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Israel, Greece and Cyprus revive trilateral talks as Turkey looms

Euractiv.com - Mon, 22/12/2025 - 13:53
Beyond energy, the meeting focuses on shared concerns over Ankara's regional role

EU to probe Czech aid for two nuclear units

Euractiv.com - Mon, 22/12/2025 - 13:49
In October, Prague submitted a support scheme for the project to build two new nuclear reactors at the country's southern Dukovany plant

Moscow car blast kills Russian general hours after US talks

Euractiv.com - Mon, 22/12/2025 - 13:38
Sarvarov fought in the Russian army's campaigns in the North Caucasus and commanded Russian forces in Syria

Qui apparaît et que révèlent les dossiers Epstein publiés par le ministère américain de la Justice ?

BBC Afrique - Mon, 22/12/2025 - 13:17
Les documents publiés vendredi mentionnent notamment l'ancien président américain Bill Clinton, Andrew Mountbatten-Windsor et des musiciens tels que Mick Jagger et Michael Jackson.
Categories: Afrique, Russia & CIS

Pedro Sánchez pushes ministers to reclaim Spain’s regional power

Euractiv.com - Mon, 22/12/2025 - 13:10
To limit the damage in the upcoming regional elections, Sánchez is increasingly turning to his own cabinet

The Key Foreign-Policy Players of Trump 2.0 

Foreign Policy - Mon, 22/12/2025 - 13:00
As the second Trump administration approaches the one-year mark, here’s who is influencing key policies. 

Top 10 des équipements de protection balistique

Aumilitaire.com - Mon, 22/12/2025 - 12:44
Face à l’augmentation des risques sécuritaires, la protection balistique n’est plus seulement réservée aux forces armées. Aujourd’hui, de nombreuses autres personnes s’intéressent de plus en plus à ces équipements. Les plus en vogue sont les journalistes en zone sensible, les agents privés et les professionnels de la sécurité. Quelques fois, il s’agit simplement d’un particulier […]
Categories: Défense, Russia & CIS

End of Year Video 2025

Africa - INTER PRESS SERVICE - Mon, 22/12/2025 - 12:38

By External Source
Dec 22 2025 (IPS-Partners)

Multiple shocks defined 2025: conflict, climate breakdown and shrinking democracy.

Multilateral institutions were tested as never before.

At COP30 in Belém, Brazil, governments argued over words while the planet heated.

Yet amid the pressure, countries agreed on steps that kept global climate cooperation alive.

A new Just Transition Mechanism promised a fairer shift to a green economy.

It pledged to protect workers, women and Indigenous peoples as fossil fuels are phased out.

Island nations warned that promises without finance mean rising seas and vanishing homelands.

Pacific voices called for stronger funding for Loss and Damage.

Across the system, humanitarian budgets were cut just as needs exploded.

Conflicts in Sudan, South Sudan and Myanmar pushed millions toward famine.

In many crises, lifesaving food support was reduced or halted for lack of funds.

Global alliances like CIVICUS warned that conflict, climate chaos and democratic backsliding are converging.

They cautioned that institutions built for cooperation are struggling as powerful states turn inward.

Civil society responded with proposals to put people—not geopolitics—at the centre of the UN.

At COP30, Global South leaders elevated Indigenous and Afro-descendant voices in climate talks.

They argued that dignity, fairness and planetary protection must guide a new world order.

Gen Z movements demanded those values on the streets of South Asia and Africa.

Young protesters challenged corruption, dynastic power and widening wealth gaps.

In several countries they were met with bullets, repression and mass arrests.

Researchers noted a common story: frustration with entrenched elites and “business as usual”.

When conflict and climate disasters collide, children’s education often disappears first.

Initiatives such as Education Cannot Wait and the Safe Schools Declaration fought to keep classrooms open.

Hurricane Melissa in the Caribbean showed how storms can erase decades of progress in a night.

Billions of dollars in damage underscored how vulnerable economies are to climate extremes.

UN agencies warned that without urgent action, millions of children could be pushed into poverty by 2030.

Science bodies like IPBES stressed that climate change, nature loss and food insecurity are inseparable.

Global research networks worked to equip small-scale farmers for climate resilience and stable incomes.

Spiritual leaders also used their platforms to call for peace, climate action and an end to war.

From Gaza to Ukraine and beyond, moral voices insisted that civilians must never be targets.

Marking 80 years since the end of the Second World War, survivors renewed the vow: “never again”.

The message from 2025 was stark but clear.

The old order is straining—but new visions are emerging from communities on the frontlines.

Civil society, young people and Global South leadership are sketching a different future.

One rooted in justice, shared prosperity and protection of the planet.

The coming year will test whether the world is ready to listen.

 


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L’Ukraine et l’avenir de la sécurité européenne : quelles recompositions géopolitiques ?

IRIS - Mon, 22/12/2025 - 12:34

La guerre déclenchée par la Russie en Ukraine en 2022 a profondément bouleversé les équilibres géopolitiques en Europe. Elle a mis fin à l’illusion d’un continent définitivement pacifié, ravivé les logiques de blocs et provoqué un réarmement accéléré des États européens. L’OTAN a retrouvé une centralité stratégique inattendue, tandis que l’Union européenne tente de redéfinir son rôle en matière de sécurité et de défense. Au-delà du champ militaire, ce conflit interroge la souveraineté, les frontières et les rapports de puissance sur le continent. Comment la guerre en Ukraine reconfigure-t-elle durablement l’architecture de sécurité européenne ?

Laurent Griot, enseignant-chercheur à Grenoble École de Management (GEM), a répondu à nos questions à l’occasion de la première édition des Géopolitiques de Grenoble organisées par l’IRIS et Grenoble École de Management.

