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Vermittlungstreffen: Baerbock empfängt Außenminister von Aserbaidschan und Armenien

Euractiv.de - Wed, 02/28/2024 - 10:35
Der Konflikt zwischen Aserbaidschan und Armenien schwelt seit Jahrzehnten und flackert immer wieder auf. Bundesaußenministerin Annalena Baerbock will in dem Konflikt vermitteln und trifft ihre armenischen und aserbaidschanischen Amtskollegen deshalb am Mittwoch und Donnerstag. 
Categories: Europäische Union

[Analyse] Envoyer des troupes au sol en Ukraine. Que voulait dire Emmanuel Macron ? Dans quel objectif ?

Bruxelles2 - Wed, 02/28/2024 - 10:30
Emmanuel Macron répondant à la question sur l'envoi de troupes (Flux images : Elysée, Sélection : B2)

(B2) Une petite phrase à l'issue d'un sommet spécial sur l'Ukraine au sortir de l'Élysée. Et l'Europe s'enflamme. Aussitôt s'enclenche une machine bien rodée, consistant à réinterpréter la parole présidentielle, à l'amoindrir. Revenons aux sources exactes. Avant de les interpréter et les expliquer.

Quel propos ? Comment les interpréter ?

Qu'a dit exactement Emmanuel Macron, dans quel contexte ?

C'était au sortir de la réunion au sommet qu'il a convoquée à l'Élysée afin de franchir un cran dans le soutien à l'Ukraine (lire : [Verbatim] Face au durcissement russe, les Européens disposés à accélérer le mouvement).

Répondant à une question d'une journaliste (de l'agence Bloomberg) qui l'interroge sur la phrase du Slovaque Robert Fico parlant de son refus d'accepter l'envoi de troupes au sol, le président français répond illico, sans hésiter : « Tout a été évoqué ce soir de manière très libre et directe. Il n'y a pas de consensus aujourd'hui pour envoyer de manière officielle, assumer et endosser des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. » Et d'ajouter : « Nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre. »

Et il justifie ensuite cette locution : « Beaucoup de gens qui disent : « jamais, jamais » aujourd'hui, étaient les mêmes qui disaient : « jamais, jamais des tanks, jamais, jamais des avions, jamais, jamais des missiles de longue portée, jamais, jamais ceci ... » il y a deux ans ». Avant de conclure : « Tout est possible si c'est utile pour atteindre notre objectif. »

Des forces au sol ?

Premièrement, chaque mot indiqué est pesé. Il ne s'agit pas d'un dérapage. Mais d'une explication claire, longue (plusieurs phrases), argumentée (but, moyens, justification). Emmanuel Macron parle bien ainsi de « troupes », « au sol », avec un objectif fixé : « que la Russie ne gagne pas la guerre ». Il n'est pas question d'envoyer quelques formateurs à l'arrière, des spécialistes de l'appui cyber, dans un coin de Kiev ou d'ailleurs (1), voire des personnels chargés de la maintenance des équipements militaires fournis aux Ukrainiens (Caesar, SAMP/T, Amx, etc.) ou de quelques officiers d'état-major ou d'agents de renseignement (2). Il n'y a pas de doute possible. Il s'agit, a priori, de forces de combat. Il le répète d'ailleurs clairement ensuite, l'objectif est bien de franchir une étape conséquente : « tout est possible si c'est utile pour atteindre notre objectif ».

Une option plus qu'un projet

Deuxièmement, on parle d'éventualité, « d'option ». Dans l'esprit d'Emmanuel Macron, c'est une idée à travailler, issue d'un brain storming : « tout a été évoqué ce soir de manière très libre et directe ». Il le précise d'ailleurs : « il n'y a pas de consensus » sur la question. On pourrait même dire : il n'y a aucun consensus. Mais a priori, pour la France, c'est une possibilité sérieuse. A la question négative, de savoir « pourquoi la France n'y est pas favorable à ce stade » il répond immédiatement par une double négation (qui est positive) : « alors je n'ai absolument pas dit que la France n'y était pas favorable ». Mais il se refuse au nom de « l'ambiguïté des débats » de dire qui est pour. « Je dis que cela a été évoqué parmi les options. » En clair, on est dans une option à travailler (en fait déjà travaillée).

