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Ghaza: Frappe israélienne sur une installation militaire du Hamas

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 10:35

Des avions de chasse israéliens ont lancé, dimanche soir, une frappe aérienne contre une installation militaire appartenant aux Brigades al-Qassam, la branche armée du Hamas, dans le nord de la bande de Ghaza. Selon des sources en milieu médical, aucun blessé n’est à signaler.

Des sources au sein des forces de sécurité de Ghaza ont, quant à elles, déclaré que l’installation militaire en question avait été complètement détruite par la frappe aérienne israélienne. C’est le deuxième jour de suite que les forces israéliennes lancent des raids aériens sur des installations militaires et des postes de guet à Ghaza, selon les forces de sécurité.

Peu de temps avant la frappe aérienne, des dizaines de militants palestiniens ont manifesté dans le nord de la bande de Ghaza, où ils ont brûlé des pneus et lancé des grenades étourdissantes sur les soldats israéliens stationnés le long de la frontière avec Ghaza. Ashraf al-Qedra, porte-parole du ministère de la Santé de Ghaza, a déclaré que quatre manifestants avaient été blessés par balle.

Cette manifestation s’inscrivait dans le cadre de la «Grande marche du retour», un rassemblement palestinien qui a débuté le 30 mars 2018 dans le but d’obtenir la levée du blocus imposé par Israël à Ghaza depuis 12 ans. Selon des responsables du ministère de la Santé de Ghaza, les forces israéliennes ont tué au moins 260 Palestiniens et en ont blessé plus de 26.000 autres depuis le début de ce rassemblement anti-israélien.

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Categories: Afrique

Candidature de Samba Thiam : Bocar Oumar Ba (AJD/MR) dément formellement (video)

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/05/2019 - 10:35
Adrar Info - « La rumeur qui circule depuis quelques jours dans certains médias au sujet de la candidature du président Samba Thiam qui serait...
Categories: Afrique

PSG: Neymar n’écarte pas un départ cet été

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 10:33

Neymar traverse encore des moments compliqués. Si tout se passe plutôt bien pour son club, le PSG, le joueur de la Canarinha souffre d’une blessure au pied et a donc manqué le match aller des quarts de finale de Ligue des champions face à Manchester United.

Ce dernier manquera également le retour. Il n’est même pas assuré d’être là pour un potentiel quart de finale début avril. Ces dernières semaines, c’est au Brésil qu’il était soigné, et le numéro 10 parisien en a profité pour parler aux médias de son pays. Il a ainsi été interrogé sur ce sujet récurrent qu’est un possible départ au Real Madrid par Esporte Espetacular. «Le Real Madrid est l’un des plus grands clubs du monde. Chaque joueur suivi par le Real Madrid serait attiré par l’idée de jouer là-bas. Aujourd’hui, je suis très heureux à Paris, mais dans le futur on ne sait pas ce qui peut se passer. Mais je ne suis pas en train de dire que je vais jouer au Real Madrid, du calme.

Le Real Madrid est un très grand club, et chaque joueur de qualité voudrait porter le maillot du club», a d’abord lancé la star brésilienne du Paris Saint-Germain. «Mon rêve, je l’ai déjà réalisé et tout le monde le sait, c’était de jouer au Barça. Ça a toujours été mon rêve, dont je parlais depuis tout petit, et j’ai réussi à le réaliser. La vie d’un footballeur va très vite, des choses arrivent à des moments inattendus, personne ne sait ce qui va se passer demain. Aujourd’hui, je suis très heureux ici, si je dois parler aujourd’hui, je n’ai d’yeux que pour Paris. Je ne suis attiré par aucun autre club, je ne veux pas partir de Paris, mais tout peut arriver très vite.

D’ici trois mois, on ne sait pas ce qui peut se passer. […] C’est évident que le Real Madrid est une grande équipe, une des plus grandes du monde, j’ai beaucoup de respect. Mais aujourd’hui, je me vois à Paris», a-t-il ajouté. C’est plutôt clair, Neymar est à l’aise à Paris et souhaite, pour l’instant, rester chez le leader du championnat de France. Mais rien n’est à écarter pour l’avenir. Des déclarations qui vont dans le même sens que celles de son père il y a quelques jours: «le présent et le futur de Neymar sont à Paris. Son présent est à Paris, c’est difficile de parler d’avenir dans le football, tout peut changer si vite». Affaire à suivre donc, mais nul doute que ses propos vont tout de même redonner de l’espoir à plus d’un du côté de Madrid.

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Categories: Afrique

View | Emmanuel Macron: "Für einen Neubeginn in Europa"

EuroNews (DE) - Tue, 03/05/2019 - 10:31
Mit einem flammenden Appell hat Frankreichs Präsident Macron die Bürger Europas aufgefordert, eine "europäische Renaissance" in Ganz zu setzen. Dies ist der Brief im Wortlaut.
Categories: Europäische Union

Education nationale : Prochain examen de recrutement de 9.000 postulants au grade de professeur principal et professeur formateur

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 10:31

Environ 43.000 enseignants de l’éducation nationale n’ayant pas été admis à un examen organisé en 2018, s’apprêtent à concourir à nouveau, le 16 mars, pour prétendre accéder aux grades de professeur principal ou de professeur formateur.  

Reçu, mardi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le Secrétaire général du ministère de l’Education, Nedjadi Messeguem, explique que les 9.000 lauréats qui auront été retenus parmi eux bénéficieront d’une formation spécialisée en matière de suivi des élèves scolarisés.

Il annonce que le Plan stratégique de formation destiné à asseoir une école de qualité, avait déjà permis de former plus de 2.000 inspecteurs disposant de compétences avérées en matière d’organisation des cycles scolaires, de médiation et de « pilotage des établissements d’enseignement.