  • Doit-on s’attendre à une partition de l’Ukraine ? Si oui, sous quelles conditions ?
  • Quel avenir peut-on dresser des relations entre l’Union européenne, l’Ukraine et la Russie ?
  • Comment l’économie de guerre russe a-t-elle évolué depuis le début de la guerre, et dans quelle mesure a-t-elle été impactée par les sanctions européennes ?

L’article L’Ukraine et l’avenir de la sécurité européenne : quelles recompositions géopolitiques ? est apparu en premier sur IRIS.

Mercosur safeguards stuck as Council delays vote again

Euractiv.com - Mon, 22/12/2025 - 12:13
A diplomat said the meeting was cancelled because there wasn’t the necessary support to greenlight the safeguard

Fêtes de fin d'année : Le président de la FEME invite chaque Burkinabè à être un artisan de paix et à cultiver l'amour et le pardon

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 22/12/2025 - 12:06

Dans un message rendu public le 19 décembre 2025, le président de la Fédération des églises et missions évangéliques du Burkina (FEME), Dr Vincent Ilboudo, adresse des vœux de paix, de santé et d'espérance à l'ensemble des Burkinabè à l'occasion de la célébration de la fête de Noël et de la nouvelle année.

Tout en exprimant sa compassion aux familles frappées par le deuil au cours de l'année, aux déplacés internes, aux blessés ainsi qu'à toutes les victimes de l'insécurité, Dr Vincent Ilboudo invite chaque Burkinabé à être artisan de paix, à cultiver l'amour du prochain, le pardon, la tolérance et le respect mutuel.

Découvrez ici l'intégralité de son message.

www.lefaso.net

MESSAGE DE VŒUX DE FIN D'ANNÉE DU PRÉSIDENT DE LA FÉDÉRATION DES ÉGLISES ET MISSIONS ÉVANGÉLIQUES DU BURKINA FASO (FEME)

Chers frères et sœurs en Christ,
Chers compatriotes du Burkina Faso,
Mesdames et Messieurs,

En cette période bénie où nous célébrons la naissance de notre Seigneur Jésus-Christ, et à l'orée de la nouvelle année, il m'est particulièrement agréable, au nom de la Fédération des Églises et Missions Évangéliques du Burkina Faso, de vous adresser nos vœux les plus sincères de paix, de santé et d'espérance.
La fête de Noël nous rappelle que Dieu, dans Son immense amour, a donné Son Fils au monde afin d'apporter la lumière là où règnent les ténèbres, l'espérance là où subsiste le désespoir, et la paix là où sévissent les épreuves. Ce message demeure plus que jamais d'actualité pour notre chère patrie.

L'année qui s'achève a été marquée par de nombreux défis pour notre pays. La FEME tient à exprimer sa profonde compassion à l'endroit des familles endeuillées, des personnes déplacées internes, des blessés et de tous ceux qui souffrent encore des conséquences de l'insécurité. Nous élevons nos prières vers le Seigneur afin qu'Il console les cœurs, restaure les vies et fortifie les plus éprouvés.

À l'aube de la nouvelle année, nous appelons chaque Burkinabè à être artisan de paix, à cultiver l'amour du prochain, le pardon, la tolérance et le respect mutuel. La paix véritable commence dans les cœurs et se construit par des actes quotidiens de responsabilité, de civisme et de solidarité.

La FEME salue avec respect le courage des Forces de Défense et de Sécurité ainsi que des Volontaires pour la Défense de la Patrie, et prie pour la protection divine sur leurs vies. Elle exhorte également les autorités de notre pays à continuer d'agir avec sagesse, justice et discernement pour le bien commun.
Que l'année nouvelle soit pour le Burkina Faso une année de réconciliation, de progrès, de stabilité et de bénédictions abondantes.

Que l'Éternel fasse luire Sa face sur notre Nation et accorde Sa paix à chacun de ses fils et filles.
Joyeux Noël et bonne et heureuse année à toutes et à tous.
Que Dieu bénisse le Burkina Faso.

Fait à Ouagadougou, le 19 décembre 2025
Le Président de la Fédération des Églises et Missions Évangéliques du Burkina Faso (FEME)
Dr Vincent N. ILBOUDO
Officier de l'Ordre de l'Etalon

Résilience climatique dans le Nakambé : Le projet RECLIM tient sa deuxième session ordinaire

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 22/12/2025 - 12:04

La deuxième session ordinaire de l'année 2025 du comité de pilotage du projet Résilience climatique dans le bassin du Nakambé (RECLIM) s'est ouverte le jeudi 18 décembre 2025 à Ziniaré. Cette rencontre a réuni les principaux acteurs impliqués dans la mise en œuvre du projet afin d'évaluer l'état d'avancement des activités et de définir les orientations pour l'année à venir.

Mis en œuvre sur une durée de cinq ans, le projet RECLIM a pour objectif de renforcer la résilience des communautés face aux sécheresses et aux inondations, tout en protégeant les vies et les moyens de subsistance dans les communes d'Absouya, Kaya, Korsimoro, Ziniaré et Zitenga. Il s'articule autour de deux composantes qui portent sur la planification et la gestion des risques climatiques, ainsi que sur l'accroissement de la résilience des communautés face à la variabilité climatique.

Ouvrant les travaux, le président du comité de pilotage, Dr Christian Somda, a salué l'engagement des membres du comité et des partenaires techniques et financiers. Au nom du ministre en charge de l'environnement, il a exprimé la gratitude du gouvernement burkinabè au Fonds pour l'environnement mondial (FEM) et au Programme des nations unies pour le développement (PNUD), dont l'appui contribue de manière significative à la mise en œuvre du projet.

