de l’URSS.

Et devant la crise actuelle nous avons pu constater ces différences. L’ancienne Europe faisait prévaloir un sentiment de paix, de solidarité, mais la nouvelle pose par contre des barrières en raison d’un certain manque d’idéalisme.

Pensez-vous que l’OTAN dans l’Egée puisse nuire l’Europe?

De mon point de vue, il peut y avoir un conflit, et l’UE devrait avoir une politique étrangère commune. Les Etats membres ont besoin de sortir de leurs contradictions. Je parle ici notamment des hot-spot et de Dublin.

La Turquie est membre de l’Alliance atlantique. Le 28 Avril il y a eu une réunion en séance plénière du Parlement européen, au cours de laquelle les élus se plaignaient de l’accord UE-Turquie. Les raisons sont multiples: manque de légitimité, l’inefficacité des Etats, les droits de visa. Les États membres ont été incapables de faire face à la question de la migration… Pourquoi l’UE a-t-elle réalisé que son accord avec la Turquie avait des défauts, elle ne pouvait pas s’en rendre compte auparavant ? Pourquoi la Commission et le Parlement ont-ils deux vitesses différentes?

Ceci est un accord voulu par l’Allemagne, qui entretient une relation ancienne avec la Turquie. Il suffit de regarder la composition interne de l’immigration en Allemagne. Maintenant, je ne sais pas qui ne s’est pas rendu compte des défauts de l’accord avec la Turquie, mais je faisais partie de ceux qui s’y sont opposés parce qu’il ne s’agit pas d’un pays fiable.

Les ONG sont parties de Turquie. Si l’UE donne de l’argent à la Turquie, cela signifie qu’elle veut cogérer le problème. Comment cet argent va-t-il être employé? Que va-t-il advenir des migrants ? Cet accord semble être une couverture pour le problème kurde. L’’accord comporte des résultats positifs, et que les flux migratoires ont ralenti. Pourtant, lors d’une interview sur la Libye j’ai dit que si l’on arrêtait le corridor des Balkans, on ouvrirait la Méditerranée.

A votre avis, compte tenu du fait que l’UE rencontre de plus ne plus de problématiques internes comme externes, est plein de problèmes, à commencer par le fait qu’il faut mettre d’accord 28 Etats souverains.

Au cours des 15 dernières années, nous avons manqué trois rendez-vous avec l’histoire.

Le premier est l’introduction de l’euro en 2001: nous avons imaginé que les choses pourraient être résolues par approximations successives.

Le second a été l’élargissement, nous en avons parlé: si nous ne faisons pas des politiques d’intégration économique et sociale, la situation, tôt ou tard, va éclater. Mais l’intégration n’a pas été faite pour rencontrer de telles résistances. Je ne sais pas, vous êtes jeune, mais en 2004, la discussion a été très forte sur le fait qu’il y avait une main-d’œuvre importante qui venait de ces pays.

Le troisième est le rejet du traité constitutionnel, lors du référendum français en particulier. A l’époque il y avait la peur du «plombier polonais»: sur les stéréotypes négatifs on construit le monde. Il y avait un recensement en France et il y avait 35 plombiers polonais, et c’est à cause de l’histoire du plombier polonais que le référendum a été perdu.

Un spécialiste français en matière de relations internationales français, politologue et géopoliticien, Dominique Moisi, conseiller de l’IFRI , estime que le monde est divisé en trois sentiments: celui de l’espoir (typique des pays forts), celui de la rancœur (typique des pays exclus), et celui de la peur. L’Europe se trouve dans le contexte de la peur, et cette peur a changé au niveau anthropologique les personnes, comme le montre leur comportement lors des élections. Aujourd’hui, si voter pour le populiste, le xénophobe est à la mode, c’est parce qu’il y a cette crainte. Il suffit de regarder ce qui est arrivé en Autriche : maintenant ils veulent élever les barrières dans le Brenner. Il manque une classe dirigeante européenne. Les classes dirigeantes sont plus orientées vers l’horloge électorale et les élections à venir que vers celle de l’histoire.