Des forces d'accompagnement

Bien sûr, on peut réinterpréter les propos, comme l'a fait le ministre des Armées. Sébastien Lecornu, devant la commission Défense de l'assemblée nationale mardi (27 février), évoque ainsi plutôt une « réflexion » engagée pour « faire différemment des choses dans notre accompagnement et notre aide à l'Ukraine », avec « quelques idées autour du déminage et autour de la formation ». C'est exact. Il y a bien plusieurs réflexions engagées, notamment dans le cadre de la mission de formation de l'UE (EUMAM Ukraine) pour tenir certaines formations sur place. Elle n'est pas encore aboutie. De même, une coalition « déminage » a été constituée entre vingt Alliés (dont la France), conduite par la Lituanie et l'Islande. Et une action est déjà démarrée en trio par les Roumains, Bulgares et Turcs pour le déminage maritime (mer Noire). Mais ce n'est pas de cela auquel fait référence le président de la République.

Pourquoi un tel propos ?

Plusieurs raisons peuvent expliquer ce qui n'est pas juste un « bon mot ». J'en vois cinq qui peuvent s'additionner.

1° Un signal stratégique plutôt qu'un coup de fusil ?

Il y a tout d'abord une volonté de répondre aux rodomontades de menace de la Russie. Le principe est de dire : nous sommes capables d'aller plus loin dans notre coopération. De la même manière que la France (et les alliés) ont déjà envoyé plusieurs signaux stratégiques à la Russie depuis le début de l'intervention militaire de 2022 : une sortie pas trop discrète de sous-marins nucléaires de l'Ile Longue, des vols d'avions de chasse bien conditionnés, des manœuvres militaires, etc. Une sorte de dissuasion morale. La terminologie « « tout est possible si c'est utile » remplit cet objectif. Ce signal politique est intéressant à condition qu'il soit pris au sérieux.

2° Une préparation de l'opinion publique ?

Pour être dissuasif, ce message doit être crédible. Pour faire la différence et peser sur le terrain, il faudrait que la France et les Européens envoient plusieurs milliers, voire plusieurs dizaines de milliers d'hommes. Il faudrait aussi accepter un taux de perte notable, largement supérieur aux autres opérations extérieures (Balkans, Afghanistan, Sahel), de l'ordre de 10% à 20% des personnels envoyés. Les Français, Britanniques et Canadiens sont-ils prêts à assumer dans leurs rangs des centaines de morts et milliers de blessés ? Pas sûr. Du moins en l'état des opinions aujourd'hui.

3° Des options à travailler ?

L'envoi de troupes en nombre limité, par exemple de moniteurs (mentoring) qui accompagnent les troupes « de manière officielle » sur le terrain pourrait être possible, à terme. Idem dans le domaine maritime : il n'est pas interdit de penser à une aide de commandos marines à leurs homologues ukrainiens pour cibler la flotte russe et reconquérir la Crimée. Etc. Le point fondamental du raisonnement d'Emmanuel Macron, il ne faut pas dire « jamais, jamais ». Enfin, il pourrait être possible de déployer des forces en nombre en Moldavie, à titre bilatéral (le pays n'est pas membre de l'OTAN) afin de protéger ce territoire où les Russes ont créé une enclave militaire (la Transnistrie). Cette option fait d'ailleurs partie des « points de consensus » de la réunion. On passerait ainsi de la « planification froide » (comme diraient les militaires), c'est-à-dire toutes les idées possibles même les plus inimaginables, à de la planification chaude — des options réalistes.

4° Replacer la France dans la tête du peloton ?