Le président du comité de pilotage, Dr Christian Somda, a invité les participants à des échanges constructifs et à des analyses critiques

Sur le plan de l'exécution, il ressort qu'au 30 septembre 2025, les taux d'exécution physique et financière du Plan de travail et budget annuel (PTBA) 2025 s'établissent respectivement à 45,37 % et 35 %, tandis que le Plan de passation des marchés affiche un taux d'exécution de 72,03 %. Depuis le démarrage du projet, les taux globaux d'exécution sont de 18,96 % sur le plan physique et de 32 % sur le plan financier.

« Parmi les principales réalisations de RECLIM figurent l'acquisition d'équipements spécifiques de collecte et de traitement de données météorologiques tels qu'entre autres 3 stations météorologiques et 10 pluviomètres automatiques ; le reboisement de 93,5 ha ; la mise en place progressive de 5 bosquets polyvalents clôturés, intégrant jardins nutritifs, périmètres maraîchers et plantations d'espèces médicinales et d'espèces pourvoyeuses de Produits forestiers non ligneux (PFNL) ; la formation de 483 producteurs et productrices dans les communes de Kaya et Korsimoro aux techniques de Conservation des eaux et des sols / Défense et restauration des sols (CES/DRS) comme le Zaï et la demi-lune ; l'acquisition et la distribution d'équipements agricoles, ainsi que la mise à disposition de 6 tonnes de semences améliorées dont 2,8t de mil et 3,2t de sorgho et de 27 tonnes de matière organique. Ces appuis ont permis l'aménagement de 310 hectares de terres dégradées », a rappelé le président du comité de pilotage, Dr Christian Somda.

Cette deuxième session ordinaire vise principalement à examiner le rapport d'exécution des activités au 30 septembre 2025

Cette deuxième session ordinaire vise principalement à examiner le rapport d'exécution des activités au 30 septembre 2025, à examiner et adopter le PTBA 2026 et à formuler des recommandations en vue d'améliorer la mise en œuvre du projet.

À l'ouverture des travaux, le président du comité de pilotage a invité les participants à des échanges constructifs et à des analyses critiques afin de garantir que les actions du projet répondent efficacement aux attentes des communautés bénéficiaires.

La représentante du PNUD a invité les participants à apporter leurs contributions afin qu'à l'issue de la session, un document satisfaisant puisse être obtenu au niveau du bureau pays du PNUD. Consciente des nombreux défis liés à la mise en œuvre du projet, elle a souligné l'importance de l'implication de tous pour les relever collectivement, avant de souhaiter à l'ensemble des participants une session fructueuse.

Hanifa Koussoubé
Lefaso.net

Finale des compétions de la Case à lire : Renforcer le lien enfant-lecture

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 22/12/2025 - 12:04

Le samedi 20 décembre, la compétition de dictée, d'orthographe et de lecture de la bibliothèque communautaire la Case à Lire a connu son apothéose avec le concours de lecture à voix haute et la remise des prix aux différents enfants. Organisées dans le cadre de la célébration du deuxième anniversaire de la bibliothèque, ces compétitions avaient pour objectif principal de renforcer le lien enfant-lecture.

Au total une quinzaine d'enfants ont pris part aux compétions de dictée, d'orthographe et de lecture, organisées afin de créer de l'émulation et de l'intérêt pour la lecture auprès des enfants. La finale du concours a consisté en une lecture à voix haute de deux à trois minutes d'un extrait de livre choisi et préparé par l'enfant, puis d'une lecture imposée par le jury. Destinés aux enfants de la classe du CE2 à la classe de la 6e, les différentes épreuves et surtout le concours de lecture à voix haute avaient pour but d'apprendre aux enfants la concentration, la compréhension d'un texte, la communication des émotions et aussi la confiance en soi.

A l'issue des compétions, les trois premiers de chaque catégorie ont été récompensés. Les premiers de chaque catégorie ont reçu une médaille d'or, un dictionnaire, un livre et un bon d'achat de livres d'une valeur de 15 000 FCFA ; les deuxièmes, une médaille d'argent puis un bon d'achat de livres d'une valeur de 10 000 FCFA ; puis les troisièmes une médaille de bronze puis un bon d'achat de livres d'une valeur de 5 000 FCFA. La bibliothèque a décidé d'offrir un livre a tous les autres participants aux concours et de décerner un prix spécial à la lecture qui a été leur coup de cœur. Malgré les larmes de déception de certains candidats à la fin de la compétition, c'est dans une ambiance bon enfant que la célébration de ce deuxième anniversaire s'est déroulée.

L'ensembles des acteurs à savoir les parents, les organisateurs, les membres du jury et même les candidats ont apprécié le concours. Le jury a formulé des recommandations afin que ces concours connaissent plus d'engouement les années à venir notamment auprès des écoles voisines de la bibliothèque. Pour madame Belem, maman de la lauréate en concours de lecture ce concours est à encourager car cela permet de renforcer le lien de l'enfant aux livres. Elle a surtout salué l'existence de ce cadre qui permet une distraction saine pour les enfants des quartiers environnants. Pour Delchrist Waré, lauréate des prix d'orthographe et de lecture, l'aventure a été intéressante et cela lui a permis de se faire de nouveaux amis !

La responsable de la bibliothèque, Bienzi Bénédicte Bama Toé, a, au nom de l'équipe, salué l'intérêt des participants, l'accompagnement des parents et des membres du jury qui ont travaillé de façon bénévole. Elle a exprimé sa reconnaissance aux différentes structures qui ont soutenu l'initiative à savoir Lefaso.net ; le Goethe Institut et la librairie Yampoukri. Engagement est pris pour tenir compte des recommandations formulations et pour faire mieux les éditions à venir.