Pour réduire au plus près les déperditions scolaires, M. Messeguem signale, d’autre part, que l’ensemble des élèves en difficulté seront désormais assistés par le biais d’examens de rattrapage s’appuyant sur un programme de « guidance scolaire ».

Du calendrier des examens actuellement en cours, celui-ci assure qu’ils déroulent dans de bonnes conditions, grâce à un suivi permanent assuré par tous les inspecteurs d’éducation.

Du déroulement de l’ensemble des examens de fin d’année, il déclare que leur préparation se déroule dans les meilleures conditions possible, ajoutant que des commissions sont, actuellement à pied d’œuvre pour élaborer les sujets qui y seront soumis aux élèves.

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Categories: Afrique

EU hírfigyelő – 2019. február

Biztonságpolitika.hu - Tue, 03/05/2019 - 10:30
Brexit

Február elején Donald Tusk, az Európai Tanács elnöke és Theresa May, brit miniszterelnök megállapodtak a brexittel kapcsolatos tárgyalások menetéről. A 2019. február 7-i brüsszeli tárgyaláson a megbeszélés fő célja az egyeztetések holtponton való átjuttatása volt.

Tusk elnök Twitteren közölte: ,,Még mindig nem látszik a fény az alagút végén. Folytatjuk a tárgyalásokat.”

Ezt követően február 20-án Brüsszelben May és Juncker újra tárgyalást folytattak a kilépésről. A megbeszélés 3 fő témát érintett. Elsősorban mindkét fél egyetértését fejezte ki az Írországot érintő határok szigorú ellenőrzésének elkerüléséről, valamint az EU és Nagy-Britannia belső piacának integritásáról, annak tiszteletben tartásáról. Emellett az alternatív megállapodásokról és azok jelentőségéről is szó esett. Harmadik témaként az esetleges jövőbeli változtatások jelentek meg, melyek az EU és Nagy-Britannia kormányának állásfoglalásával is összeegyeztethetők és növelhetik a felek közötti bizalmat a jövőbeli partnerséget illetően. A megbeszélést követően May és Juncker is egyetértett abban, hogy a tárgyalások konstruktívak voltak, ezenfelül szorgalmazták a további opciókhoz való pozitív hozzáállást.

A sikertelen januári szavazás után a brit parlament alsóháza ismét napirendre vette a kilépésről szóló megállapodást, amiről Theresa May kormányfő ígérete alapján március 12-ig dönteni kell. Amennyiben a képviselők többsége ismételten nemmel szavaz és elutasítja a May-féle brexit-megállapodást, akkor március 13-án szavaznak arról, hogy támogatnának-e egy megállapodás nélküli, rendezetlen kilépést. A képviselők jelentős része elutasítja ezt a megoldást. Ezenfelül március 14-én arról szavaznának, hogy kérik-e az Európai Uniótól a kilépési folyamat meghosszabbítását, eltolva ezzel a brexit időpontját. Utóbbira már az Unió képviselői is hajlanak, ezt látva az egyetlen reális forgatókönyvnek.

Bomlanak a pártok: február 20-án három képviselő távozott a Konzervatív Pártból és csatlakoztak ahhoz a hét képviselőtársukhoz, akik a Munkáspártból való kiválásuk után egy független képviselőcsoportot alakítottak. Kilépésüket mindannyian a pártjaikban jelenlévő brexit körüli feszültségekkel indokolták.

Jeremy Corbyn, az ellenzéki Munkáspárt vezetője bejelentette, hogy a korábbiakkal ellentétben a párt mégis támogatna egy második népszavazást a kilépésről, hogy az ország elkerülje Theresa May kilépési megállapodását és a megállapodás nélküli kilépést. Az kérdéses, hogy a sokat emlegetett második referendum mikor lenne megtartva (jelenlegi becslések szerint legalább 22 hét kellene a megszervezéshez), illetve milyen kérdést tennének fel, milyen válaszlehetőségekkel.

Nagy-Britanniában már többféleképpen készülnek egy megállapodás nélküli kilépésre. Az előző hónapokban számos, ezzel kapcsolatos hír érkezett, melyek szerint többek között egy 2 milliárd fontot tartalmazó vészhelyzeti alap létrehozásáról döntöttek bizonyos minisztériumok zavartalan működése érdekében, továbbá a kormányzati szervek munkáját segítve készenlétbe helyeztek 3500 katonát is. A vállalatok számára is több útmutató született erre az eshetőségre, illetve a lakosságot is számos ismertetővel próbálják eligazítani. Erre szükség is van, ugyanis a szigetország élelmiszerellátása jelentősen függ az Európai Uniótól. A legutóbbi hírek szerint emellett tisztviselők újra elővették és aktualizálták a királyi család kimenekítésére vonatkozó, még a hidegháború alatt megalkotott terveket arra az esetre, ha a brexit miatt súlyos zavargások törnének ki Londonban. Mindez egy hónappal a március 29-i kilépés előtt egyre több aggályt vet fel az Egyesült Királyság kilépésével kapcsolatban.

