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Nicht in der Bequemlichkeit verharren!

Viele Chefs wehren sich gegen Homeoffice. Dabei kann es Bewegung in die Betriebe bringen - doch das wird offenbar gescheut.

Letzte Woche sickerten an die Presse Planungen der SPD für eine Gesetzesinitiative durch, mit der abhängig Beschäftige ein Recht auf Homeoffice verschafft werden soll. Eigentlich sollte die Gesetzesinitiative unnötig sein, denn Homeoffice bietet allseits nur Vorteile. Die abhängig Beschäftigten erhalten mehr Zeitautonomie und ersparen sich das oft zeitaufwendige und stressige Pendeln zum betrieblichen Arbeitsplatz. Das entlastet den Verkehr. Der Arbeitgeberseite eröffnen sich günstige Möglichkeiten, Produktivitätspotentiale zu erschließen.

Natürlich kann nicht jede Tätigkeit von zu Hause ausgeübt werden. Aber bei immerhin etwa 40 Prozent der Jobs wäre eine Tätigkeit von zu Hause aus möglich – zumindest gelegentlich. Tatsächlich arbeiten aber in Deutschland nur zwölf Prozent der Beschäftigten auch von zu Hause aus. Warum hat trotz der Vorteile nicht längst der Markt für eine stärkere Verbreitung gesorgt? Liegt hier „Marktversagen“ vor? Aber was ist der Markt? Er ist keine Zauberkraft, der die Menschen lenkt. Der Markt sind vielmehr die Menschen selbst und ihr Handeln. Es sind folglich immer bestimmte Interessen, Ziele und Rationalitäten im Spiel, die in der Summe keineswegs stets das bestmögliche Ergebnis für alle hervorbringen müssen.

Von denjenigen Beschäftigten, bei denen Homeoffice möglich wäre, aber bisher nicht praktiziert wird, weiß man, dass ein Drittel gar keine Berufstätigkeit von zu Hause aus will. Über deren Motive kann nur spekuliert werden. Vielleicht wollen sie Berufsarbeit und Freizeit strikt trennen. Vielleicht spielt auch eine Rolle, dass man den täglichen Kontakt zu Kollegen und Kolleginnen braucht; der Betrieb würde als ein kommunikativer Ort angesehen.

Ein Argument: Das war schon immer so!

Es liegt aber hauptsächlich an der Arbeitgeberseite, dass Berufstätigkeit noch wenig zu Hause ausgeübt wird. Über die Motive der Arbeitgeber hat der Bitkom, der Unternehmerverband der Digitalwirtschaft, versucht Klarheit zu gewinnen. Zwar wird einer jüngst veröffentlichten Umfrage zufolge unter den Mitgliedsfirmen relativ häufig und in zunehmenden Maße Heimarbeit zugelassen. Gleichwohl: Etwa 60 Prozent der Unternehmen sträuben sich dagegen. Von diesen gaben zwei Drittel an, dass Homeoffice nicht für alle Beschäftigten in Frage käme und im Sinne einer Gleichbehandlung deshalb niemand zu Hause arbeiten darf. Auf den ersten Blick scheint in diesen Unternehmen der Kommunismus eingezogen zu sein. Das wird aber gewiss nicht so sein, denn beim Einkommen dürfte es mit der Gleichbehandlung vorbei sein, denn der Chef verdient bestimmt mehr als die Sekretärin. Offenkundig wurde also nur ein Argument vorgeschoben.

Ein weiterer, von 55 Prozent der entsprechenden Unternehmen genannter Grund ist, dass Homeoffice „nicht vorgesehen“ sei. Das erinnert an den Beamtendreisatz der k. u. k. Monarchie: Erstens war es schon immer so, zweitens könnt‘ ja jeder kommen und drittens kann man da nichts machen. Ein weiteres vorgeschobenes Argument – aber interessant, wie manche Verantwortlichen in der deutschen Digitalwirtschaft denken. Häufig genannt wurde auch noch, dass ohne direkten Austausch mit den Kollegen die Produktivität sinken würden und dass die Mitarbeiter nicht jederzeit ansprechbar seien. Auch das muss Staunen auslösen, denn warum sollten gerade in dieser Branche moderne Kommunikationstechniken nicht bekannt sein.

Von einem Drittel der skeptischen Unternehmen wurde noch angeführt, dass die Arbeitszeit bei Heimarbeit schwer zu kontrollieren sei. Dieses Argument hat tatsächlich Gewicht. Denn natürlich kann die Leistung nicht mehr daran gemessen werden, wie lange die Beschäftigten im Büro sind. Stattdessen müssen für die Heimarbeit konkrete Aufgaben definiert werden. Das verlangt von den Vorgesetzten mehr Anstrengung – und wird manche von ihnen aus dem gewohnten Trott bringen. Wahrscheinlich wird eine Umorientierung bei der Leistungsbemessung auch unnütze Tätigkeiten oder betrieblichen Leerlauf aufdecken. Home-Office kann Bewegung in die Betriebe bringen, und das wird offenbar gescheut. Solche Bequemlichkeit ist auch eine Art von Rationalität – aber eine, die der modernen Arbeitswelt immer weniger gerecht wird.

Der Gastbeitrag von Karl Brenke ist am 5. März 2019 im "Der Tagesspiegel" erschienen. 


Infrastructures sportives : Signature de conventions-cadres entre le MJS et sept fédérations sportives

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 11:11

Des conventions-cadres ont été signées dimanche à Alger entre le ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS) et sept fédérations sportives portant sur l’exploitation et la mise à leur disposition de trois complexes sportifs dans le cadre de la préparation des athlètes d’élite en vue des prochains Jeux olympiques (JO) 2020 de Tokyo et des Jeux méditerranéens (JM) 2021 d’Oran.

Le document a été signé par le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab et les présidents des sept fédérations olympiques concernées, à savoir les luttes associées, la gymnastique, le karaté-do, le judo, l’haltérophilie, le tennis de table et le football. A ce titre, le ministre a affirmé dans son allocution que la signature de ces conventions se veut «une première étape dans la mise en oeuvre de la stratégie entreprise par le département de la jeunesse et des sports en ce qui concerne la prise en charge et la formation des jeunes talents ainsi que la préparation de l’élite nationale en vue des prochaines échéances dont les JO-2020 de Tokyo et les JM-2021 d’Oran». «C’est une première phase qui concerne sept fédérations sportives dont l’objectif est de leur faire bénéficier d’une préparation optimale au niveau de trois complexes sportifs : le Centre de jeunes talents en football à Sidi Bel-Abbès, le Centre régional de regroupement et de préparation des talents et de l’élite sportive à Tipasa et le Centre de regroupement des jeunes talents à Biskra», a précisé Hattab.