Correspondance particulière

Célébration du saint patron des parachutistes : Le BIR 7 sacré champion du ballon militaire à Bobo-Dioulasso

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 22/12/2025 - 12:04

Les activités de cohésion des parachutistes, organisées dans le cadre de la célébration de la « Saint Michel », saint patron des parachutistes, ont connu leur apothéose le vendredi 19 décembre 2025 au camp Ouezzin Coulibaly de Bobo-Dioulasso. Cette clôture a été marquée ainsi par la finale du tournoi de ballon militaire, une compétition qui a rassemblé plusieurs composantes des Forces de défense et de sécurité (FDS) de la garnison de Bobo-Dioulasso.

La finale a opposé l'équipe du Bataillon d'intervention rapide 7 (BIR 7) à celle de la deuxième région militaire. À l'issue d'un match âprement disputé, joué en deux périodes de 25 minutes chacune, le BIR 7 s'est imposé sur le score de 6 buts à 3, remportant ainsi le trophée de la coupe de ballon militaire du commandant du Groupement commando parachutiste (GCP).

Dès l'entame de la rencontre, l'équipe du BIR 7 a imposé son rythme, dominant largement la première période. Malgré plusieurs occasions franches, elle n'a inscrit que quelques buts face à une équipe de la deuxième région militaire restée muette au tableau d'affichage à la pause. Au retour des vestiaires, la physionomie du match a légèrement changé. Plus entreprenante, l'équipe de la deuxième région militaire est parvenue à réduire l'écart en inscrivant trois buts. Mais la détermination du BIR 7 a finalement fait la différence, avec l'ajout d'un autre but scellant définitivement l'issue de la rencontre.

La photo de famille de l'équipe championne avec les officiels

Au coup de sifflet final, le BIR 7 a été sacré vainqueur et est reparti avec le trophée, des médailles et une enveloppe financière de 250 000 FCFA. La deuxième région militaire, classée deuxième, a reçu des médailles et une somme de 200 000 FCFA, tandis que la troisième place est revenue à la Base aérienne 210, récompensée par des médailles et une enveloppe de 150 000 FCFA.

Au-delà de la finale du ballon militaire, ces activités de cohésion ont été riches et variées. Elles comprenaient notamment un cross de cohésion, un tournoi de ballon militaire, un triathlon combinant course d'orientation, tir et sauts parachutistes, des jeux de société (dames, ludo, cartes, pétanque), une journée de salubrité, un match de gala ainsi qu'un repas de cohésion. Autant d'activités conçues comme de véritables tests d'opérationnalité, mais surtout comme des leviers de renforcement de la cohésion et de l'esprit de fraternité entre les FDS.

Une vue des autorités présentes à la finale du tournoi de ballon militaire

Selon le commandant du GCP, le chef de bataillon Honoré Sia, l'objectif principal de l'organisation était de renforcer la cohésion et la fraternité entre les Forces de défense et de sécurité à travers le sport et les activités opérationnelles. De manière spécifique, le tournoi a permis d'offrir un cadre d'échanges, de détente et de convivialité aux FDS, de consolider la confiance mutuelle et l'amitié entre les différentes forces, de valoriser une image positive et accessible des FDS, tout en sensibilisant les participants aux valeurs de paix, de patriotisme et de tolérance.

Le commandant du GCP, le chef de bataillon Honoré Sia, s'est dit pleinement satisfait de l'engouement et de la mobilisation autour de ces activités

La finale de la coupe de ballon militaire du commandant GCP a connu la participation de plusieurs personnalités civiles et militaires, dont le ministre en charge de l'environnement, Roger Barro. L'édition 2025 était placée sous la présidence du colonel Herman Rouamba, chef d'état-major de l'armée de terre, représenté pour l'occasion par le lieutenant-colonel Abdel Aziz Boris Nadié. Cette cérémonie a également été marquée par un important geste de solidarité à l'endroit des familles des militaires du GCP tombés sur le champ de bataille. Des dons de vivres leur ont été remis, témoignant de la reconnaissance et du soutien constant de la grande famille militaire envers les ayants droit de leurs camarades disparus.

Parrain de la cérémonie, le lieutenant-colonel Lassané Porgo, commandant de la deuxième région militaire de Bobo-Dioulasso, a salué la réussite de ces activités de cohésion. « Nous venons d'assister à la clôture des activités de cohésion du groupement commando parachutiste, entrant dans le cadre de la célébration de la Saint Michel. Il y a eu de nombreuses activités, aussi bien sociales, de développement que sportives. Ce soir, nous avons vu de très beaux jeux entre la deuxième région militaire et le BIR 7. Mais au final, ce sont toutes les équipes, toutes les FDS et toute la population de la région qui ont gagné, parce que ce que nous avons constaté, c'est la cohésion », a-t-il déclaré.

Parrain de la cérémonie, le lieutenant-colonel Lassané Porgo, commandant de la deuxième région militaire de Bobo-Dioulasso, a salué la réussite de ces activités de cohésion

Il a également souligné l'importance de la symbiose entre les FDS et les populations, rappelant que c'est dans l'unité que réside la force. « C'est ce que le leader, le capitaine Ibrahim Traoré, nous demande toujours : être ensemble. Ensemble, nous sommes forts. À travers cette cohésion et l'accompagnement de la population, nous allons reconquérir tous les territoires afin de vivre en paix et continuer à célébrer ce genre d'événements partout où la vie reprend », a-t-il rassuré, avant de féliciter l'ensemble des organisateurs et participants.