Regionális politika

2019. február 24-25-én került sor az első csúcstalálkozóra az Európai Unió és az Arab Államok Ligája között az egyiptomi Sarm-es-Sejkben. Az egyeztetésen 24 EU- és 13 Arab Liga-tagállam képviselője vett részt. Franciaország, Spanyolország, Lettország és Litvánia távol maradtak a megbeszélésektől. Az Európai Unió képviseletében jelen volt Jean-Claude Juncker, illetve Donald Tusk, aki a csúcstalálkozó társelnöki tisztségét töltötte be Abdel-Fattah al-Szíszi, egyiptomi elnökkel együtt. Rajtuk kívül Federica Mogherini, kül- és biztonságpolitikai főképviselő és Johannes Hahn, szomszédságpolitikáért és csatlakozási tárgyalásokért felelős biztos is részt vett a történelmi találkozón. A felek megerősítették, hogy szorosabb együttműködésre van szükség Európa és az arab világ között a kihívások kezelése érdekében, különösen kiemelve a gazdasági kooperációt. A két fél kifejezte elkötelezettségét a multilateralizmus és a nemzetközi jogon alapuló nemzetközi rend megőrzése mellett, mely elengedhetetlen a globális kihívások eredményes kezeléséhez. Ilyen kihívások közé tartozik az éghajlatváltozás, az illegális migráció, az emberkereskedelem, a menekültek védelme és a terrorizmus. A tárgyalásokon kitértek a különböző regionális problémákra is, különös tekintettel a szíriai, jemeni és líbiai folyamatokra. Kifejezték támogatásukat az ENSZ béketeremtő törekvései iránt. Természetesen az izraeli–palesztin konfliktus is szerepelt a napirenden. A felek alapvető változást sürgetnek a Gázai-övezetben, illetve elkötelezettek az ENSZ palesztin menekülteket segítő programja iránt.

A csúcstalálkozó nem hozott átütő eredményt, a két fél kevés konkrét témában tudott egyezségre jutni. Diplomáciatörténeti szempontból azonban történelmi jelentőségű találkozóról van szó, hiszen ezelőtt még nem volt példa ilyen széleskörű egyeztetésre az EU és az arab világ országai között. Megállapodtak a csúcstalálkozók rendszeressé tételéről is, a következőt Brüsszelben tartják 2022-ben.

Szankciós politika

A Kongói Demokratikus Köztársasággal szembeni szankciók elrendeléséről szóló európai tanácsi határozathoz csatlakozott több EU-s tagjelölt ország (Észak-Macedónia, Albánia, Szerbia, Montenegró), a potenciális jelölt Bosznia-Hercegovina és az Európai Gazdasági Térség EFTA-tagországai (Izland, Liechtenstein), továbbá a Moldovai Köztársaság és Örményország is. A szankciók 14 személyt érintenek: vagyoni eszközök befagyasztása és az uniós vízum megszerzésének tilalma van érvényben velük szemben. A Tanács a szankciókkal a kongói választások törvényszerűségét és tisztaságát akarja elérni.

A Tanács február 25-én 1 évvel meghosszabbította a fegyverembargót, és a belső elnyomás céljára alkalmas eszközökre vonatkozó szankciókat Belarussziában. Emellett 4 olyan személlyel szemben vagyoni javaik befagyasztását és utazási tilalmat rendeltek el, akik két ellenzéki politikus, egy üzletember és egy újságíró eltűnésével hozhatók kapcsolatba. A Tanács emellett meghosszabbította a korlátozó intézkedések alóli eltérést, amely lehetővé teszi limitált számú sportfegyver importálását az országba.

Szomszédságpolitika

Günther H. Oettinger, az EU költségvetésért és emberi erőforrásért felelős biztosa február 17-18-án Lukashenko, fehérorosz elnökkel; Szergej Rumas, miniszterelnökkel; Maxim Yermalovich, pénzügyminiszterrel és Oleg Kravchenko, külügyminiszter-helyettessel folytatott megbeszéléseket az EU és Fehéroroszország közötti kapcsolatok helyzetéről. A biztos üdvözölte Fehéroroszország aktív részvételét a Keleti Partnerségben, amely idén ünnepli tizedik évfordulóját. Oettinger hangsúlyozta, hogy az EU a legnagyobb pénzügyi segítségnyújtó Fehéroroszország számára, mivel az elmúlt években az állammal folytatott uniós pénzügyi együttműködés fokozódott, mely nagy előnyöket jelent az országnak.

2019. február 24-én parlamenti választásokat tartottak Moldovában. Az EU ezzel kapcsolatban nyilatkozatot adott ki, melyben kiemelte, hogy az Unió figyelemmel követte az egész választási folyamatot és ezt a jövőben is folytatni fogja. Ismételten megerősítették, hogy az EU Moldovával folytatott partnersége továbbra is a polgárok számára kézzelfogható előnyökkel fog szolgálni, és az Unió nyitott az országban zajló reformfolyamat támogatóival való együttműködésre.

Február 28-tól március 1-jéig Ukrajnában tartózkodott az Európai Bizottság alelnöke, Valdis Dombrovskis, aki felelős az Euró- és Szociális Párbeszédért, valamint a pénzügyi stabilitásért, a pénzügyi szolgáltatásokért és a tőkepiaci unióért is. Látogatása során találkozott Petro Poroshenko elnökkel, Volodymyr Groysman miniszterelnökkel és a pénzügyminiszterrel, Oksana Markarovával. Február 28-án Dombrovskis a Maidan téren egy ünnepségen vett részt. Ezt követően beszédet tartott, melyben hangsúlyozta, hogy az Európai Unió továbbra is többoldalú támogatást nyújt Ukrajna számára az ország békéje és fejlődése érdekében.

2019 februárjában az Európai Tanács elnöke, Donald Tusk Ukrajnába látogatott. A hivatalos találkozók után Tusk beszédet mondott az ország parlamentjében, melyben megismételte az EU azon elkötelezettségét, hogy továbbra is segítse Ukrajnát a reformjaiban és támogassa az ország területi integritását. Külön kiemelte, hogy az Unió sosem fogja elismerni a Krím-félsziget annexióját és az azovi-tengeri erőszakot sem, és az Oroszországgal szembeni szankciók mindaddig érvényben maradnak, amíg az állam nem teljesíti kötelezettségeit.

