Au moment où la France vit une campagne électorale marquée par une montée de l’extrême droite et de l’islamophobie, aujourd’hui, en Algérie, le président de la république, Abdelmajid Tebboune, a reçu le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz.
En effet, aujourd’hui, le 09 décembre 2021, le président Tebboune a reçu le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, indique un communiqué de la présidence. Cette visite intervient 24 heures après celle effectuée par le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian.
Tebboune donne des directivesLe communiqué de la présidence affirme que « aujourd’hui, le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a reçu le recteur de la Mosquée de Paris, le Dr Chems-Eddine Hafiz, à sa demande ». Le même communiqué indique que le président Tebboune a assuré au recteur de la grande mosquée de Paris, « son soutien absolu en ce qui concerne la gestion de cet édifice spirituel ».
Le chef de l’État, poursuit le même communiqué, a donné au recteur de la grande mosquée de Paris « des directives pour poursuivre ses efforts en améliorant les performances de cette institution, et ce, en adoptant le juste milieu et la modération et en luttant contre l’extrémisme ».
Outre le président de la république, étaient présents lors de cette rencontre, le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Youcef Belmahdi, ainsi que le directeur de cabinet de la présidence, Abdelaziz Khellef.
Il est à noter que le président Tebboune a reçu hier le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian. Ce dernier a affirmé que sa visite vise à ce que les « deux pays reprennent ensemble la voie d’une relation apaisée ».
Amplifier l’islam Algérien en FranceAu terme de sa rencontre avec le président Tebboune, le recteur de la Grande Mosquée de Paris a déclaré qu’il « faut être vigilant sur cette radicalisation qui a aujourd’hui dévoyé notre message religieux ». Le même intervenant ajoute que « l’Islam Algérien, l’Islam de nos ancêtres, est un islam du juste milieu, un islam de tolérance et de fraternité ».
Cet Islam, poursuit le recteur de la mosquée de Paris, « doit encore une fois aujourd’hui être amplifié en France, et c’est la mission que m’a confié Monsieur le président de la république ; de porter haut ce message de fraternité pour un islam éclairé et pour un islam modéré pour qu’il ne soit pas la cause de dissensions même à l’intérieur de la société française ».
« C’est un message de paix et de fraternité que m’a demandé le président de la république de transmettre dès mon arrivée à Paris », conclut le recteur de la mosquée de Paris.
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Les Journées Scientifiques de l'Economie Béninoise se tiennent les 14 et 15 décembre 2021 à Cotonou. C'est une initiative de la Direction générale de l'Economie (DGE) et de l'Ecole Doctorale des Sciences Économiques et de Gestion (ED-SEG).
"Le Bénin face aux mutations économiques", c'est le thème retenu pour les deux Journées Scientifiques de l'Economie Béninoise (JSEB) organisées par la Direction générale de l'Economie (DGE) et l'Ecole Doctorale des Sciences Économiques et de Gestion (ED-SEG). Les JSEB auront lieu les 14 et 15 décembre 2021 au Palais des Congrès de Cotonou. L'inscription pour y participer par visioconférence se fait via le lien www.dgae.finances.bj/inscription/.
Le nouveau Code général des impôts voté à l'Assemblée nationale le 08 décembre 2021 apporte d'importantes innovations en matière de fiscalité au Bénin.
Voici les principales innovations
Bus rapid transit (BRT) is considered the cheapest and fastest to implement mass transportation system compared to rail and tram. However, the implementation of BRT becomes complicated where there are incumbent paratransit service providers. In African cities, it has become mandatory to include these operators because they are the most extensive public transport service providers, employ many people, and make governments unpopular when excluded. In Accra, the government sought to implement BRT with the inclusion of incumbent paratransit operators but could only implement a conventional bus service. This article analyses the approach adopted to examine the reasons behind the inability to execute the planned BRT and draw lessons from the Ghana experience. This article adopted informal transportation and BRT characteristics based on the African experience to analyse the incorporation of incumbent paratransit operators in Ghana. The findings show the challenges the implementing agency encountered, resulting in a shift from BRT to a conventional bus. The underlying reason for the difficulty is the depth of change required by both paratransit operators and government institutions. Given the depth of change for capital investment, capacity, and governance reforms required, the paper recommends a more gradual BRT implementation approach in African cities.