Maria Elena Argano

[1] Il n’est transcrit que la partie relative aux sujets mentionnés ci-dessus. L’Honorable Antonio Panzeri a marqué son accord avec la transcription de l’interview


Classé dans:Accords et politiques de coopération, RELATIONS EXTERIEURES
Catégories: Union européenne

Mali : les forces de l'ONU de plus en plus exposées

France24 / Afrique - dim, 12/06/2016 - 15:07
La Mission de l'ONU au Mali se retrouve de plus en plus exposée face à la recrudescence des attaques jihadistes dans le pays. À cela s'ajoute le manque d'effectifs et de matériels adaptés mais surtout de renseignement.
Catégories: Afrique

Demain lundi, 200.010 candidats vont à l'assaut du BEPC

24 Heures au Bénin - dim, 12/06/2016 - 15:00

Deux cent mille dix (200.010) candidats à l'examen du Brevet d'études de premier cycle (BEPC) entament dès demain lundi 13 mai, la composition sur toute l'étendue du territoire nationale. A la veille de cet examen, le Ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle Lucien Kokou a adressé un message de soutien à tous les acteurs intervenant dans le système, les candidats et parents d'élèves.
Lire le message du ministre

Catégories: Afrique

Les eaux-delà du Danube. Etudes d'ethnologie balkanique

Courrier des Balkans - dim, 12/06/2016 - 14:50

Après l'effondrement du Bloc soviétique, il a été beaucoup question des Balkans, que ce soit à travers l'image resurgie de la « poudrière » et des horreurs de la guerre, ou celle de cette « autre Europe » candidate à l'adhésion à « l'Union ». Mais le terme même de « Balkans » suscite des interrogations et controverses sur la définition, tant géographique que culturelle, qu'on en donne.
Dans ce livre, on a tenté de dissiper quelques stéréotypes en abordant la « question balkanique » par une approche (...)

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Catégories: Balkans Occidentaux

Bitcoin, a digitális pénz, arany, vagy mi is valójában…? Kérdőjelek a “pénzügyi önrendelkezés” sugárútján

Nagypolitika.hu - dim, 12/06/2016 - 14:30
A Bitcoinról szóló cikksorozatunk bevezető részében tisztáztunk néhány közgazdasági, gazdaság-pszichológiai alapkérdést, melyek szükségesek ahhoz, hogy érdemben gondolkodhassunk a digitális fizetőeszközről. Köszönet minden kedves olvasónak, aki Bővebben ...
Catégories: Biztonságpolitika

Megérkeztek Brüsszelbe az első aszfaltszámlák

Bruxinfo - dim, 12/06/2016 - 14:26
A magyar hatóságok múlt héten elküldték Brüsszelnek az első új kifizetési kérelmeket az aszfaltügyben zárolt kifizetési keret terhére. A Bizottság azonban a jelek szerint csak az összes elszámolás benyújtása után vonja vissza a kifizetések felfüggesztéséről szóló határozatot.

It’s their country they want back, not yours

Ideas on Europe Blog - dim, 12/06/2016 - 14:23

‘We want our country back!’ is the clarion cry of many who want Britain to leave the European Union.

But whose country do they want back exactly? Your country? My country? Or really, just their country?

Before we leave the European Union and possibly change our country forever, we need to have an idea what country we’d leave behind, and what country we’d get instead, if we vote for Brexit on 23 June.

Look carefully at those Tories who are running the ‘Leave’ campaign and calling for Britain to completely change direction outside the EU.

What could be their real motive?

Those leading Tories – Michael Gove, Boris Johnson, Iain Duncan Smith, Chris Grayling, John Whittingdale, Priti Patel and others – have in this campaign viciously attacked their own government and Prime Minister.

It’s been a nasty and sustained ‘blue on blue’ offensive.

Do they know what they’re doing?