La deuxième phase de cette opération verra la signature de 14 conventions-cadres avec d’autres fédérations sportives olympiques dont le volley-ball, le tennis, le badminton, l’escrime, la boxe, la natation, le handball, le tir sportif, le cyclisme et la voile. Le ministre a également mis l’accent sur «l’obligation d’utiliser ces installations sportives et de prendre en charge les jeunes talents au niveau des fédérations», rappelant, à cette occasion, toutes les infrastructures sportives et juvéniles qui ont été réalisées à ce jour en Algérie dont le nombre s’élève à 7396, parmi lesquelles 13 centres de formation au plan national. De son côté, Mohamed Doumi, conseiller du ministre chargé des grands projets, a déclaré à l’APS que «cette convention-cadre comporte la mise à disposition de ces trois installations sportives au profit des fédérations olympiques qui seront dorénavant indépendantes dans leurs démarches en matière de formation et de préparation de leurs athlètes en vue des prochaines échéances».

«Les centres de Sidi Bel-Abbès et de Biskra seront orientés vers le football, en attendant la réalisation des centres de formation de la Fédération algérienne de football. Notre objectif est de doter les fédérations sportives de tous les moyens de préparation et de récupération nécessaires et permettre à l’athlète de se préparer dans les meilleures conditions», a dit Doumi. Le président de la Fédération algérienne de football, Kheïreddine Zetchi, a salué à cette occasion «les efforts consentis par le ministère de la Jeunesse et des Sports afin de permettre aux équipes de football de se préparer, pendant cinq ans, sans pouvoir dépenser le moindre centime, notamment à Sidi Bel-Abbès et Biskra, en attendant la réalisation de quatre centres de formation qui seront implantés à Tlemcen, Saïda, El-Tarf et Batna». Il a également remercié le ministre «qui vient à travers cette convention confirmer l’engagement des pouvoirs publics en matière d’accompagnement des clubs de football dans leur processus de préparation».

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Vidéo : Les jeunes Algériens n’ont plus peur de défier le pouvoir

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/05/2019 - 11:11
France24 - Malgré la peur d'éventuelles représailles, les jeunes Algériens sont décidés à contester, dans la rue et sur les réseaux...
Categories: Afrique

Lutte contre la toxicomanie : Plus de 3 000 jeunes ont suivi des cures de désintoxication en 2018 à Constantine

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 11:10

Plus de 3.000 jeunes ont suivi en 2018 des cures de désintoxication à Constantine aux centres de la cité Zouaghi Slimane et de la ville Ali Mendjeli, a indiqué dimanche le médecin-chef à l’hôpital psychiatrique de Djebel El-Ouahch, Dr. Nesrine Lakhel.

Ces jeunes ont été admis à l’hôpital psychiatrique de Djebel El- Ouahch avant d’être orientés vers les centres de désintoxication pour suivre des cures, a précisé Dr. Lakhel en marge d’une campagne de sensibilisation sur les dangers de la cigarette et de la drogue, organisée à l’occasion de la semaine maghrébine de la santé universitaire à l’université des sciences islamiques «Emir Abdelkader» portant sur le thème «la lutte contre la cigarette et la drogue en milieu estudiantin». Le nombre recensé des toxicomanes dans la wilaya de Constantine en 2018 a «considérablement augmenté» comparativement à 2017 où 2500 toxicomanes ont été signalés, a relevé cette praticienne, détaillant que sur 100 individus de différentes catégories d’âge et de classes sociales diagnostiqués toxicomanes, dix sont des femmes.

Dr. Nesrine Lakhel a rappelé que les étapes du sevrage passent d’abord par l’élimination des facteurs de dépendance à la drogue, avant d’arriver à la phase de traitement psychique et chimique qui demandent, a-t-elle souligné, «une grande volonté et une patience de la part du jeune en cure de désintoxication». Organisée par la Direction de l’animation et de l’amélioration du niveau des étudiants auprès du ministère de tutelle, en coordination avec la Direction locale de la santé et l’université hôte, la première journée de cette semaine de sensibilisation, qui devra se poursuivre jusqu’au 7 mars courant, a été animée par plusieurs médecins spécialistes en présence de nombreux étudiants. Des dépliants encourageant les étudiants, entre autres, à la pratique sportive et renseignant sur la gestion du stress ont été distribués aux présents au cours de cette première journée de la semaine maghrébine de santé universitaire.

La semaine maghrébine de santé universitaire est une manifestation annuelle qui a lieu dans les universités du Maghreb marquée par l’organisation de plusieurs activités portant sur un thème retenu. L’édition 2018 de cette semaine avait pour thème «La promotion du lavage des mains et du brossage des dents en milieu universitaire».

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Women’s Feature Service: Mapping the Struggles of Feminism in India

Africa - INTER PRESS SERVICE - Tue, 03/05/2019 - 11:08

Pamela Phillipose, who edited the Women’s Feature Service in New Delhi for almost six years. She stepped down in 2014.

By Shiwani Neupane
NEW DELHI, Mar 5 2019 (IPS)

Pamela Phillipose was editor of the Women’s Feature Service, the only syndicated news service in India with a gender perspective, for nearly six years, until she stepped down this year as editor in chief and director. She wore other hats for the publication as well, writing and photographing.

The service began operating in India when Anita Anand, the manager, moved its headquarters to New Delhi in 1991 to ensure that its focus stay on the developing world and that it become autonomous.

The service had gotten its start in 1978 as a UNESCO initiative in reporting on development issues and written by women journalists, based with the Inter Press Service (IPS) global news agency in Rome. www.ipsnews.net

Once it moved to India, it opened several bureaus around the world, publishing articles by Indian journalists and others for syndication about women’s issues on social, economic, political and health developments, but the bureaus eventually shut down because they could not raise enough money to keep going.

The service (www.wfsnews.org) now syndicates 250 to 300 articles a year and offers programs like international conferences on women-related topics to be self-sustaining. (Anand left in 2000.)

Phillipose started her journalism career in Bombay (now Mumbai) with The Times of India in the 1970s and later was associate editor for The Indian Express. She was awarded the Chameli Devi Jain prize for outstanding woman journalist in 1999 and the Zee-Astitva Award for Constructive Journalism in 2007.

