Transmettre les contes d'hier aux oreilles d'aujourd'hui. C'est le pari de Labari, une nouvelle application mobile disponible sur Android et iOS
Offrir au grand public l'accès à des contes et récits africains, des faits historiques et des témoignages, racontés en langues locales africaines et traduits en français, c'est la mission et le défis que Labari vient relever. Cette application est une une bibliothèque numérique vivante pour préserver et diffuser la richesse des histoires africaines.
L'application propose une navigation intuitive :
– écoute en ligne ou hors ligne,
– possibilité d'ajouter des contenus en favoris,
– téléchargement pour un accès sans connexion,
– découverte par thématiques (sagesse, coutumes, récits historiques, contes fantastiques, etc.).
Labari est disponible avec déjà plusieurs centaines de contenus disponibles, trois langues (Fon, Wolof et français), avec des traductions permettant de toucher un public élargi.
Une expansion rapide et ambitieuse.
Le projet est actuellement déployé au Bénin et au Sénégal, avec un lancement prévu d'ici la fin de l'année en Côte d'Ivoire et au Cameroun. Dès l'an prochain, une extension progressive visera d'autres pays africains.
Préserver une mémoire en danger
Selon l'UNESCO, une langue disparaît toutes les deux semaines dans le monde. Et avec elle, ce sont des récits, des savoirs et une sagesse ancestrale qui s'éteignent. Sur un continent qui compte plus de 2000 langues, l'urgence de la conservation est immense.
En rendant ces histoires accessibles aussi bien aux Africains qu'à la diaspora, Labari s'inscrit comme un acteur clé dans la préservation de la mémoire culturelle.
Une ambition mondiale
« Chaque langue, chaque conte, chaque témoignage est un fragment de mémoire collective », rappellent les fondateurs. Leur ambition est claire : faire de Labari la référence mondiale du patrimoine oral africain.
Alors, en un clic, téléchargez Labari, faite de lui un ami et vous l'aimerez
https://labari.io
Iréné AKAI MESSAN
Le gouvernement béninois à travers le ministère du Cadre de Vie lance l'organisation d'un concours direct de recrutement de cent quinze (115) fonctionnaires des Eaux, Forêts et Chasse au titre de l'année 2024 dont 95 gardes forestiers ; 10 controleurs et 10 conservateurs. Le dossier de candidature doit être soumis en ligne à l'adresse https://www.concours.dgefc.bj du 05 au 21 septembre 2025. Les épreuves sportives se dérouleront sur toute l'étendue du territoire national le 27 septembre 2025 dans les différents centres indiqués dans le communiqué.
L'un des cerveaux de l'incident meurtrier survenu à Banigbé-Sèdo, lors d'une opération de contrôle douanier, mercredi 3 septembre dernier, a été retrouvé mort dans sa cachette à Pobè, dans le département du Plateau. La Police poursuivant ses enquête a procédé à l'interpellation du chef de village de Banigbé-Sèdo.
Rebondissement dans l'affaire des violences meurtrières à Banigbé-Sèdo, dans la commune d'Ifanfgni. L'homme ayant aspergé d'essence le véhicule des douaniers n'est plus. Partiellement brûlé lors des incidents, il a succombé à ses blessures au cours d'un traitement indigène à Pobè. Après son décès, ses proches ont réquisitionné un véhicule pour le rapatriement de son corps au village. La Police aussitôt informée, s'est mise en branle. Selon La Nation, le corps est arrivé au village sans ceux qui l'ont accompagné. Craignant d'être arrêtés, les proches du contrebandier défunt ont tous pris la fuite. Le Procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Porto-Novo a ordonné que le corps soit saisi et mis sous scellé.
https://www.24haubenin.info/?Un-mort-et-un-vehicule-brule-a-Ifangni
La Police poursuivant ses enquêtes a interpellé le chef du village de Banigbé-Sèdo. Il est reproché à l'élu local de n'avoir pas bien coopéré avec la police en dénonçant les auteurs pour permettre à l'enquête de bien avancer. Son interpellation porte à six le nombre de suspects arrêtés dans ce drame occasionné par des contrebandiers.
F. A. A.