Cette annonce permet concrètement à Emmanuel Macron de redorer un peu le blason terni par quelques déclarations précédentes dénonçant une OTAN en mort cérébrale en 2019 et surtout sa sortie sur la nécessité de « ne pas humilier la Russie » en juin 2022, en pleine présidence française de l'UE (lire : [Analyse] Un bon mot incompris qui laissera des traces). Ce qu'on appelle un « leurre » en termes militaires. Emmanuel Macron peut ainsi s'enorgueillir d'avoir été le premier à en parler et d'apparaitre aujourd'hui comme « un faucon ». Tous les autres pays sont obligés de dire : Non. La France apparait "premier de la classe" à moindre frais. On en oublierait presque que la France se classe aujourd'hui parmi les mauvais élèves en matière de soutien militaire à l'Ukraine (2), surclassée par le Royaume-Uni, l'Allemagne, la Pologne en chiffres nets, et plusieurs autres pays (Danemark, Pays-Bas, Suède...) en chiffres relatifs (ratio PIB ou rang militaire). Objectif réussi ! Chacun ne parle plus que de l'envoi de troupes. Opération de com' réussie. Chapeau bas l'artiste.

5° Apprendre à penser en Européens, sans l'OTAN ?

L'Alliance atlantique est la grande oubliée. Pas un seul mot d'Emmanuel Macron sur le sujet. Le président français parle d'Européens ou d'Alliés. Mais de l'organisation en tant que telle, rien, zéro, nada. Il le reconnait lui-même : « le but de la réunion » c'était de « décider en Européens ». Interrogé sur l'OTAN, le président français répond Europe. « L'Union européenne, c'est 30 % aujourd'hui de l'effort et de l'investissement militaire. » Cette guerre « est une guerre européenne ». C'est « aux Européens » de s'organiser (NB : Britanniques compris). Cela « fait partie de ce sursaut stratégique que j'évoque depuis sept ans ». Il ne faut pas « déléguer notre avenir à l'électeur américain » (une référence à une possible élection de Trump). Et d'ajouter : « Je crois dans une Europe de la défense. Je pense que c'est notre sol et notre continent. » NB : Une constante chez Emmanuel Macron qui retrouve un certain vibrato laissé de côté ces derniers temps.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Des troupes non officielles bien présentes ?

Point à ne pas oublier, au passage, le président de la République confirme de manière explicite que de « manière non officielle », des troupes de plusieurs pays européens sont déjà au sol. Ce qui n'était pas tout à fait assumé depuis le début de la guerre. Par ce geste, Emmanuel Macron a ainsi franchi un pas. D'où la vigueur des dénégations dans plusieurs pays — des USA à la Suède en passant par le Royaume-Uni ou l'Allemagne.

  1. La réaction cyber est une des premières offres qu'a fait l'Europe, dès le début des tensions en janvier 2022 ! (lire : Cyberattaque en Ukraine. L’Europe et la France offrent leurs services. L’Unité de réaction rapide lituanienne prête à être déployée).
  2. Quelques uns de ces éléments sont déployés en toute discrétion.
  3. Si le chiffre donné par l'institut Kiel est un peu bas, il a le mérite de la méthodologie, ce que n'a pas le chiffrage donné par l'Assemblée nationale ou le ministère des Armées. Ce chiffre officiel est tout sauf fiable. Il ne déduit pas les remboursements à attendre de la facilité (500 millions d'euros) et il prend en compte de la valeur de remplacement au lieu de la valeur réelle ou de stock.

Categories: Défense

Les dirigeants européens rejettent en bloc l’envoi de troupes en Ukraine

Euractiv.fr - Wed, 02/28/2024 - 10:26
La possibilité évoquée par le président français Emmanuel Macron d’envoyer des troupes occidentales en Ukraine a été rejetée par plusieurs dirigeants européens, que ce soit en Allemagne, en Pologne ou encore en Espagne.
Categories: Union européenne

36/2024 : 2024. február 28. - a Törvényszék T-7/19. sz. ügyekben hozott ítélete

Scandlines Danmark és Scandlines Deutschland kontra Bizottság
Állami támogatás
State aid: the General Court dismisses the actions regarding the financing of the Fehmarn Belt fixed link project between Denmark and Germany