She was an editor of a book, “Across the Crossfire: Women and Conflict in India” and has contributed to various anthologies, including “Memoirs From the Women’s Movement in India: Making a Difference.”

This interview, which touches on Phillipose’s career as a journalist and advocate as well as the increasingly precarious state of many women in India, was held last year by email and by Skype from New York to Phillipose in Delhi.

Q. Why did you leave mainstream media to join the Women’s Feature Service in 2008?

A. The Indian media had increasingly moved away from issues concerning a large section of population, which did not have a presence in the market, after the country began to liberalize its economy — a process that began in the mid-1980s but which peaked in the early ’90s. Dictated by the market, and the advertising sector in particular, the mainstream media began to shift their focus to consumers during the liberalization years.

This meant that many important tropes fell off the media map, including that of gender. This was one of the major reasons for me to consider making the move from The Indian Express, where I was in charge of the editorial pages, to the Women’s Feature Service, a features agency mandated to highlight gender concerns.

Q. You moved from The Times of India to The Indian Express and then to Women’s Feature Service, or WFS. How has the life of Indian women changed during your career?

A. I began my career in the mid-1970s with The Times of India in Bombay. In those days, newspapers were driven largely by politics. The Mathura rape case of the late 1970s and the mobilizations around it helped to make visible the larger theme of violence against women.

This, in turn, impacted positively on media coverage of women’s concerns, and the trend continued into the 1980s, which saw many legislative changes taking place.

After the economic restructuring of the 1990s, there was an unprecedented burgeoning of media presence and institutions — first within the print, then within television and over the last decade or so within the ICT [information and communications technology] and social media space.

All of this has impacted both the representation of women in the media and their presence within the media. In the 1990s, for instance, because women were the prime audiences for television, television serials attempted to consciously link women with the models of hyperconsumption and a neo-conservatism being promoted on television.

However, through it all, larger issues like societal biases — reflected in skewed sex ratios — and sexual violence, remained deeply entrenched within society.

The extent to which such violence, for instance, existed at the subterranean level was evident in the regular recurrence of violence, as evidenced in the murder and rape of Thangjam Manorama in Manipur [2004] or in the Delhi gang rape [2012].

So, while many positive changes, vis-à-vis women, did take place, including universal primary education, rising legal literacy and reservations for women at the level of local government, women in India continue to face serious challenges, including those determined by their caste and religious backgrounds.

Q. India has received a lot of news coverage in at least the last year for the occurrence of multiple gang rapes in the country. This has led to multifaceted conversations worldwide about the state of women in India. Have these conversations helped shed light on women’s rights and concerns, a mission of the Women’s Feature Service, or have the rapes complicated the situation for women further?

A. These are complex issues that require comprehensive answers. Quickly, though, I would like to point out that the Justice Verma Committee Report was a positive outcome of the mobilizations around the Delhi gang rape of December 2012 because it put on the table many issues like marital rape and assaults on women in conflict situations.

Those mobilizations also saw the enactment of the Criminal Law (Amendment) Act 2013, which mandated the compulsory filing of First Information Reports in police stations, something that was neglected earlier, and the criminalization of various kinds of attacks on women, including stalking, acid attacks and stripping.

Q. How do you balance your advocacy work on women’s rights in India with journalism?

A. I believe an important part of journalism is advocacy. In a country like India, where the well-being of an increasing number of people is being threatened, directly and indirectly, by reversals of all kinds, ranging from the food and environmental crises to global recessions, there is space for a more people-centric definition of journalism.

We need more than ever media practitioners who travel beyond the confines of privileged enclaves, leaving behind the “big spenders” of metropolitan India, to tell their stories. We need media practitioners who have the knowledge, capacity and technological ability to communicate on the real issues of our times and speak truth to power in compelling ways.

It is important for journalists to use their abilities of description, their sense of empathy, their access to information and their understanding of the power of words, to tell their stories.

Q. What advice would you give to the prime minister of India, Narendra Modi, about effective legislation to protect women’s rights? Do you think, for example, that a separate coach for women in a train is necessary?

A. It is imperative that the Modi government ensures that the rising tide of intolerance and communalism in the country is addressed urgently. Communalism and communal violence adversely affects women disproportionately, as we saw in the Gujarat riots of 2002.

One piece of legislation — the Women’s Reservation Bill, providing for a 33 percent quota for women in Parliament and the state legislatures — has been pending since 1996 because of opposition from male Parliamentarians.

The Modi government would do well to pass that law urgently. We also need other laws presently considered too radical for Indian society — like a matrimonial law and a law to outlaw marital rape.

Q. The Women’s Feature Service has reported on women in conflict zones. You also co-edited a book reporting on conflict, titled “Across the Crossfire: Women and Conflict in India.” What is it about women in conflict zones interests you? Why is it important to focus on women in these circumstances?

A. Women and children, as we know, are the worst affected when conflict-driven violence breaks out, since the responsibility of keeping families going falls on them. However, they hardly matter in peace negotiations and their concerns are not adequately reflected in the drawing up of the architecture of the post-conflict scenario.

Another major concern is that they are extremely vulnerable to sexual attack and assault in times of conflict. This is why I would also advocate the striking down of a repressive law like the Armed Forces Special Powers Act, presently in the statute books, which gives the military sweeping powers to treat citizens in disturbed areas with complete impunity.

* Founded in 2011, PassBlue is a project of the New School’s Graduate Program in International Affairs in New York and not tied financially or otherwise to the UN. PassBlue is a member of the Institute for Nonprofit News.

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Excerpt:

Shiwani Neupane is a writer for PassBlue*, which provides in-depth coverage of the UN and women’s issues.

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Video einer Ausschusssitzung - Montag, 4. März 2019 - 15:08 - Ausschuss für auswärtige Angelegenheiten

Dauer des Videos : 150'
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Haftungsausschluss : Die Verdolmetschung der Debatten soll die Kommunikation erleichtern, sie stellt jedoch keine authentische Aufzeichnung der Debatten dar. Authentisch sind nur die Originalfassungen der Reden bzw. ihre überprüften schriftlichen Übersetzungen.
Quelle : © Europäische Union, 2019 - EP
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Video of a committee meeting - Monday, 4 March 2019 - 17:38 - Committee on Development - Committee on Foreign Affairs

Length of video : 25'
You may manually download this video in WMV (294Mb) format

Disclaimer : The interpretation of debates serves to facilitate communication and does not constitute an authentic record of proceedings. Only the original speech or the revised written translation is authentic.
Source : © European Union, 2019 - EP
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Lettre et engagements du candidat Abdelaziz Bouteflika : Satisfecit de la majorité, doutes chez l’opposition

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 11:04

Houria Moula

Les engagements pris par le président Abdelaziz Bouteflika dans le message qui a accompagné le dépôt de sa candidature à sa propre succession a fait réagir la classe politique.