La deuxième région militaire, classée deuxième, a reçu des médailles et une somme de 200 000 FCFA

Pour sa part, le commandant du GCP, le chef de bataillon Honoré Sia, s'est dit pleinement satisfait de l'engouement et de la mobilisation autour de ces activités. « Les objectifs que nous avons visés en organisant ces activités ont été largement atteints. Les équipes se sont engagées pleinement et les résultats obtenus, que ce soit en course d'orientation, en tir ou sur la course de 8 km, sont très satisfaisants. Cela nous motive à nous préparer davantage afin que les prochaines éditions se déroulent dans de meilleures conditions », a-t-il confié.

Il a également eu une pensée pour les camarades tombés au combat et pour les familles qu'ils ont laissées derrière eux. « Ils ne sont pas tombés en vain. Nous sommes et resterons aux côtés de leurs familles. En leur nom, nous allons continuer le combat jusqu'à la victoire finale. C'est la famille, c'est l'armée, c'est les FDS », a-t-il affirmé, réitérant l'engagement des parachutistes à soutenir moralement et matériellement les veuves et orphelins des soldats tombés.

Dès l'entame de la rencontre, l'équipe du BIR 7 a imposé son rythme, dominant largement la première période

Au terme de cette célébration, rendez-vous est d'ores et déjà pris pour 2026, pour la troisième édition des activités de cohésion des parachutistes, avec « l'ambition de faire encore mieux au service de l'unité et de la fraternité au sein des forces de défense et de sécurité ».

Romuald Dofini
Lefaso.net

The Books FP’s Contributors Loved This Year

Foreign Policy - Mon, 22/12/2025 - 12:00
Our favorite books—and reviews—of 2025.

FIREPOWER: The year in defence, wrapped

Euractiv.com - Mon, 22/12/2025 - 11:53
Plus Hygge conscripts, Canada SAFE, and Danes to the rescue

Les risques psychosociaux en Afrique : Un défi économique et social majeur

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 22/12/2025 - 11:52

Une réalité silencieuse qui pèse lourd
Longtemps considérés comme un problème exclusif des pays occidentaux, les risques psychosociaux (RPS) s'imposent aujourd'hui comme une préoccupation majeure sur le continent africain.
Derrière les chiffres de croissance économique se cache une réalité préoccupante : stress chronique, burn-out, violence au travail, harcèlement...
Ces maux touchent désormais massivement les travailleurs africains, avec des conséquences dramatiques tant sur le plan humain qu'économique.

L'ampleur du problème : des chiffres alarmants

Une santé mentale en souffrance
La situation de la santé mentale en Afrique révèle une crise profonde. La dépression touche environ 26,9% de la population en Afrique subsaharienne, un taux significativement plus élevé que la moyenne mondiale de 10 à 20%.

L'Afrique du Sud offre un aperçu inquiétant de cette réalité : selon le rapport Mental State of the World 2022, le pays détient le triste record du taux le plus élevé de population en détresse psychologique au monde, avec 35,8% de ses habitants confrontés à des problèmes de santé mentale. Par ailleurs, 25,7% des Sud-Africains souffrent de dépression, avec un taux de suicide parmi les plus élevés mondialement (23,5 pour 100 000 habitants).

Un système de soins dramatiquement insuffisant
Les ressources dédiées à la santé mentale en Afrique sont dérisoires. Le continent ne dispose que de 1,4 professionnel de santé mentale pour 100 000 habitants, contre une moyenne mondiale de 9 pour 100 000. Dans certains pays, on ne compte que 0,1 psychiatre pour 100 000 personnes.
Le budget alloué est tout aussi révélateur : les gouvernements africains ne consacrent en moyenne que 0,90 dollar par personne à la santé mentale, quand les pays développés investissent plusieurs centaines de dollars par habitant. Cette sous-allocation budgétaire laisse 98,8% des personnes nécessitant des soins, sans accès au traitement.

Les impacts sociaux dévastateurs
Des travailleurs fragilisés
Les RPS en Afrique se manifestent par plusieurs facteurs aggravants :
 La précarité professionnelle : Le secteur informel représente entre 30 et 50% du PIB en Afrique de l'Ouest et emploie 60 à 90% de la main-d'œuvre totale. Cette précarité économique constitue un terreau fertile pour les problèmes de santé mentale.

 La vulnérabilité des soignants : Les professionnels de santé africains font face à des conditions de travail particulièrement difficiles, caractérisées par des horaires prolongés, des charges de travail écrasantes et des ressources limitées, provoquant épuisement professionnel et détresse psychologique.
 La pression démographique : Avec une population qui devrait doubler d'ici trois décennies, les jeunes Africains sont confrontés à des marchés du travail hautement compétitifs, générant frustrations et recours aux substances addictives.

Des conséquences sur la société
Les RPS ne se limitent pas aux individus affectés. En Afrique, où les structures familiales et communautaires sont fondamentales, un travailleur en souffrance impacte directement son entourage. Les études montrent que pour chaque femme traitée pour dépression, jusqu'à quatre membres de sa famille bénéficient d'améliorations.
Les conséquences incluent :

 Augmentation de l'absentéisme scolaire des enfants (30% des cas)
 Dégradation de la sécurité alimentaire familiale
 Tensions et violences domestiques accrues
 Rupture du tissu social communautaire

Le coût économique colossal des RPS
Des pertes de productivité massives
À l'échelle mondiale, la dépression et l'anxiété font perdre 12 milliards de jours de travail chaque année, représentant une perte de productivité de 1000 milliards de dollars annuellement. Dans les pays développés, les RPS représentent 3 à 4% du PIB.
Bien que les données spécifiques à l'Afrique soient limitées, les observations de terrain montrent des impacts similaires :

 Baisse de performance pouvant atteindre 20%
 Augmentation significative du taux d'absentéisme
 Rétention d'informations et sabotage passif par des employés démotivés
 Turnover élevé nécessitant des recrutements et formations coûteux