36/2024 : 28 February 2024 - Judgments of the General Court in Cases T-7/19

European Court of Justice (News) - Wed, 02/28/2024 - 10:05
Scandlines Danmark and Scandlines Deutschland v Commission
State aid
State aid: the General Court dismisses the actions regarding the financing of the Fehmarn Belt fixed link project between Denmark and Germany

Categories: European Union

36/2024 : 28 février 2024 - Arrêts du Tribunal dans les affaires T-7/19

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Wed, 02/28/2024 - 10:05
Scandlines Danmark et Scandlines Deutschland / Commission, T-364/20 Danemark/Commission et T-390-20 Scandlines Danmark et Scandlines Deutschland/Commission
Aide d'État
Aides d’État : le Tribunal rejette les recours concernant le financement du projet de liaison fixe du détroit de Fehmarn entre le Danemark et l’Allemagne

Categories: Union européenne

Unwrapping reality: Independent research shows that paper food packaging outperforms plastic reusables [Promoted content]

Euractiv.com - Wed, 02/28/2024 - 10:00
The latest study from the Joint Research Centre (JRC) suggests that paper food packaging outperforms plastic reusables when robust and representative data is used. The scientific findings suggest there is no justification for bans and reuse targets.
Categories: European Union

Africa’s Debt Crisis Needs a Bold New Approach– & a Way Forward

Africa - INTER PRESS SERVICE - Wed, 02/28/2024 - 09:55

A mobile money stand in Accra, Ghana. Credit: IMF/Andrew Caballero-Reynolds

By Danny Bradlow
PRETORIA, South Africa, Feb 28 2024 (IPS)

It hasn’t been easy for African states to finance their developmental and environmental policy objectives over the past few years.
Recent events suggest that the situation may be improving. For the first time in two years, three African states have been able to access international financial markets, albeit at high interest rates. Kenya, for example, is now paying over 10% compared to about 7% in 2014.

Many African countries continue to face challenging sovereign debt situations. Total external debts as a share of Africa’s export earnings increased from 74.5% in 2010 to 140% in 2022.

In 2022, African governments had to allocate about 12% of their revenues to servicing their debt. Between 2019 and 2022, 25 African governments allocated more resources to servicing their total debts than to the health of their citizens.

And in late 2023 the International Monetary Fund estimated that over half the low income African countries were either potentially or actually experiencing difficulties paying their debts.

This suggests that it will be very difficult for Africa to raise the US$1.6 trillion that the Organisation for Economic Cooperation and Development (OECD) estimates it needs to reach the sustainable development goals (SDGs) by 2030.

One of the lessons of the COVID pandemic and the climate negotiations is that Africa can’t count on the global community to provide it with sufficient new funds or with debt relief to deal with either its development needs or the consequences of crises such as pandemics or extreme weather events.

Its official bilateral creditors appear more focused on their own needs and on other parts of the world than on Africa. Commercial creditors are happy to provide financing when conditions are favourable and African debt can help them satisfy their investment mandates.

But they are less forthcoming when the going gets tough and the risks associated with the transaction – and for which they have been compensated – actually materialise.

This suggests that Africa needs to advocate more aggressively for its own interests. This year offers some good opportunities to promote a more effective approach to African debt.

Careful planning needed

There are two international conferences where global economic governance will be on the agenda. This is also the first year that the African Union participates as a full member in the G20. In addition, South Africa, the G20 chair in 2025, currently serves on the troika that manages the G20 process. (G20 Finance Ministers are scheduled to meet in Brazil 28-29 February).

Debt and development finance will be an important topic in all these forums. African representatives can use their participation to advocate for a new approach to sovereign debt that is more responsive to African needs and concerns. They can also lobby other participating states and non-state actors for their support.

But African states will need to plan carefully. Their starting point should be the well recognised fact that the current sovereign debt restructuring process is not working for anyone. The G20 agreed a Common Framework that was supposed to help resolve the sovereign debt crises in low income countries.