Incontestablement, le contenu du message, lu par le directeur de sa campagne électoral, Abdelghani Zaâlane, ne pouvait laisser indifférent, compte tenu des annonces faites, notamment l’organisation d’une élection présidentielle anticipée, la révision constitutionnelle par référendum populaire et le mécanisme indépendant d’organisation des élections… Le message a eu un accueil plutôt mitigé au vu des critiques, parfois acerbes, qu’il a suscitées de la part de certains opposants, particulièrement ceux qui avaient l’intention de prendre part au scrutin présidentiel d’avril prochain, alors qu’au sein des partis de l’Alliance présidentielle, l’on se félicitait du contenu du message.

Une « réponse » aux manifestations
Du côté des partis du pouvoir, l’heure est à l’expression de la satisfaction suite à la lettre du président-candidat. C’est ainsi que le FLN a indiqué que la lettre du Président constituait «une feuille de route claire en réponse aux réclamations du peuple, notamment aux jeunes ». Pour le parti majoritaire, « les engagements pris par le Président dans sa lettre au peuple algérien démontrent, par son contenu et ses dimensions, la lecture juste et saine des revendications légitimes exprimées par les citoyens par des manifestations organisées à travers le pays ».
Dans un communiqué diffusé hier, l’ex-parti unique est revenu sur la conférence nationale inclusive promise par Bouteflika. Une conférence qui représente « une sécurité pour l’avenir du pays » et qui, de son point de vue « sera basée sur un débat profond de société, constituera une occasion unique dans l’histoire politique du pays et un virage décisif ».

Cette conférence, ajoute le FLN,  «vise à atteindre un consensus national concernant les réformes que notre pays doit suivre, dans le cadre d’une nouvelle Constitution qu’approuvera le peuple par voie référendaire». «Elle concrétisera la naissance d’une deuxième République», soutient le parti. Même réaction chez le parti du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, qui n’a pas tardé à se féliciter des engagements pris par le chef de l’Etat. Le RND a réagi en exprimant «sa satisfaction du contenu de la lettre du moudjahid Abdelaziz Bouteflika». Un message qui constitue «une confirmation de l’écoute du moudjahid Abdelaziz Bouteflika, en toute fidélité, des voix des citoyens ayant exprimé des revendications de changement». Bouteflika, explique le RND, «s’est approfondi dans les réformes annoncées le 10 février». Les engagements pris pour la conférence nationale et une présidentielle anticipée reflètent, d’après lui «des réponses claires aux revendications des citoyens». Le RND espère enfin que cette lettre «contribuera à apaiser les esprits pour que le pays puisse avancer vers le rendez-vous électoral du 18 avril dans la paix et la stabilité».

Interrogations et mises en garde
Du côté des partis de l’opposition, Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), qui animait hier une conférence de presse, a appelé les partisans de la continuité à «libérer le chef de l’Etat». Un véritable pavé dans la marre préélectorale ! Mme Hanoune a préféré s’adresser d’emblée, à «ceux qui parlent et qui décident au nom du président de la République» et qui «ont osé présenter son dossier de candidature au mépris de la volonté clairement exprimée du peuple contre le 5e mandat et pour le départ du système». La patronne du PT, qui dit avoir «pris acte» de la lettre, parle d’une «provocation», demandant carrément d’«annuler la présidentielle du 18 avril» et de «laisser le moudjahid Abdelaziz Bouteflika quitter le pouvoir paisiblement aux risques d’aggraver encore la situation».

Le RCD a, pour sa part, dénoncé ce qui semble être pour lui un contournement des propositions de l’opposition. «La lettre lue par le directeur de campagne du chef de l’Etat, spoliant l’opposition de son projet pour mieux le pervertir, résonne comme une insulte de plus, une insulte de trop à l’intelligence collective du peuple algérien», a indiqué le parti dans un communiqué, doutant de la capacité de Bouteflika à tenir les engagements pris. Le RCD considère que «la mobilisation exemplaire appelle et exige l’écriture d’une nouvelle ère». Plus critique, Ali Benflis, qui a décidé de ne pas se présenter à la course quelques heures avant la fin du délai de dépôt des dossiers, n’a pas caché ses doutes quant à la paternité du Président de ladite lettre.

Dans une réaction écrite rendue publique, pour Ali Benflis, ce message «est, au fond comme dans la forme, un nouveau défi inacceptable et une provocation supplémentaire inqualifiable». L’ancien chef de gouvernement estime que le peuple algérien «attendait une réponse sans ambiguïté et sans louvoiement à ses demandes». Hélas, a-t-il regretté, «il n’a eu droit qu’à la répétition d’anciennes promesses non tenues depuis vingt ans». Aux yeux du président de Talaie El Hourriyet, les manifestations nocturnes constituaient d’ores et déjà une réponse.

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Makri, hier lors d’une conférence de presse à Alger : : «La lettre du Président est une photocopie de notre initiative»

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 11:03

NADIA BELLIL

Abderrezak Makri, président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), a animé une conférence de presse, hier à Alger. Intervenant au lendemain du dépôt du dossier de candidature du président de la République au Conseil constitutionnel, Abderrezak Makri a réagi au contenu du message présidentiel, soutenant que l’initiative de consensus national proposée par le MSP est la même proposition qu’a adoptée le Président dans sa lettre de candidature à la présidentielle d’avril prochain.

«On va publier prochainement le document qu’on a officiellement envoyé à la présidence de la République», a-t-il indiqué, avant de préciser que «la lettre du président de la République est une photocopie de notre proposition». Makri s’est aussi exprimé sur le fait que le dossier de candidature du Président n’ait pas été déposé par lui-même. Il s’agit pour lui «d’une autre provocation parmi tant d’autres». Revenant sur les conditions de retrait de sa candidature de la course pour la présidentielle, Makri a expliqué que «Madjliss echoura n’avait pas pris initialement la décision de retrait de ma candidature».