Az EU–Ukrajna társulási megállapodás 2018. évi végrehajtásának eredményeit 2019. február 18-án az ukrán fővárosban, Kijevben vitatták meg. Ivanna Klympush-Tsyntsadze, Ukrajna európai és euroatlanti integrációjának helyettes miniszterelnöke szerint 2018 vált a társulási megállapodás teljes körű végrehajtásának első évévé . Hozzátette, hogy a megállapodás „52% -ban teljesült”. A rendezvényen bemutatott jelentés szerint Ukrajna legjobb eredményeit a vállalkozói hajlam, a mezőgazdaság, a kereskedelem technikai akadályainak csökkentése, a szociális politika és a munkaügyi kapcsolatok terén, valamint a pénzügyi és energiaágazatban érte el. A rendezvény az EU által finanszírozott „Association4U” projekt keretében került megrendezésre.

Február 20-án Günther Oettinger, a költségvetésért és az emberi erőforrásokért felelős EU-biztos egynapos látogatást tett Bakuban, Azerbajdzsánban, hogy részt vegyen a Déli Gázfolyosó Tanácsadó Testületének ötödik miniszteri találkozóján. A látogatás keretében Oettinger biztos aláírta a déli gázfolyosóról szóló közös nyilatkozatot. Ezzel kapcsolatban azt mondta, hogy a projekt kiváló lehetőség Európa energiaforrásainak és ellátóútvonalainak diverzifikálására. Kiemelte továbbá, hogy a partnereknek a lehető legjobban ki kell használniuk az új infrastruktúrát, és a lehető leghamarabb meg kell fontolniuk a kapacitás legalább kétszeresére történő emelését.

Szomszédságpolitika

Libanonban 9 hónap után végül sikerült kormányt alakítania Saad Hariri miniszterelnöknek. Ezzel kapcsolatban az EU külügyi és biztonságpolitikai főképviselője, Federica Mogherini az alábbi nyilatkozatot tette: „A májusi – az EU megfigyelői által is ellenőrzött – választásokat követő, több hónapig elhúzódó intenzív tárgyalások után nagy örömömre szolgál, hogy Hariri sikeresen konszenzusra jutott mindegyik párttal a kormányalakításról. Ez egy nagyon pozitív előrelépés, ami kritikus fontosságú Libanon stabilitásában. A libanoni nép és a nemzetközi közösség magas elvárásokat állított az újonnan megalakult kormánnyal szemben, amelynek sikerében meghatározó lesz az országot érő kihívások megoldása, melyhez elengedhetetlenek a szükséges intézményi, gazdasági és szociális reformok.” Hozzátette, hogy az EU továbbra is támogatja Libanont mind politikailag, mind pénzügyileg. Február 25-én Mogherini el is látogatott az országba, ahol találkozott az állami vezetőkkel.

Federica Mogherini külön találkozókon egyeztetéseket folytatott a líbiai miniszterelnökkel, Fayez Mustafa al-Serrajjal és az ENSZ főtitkárának líbiai különleges képviselőjével, Ghassan Salaméval. A megbeszéléseken tárgyaltak a líbiai politikai folyamat elősegítéséről, különösen a jogi helyzet rendezése után megtartandó választásokról. Mogherini továbbá megvitatta a gazdasági reformok meggyorsításának és a tranzitzónákban uralkodó állapotok fejlesztésének kérdését az EU és ENSZ ügynökségeinek felügyeletével.

Az EU külügyi és biztonságpolitikai főképviselője február 22-én Brüsszelben találkozott az ENSZ szíriai különmegbízottjával, Geir Pedersennel, ahol szó esett a jelenlegi szír helyzetről, illetve az EU támogatásáról a genfi folyamatot és az ENSZ munkáját illetően.

Védelempolitika

2019. február közepén találkoztak az EU-tagállamok képviselői az Európai Kiberbiztonsági Szervezet (ECSO) szakértőivel, valamint egyéb kutatóintézetek delegáltjaival, és együttesen megvitatták az „Önálló Kiberválaszok” témáját. Ez magában foglalja többek között az önállóan működő webhelyek, a döntéstámogató számítógépes rendszerek, a vizuális elemzések, az önálló, mobilis kiberbiztonsági ügynökök, valamint gépi tanulási modellek kifejlesztését annak érdekében, hogy leküzdhessék a kiberkutatásokkal kapcsolatos nehézségeket, amelyekkel a tagállamok fegyveres erőinek szembe kell néznie.

Categories: Biztonságpolitika

Renversement d’un bus de voyageurs à Laghouat: un mort et 43 blessés

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 10:29

Une personne a trouvé la mort et 43 autres ont été blessées suite au renversement dans la nuit de lundi à mardi d’un bus de voyageurs sur la RN-1 près de la ville de Bellil (Sud de Laghouat), a-t-on appris des services de la protection civile (PC).

L’accident s’est produit au niveau du point kilométrique PK-442, suite au renversement d’un bus de voyageurs assurant la liaison Adrar-Sétif, causant la mort d’une personne (46 ans) et des blessures à différents degrés de gravité à 43 autres, a précisé à l’APS le chargé de communication de la PC de Laghouat, le lieutenant Walid Nakmouche.

Le corps de la victime a été déposé à la morgue de l’établissement public hospitalier « Hmida Benadjila » à Laghouat, établissement vers lequel ont été également évacués les blessés, a-t-il ajouté.

Les services de la gendarmerie nationale ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de cet accident.

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Categories: Afrique

Réaction du MSP aux engagements de Bouteflika contenus dans sa lettre: « Des promesses électorales »

Algérie 360 - Tue, 03/05/2019 - 10:21

Par Mohamed BOUFATAH

Il procédera au lancement d’«un réseau de patriotes libres» pour soutenir le mouvement.

Le président du MSP, Abderrezak Makri, a animé une conférence de presse au lendemain de la candidature de Bouteflika au cinquième mandat. Le chef de l’ex-Hamas a qualifié les engagements du président Bouteflika contenus dans sa lettre adressée dimanche aux Algériens, et dans laquelle il s’engage, notamment à organiser une conférence nationale de consensus et une élection présidentielle anticipée à laquelle il ne participera pas, des «promesses électorales sans lendemains».