Four African countries applied to have their debts restructured through the framework. Despite years of negotiations, it has failed to fully resolve the debt crisis in three of them.

Countries outside the Common Framework, such as Sri Lanka, have not managed to fully resolve their debt crises either. This is costly for both debtors and creditors. It is therefore in everyone’s interest to look for a new approach.

This requires all parties to be willing to entertain new ideas and to experiment with new approaches to old problems. African states should offer their own innovative proposals. They should also state that they are willing to take on new responsibilities if their creditors are willing to do the same.

They can remind their creditors that these experiments would not be taking place in a vacuum. They can be guided by the many existing, but under-utilised, international norms and standards applicable to responsible sovereign debt transactions, for example the Unctad principles on responsible sovereign debt transactions. Some of these relate to the conduct of sovereign borrowers.

Others focus on responsible lending behaviour and are often cited by creditors in their own policies dealing with environmental and social issues, social responsibility or human rights.

By basing any new approach on these international norms and standards, both debtors and creditors will merely be agreeing to implement principles that they have already accepted.

Working from this starting point, African states should make three specific proposals.

Concrete proposals

First, they should commit to making both the process for incurring debts and the terms of all their public debt transactions transparent.

This will ensure that their own citizens understand what obligations their governments are assuming on their behalf. It will encourage governments to adopt responsible borrowing and debt management practices.

They should also agree that they can be held accountable for their failure to comply with these transparent and responsible sovereign debt practices and procedures.

Second, African states should point out that there is a fundamental problem with a sovereign debt restructuring process that only focuses on the contractual obligations that the debtor state owes its creditors.

This focus means, in effect, that servicing its debt obligations will trump the debtor state’s efforts to deal with the country’s vulnerability to climate change and the loss of biodiversity, and with its poverty, inequality and unemployment challenges.

This follows from the fact that their creditors can use the restructuring process to force sovereign borrowers in difficulty, unlike corporations in bankruptcy, to pay those who lend them money without regard, for example, to the impact on their obligations to pensioners, public sector employees or the welfare of their citizens.

This exclusive focus on debt contracts is inconsistent with the international community’s interest in addressing global challenges like climate and inequality.

This problem can be resolved if both creditors and debtors agree that they will adopt an approach to debt negotiations that incorporates the financial, economic, social, environmental, human rights and governance dimensions of sovereign debt crises.

Third, African states should propose that their creditors publicly commit to base the new approach to sovereign debt on an agreed list of international norms and standards relevant to responsible international financial practices.

These will include those dealing with transparency, climate and environmental issues, and social matters, including human rights.

Source: The Conversation

Danny Bradlow is Professor/Senior Research Fellow, Centre for Advancement of Scholarship, University of Pretoria.

University of Pretoria provides funding as a partner of The Conversation AFRICA.

IPS UN Bureau

 


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Categories: Africa

La Roumanie interdit les cigarettes électroniques pour les mineurs

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Categories: Europäische Union

Korruptionsskandal: Spanischer Ex-Minister verlässt Regierungspartei

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Que peut-on retenir du dialogue organisé par Macky Sall ?

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Categories: Afrique

Belgien pokert ums EU-Lieferkettengesetz

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The EU’s Green Deal is going out with a whimper

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Flushed with their successful defense of the watered-down nature restoration law, progressive lawmakers in the European Parliament would have you believe that the Green Deal is alive and well: a misleading narrative at best.
Categories: European Union

Gabriel Attal au Salon de l’Agriculture sur fond de campagne contre le RN

Euractiv.fr - Wed, 02/28/2024 - 08:53
Entre verre de lait et gorgées de rhum, Gabriel Attal a arpenté mardi (27 février) le Salon de l'agriculture dans un calme qui contrastait avec le tumulte de son inauguration par Emmanuel Macron, sur fond de campagne contre l'extrême droite en vue des élections européennes.
Categories: Union européenne

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