«Croyez-moi, quand on est rentré en réunion, personne ne savait qu’on allait prendre une telle décision», a-t-il lancé à l’adresse de l’armada de journalistes présents à sa conférence. «Ce n’est qu’au cours des débats qu’il est apparu que 60 % du Madjliss echoura ont choisi d’écouter la rue et les préoccupations des citoyens». «La candidature du Président est celle du statu quo et de l’immobilisme», a-t-il lancé, avant d’estimer que s’ils voulaient réellement provoquer des réformes, ils l’auraient fait depuis vingt ans. Selon le premier responsable du parti, la gestion des vingt dernières années «n’a pas été satisfaisante, on se demande à quoi servira un autre mandat».

«On ne peut pas croire à la volonté d’un quelconque changement pour le meilleur par les mêmes personnes qui ont maintenu le statu quo». Aussi, et tout en soulignant que son parti «est une formation novembriste, attachée au pays», Makri dira : «Le MSP se met du côté de la population et de ses revendications. Le peuple souhaite un changement radical dans notre pays et c’est ce à quoi nous avons de tout temps appelé. Nous voulons au même titre que les Algériens sortir l’Algérie de la crise et la mener vers le futur rêvé.»

A son avis, «il ne suffit pas d’arriver au pouvoir, mais il faut instaurer une bonne gouvernance. Il est évident qu’il est compliqué de passer d’un système autoritaire à un système démocratique». Revenant sur le choix du «consensus national», Makri a fait observer que «nous voulions mettre en application les normes universelles de la bonne gouvernance, à commencer par l’instauration d’un système basé sur la légitimité, la transparence et la séparation des pouvoirs».

«Nous sommes novembristes, nationalistes et démocrates», a-t-il lancé. Avant de faire observer : «Nous avons une expérience de plus de 40 ans dans l’action politique. Les partis destinés à prendre le pouvoir sont ceux qui ont un long parcours et des traditions politiques.»

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Selon Abderrahmane Mebtoul : Les partis politiques sont hors-jeu

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 11:03

Farid Messaoud

Abderrahmane Mebtoul, professeur des universités, expert international, estime, dans une longue analyse, que les partis politiques, toutes tendances confondues, n’ont joué aucun rôle dans la mobilisation citoyenne de ces derniers jours. Pour lui, la confusion qui règne actuellement dans le mouvement associatif national rend difficile l’élaboration d’une stratégie visant à sa prise en charge et à sa mobilisation.

Il ajoute : «Sa diversité, les courants politico-idéologiques qui le traversent et sa relation complexe à la société et à l’Etat ajoutent à cette confusion et rendent impératif une réflexion urgente autour de sa restructuration.» Cela reflète, selon lui, les grandes fractures survenues dans le système politique national. Et de poursuivre : «Nous avons une société civile ancrée franchement dans la mouvance islamiste, certains segments étant l’appendice de partis islamiques légaux. Nous avons une société civile se réclamant de la mouvance démocratique, faiblement structurée, en dépit du nombre relativement important des associations qui la composent, et minée par des contradictions, par problèmes de leadership.»

Mebtoul explique également que nous avons une société civile « informelle », « inorganisée », « totalement atomisée », mais formant un maillage dense. Relevant que sans une intégration intelligente de la sphère informelle, non pas par des mesures bureaucratiques autoritaires, mais par l’implication de la société elle-même, il ne faut pas compter sur une réelle dynamisation de la société civile. Pour lui, la forte mobilisation du 22 février et du 1er mars implique d’analyser les aspirations de la société civile. Force est de constater, dit-il, qu’elle est éclatée et que, contrairement aux idées du passé, même certaines confréries religieuses qui, avec la désintégration sociale et une jeunesse branchée, ont de moins en moins d’impacts contrairement à une vision du passé.

Au moment où le monde connaît des bouleversements politiques, sociaux et économiques, et où l’Algérie est interpellée pour de véritables réformes démocratiques, une des conditions d’un développement harmonieux et durable face à l’implacable mondialisation, l’on doit rendre un grand hommage, poursuit-il, à nos forces de sécurité, qui ont su gérer de manière moderne ces manifestations, et à notre jeunesse (qui n’a pas connu le drame des années 1990, voulant un changement) pour sa maturité politique et pour les marches pacifiques organisées.

Les enjeux actuels et futurs des réformes passent, selon lui, par une évaluation de l’environnement politique, économique, social, par une identification des acteurs internes et externes impliqués dans le processus des réformes, par une analyse des stratégies développées ou qui risquent d’être développées par les acteurs hostiles… Abderrahmane Mebtoul estime qu’il y a urgence à agir, en mettant en place une collaboration étroite entre partis politiques, associations et, de manière générale, toute la société civile, l’administration, dont les walis, les entreprises publiques et privées, les collectifs des travailleurs, les syndicats, en aplanissant par le dialogue et la concertation les divergences des uns et des autres.

De même qu’il y a nécessité, a-t-il souligné, de concilier objectifs stratégiques, intérêts individuels et intérêt collectif, en expliquant que le pays aura tout à gagner en faisant aboutir les réformes et que les gagnants à moyen terme seront plus nombreux que les perdants à court terme. Et, dernier élément, une communication intelligente et active est fondamentale pour les faire aboutir.

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Nem bírt leállni a csókolózással a Trónok harca két fiatal színésznője, kiakasztották a stábot

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Tue, 03/05/2019 - 11:00
A Sansa Starkot alakító Sophie Tuner és az Arya Starkot megszemélyesítő Maisie Williams azzal viccelték meg a rendezőt, hogy teljesen random szituációkban kezdtek csókolózni a kamerák előtt.

Peines confirmées pour le crime de Frasses

24heures.ch - Tue, 03/05/2019 - 11:00
Un ressortissant italien d'origine kosovare avait été abattu en 2013. Le Tribunal fédéral vient de confirmer les condamnations des auteurs des faits.
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Őrizetbe vették Prágában a szerbiai magyar bérgyilkost

Biztonságpiac - Tue, 03/05/2019 - 10:59
Őrizetbe vették pénteken Prágában Dér Csaba csantavéri születésű bérgyilkost, aki ellen három ország is elfogatóparancsot adott ki.

A férfi, akit több bérgyilkossággal is gyanúsítanak, legutóbb a Belgrád melletti Banovo Brdóban lőtte le január 5-én Nebojsa Markovicot fényes nappal. A szerb rendőrség közleménye szerint Szerbia kérni fogja a gyanúsított kiadatását.