Il indiquera également:«Nous n’avons pas été surpris par les manifestations populaires contre le 5e mandat car nous les avions vues venir. Nous étions prêts. La preuve, nous avons pris part aux marches du 22 février, du 1er mars, et nous allons participer à toutes les actions prochaines». «Le refus du consensus national a fait sortir la population dans la rue», a-t-il appuyé. «Cela ne serait jamais arrivé si la classe politique avait adhéré à notre initiative sur le consensus national et notre proposition sur le report de l’élection présidentielle», a-t-il estimé. Le pouvoir a «plagié» l’initiative de consensus national du MSP, a-t-il soutenu.

La lettre du président de la République est une copie conforme de notre initiative sur le consensus national. Ce document sera diffusé incessamment. La réussite de ce mouvement populaire est tributaire, particulièrement du maintien de son caractère pacifique et de sa maturité civique: «Le plus grand cadeau que nous pouvons offrir à ce régime, c’est de laisser ce mouvement dévier vers la violence», a-t-il mis en garde. D’après Makri, il sera également question de poursuivre la mobilisation jusqu’à la satisfaction de ses revendications, lesquelles ne doivent pas se limiter au rejet du cinquième mandat, mais étendues au respect de la volonté populaire, à la mise en place d’une transition démocratique progressive et à la lutte contre la corruption.

L’aboutissement de ce mouvement, selon lui, dépendra également de «sa non-récupération par une quelconque partie pour en faire un instrument de règlement de comptes ou un tremplin pour atteindre des objectifs occultes». En outre, il a jugé «impossible» que Bouteflika ait pu obtenir près de 6 millions de signatures, transportées dans des fourgons au Conseil constitutionnel, comme l’a annoncé, hier, son directeur de campagne, Abdelghani Zalène. «Comment ses partisans peuvent-ils attester avoir collecté 6 millions de signatures alors que personne sur le territoire national n’a observé des files d’attente devant les mairies? C’est impossible.

Cela annonce la fraude et le trucage à venir», a-t-il indiqué. Il a fait savoir qu’il procédera au lancement d’un réseau de patriotes libres pour soutenir le mouvement, à la création d’une alliance des forces nationales contre la corruption ainsi que l’institution d’un front national de défense des valeurs novembristes. «Deux avis se sont dégagés des discussions de la session extraordinaire du conseil consultatif, tenue ce samedi soir au siège du parti: «Certains membres du conseil ont opté préalablement pour le dépôt du dossier en prévision de l’existence d’arrangements secrets, avant d’opérer un retrait politique en dernière minute.

La majorité des membres ont préféré, toutefois, ne pas déposer le dossier de candidature en cas de confirmation de la candidature du président Bouteflika, pour un nouveau mandat», a-t-il réitéré. «Le mouvement est géré par des instances élues et souveraines», a-t-il poursuivi. «Quelles que soient nos divergences, il ne ne peut exister d’opinions très différentes sur l’intérêt général», a-t-il ajouté. Le MSP a pu récolter 120.000 signatures. Il a assimilé cette opération de collecte de signatures à «un exercice à balles réelles» qui lui serviront d’expérience en prévision des prochaines échéances électorales.

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Categories: Afrique

Ignorance-Inspired Brexit Imperial Nostalgia

Africa - INTER PRESS SERVICE - Tue, 03/05/2019 - 10:07

By Jomo Kwame Sundaram and Anis Chowdhury
KUALA LUMPUR & SYDNEY, Mar 5 2019 (IPS)

As the possible implications of Britain’s self-imposed ‘no-deal’ exit from the European Union loom larger, a new round of imperial nostalgia has come alive.

After turning its back on the Commonwealth since the Thatcherite 1980s, some British Conservative Party leaders are seeking to revive colonial connections in increasingly desperate efforts to avoid self-inflicted marginalization following divorce from its European Union neighbours across the Channel.

Jomo Kwame Sundaram

Imperial nostalgia
Part of the new Brexit induced neo-imperial mythology is that its colonies did not provide any significant economic benefit to Britain itself. Instead, it is suggested that colonial administrations were run at great cost to Britain itself.

The empire, it is even claimed, was long maintained due to a benevolent imperial sense of responsibility. To revive patron-client relations neglected with the turn to Europe in the 1980s, the new mantra is that British rule helped ‘develop’ the empire.

As the sun never set on Britain’s far flung empire, acquired by diverse means for different reasons at various points in time, few generalizations are appropriate. Nevertheless, there is already significant research indicating otherwise for many colonies, but India, of course, was the jewel in the crown.

Empire strikes back
Former Indian foreign minister Shashi Tharoor has debunked many imperial apologetic claims, including those made by former Oxford and Harvard historian Niall Ferguson. Probably the most prominent, Ferguson famously insisted decades ago that countries progressed thanks to imperialism in an influential TV series and coffee table book sponsored by the British Broadcasting Corporation (BBC), Empire.

Anis Chowdhury

Malaysian Sultan Nazrin Shah’s Oxford University Press book has underscored the crucial contribution of colonial Malayan commodity exports in the first four decades of the 20th century, while other scholarship has shown that post-war British recovery depended crucially on the export earnings’ contribution of its Southeast Asian colony.

Less well known is Utsa Patnaik’s painstaking work on nearly two centuries of tax and trade data. She estimates that Britain ‘drained’ nearly US$45 trillion from the Indian subcontinent between 1765 and 1938, equivalent to 17 times the United Kingdom’s current gross domestic product.