Probably yes. The referendum presents for them a possible once-in-a-lifetime opportunity to win power for their style of right-wing Conservatism.

  • When they say, ‘Let’s take back control’, they really mean, ‘We want to take control’.
  • When they say ‘Bring back power from Brussels’, they really mean, ‘We want that power’.
  • When they say, ‘We want our country back’, they really mean ‘their’ country. The true-blue right-wing Tory Britain of the past that they sorely miss.

These Conservatives have taken a calculated but clever risk. They know that if the referendum results in Brexit, it will mean the end of David Cameron‘s premiership and those now in government who support his Remain campaign.

Then what?

There would be resignations and a new leader of the Conservative Party would be elected by the party’s membership.

According to YouGov, Boris Johnson would be front-runner by far to become Tory Leader.
On Brexit, we could have a new brand of Conservative government, with Boris Johnson as Prime Minister.

Another election would not legally be required until 2020.

The country we’d be ‘getting back’ on Brexit would be run by possibly the most right-wing Tory government anyone of us can remember.

Instead of our current alliances with Europe, we could be back to ‘Rule Britannia’ with orthodox Tory Eurosceptics as our new political masters. They could have uninterrupted power for almost four years.

Opposition? What opposition? Labour and Lib-Dems are in disarray.

If these Tory hopefuls get ‘their country back’ on Brexit, what could Britain become?

For an answer, take a close look at what these right-wing Tory Brexiteers stand for. Here are some brief examples:

Iain Duncan-Smith: Long-term Eurosceptic and former Tory leader, he was until recently the Secretary of State for Works and Pensions. The social policies he proposed were described by the European Court of Justice as ‘unfit for a modern democracy’ and ‘verging on frighteningly authoritarian.’

Michael Gove: He was last year appointed as Secretary of State for Justice, with a mandate to scrap the Human Rights Act – which might only be possible if Britain leaves the European Union. As Education Secretary, Mr Gove was widely criticised for his heavy-handed education reforms and described as having a “blinkered, almost messianic, self-belief.”

Boris Johnson: He’s the ‘poster boy’ of the Leave campaign and the likely new Prime Minister if Britain backs Brexit. His buffoonery and gaffes delight some, but horrify others. He once joked that women only go to university to find a husband. He has often dithered on big issues, wavering last year on whether to return to the House of Commons whilst still London Mayor. Some have criticised him for allegedly joining ‘Leave’ only because of the possible opportunity to become Prime Minister.

Priti Patel: She’s the Minister for Employment. In a pro-Brexit speech last month she said, “If we could just halve the burdens of the EU social and employment legislation we could deliver a £4.3 billion boost to our economy and 60,000 new jobs.” TUC General Secretary Frances O’Grady responded, “Leave the EU and lose your rights at work – that’s the message that even Leave campaigners like Priti Patel are now giving.”

Chris Grayling: He’s the Leader of the House of Commons and previously Lord Chancellor and Secretary of State for Justice. He provoked the first strike by barristers and solicitors for his cuts to legal aid. He backed reforms to curb the power of the European Court of Human Rights. He caused outrage with his comments that Christian owners of bed and breakfasts should have the right to turn away gay couples (he later apologised).

And waiting in the wings is UKIP leader, Nigel Farage who said he puts victory in the referendum above loyalty to his party. Mr Farage said he would back Boris Johnson to be Prime Minister if Britain votes for Brexit – and could see himself working for Boris’s government.

Imagine our current Tory government morphing into a new government consisting only of right-wing Eurosceptic Tories. With the softer pro-EU Conservatives disbanded because they lost the referendum.

A new Conservative government that wouldn’t be subject to the progressive rules and safeguards of the European Union – such as on workers’ rights, free movement and protection of the environment.

Then imagine that we might not have an opportunity to vote-out such a new government until 2020.

If you’re one of those who say ‘we want our country back’ – have a think about what country you’d be getting back if we left the EU, and who’d then be in charge.

Is the EU so bad, and the alternative so good, that we’d want to risk exchanging what we’ve got, for what we’d get?