A letartóztatott Dért több állam is körözi, európai elfogatóparancsot adtak ki ellene. Feltételezések szerint több egyelőre megoldatlan gyilkosság is fűződik a nevéhez. Hollandiában, Budapesten, legutóbb pedig Belgrádban gyilkolt. Szerbiai lapértesülések szerint Markovic meggyilkolásakor tévedés történhetett, az áldozat ugyanis Aleksandar Saracnak, a hírhedt Pink Panther bűnbanda tagjának a sógora volt. Ezért azt gyanítják, hogy valójában nem ő volt a kiszemelt célpont.

A 39 éves Dér 2018. június 30-án Amszterdamban egy vendéglő teraszán lőtte agyon a horvát származású, de holland állampolgársággal is rendelkező Ivan Serdusicot. Az áldozat kábítószerekkel kereskedett, de egy nagyobb értékű szállítmányt lefoglalt a rendőrség, és feltehetően az így keletkezett adóssága miatt kellett meghalnia. A biztonsági kamerák rögzítették a gyilkosságot, de Dér DNS-mintáit is megtalálták a tetthelyen. Budapesten 2018. szeptember 20-án egy kétes hírnevű vállalkozóval, V. Lászlóval végzett egy parkolóban. A férfit térdre kényszerítette, majd fejbe lőtte.

Dér korábban is volt már őrizetben gyilkosság miatt. 2004. május 11-én Újvidéken Branislav Jelacicot, a Firma bűnbanda egyik tagját lőtte agyon a helybeli Marina vendéglőben vitás kábítószerügyek miatt. Akkor 15 évre ítélték, de 13 év után szabadlábra helyezték. Néhány hónappal azt követően, hogy kijött a börtönből, 2017 szeptemberében Szarajevóban fogták el. Fegyver volt nála, és azt feltételezték, hogy gyilkosságra készült. Alan Kozart, a bári bűnbanda vezetőjét kellett volna megölnie a gyanú szerint.

Hírek szerint korántsem biztos, hogy ennyi Dér bűnlajstroma. Feltételezhető, hogy más olyan gyilkosságok is hozzá köthetők, amelyeknek elkövetőit egyelőre nem sikerült felderíteni. A szerb sajtó szerint Dér kisstílű tolvajból vált a Balkán egyik legtöbbet foglalkoztatott bérgyilkosává. A gyilkosságok közti időszakokban Dér luxuséletet élt, jachtokon pihent, drága gépkocsikat vezetett, edzőtermekbe járt.

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Tentative manquée d'incendie au domicile privé de Talon

24 Heures au Bénin - Tue, 03/05/2019 - 10:59

La résidence privée du chef de l'Etat, sis au quartier Azali dans la commune de d'Abomey aurait été la cible d'un vandalisme manqué ce dimanche 03 mars 2019. Selon les informations, des individus non identifiés auraient essayé de mettre feu à la construction avec de l'essence.
Après l'échec de l'opération, le domicile a été placé sous haute surveillance policière depuis ce dimanche.
Une serait présente dans la maison au moment des faits
Pour le moment, les motifs de cet acte de vandalisme et les auteurs ne sont pas encore connus.
Cette manœuvre pourrait être liée aux agissements de certains individus qui voudraient manifester leur colère suite à l'invalidation de certaines listes de l'opposition pour dossiers incomplets dans le cadre élections législatives.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Nouvelles marches des étudiants

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 10:57

Feriel Nourine

Les «mesures d’apaisement» annoncées par Abdelaziz Bouteflika dans sa lettre, lue après le dépôt de sa candidature à la présidentielle par son directeur de campagne, n’ont pas dissuadé les jeunes de sortir à nouveau dans la rue pour exprimer leur désir de changement.

Après les manifestations nocturnes qui ont suivi, dimanche, le dépôt de candidature, le pays s’est réveillé hier avec de nouvelles marches dans plusieurs régions du pays, notamment chez la communauté universitaire qui avait déjà marché dans la matinée de dimanche. A Alger, des étudiants ont occupé le centre-ville, de la place des Martyrs à la rue Didouche-Mourad. Des files de voitures et scooters sillonnaient même les rues à coups de klaxon. Un important dispositif sécuritaire a été d’ailleurs déployé dans la capitale, mais le caractère pacifique des marches a fait que peu d’affrontements.

A Béchar, des centaines d’étudiants venus des différentes facultés de la wilaya se sont rassemblés devant l’université Tahri-Mohamed, avant de marcher dans les rues de la capitale de la Saoura, encadrés par des agents de l’ordre, en scandant «Algérie libre et démocratique», appelant au «changement nécessaire». Les Algériens «n’ont pas demandé des réformes qui ont pour but de maintenir le pouvoir en place», nous dira un étudiant en colère. Pour leur part, les enseignants affiliés au Cnes préparent une protestation pour aujourd’hui, inscrite, elle aussi, dans le même cadre.

Les étudiants d’Oum El Bouaghi ont, eux aussi, organisé une manifestation pacifique scandant haut et fort «silmia, silmia» et accompagnée de youyous. La veille, de nombreux citoyens du chef-lieu de wilaya avaient déjà battu le pavé pour rallier la place Zabana (esplanade de la Cnas) et manifester avant de se disperser dans le calme. A Bordj Bou-Arréridj, le dépôt, dimanche, de la candidature de Bouteflika au Conseil constitutionnel a rapidement été suivi par une manifestation dans la rue, qui a vu une grande foule sillonner les artères de la ville jusqu’à une heure tardive de la nuit.

Dans la même journée, les étudiants et des avocats de Bordj Bou Arreridj avaient déjà manifesté à travers une marche, pour les premiers, et un sit-in pour les seconds. La communauté universitaire de Sétif est revenue, elle aussi, à la charge, après les manifestations de mardi et dimanche derniers. Plusieurs centaines d’étudiants et d’enseignants des universités Ferhat-Abbas (Sétif 1) et Dr Mohamed-Lamine-Debaghine (Sétif 2) ont, de nouveau, marché en direction du siège de la wilaya, au cœur du centre-ville et scandé des slogans hostiles au système en place.

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Les Nations Unies examinent le Pacte de Marrakech

24 Heures au Bénin - Tue, 03/05/2019 - 10:51

Le Pacte de Marrakech sur la migration a fait l'objet la semaine écoulée, d'un examen à l'Assemblée générale des Nations Unies pour sa mise en œuvre.