Colonial surplus
After the English East India Company (EIC) gained control of and monopolized Indian external trade, EIC traders ‘bought’ Indian goods with tax revenue collected from them. After the British crown displaced the EIC in 1847, its monopoly broke down, and traders had to pay London in gold to get rupees to pay Indian producers.

Under imperial monetary arrangements, the colonies’ export earnings were considered British, and hence booked as a deficit in their own ‘national’ accounts despite their often large trade surpluses with the rest of the world until the Great Depression.

Thus, the empire has been depicted by imperial apologists as liabilities to Britain, with India having to borrow from Britain to finance its own imports. Thus, India remained in debt to and thus ‘bonded’ by debt to Britain.

Not surprisingly, two centuries of British rule did not raise Indian per capita income significantly. In fact, income fell by half in the last half of the 19th century while average life expectancy dropped by a fifth between 1870 and 1920! Infamously, tens of millions died due to avoidable famines induced by colonial policy decisions, including the two Bengal famines.

Slavery too
Britain used such fraudulent gains for many purposes, including further colonial expansion, first in Asia and later in Africa. Taxpayers in the colonies thus paid not only for the administration of their own exploitation, but also for imperial expansion elsewhere, including Britain’s wars.

Early accumulation for Britain’s Industrial Revolution depended significantly on such colonial arrangements. Imperial tribute financed the expansion of colonialism and investments abroad, including the European settler colonies.

Not unlike Eduardo Galeano’s magnum opus, Open Veins of Latin America, Walter Rodney’s 1972 classic, How Europe Underdeveloped Africa showed how slavery and other imperial economic policies transformed, exploited and brutalized Africa.

In The Empire Pays Back, Robert Beckford estimated that Britain should pay a whopping £7.5 trillion in reparations for its role in the transatlantic slave trade, breaking it down as follows: £4 trillion in unpaid wages, £2.5 trillion for unjust enrichment and £1 trillion for pain and suffering.

Britain has made no apology for slavery or colonialism, as it has done for the Irish potato famine. There has been no public acknowledgement of how wealth extracted through imperialism made possible the finance, investment, manufacturing, trade and prosperity of modern Britain.

Neo-colonialism
With Brexit imminent, a renewed narrative and discourse of imperial nostalgia has emerged, articulated, inter alia, in terms of a return to the Commonwealth, long abandoned by Maggie Thatcher. Hence, well over half of those surveyed in UK actually believe that British imperialism was beneficial to the colonies.

This belief is not only clearly self-deluding, but also obscures Britain’s neo-colonial scramble for energy and mineral resources, enhanced role as tax haven for opportunistic finance, as well as its continued global imperial leadership, albeit only in a fading, supporting role to the US as part of its ‘special relationship’.

Anis Chowdhury, Adjunct Professor at Western Sydney University & University of New South Wales (Australia), held senior United Nations positions in New York and Bangkok.
Jomo Kwame Sundaram, a former economics professor, was Assistant Director-General for Economic and Social Development, Food and Agriculture Organization, and received the Wassily Leontief Prize for Advancing the Frontiers of Economic Thought in 2007.

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Categories: Africa

La joie des populations après un taux d'exécution à 60%

24 Heures au Bénin - Tue, 03/05/2019 - 10:06

Les travaux de construction de la route Natitingou-Boukoumbé-Korontière, un des projets phare du Programme d'actions du gouvernement (Pag), se poursuivent inlassablement dans la région septentrionale du pays. De sources proches de l'entreprise en charge de la réalisation de l'ouvrage, cette route est déjà à un taux d'exécution de 60%, et les impacts se ressentent déjà au niveau des populations riveraines.
Selon Victor K. Agognon, secrétaire général de la mairie de Boukoumbé, cette infrastructure après son achèvement, sera un joyau pour le développement économique et socioculturel de la région. C'est la meilleure route qui est en train d'être érigée en ce moment, a-t-il notifié avant de préciser que l'ouvrage est appelé à booster le développement du tourisme dans la région et partant, de tout le pays.
Avec une voie praticable, estime le secrétaire, les touristes afflueront vers ces différents sites et le secteur de l'artisanat s'en trouvera dynamisé. Koussoucoingou, un village traversé par l'infrastructure, verra ses attraits autrement magnifiés.
De même, le village de Kounaï, avec son magnifique belvédère, la piscine naturelle et le projet touristique de construction de 40 tatas premium inscrit dans le Programme d'actions du gouvernement (Pag), l'avènement de cette voie constitue, selon Victor K. Agognon, un coup de pouce à l'économie locale.
Par ailleurs, en raison de la diminution des nuisances liées à la poussière, les populations de Boukoumbé ne cessent de clamer leur satisfaction. Autrefois, après un simple voyage aller sur cette voie, il fallait changer les rotules, amortisseurs et autres pièces a-t-il rappelé indiquant que l'ouverture de la moitié du tronçon à la circulation, est un salut pour leurs engins et véhicules.
Les cas de braquage, orchestrés sur l'axe, se sont également estompés depuis le lancement des travaux.
Selon le directeur des travaux de l'entreprise Sogea-Satom, Tony Charpentier, les travaux de construction de cette route démarrés en août 2017, sont prévus pour durer trente mois et prendront fin en février 2020. Son niveau de réalisation à fin janvier 2019 est estimé à 60%, a-t-il informé.
Les difficultés rencontrées dans l'exécution des travaux, explique le directeur, sont d'ordre technique. « Nous sommes dans une zone montagneuse, rocheuse », a confié Tony Charpentier indiquant que l'entreprise, a fait usage de techniques qui sortent du commun. « Nous avons dû ouvrir un tronçon de la route avec des techniques de carrière. On mine, on fore et on fait exploser, pour finalement réaliser du déblai et du remblai selon les circonstances », a expliqué le directeur des travaux.
Tony Charpentier explique qu'en ce qui concerne le respect des normes environnementales, 14 ha ont été reboisés, car Sogea-Satom est extrêmement regardant quant au respect de l'environnement. « Les plantations d'arbres continuent et se poursuivent jusqu'à la fin du projet », a-t-il précisé.
Pour la réalisation des travaux de cette voie, l'entreprise Sogea-Satom compte 700 employés auxquels s'ajoutent des prestataires et autres externes qui accomplissent des tâches d'appoint.
De façon globale, il y a 50% d'embauche locale pour 99% des effectifs globalement locaux et un pour cent d'expatriés en ce qui concerne le personnel de ce chantier d'envergure.
F. A. A.