Les coûts directs et indirects
Les entreprises africaines subissent plusieurs types de coûts :

Coûts directs :
 Arrêts maladie et indemnités
 Cotisations sociales majorées
 Frais médicaux et hospitalisation
 Indemnisations en cas d'accidents du travail

Coûts indirects :
 Diminution de la qualité du travail
 Erreurs accrues et non-qualité
 Gestion administrative complexifiée
 Dégradation de l'image employeur
 Difficultés de recrutement et fidélisation

Coûts stratégiques :
 Perte de compétitivité
 Diminution de l'innovation
 Incapacité à saisir les opportunités de marché
 Affaiblissement de la position concurrentielle

Les barrières persistantes
La stigmatisation : l'obstacle majeur
La stigmatisation demeure le principal frein à l'accès aux soins en Afrique. Les croyances culturelles et religieuses empêchent de nombreuses personnes de chercher de l'aide, par crainte du jugement ou de la discrimination. Cette réalité est particulièrement marquée dans le secteur informel, où révéler ses difficultés peut menacer la sécurité de l'emploi.

Un écart générationnel significatif
Un fossé générationnel se creuse dans les milieux professionnels africains. Les jeunes générations, plus conscientes de leurs besoins en santé mentale, exigent un accès aux soins et une meilleure qualité de vie au travail. Les générations plus anciennes, en revanche, peinent souvent à reconnaître la légitimité de ces préoccupations.

Les défis du secteur informel
Avec la majorité des emplois africains concentrés dans le secteur informel, l'accès aux programmes d'aide aux employés ou aux services de santé mentale reste quasi inexistant pour la plupart des travailleurs.

Les solutions pour inverser la tendance
1. Former et sensibiliser massivement
Formation des managers : Investir dans la formation managériale pour développer des compétences en intelligence émotionnelle, gestion empathique et détection des signaux de souffrance. Les "guerriers bienheureux" (managers alliant compétence et chaleur humaine) démontrent des résultats supérieurs en termes d'engagement et de performance.

Campagnes de déstigmatisation : Lancer des campagnes publiques pour normaliser la discussion autour de la santé mentale, en s'appuyant sur des figures respectées et en utilisant un langage adapté au contexte culturel local.
Éducation à la santé mentale : Intégrer l'éducation à la santé mentale dès l'école pour former une génération capable de reconnaître les symptômes et de chercher de l'aide.

2. Développer des interventions adaptées au contexte africain
Thérapies de groupe : L'Organisation Mondiale de la Santé recommande la thérapie interpersonnelle de groupe comme solution évolutive pour l'Afrique. Cette approche, moins coûteuse et culturellement appropriée, permet de traiter davantage de personnes. Les résultats sont probants : plus de 80% des femmes traitées sont libérées de la dépression à la fin de la thérapie.

Approches communautaires : Privilégier des interventions centrées sur les communautés plutôt que sur les individus, réduisant ainsi la stigmatisation et renforçant les réseaux de soutien traditionnels.
Intégration aux soins primaires : Former les agents de santé de première ligne pour détecter et prendre en charge les troubles mentaux, palliant ainsi le manque de spécialistes. 79% des pays de la région africaine ont déjà introduit cette formation.

3. Mettre en place des politiques d'entreprise proactives
Programmes d'assistance aux employés (PAE) :
 Consultations confidentielles
 Évaluations et orientations vers les soins appropriés
 Interventions en cas de crise
 Services de soutien à l'équilibre vie professionnelle-vie personnelle
 Ateliers éducatifs sur la gestion du stress

Organisation du travail saine :
 Charges de travail raisonnables
 Autonomie et contrôle sur son activité
 Reconnaissance et valorisation
 Communication transparente
 Prévention du harcèlement et des violences
Aménagements raisonnables : Adapter l'environnement de travail aux capacités et besoins des employés ayant des problèmes de santé mentale.

4. Investir stratégiquement
Budget gouvernemental : Augmenter significativement l'allocation budgétaire à la santé mentale. L'investissement rapporte : chaque dollar investi dans le traitement de la dépression et de l'anxiété génère un retour de 4 dollars en amélioration de la santé et de la productivité.
Infrastructures : Développer des centres de soins communautaires accessibles et former massivement des professionnels de santé mentale locaux.
Recherche contextuelle : Financer des études pour comprendre les spécificités africaines des RPS et développer des solutions sur mesure.

5. Renforcer le cadre légal et réglementaire

Législation protectrice : Adopter ou renforcer les lois sur la santé mentale au travail, comme l'ont fait le Ghana avec son Mental Health Act ou le Kenya avec sa politique gouvernementale sur la santé mentale en milieu de travail.
Obligations employeurs : Imposer l'évaluation des RPS et la mise en place de mesures préventives dans toutes les entreprises, y compris le secteur informel.
Collaboration intersectorielle : Créer des partenariats entre ministères (Santé, Travail, Éducation) pour une approche coordonnée.

6. Utiliser la technologie et l'innovation

Télé-santé mentale : Développer des applications et plateformes de téléconsultation pour surmonter les barrières géographiques et le manque de professionnels.
Lignes d'écoute : Mettre en place des numéros verts accessibles 24h/24 pour un soutien immédiat.
Données et monitoring : Créer des systèmes de collecte de données pour mesurer l'ampleur du problème et l'efficacité des interventions.