A l'ouverture du débat consacré aux migrations internationales et au développement, la présidente de l'Assemblée générale, Maria Fernanda Espinosa, a déclaré que l'engagement des Nations Unies aujourd'hui porte désormais sur la mise en œuvre du Pacte mondial sur les migrations. Elle a annoncé avoir nommé les représentants permanents du Bangladesh et de l'Espagne en tant que co-facilitateurs du processus visant à déterminer les modalités du « Forum d'examen des migrations internationales », qui sera chargé du suivi de la mise en œuvre du Pacte de
Marrakech.
Selon la présidente de l'Assemblée générale, une participation « active et constructive » des États à ce processus est essentielle « afin que nous puissions mettre en place un mécanisme souple et efficace de suivi et d'apprentissage » de l'application de ce Pacte mondial. Selon Maria Fernanda Espinosa, plusieurs pays ont déjà commencé à faciliter l'échange de bonnes pratiques pour l'application du pacte. Elle exhorte les États à mettre à disposition de meilleures données et des informations rigoureuses, fondées sur des preuves reflétant la réalité des migrations.
La présidente de l'Assemblée générale a également émis le vœu que les échanges dans le cadre de ce débat, puissent contribuer à rendre visibles le lien et l'interdépendance entre les migrations internationales et le développement durable. « Nous ne pourrons atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) si nous n'incluons pas de manière exhaustive les migrants », a-t-elle indiqué.
Etant donné que l'objectif 10.7 des ODD est de faciliter une migration sûre, régulière et responsable, appelant à la mise en œuvre de politiques de migration planifiées et bien gérées, la présidente de l'Assemblée générale déplore ces dernières années les mouvements migratoires ayant causé des milliers de morts. A cet effet, il est essentiel, selon elle, d'inclure les migrants dans les politiques et actions visant à élargir l'accès à une éducation de qualité, à la santé, au logement et aux services de base, mais aussi à la construction de sociétés pacifiques et inclusives.
Pour Maria Fernanda Espinosa, réaliser les ODD dans tous les pays et régions permettra de minimiser les facteurs défavorables à l'origine des migrations, ce qui constituera selon elle, le meilleur outil de prévention des migrations.
L'Assemblée générale de l'ONU avait adopté, le 19 décembre dernier, une résolution endossant le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, baptisé « le Pacte de Marrakech sur la migration ».

F. Aubin AHEHEHINNOU

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17 000 első szavazó adhatja le voksát az elnökválasztáson

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Tue, 03/05/2019 - 10:50
A márciusi köztársaságielnök-választás első fordulójában 4 450 000 polgár jogosult a szavazásra. Közülük 2 310 000 nő és 2 140 000 férfi.

Washington ferme son consulat général auprès des palestiniens: Les promesses de Donald Trump

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 10:41

Par Chaabane BENSACI

Ainsi, la boucle est-elle bouclée puisque les Etats-Unis deviennent aujourd’hui la seule grande puissance à ne disposer d’aucune représentation diplomatique consacrée auprès des Palestiniens.

Dans le sillage de la reconnaissance controversée du président américain Donald Trump d’El Qods comme capitale d’Israël, les Etats-Unis ont annoncé, hier, la rétrogradation du niveau de leur représentation diplomatique auprès des Palestiniens. Le consulat général américain à El Qods-Est qui avait rang de représentation diplomatique auprès de l’Autorité palestinienne, et ce depuis les accords d’Oslo en 1990, est intégré à l’ambassade, conformément à la volonté de Benjamin Netanyahu et aux promesses faites par le candidat Trump à ses soutiens financiers sionistes durant la campagne électorale de 2016 pour la conquête de la Maison Blanche.

C’est, bien sûr, un nouveau coup sévère que porte l’administration Trump, foncièrement pro israélienne, aux Palestiniens alors même que le milliardaire américain et son entourage proche, en particulier son gendre et conseiller pour le conflit israélo-palestinien Jared Kushner prétend conduire bientôt une «médiation» en vue d’imposer ses «propositions» de paix.

Lesquelles propositions, effrontément baptisées «accord du siècle», ont été qualifiées, voici quarante- huit heures, par le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov d’«inacceptables». Le transfert de l’ambassade américaine à El Qods s’est fait en 2018 contre une réprobation internationale, l’assemblée générale de l’ONU rappelant à juste titre les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité sur la question d’El Qods et du droit des Palestiniens à un Etat avec El Qods – Est comme capitale, même si la politique du Premier ministre sioniste Benjamin Netanyahu consiste, depuis son arrivée à la tête du Likoud puis du gouvernement israélien, à rendre caducs les accords d’Oslo et ceux de Camp David à travers un colonisation de» peuplement des territoires occupés.

La mesure annoncée, hier, par le Département d’Etat est la dernière d’une longue série d’autres mesures dont le seul objectif est de nier l’existence même du peuple palestinien et ses droits légitimes. Il n’en demeure pas moins que c’est une mesure de l’administration Trump et que celle-ci n’est pas appelée à perdurer éternellement à la tête des Etats-Unis. Efficacité diplomatique ou pas, cette mesure aussi inique que celles qui l’ont précédée depuis l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche signifie bel et bien la consécration de la volte-face de la diplomatie américaine dans le conflit israélo-palestinien, malgré les condamnations et les réprobations de la communauté internationale. Et ce n’est donc pas par hasard que le numéro deux de l’Organisation de libération de la Palestine, Saëb Erekat, l’a commenté en estimant qu’il s’agit du «dernier clou enfoncé dans le cercueil» du rôle historique de médiateur joué par les Etats-Unis.

Comment pourrait-il en être autrement quand l’ambassadeur des Etats-Unis en Israël n’est autre que David Friedman, dont le rôle durant la campagne électorale de Donald Trump, complétait celui de Jared Kushner pour avaliser la démarche mise en oeuvre depuis janvier 2018? «L’administration américaine place la Palestine sous la coupe d’Israël», s’est indignée à juste titre Hanane Achraoui, autre responsable de l’OLP. M. Friedman, un des proches aux convictions sionistes enflammées de Donald Trump, est mal venu pour parler à la direction palestinienne qui ne peut voir en lui que l’avocat zélé des appétits israéliens et de leur politique de colonisation, puisqu’il est l’un des artisans du transfert de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à El Qods. Les Etats-Unis ont une présence diplomatique permanente à El Qods depuis 1857, bien avant la création d’Israël en 1948.