Categories: Afrique

Les détenteurs illégaux d'armes à feu inviter à se régulariser

24 Heures au Bénin - Tue, 03/05/2019 - 10:01

Le ministère de l'intérieur et de la sécurité, afin d'assurer la sécurité des personnes et des biens invite les détenteurs d'armes à feu n'ayant pas l'autorisation à se régulariser avant le 29 mars. C'est à travers un communiqué signé du ministre ce lundi 4 mars 2019.
Dans un communiqué radiodiffusé et télévisé, le ministère de l'intérieur et de la sécurité informe que conformément aux dispositions de l'article 382 et 385 du code pénal, la fabrication, la cession, l'acquisition et la détention d'armes à feu perfectionnées ou non ainsi que leurs accessoires sont subordonnées à une autorisation préalable.
Malheureusement, il a été constaté que certains citoyens détiennent de manière illégale des armes dont ils font un usage passionnel dans certaines situations. Le ministère de l'Intérieur et de la Sécurité publique appelle ces usagers à se conformer aux exigences de la loi. " En conséquence, tous les fabricants et détenteurs d'armes à feu, de munitions, d'accessoires d'armes à feu qui ne remplissent pas les conditions requises sont appelés à déposer auprès du commissariat de leurs localités le matériel se trouvant en leur possession avant le 29 mars 2019", précise le communiqué.
La sécurité des biens et des personnes est une priorité chère au gouvernement béninois. Il est signalé que les services compétents du ministère restent disponibles pour recevoir toute personne en possession d'une arme non déclarée et souhaitant se régulariser.
Les préfets de département et les directeurs de la police republicaine sont instruits à faciliter l'opération.
Cette mesure préventive du gouvernement intervient après les incidents survenus à Tchaourou et Kilibo, il y a quelques jours, où des manifestants ont utilisé des armes artisanales pour tirer sur des policiers et militaires.

G. A.

Categories: Afrique

Mauritanie: tractations difficiles autour d'un candidat unique pour l'opposition

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/05/2019 - 09:54
RFI - En Mauritanie, deux candidats se sont officiellement déclarés à la présidentielle de juin : Biram Dah Abeid, de la coalition IRA-Sawab,...
Categories: Afrique

La pédopornographie ne devra pas être signalée

24heures.ch - Tue, 03/05/2019 - 09:53
Le Conseil des Etats voulait obliger les fournisseurs d'accès à Internet à dénoncer la pornographie illégale, comme la pédopornographie. Le Conseil national a dit «non».
Categories: Swiss News

Latest news - Next AFET Meeting - Committee on Foreign Affairs

The next AFET meeting is scheduled to take place in camera on:

Monday, 18 March, from 15:00-17:00, room to be confirmed
Monday, 1 April, from 15:00-18:30 and Tuesday 2 April, 09:00-12:30, room to be confirmed


Further information
Information for visitors
Draft agendas
Source : © European Union, 2018 - EP
Categories: Europäische Union

Két új börtön épül Romániában

Erdély FM (Románia/Erdély) - Tue, 03/05/2019 - 09:50

Közölte tegnap Tudorel Toader igazságügyi miniszter a kétéves miniszteri tevékenységéről szóló kiértékelőjén. Elmondása szerint rendszerszintűvé vált a büntetés-végrehajtási intézetek túlzsúfoltságának problémája, viszont az Európa Tanács Fejlesztési Bankjával kötött hitelmegállapodás által két új börtön megépítését tervezik. Az Emberi Jogok Európai Bírósága az elmúlt években több millió euró kifizetésére kötelezte Romániát a nem megfelelő fogva tartási körülmények miatt.

Közösen kell újjáépíteni Európát a francia elnök szerint

Erdély FM (Románia/Erdély) - Tue, 03/05/2019 - 09:50

Emmanuel Macron egy tegnap megjelent cikkben kifejtette, hogy a nacionalista befelé fordulás, vagy a beletörődés nem kínál megoldást. Ezzel szemben egy olyan nemzetközi konferenciát ígér állampolgárok, szakértők, szociális partnerek részvételével, amelyen “minden szükséges változásra javaslatot lehet tenni, tabuk nélkül, még a szerződések felülvizsgálatára is”. A francia elnök javaslatai között szerepel többek között egy, a demokrácia védelmét szolgáló európai ügynökség létrehozása, a schengeni övezet reformja, az európai pártok külföldi finanszírozásának megtiltása, közös határrendőrség és egy uniós menekültügyi hivatal létrehozása is. A javaslatokat tegnap este a francia elnöki hivatal honlapján is közzétették.

A Disease as Old as Time – Eliminated but Not Eradicated

Africa - INTER PRESS SERVICE - Tue, 03/05/2019 - 09:48

By Nalisha Adams
MANILA, Mar 5 2019 (IPS)

As the Executive Director of Sasakawa Memorial Health Foundation (SMHF), Takahiro Nanri has been working on the issue of leprosy since 2014. Over the past few years, he has traveled across the world visiting the large number of leprosy projects that SMHF has been supporting and meeting dozens of organisations led by leprosy-affected people.
In the past few decades the global fight against leprosy intensified which brought down the number of active cases drastically. As a result, leprosy is now officially eliminated in most countries, but its is still not completely eradicated. So, the word is now at ‘last mile’ to a leprosy-free world which is often described as the hardest part of the journey.