Un cercle vertueux à construire
L'investissement dans la prévention et le traitement des RPS n'est pas une dépense mais un investissement rentable. Les entreprises qui privilégient le bien-être de leurs employés constatent :

 Une amélioration de la motivation et de l'engagement
 Une hausse de la productivité et de la qualité
 Une réduction du turnover et de l'absentéisme
 Un renforcement de l'innovation et de la créativité
 Une meilleure attractivité et réputation
En Afrique, où la population jeune et dynamique représente un potentiel économique considérable, ignorer les RPS revient à hypothéquer l'avenir. À l'inverse, agir maintenant permettra de libérer ce potentiel et de construire des économies plus résilientes, inclusives et prospères.

Conclusion : l'urgence d'agir
Les risques psychosociaux en Afrique ne sont plus une question émergente mais une urgence absolue. Avec 46% des pays africains sans politique de santé mentale mise en œuvre, et des ressources dramatiquement insuffisantes, le continent fait face à un défi colossal.
Pourtant, des solutions existent et ont fait leurs preuves. De l'Afrique du Sud au Kenya, en passant par le Rwanda et le Ghana, des initiatives prometteuses montrent qu'un changement est possible. Mais le rythme actuel des progrès reste trop lent.

L'enjeu est clair :
 Transformer la santé mentale au travail d'un coût à supporter, en un investissement créateur de valeur.
 Pour les travailleurs africains qui aspirent à la dignité et au bien-être. Pour les entreprises qui recherchent la performance durable.
 Et pour les sociétés africaines qui construisent leur avenir.
Le moment d'agir, c'est maintenant. Car comme le dit si bien le proverbe : il faut soigner le travail pour ne pas avoir à soigner la personne qui fait le travail.
"La santé mentale n'est pas un luxe des pays riches, c'est un droit humain fondamental et un investissement économique intelligent pour toutes les nations, particulièrement celles en développement." - Organisation Mondiale de la Santé

#RisquesPsychosociauxAfrique ; #MinistrèreTravailBurkina ; #CNPSCI ; #CNSSBF ; #CNSSBENIN
Dr Sounkalo DJIBO
Ergonome industriel
Enseignant DES Médecine du Travail, UCAD Dakar, Sénégal
Enseignant DES Médecine du Travail, URESTE Cotonou, Bénin
Promoteur Sahelors Consulting (www.sahelors.com )

Rescued from Fire: the World in 2025

Africa - INTER PRESS SERVICE - Mon, 22/12/2025 - 11:51

By Farhana Haque Rahman
TORONTO, Canada, Dec 22 2025 (IPS)

Our traditional “year-ender” usually kicks off with a grim litany of world disasters and crises over the past 12 months, highlights IPS partners and contributors and culminates in a more positive-sounding finale. This time I’d like to begin on a more personal note intended also as a metaphor.

Farhana Haque Rahman

On November 20 when the UN climate talks COP30 in Belem, Brazil, looked set to spill over into extra time as delegates harassed by fossil fuel lobbyists haggled over a concluding text, fire broke out in the conference centre. Cue flames and panic.

As thousands looked for the nearest exit, a young Bangladeshi diplomat saw me and instead of joining the mass scramble, he gallantly led me through the crowds to safety. Thank you Aminul Islam Zisan for demonstrating when in crisis people can come together in unique ways.

Thankfully no one was killed in the fire; talks resumed and the Conference of Parties process survived in the form of a concluding document that could be interpreted as a small step forward in the global battle to stem the climate crisis, even while making only an oblique reference to the fossil fuels that are largely creating it.

COP’s survival was not assured given the US boycott ordered by President Donald Trump who dismissed climate change as “the greatest con job” in addressing the UN General Assembly in September.

The US absence from Belem in fact inflicted more damage to the US in terms of its global standing, just as Trump’s decision to shun the G20 talks running parallel in Johannesburg only deepened its reputational harm. Salt was diplomatically rubbed into its self-inflicted wounds by the dignity of G20 host President Cyril Ramaphosa who ignored US opposition from afar and steered adoption of a declaration addressing global challenges, notably the climate crisis.

Looking back, perhaps this was the week that quietly brought the curtain down on the Age of America. Unpredictability, chaos, violence and institutionalised cruelty are the early symptoms of the dramatic shift in 2025 towards unilateralism and protectionism.

Hundreds of Palestinians, including scores of children, have been killed since the US-brokered “truce” between Israel and Hamas began on October 11. Russian air strikes against Ukrainian civilian targets have also regularly punctuated Trump’s flip-flopping efforts to end a war he said he could finish on day one of his presidency.

Sharp cuts in US aid ordered by Trump in January have “fuelled a global humanitarian catastrophe”, according to a statement by the UN Human Rights Council on July 31. Citing two independent experts on poverty, food and human rights, the Council said: “More than 350,000 deaths stemming from the aid cuts have already been estimated, including more than 200,000 children.”

Famine is spreading with the conflict in western Sudan, and lack of finance has also led to cuts in vital UN aid to South Sudan. Over one million people caught in Myanmar’s largely forgotten civil war had their lifesaving support cut by the UN World Food Programme because of funding shortfalls.

Civicus, a global alliance of civil society organizations and activists working to strengthen citizen action, says these multiple and connected crises – conflict, climate breakdown and democratic regression – are overwhelming the international institutions designed to address the problems that states can’t or won’t resolve. US withdrawal from global bodies threatens to worsen this crisis in international cooperation.

But as CIVICUS’s 2025 State of Civil Society Report outlines, civil society has ideas about how to save the UN by putting people at its heart: a theme embraced at COP30 by Open Society Foundations President Binaifer Nowrojee who endorsed Brazil’s democratic leadership for elevating Indigenous and Afro-descendant voices and bringing human rights back to the centre of climate action.

In this rapidly shifting world order, Nowrojee sees the Global South stepping forward with new ideas and a new vision rooted in dignity, fairness, and protection of the planet.