Bus rapid transit (BRT) is considered the cheapest and fastest to implement mass transportation system compared to rail and tram. However, the implementation of BRT becomes complicated where there are incumbent paratransit service providers. In African cities, it has become mandatory to include these operators because they are the most extensive public transport service providers, employ many people, and make governments unpopular when excluded. In Accra, the government sought to implement BRT with the inclusion of incumbent paratransit operators but could only implement a conventional bus service. This article analyses the approach adopted to examine the reasons behind the inability to execute the planned BRT and draw lessons from the Ghana experience. This article adopted informal transportation and BRT characteristics based on the African experience to analyse the incorporation of incumbent paratransit operators in Ghana. The findings show the challenges the implementing agency encountered, resulting in a shift from BRT to a conventional bus. The underlying reason for the difficulty is the depth of change required by both paratransit operators and government institutions. Given the depth of change for capital investment, capacity, and governance reforms required, the paper recommends a more gradual BRT implementation approach in African cities.
Bus rapid transit (BRT) is considered the cheapest and fastest to implement mass transportation system compared to rail and tram. However, the implementation of BRT becomes complicated where there are incumbent paratransit service providers. In African cities, it has become mandatory to include these operators because they are the most extensive public transport service providers, employ many people, and make governments unpopular when excluded. In Accra, the government sought to implement BRT with the inclusion of incumbent paratransit operators but could only implement a conventional bus service. This article analyses the approach adopted to examine the reasons behind the inability to execute the planned BRT and draw lessons from the Ghana experience. This article adopted informal transportation and BRT characteristics based on the African experience to analyse the incorporation of incumbent paratransit operators in Ghana. The findings show the challenges the implementing agency encountered, resulting in a shift from BRT to a conventional bus. The underlying reason for the difficulty is the depth of change required by both paratransit operators and government institutions. Given the depth of change for capital investment, capacity, and governance reforms required, the paper recommends a more gradual BRT implementation approach in African cities.
Le verdict de l’affaire de Chérif Mellal est enfin tombé. Ce jeudi 9 décembre, le tribunal de Sidi M’Hamed à Alger a tranché sur le conflit et a condamné l’ancien président de la JS Kabylie à une peine de six mois de prison ferme, assortie d’une amende de 100 000 dinars.
Cette condamnation intervient à la suite d’une plainte déposée par Rachid Azouaou, actionnaire dans le club Kabyle, contre l’ancien président de l’équipe, Chérif Mellal, où il l’a accusé de diffamation.
Ainsi, ledit accusé est en conflit avec Yazid Yarichène, président de la JS Kabylie, depuis bien des mois, précisément depuis mars dernier, pour la présidence dudit club.
Un conflit qui a engendré une série de problèmes, d’affaires, mais aussi de jugements, qui ont été conclus par une décision de la part des autorités judiciaires compétentes.
La justice tranche sur l’affaire de la présidence de la JSKLa décision de justice quant à cette affaire a été rendue dernièrement par le tribunal de la wilaya de Tizi-Ouzou. Ce dernier a tranché sur ce conflit, en désignant officiellement que le nouveau président des Canaris est bel et bien Yazid Yarichène.
C’est ainsi que les trois années de règne de Chérif Mellal sont terminées, et le club Kabyle a commencé un nouvel épisode avec son nouveau président, Yarichène.
Il convient également de rappeler que cette affaire et ce conflit entre l’ancien dirigeant de la JS Kabylie Chérif Mellal et le président entrant Yazid Yarichène, a créé un climat de tension et de malaise au sein du club des Canaris.
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