Le département d’Etat passe sous silence le fait que ce qui était depuis 1912 et jusqu’à ce jour la résidence du consul général, tout près de la Vieille ville, va échoir comme résidence à l’ambassadeur Friedman! Ainsi, la boucle est-elle bouclée puisque les Etats-Unis deviennent aujourd’hui la seule grande puissance à ne disposer d’aucune représentation diplomatique consacrée auprès des Palestiniens. Leur représentante, une certaine Karen Sasahara, a «quitté ses fonctions»…

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Syrie: Rencontre des chefs d’état-major russe et américain à Vienne

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 10:38

Les chefs d’état-major russe et américain se sont rencontrés hier à Vienne pour évoquer la poursuite des opérations en Syrie, où les Etats-Unis ont décidé de maintenir une «force résiduelle» pour assurer la protection de leurs alliés kurdes.

Cette réunion entre le général américain Joe Dunford et son homologue russe Valeri Guerassimov a eu lieu à Vienne, en Autriche, a indiqué dans un communiqué le porte-parole de l’état-major américain, le colonel Patrick Ryder. «Les deux responsables militaires ont discuté des mesures de déconfliction entre les opérations militaires en Syrie de la Russie et de la coalition internationale» qui lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Etat islamique (EI/Daesh), a précisé le colonel Ryder.

Depuis l’entrée de la Russie dans le conflit en 2015, Moscou et Washington se sont entendus pour se départager leurs zones d’opérations contre l’EI, et éviter tout incident par des mesures dites de déconfliction. Les militaires se préviennent mutuellement de leurs opérations aériennes pour éviter que leurs forces se retrouvent face-à-face. Les deux chefs d’état-major discuteront également «de l’état des relations militaires entre les Etats-Unis et la Russie et de la situation sécuritaire actuelle en Europe», a ajouté le porte-parole, en référence aux tensions actuelles sur le traité INF que les Etats-Unis viennent de dénoncer, jugeant que la Russie a cessé de le respecter.

Malgré le conflit en Syrie et les tensions entre leurs deux pays, les deux chefs d’état-major sont parvenus à maintenir un canal de communication qui ne s’est jamais rompu. En août 2018, la Russie avait ainsi envoyé une lettre confidentielle, qui avait fuité, contenant des propositions de coopération pour assurer la reconstruction de la Syrie et le retour des réfugiés. Le président américain Donald Trump avait décidé en décembre de retirer les troupes américaines déployées dans le nord-est de la Syrie, où elles ont coopéré avec les forces kurdes pour en chasser l’EI, mais il s’est finalement laissé convaincre d’y laisser une force résiduelle d’environ 200 militaires.

Washington négocie actuellement avec les alliés occidentaux au sein de la coalition pour constituer une force internationale capable de poursuivre la formation, dans cette région que le régime syrien ne contrôle pas, de services de sécurité capables de maintenir la paix et de faciliter des opérations de stabilisation après l’élimination totale du califat que l’EI avait autoproclamé dans cette zone.

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Nucléaire nord coréen: Moon Jae-in demande une reprise rapide des discussions

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 10:36

La rencontre Trump-Kim s’est soldée jeudi dernier par un fiasco. Elle a été écourtée sans même que les deux hommes se mettent d’accord sur une déclaration commune. Ils ont néanmoins tous les deux dit leur volonté de poursuivre les négociations.

Le président sud-coréen Moon Jae-in a exhorté, hier, les Etats-Unis et la Corée du Nord à reprendre au plus vite les discussions sur la dénucléarisation après l’échec du sommet de Hanoi la semaine dernière entre Donald Trump et Kim Jong Un. M. Moon, qui avait été élu il y a deux ans en défendant le dialogue avec le Nord, alors que la péninsule était au bord de la guerre nucléaire, a exhorté ses conseillers à comprendre ce qui avait échoué lors de la rencontre pourtant très attendue de la semaine dernière.»

Nous espérons que les deux pays vont poursuivre leur dialogue et que leurs dirigeants vont se retrouver vite pour trouver l’accord qui n’a pas été possible cette fois», a dit l’ancien avocat lors d’une réunion à Séoul. «Je crois que les discussions entre le Nord et les Etats-Unis déboucheront au final sur un accord, mais je demande aux responsables de travailler dur pour la reprise des discussions techniques entre les Etats-Unis et le Nord, car une longue interruption des discussions ou une impasse ne sont jamais favorables.»

La rencontre Trump-Kim s’est soldée jeudi dernier par un fiasco. Elle a été écourtée sans même que les deux hommes se mettent d’accord sur une déclaration commune. Ils ont néanmoins tous les deux dit leur volonté de poursuivre les négociations. Un haut responsable américain du département d’Etat a affirmé sous couvert de l’anonymat que les Nord-Coréens demandaient la levée de toutes les sanctions du Conseil de sécurité qui ont été votées depuis mars 2016.

Selon la même source, Pyongyang ne proposait de fermer que certaines parties du complexe nucléaire de Yongbyon, qui n’est cependant pas le seul site du programme nucléaire nord-coréen. Un récit qui n’était pas celui du ministre nord-coréen des Affaires étrangères Ri Yong Ho, qui soutient que Pyongyang n’a demandé qu’une levée partielle des sanctions, et affirme que le démantèlement de «toutes ses infrastructures de production nucléaire dans la zone de Yongbyon en présence d’experts américains» est sa meilleure offre. «Je demande que nous découvrions ce qu’a été le fossé responsable d’une absence d’accord entre les deux parties lors du sommet de Hanoi et que nous explorions les façons de combler ce fossé», a dit M. Moon.

Situé à une centaine de kilomètres au nord de Pyongyang, Yongbyon comprend des dizaines de bâtiments en rapport avec le programme nucléaire nord-coréen. Ouvert en 1986, c’est là que fut construit le premier réacteur nord-coréen, d’une capacité de cinq mégawatts, la seule source de production de plutonium connue de la Corée du Nord. Yongbyon ne serait pas la seule structure d’enrichissement de l’uranium du Nord. Le fermer ne signifierait pas en soi la fin de son programme atomique. Le renseignement américain estime que Pyongyang dispose de deux centres supplémentaires, l’un près de Kangson, dans la banlieue de Pyongyang, l’autre dans un lieu inconnu.

Cependant, M. Moon a estimé que la fermeture complète de toutes les installations de Yongbyon signifierait que la dénucléarisation du Nord est entrée dans une «phase irréversible». Le complexe de Yongbyon est le «fondement des installations nucléaires nord-coréennes», a-t-il ajouté.

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