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This article has now been published by The Independent newspaper:

You won’t ‘get back your country’ if you vote for a Brexit – you’ll give it to the most right-wing UK government in recent history

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Other stories by Jon Danzig:

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— Jon Danzig (@Jon_Danzig) June 12, 2016

 

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Catégories: European Union

Vote sur le génocide arménien: Erdogan s'enflamme contre le Bundestag

RFI (Europe) - dim, 12/06/2016 - 14:00
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a estimé que des députés allemands d'origine turque avaient le « sang corrompu », après le vote par le Bundestag d'une résolution reconnaissant le génocide des Arméniens qui a suscité l'ire d'Ankara. Ce qui a suscité de vives critiques de députés allemands et du président du Bundestag. Le ministère allemand des Affaires étrangères invite les parlementaires originaires de Turquie à ne pas se rendre dans ce pays.
Catégories: Union européenne

A National Endowment for Democracy (NED) támogatja a civil szervezeteket világszerte, amelyek demokratikus célok eléréséért dolgoznak

PAFI - dim, 12/06/2016 - 14:00
Minden évben a National Endowment for Democracy ( NED) közvetlen támogatásokat ad több száz civil szervezetnek világszerte, amelyek demokratikus célok eléréséért dolgoznak.
Catégories: Pályázatok

Political science students discuss youth participation in security policy development at OSCE-supported meeting in Bosnia and Herzegovina

OSCE - dim, 12/06/2016 - 13:12

NEUM, Bosnia and Herzegovina, 12 June 2016 – The OSCE Mission to Bosnia and Herzegovina (BiH) organized a two-day alumni meeting for over 20 students who attended the OSCE-organized Youth and Security Summer School when it was held for the first time last year. The peace and security studies students of the Universities of Sarajevo, Mostar and Banja Luka discussed current security challenges and ways to promote youth participation in the development of a comprehensive security policy for BiH.

“The meeting is an excellent opportunity for enhancing the knowledge and capacity of future security professionals. It provides a platform for them to actively participate in developing and implementing security policy,” said Jonathan Moore, Head of the OSCE Mission to BiH. “The recommendations they produced will be forwarded to the BiH Council of Ministers’ Inter-Ministerial Working Group on Monitoring and Implementation of Security Policy.”

Damjan Jugovic, student at the Faculty of Political Sciences in Sarajevo and member of the OSCE’s Youth Advisory Group said: “This is a chance for us to get more acquainted with the work of different security and intelligence agencies in BiH and support the co-operation between students from different universities.”

The students also expressed hope that affiliation with the summer school would help them in their future careers. “Having met peers from Mostar and Banja Luka, I realized that we all think alike. We want change and a better future. I am sure the practical knowledge we gained from the school will increase our chances for employment,” said Jovana Bilinac, student at the Faculty of Political Sciences in Sarajevo.

The main goal of the Summer School on Youth and Security of the OSCE Mission to BiH is to promote the development of democratic institutions through education of young security experts. The school provides a forum for them to discuss a wide range of security- and policy-related issues and increases their participation in political life as well as decision-making processes.

The organization of the alumni meeting was supported by the Hungarian Embassy in BiH. 

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Catégories: Central Europe

Euro 2016 : Sarkozy a quitté le stade de France... juste avant le but de Payet

LeParisien / Politique - dim, 12/06/2016 - 12:35
Nicolas Sarkozy a quitté le Stade de France vendredi avant la fin du match France-Roumanie, selon le JDD. D'après son entourage, c'était «pour éviter la cohue». Mais du coup, l'ancien chef de l'Etat a...
Catégories: France

Pologne : les militaires français ont du mal à regarder vers l’Est

Blog Secret Défense - dim, 12/06/2016 - 12:00
Alors que se déroulent cette semaine en Pologne les plus grandes manœuvres militaires alliées depuis un quart de siècle, la France est singulièrement absente.
Catégories: Défense

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