Arguably the most important agreement emerging from COP30 was the Just Transition Mechanism which aims to ensure fair development of a global green economy, protecting the rights of all people, including workers, women and Indigenous people.

Coral Pasisi, Director of Climate Change and Sustainability for the Pacific Community (SPC), highlighted at COP30 how critical the situation has become for island nations experiencing accelerating climate impacts and hoping for meaningful breakthroughs in Belem. She raised the need for stronger support from developed countries for Loss and Damage.

The Gen Z demonstrators who have rocked regimes in South Asia and Africa are certainly stepping up with their visions for fairer futures for all, their protests aimed against nepotism and corruption among entrenched elites. They have been met with bullets in Bangladesh last year, and in Nepal – where the government was forced to resign in September – as well as Tanzania where hundreds were reported killed. Gen Z protests this year also rocked Indonesia, the Philippines and Morocco.

As Jan Lundius, a Swedish researcher, wrote in IPS: “Even though specific incidents triggered these upheavals, they were all due to long-term, shared grievances evolving from stark wealth gaps, rampant nepotism, and unlimited corruption. Above all, youngsters protested against members of powerful dynasties, favouring a wealthy and discredited political elite.”

A combination of conflict and climate disasters can have disastrous long-term consequences, particularly for children’s education. Initiatives supported by IPS like Education Cannot Wait (ECW) and the Safe Schools Declaration focus on providing quality, inclusive education to crisis-affected children to prevent long-term cycles of poverty and instability.

Hurricane Melissa which swept through the Caribbean in October served as a harsh reminder that 5.9 million children and adolescents in Latin America and the Caribbean could be pushed into poverty by 2030 due to loss of education as a result of climate change if governments do not intervene soon, according to UNICEF.

The World Bank estimated the physical damage inflicted by Hurricane Melissa on Jamaica at some $8.8 billion, or 41% of the country’s 2024 GDP.

However the Intergovernmental Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES) has also warned governments that they are underestimating or ignoring the inextricable links between climate change, nature loss and food security. Its latest assessment, approved by nearly 150 countries meeting in Windhoek, Namibia, warned that biodiversity is declining everywhere, largely as a result of human actions.

CGIAR, a global research partnership focused on food security, is facing a very different world from when it was founded nearly 50 years ago in terms of having to address climate change, biodiversity loss, and new conflicts, according to CGIAR Chief Scientist Dr Sandra Milach. A major focus is on equipping 500 million small-scale producers for climate resilience to protect their livelihoods and increase stable incomes.

A year-ender wouldn’t be complete in the run-up to festive celebrations without at least a mention of the major religious figures to dominate the news.

Pope Francis, one of the most outspoken pontiffs in modern times, died on Easter Monday. Chicago-born Robert Francis Prevost, 69, became his successor, the first North American elected to the role. Choosing to be known as Pope Leo XIV he called for an end to the ‘barbarity’ of the war in Gaza. He also took aim at climate sceptics and appealed for urgent actions to be taken by world leaders at COP30.

The Dalai Lama, spiritual leader of Tibetan Buddhism, turned 90 in exile in India, and also made a call for peace in the world. To the delight of his followers, he made clear that he would be reincarnated and that only his trusted inner circle of monks would have the “sole authority” to locate his successor. China swiftly rebuffed his declaration, saying his successor must be approved by Beijing.

In 2025 the world marked 80 years since the end of the Second World War. Minoru Harada, a Buddhist monk and head of Soka Gakkai, recalled his childhood experience of the fire-bombing of Tokyo and pledged his organisation’s determination that no one should have to endure the horrors of war.

Farhana Haque Rahman is Senior Vice President of IPS Inter Press Service and Executive Director IPS Noram; she served as the elected Director General of IPS from 2015-2019. A journalist and communications expert, she is a former senior official of the United Nations Food and Agriculture Organization and the International Fund for Agricultural Development.

IPS UN Bureau

 


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CAN 2025 : Salah parviendra-t-il enfin à soulever le trophée alors que le Maroc vise le sacre à domicile ?

BBC Afrique - Mon, 22/12/2025 - 11:27
Deux des plus grands noms du football africain, Achraf Hakimi et Mohamed Salah, espèrent mener leurs nations à la gloire à la Coupe d'Afrique des nations.
Categories: Afrique, Russia & CIS

Bilan géopolitique 2025

IRIS - Mon, 22/12/2025 - 11:20

Cette année 2025 a été particulièrement marquée par le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, un événement qui bouleverse en profondeur l’ordre international. Son élection constitue une véritable rupture géopolitique : il s’attaque au système international issu de la Seconde Guerre mondiale, remet en cause le concept de monde occidental et l’Alliance transatlantique. Face à ce choc, l’Europe demeure dans le déni et la crainte, tandis que le fossé ne cesse de se creuser entre le « Sud global » et ce qui constituait jusqu’ici le monde occidental. Parmi ceux qui voient dans la victoire de Donald Trump une opportunité figurent Vladimir Poutine, qui voit Washington reprendre quasi au mot près toutes ses exigence dans le cadre des négociations concernant l’Ukraine ; Benyamin Netanyahou, à la tête d’un Israël qui se présente comme vainqueur sur le plan régional mais dont l’image internationale est durablement dégradée ; ainsi que Xi Jinping, qui tire avantage d’une présidence étasunienne dysfonctionnelle et apparaît, par contraste, comme le dirigeant d’un pays stable, respectueux et fiable, notamment en Amérique latine. Quant à l’Inde, la Turquie ou l’Arabie saoudite, ces puissances intermédiaires multiplient les partenariats. Dans le même temps, les conflits persistent sur le continent africain, tandis que l’ASEAN parvient à préserver son dynamisme économique malgré le conflit entre la Thaïlande et le Cambodge.

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