The reasons are many: hidden cases that are unreported and untreated and remain at risk of transmitting to others, insufficient budget allocated by the governments as they feel leprosy no longer needs to be a priority, lack of coordination among organisations working on leprosy and so on.

In this video, Nanri shares his views on how can this last mile journey can be overcome.
There is an urgent need for a coordinated effort to acknowledge that leprosy is still a reality, he says, before promising that SMHF and its parent organisation the Nippon Foundation, are ready to play the role of catalyst to this new, heightened level of co-ordination.

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Categories: Africa

Le National épargne les call centers à l'étranger

24heures.ch - Tue, 03/05/2019 - 09:38
La chambre basse a repoussé une motion pour restreindre la vente des informations récoltées lors d'appels passés par des call centers à l'étranger.
Categories: Swiss News

PA Charles de Gaulle : l’amiral Prazuck monte à bord

Blog Secret Défense - Tue, 03/05/2019 - 09:31
Le groupe aéronaval appareille aujourd’hui vers l’océan indien. Le chef d’état-major de la marine est à Toulon avec la ministre des armées.
Categories: Défense

Q&A: Important to Treat Anyone Suffering from Leprosy as an Equal Individual

Africa - INTER PRESS SERVICE - Tue, 03/05/2019 - 09:29

Alice Cruz is the United Nations Special Rapporteur on the elimination of discrimination against persons affected by leprosy and their family members, says divorce on the grounds of leprosy, allowed by laws or not, is a prevailing reality. Credit: U.N. Photo / Jean-Marc Ferré

By Stella Paul
MANILA, Mar 5 2019 (IPS)

Discrimination against women who are affected by leprosy or Hansen’s Disease is a harsh reality, says Alice Cruz is the United Nations Special Rapporteur on the elimination of discrimination against persons affected by leprosy and their family members.

“Divorce on the grounds of leprosy, allowed by laws or not, is a prevailing reality. In settings where women are not economically independent, it can lead to the feminisation of poverty, throwing too many women affected by leprosy into begging or even prostituting,” says Cruz, who was speaking via audio link at Regional Assembly of Organisations of People Affected by Leprosy in Asia that was held in Manila, Philippines. The Sasakawa Memorial  Health Foundation/the Nippon Foundation (TNF) which supports leprosy projects across the world sponsored the meeting.

A professor at the Law School of University Andina Simon Boliver in Ecuador, Cruz has extensive knowledge of the social stigma and discrimination faced by the people who are affected by leprosy which also amount to the violation of their human rights.

In an interview to IPS, Cruz speaks of the layers and levels of stigma that men, women and children of leprosy-affected people face and how the U.N. has been trying to end it. Finally, she lists the simple ways that every ordinary person can contribute to end the stigma that people living with leprosy face and how to help them become integral to society. Excerpts of the interview follow:

Inter Press Service (IPS): What is the link between human rights violation and the leprosy-affected people? 

Alice Cruz (AC): Throughout history leprosy has become much more than a disease: it became a label, mainly used to exclude. Leprosy came to embody what was socially prescribed as shameful and disrupting. It became a symbol, a powerful metaphor, for everything that should be kept apart, whether it was attributed to punishment for sinful conduct, unregulated behaviour, past offences and socially constructed ideas of racial inferiority, among others harmful myths and stereotypes, which led to massive human rights violations of persons affected by leprosy, but also their family members.

IPS: Can you describe some of the ways the rights of leprosy affected people are violated?

AC: Women, men and children affected by leprosy were, and continue to be in many contexts, denied not only their dignity, but also an acknowledgement of their humanity. It is not a coincidence that it is commonly said that persons affected by leprosy experience a civil death.

They have been consistently subjected to: stigmatising language; segregation; separation from their families and within the household; separation from their children; denial of care; denial of the means of subsistence; denial of a place to live; denial of education; denial of the right to own property; impediments to marry; impediments to have children; restrictions on their freedom of movement; denial of their right to participate in community, public and political life; physical and psychological abuse and violence; compulsory internment; forced sterilisation; institutionalised silencing and invisibility.
There are still more than 50 countries in the world with discriminatory laws against persons affected by leprosy in force.

IPS: What is the UN doing to prevent and end these violations?

AC: In 2010, the General Assembly, in a landmark move, adopted resolution 65/215 and took note of the principles and guidelines on the elimination of discrimination against persons affected by leprosy and their family members. In so doing, it established leprosy as a human rights issue and stressed that persons affected by leprosy and their family members should be treated as individuals with dignity and entitled to all human rights and fundamental freedoms under customary international law, the relevant conventions and national constitutions and laws. In June 2017, the Council adopted resolution 35/9, establishing the mandate of the Special Rapporteur on the elimination of discrimination against persons affected by leprosy and their family members. It called on States and all relevant stakeholders to cooperate with the Special Rapporteur in the discharge of the mandate. I assumed this role on Nov. 1, 2017.

IPS: How far have we come in achieving the 2020 target leprosy eradication?

AC: I am afraid we are very far from such a scenario. By the one hand, eradication of leprosy is not on the horizon given the lack of a vaccine. By the other hand, official reports of around 150 countries to the [World Health Organisation] WHO in 2016 registered more than new 210 000 cases of leprosy, with high incidence among children, which means ongoing transmission.

IPS: How can every ordinary person contribute to eradication of leprosy and ending stigma towards leprosy affected people? 

AC: Acknowledging that persons affected by leprosy are the same as everyone else and fighting harmful stereotypes in daily life. Remembering that anyone, including you and me, can come to suffer from any disease or disability and that diversity and dignity in diversity is what makes us humans.

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