L'interception de véhicules contenant de munitions devient de plus en plus récurrente au Port autonome de Cotonou (PAC). Après le premier arraisonné, il y a environ un mois, un véhicule d'occasion a été intercepté ce dimanche 14 novembre 2021.
Des munitions ont été encore découvertes dans un véhicule au Port autonome de Cotonou. Le véhicule en cause selon nos sources, est transporté par un bateau qui a accosté dans le port. Outre les munitions, plusieurs autres produits nocifs y auraient été retrouvés.
Une enquête est ouverte par la police.
Avant le véhicule intercepté ce dimanche, un autre avait été arraisonné le 26 octobre dernier.
F. A. A.
La juriste algérienne Maya Sahli-Fadel, vient d’être élue la vice-présidente de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, a indiqué ce lundi le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra dans un tweet.
Le chef de la diplomatie algérienne a, en effet, tenu à féliciter Maya Sahli-Fadel pour son élection vice-présidence de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples CADHP, dont elle a été membre depuis l’année 2011.
« Je lui souhaite plein succès dans ses fonctions et ses efforts pour protéger et promouvoir les droits de l’homme et des peuples en Afrique », a écrit Lamamra sur son Twitter.
Qui est Maya Sahli-Fadel ?La nouvelle vice-présidente de la CADHP a été enseignante de droit à l’Université d’Alger depuis 1981, à l’Institut diplomatique des relations internationales (IDRI) et à l’École Nationale de la Magistrature (ENM) depuis 2000.
Maya Sahli-Fadel avait également été avocate au barreau d’Alger de 1987 à 1994. Elle est membre de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, dans laquelle elle vient d’être élue vice-présidente, depuis 2011.
À travers ce poste, elle était donc la Rapporteuse spéciale de l’Union africaine sur les réfugiés, les demandeurs d’asile, les personnes déplacées et les migrants en Afrique.
L’intéressée avait également fait partie, en tant que membre, du Groupe de travail sur la peine de mort et du Groupe de travail sur les droits économiques, sociaux et culturels.
En outre, Mme Sahli-Fadel avait été membre du Groupe de travail et d’experts des Nations Unies sur les personnes d’ascendance africaine, et ce, entre 2008 et 2014.
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Les autorités béninoises ont saisi officiellement la FIFA pour des irrégularités qui ont entaché le match Bénin-RDC entrant dans le cadre de la 6è journée des éliminatoires de la Coupe du monde de football, Qatar 2022.
Face au Bénin, dimanche 14 novembre 2021, au stade les Martyrs de Kinshasa, le sélectionneur de la RDC a procédé à quatre remplacements : à la 63è, à la 77è , à la 84è et à la 90è.
Les textes de la FIFA autorisent jusqu'à cinq changements mais répartis au maximum sur trois arrêts de jeu.
Les quatre (04) changements opérés en seconde période par le sélectionneur des Léopards de la RDC lors de la 6è journée des éliminatoires du Mondial Qatar 2022 n'ont pas été faits dans les normes.
Le Bénin a donc porté sa réclamation devant l'instance internationale de régulation du football ce lundi 15 novembre 2021.
Une autre irrégularité entache la rencontre : le pénalty transformé à la 8è minute de jeu.
Si la requête du Bénin aboutit, la victoire de la RDC 2 buts à 0 contre les Ecureuils du Bénin sera annulée.
La RDC pourrait donc perdre sa victoire sur tapis vert au profit des Ecureuils du Bénin.
Par ailleurs, l'Afrique du Sud aussi a saisi la FIFA pour protester contre le Ghana pour sa victoire par penalty lors du match joué dimanche dernier.
M. M.
Le Club International des Femmes de Cotonou (CIFC) organise l'édition 2021 de ‘'Noël des arts'', samedi 20 novembre 2021, à Togbin, commune d'Abomey-Calavi.
‘'Noël des arts'' revient cette année avec de nombreuses nouveautés. Plus de 40 artisans sont attendus à cet événement qui aura lieu, samedi 20 novembre 2021, à l'espace KLT-carrefour Togbin de 9h30 à 18h.
Pour les enfants, il est prévu des activités telles que des ateliers créatifs, peintre visage et parcours sportif.
Des traiteurs feront découvrir aux participants les cuisines d'ici et d'ailleurs à savoir les brochettes du béninois Dodji et les sandwichs antillais de Baako. Alex du Hanoï Bar sera également présent avec ses nems et nouilles vietnamiennes. Sans oublier le grand et varié buffet des desserts préparés par les membres du CIFC.
De nombreux lots de valeur sont à gagner dont un billet d'avion pour l'Europe offert par Brussels Airlines, une moto Yamaha CFAO Motors et une tonne de ciment diamant offerte par Lafarge
‘'Noël des arts'' permet au CIFC de collecter des fonds qui sont investis intégralement dans les projets d'amélioration des conditions de vie des plus démunis. Depuis sa création en 1983, le Club International des Femmes de Cotonou a distribué plus de 50.000 fournitures scolaires. L'association a donné plus de 100.000 repas aux orphelinats, enfants de la rue et familles démunies.
Le Club aide à la construction d'écoles et accompagne les jeunes entrepreneurs dont les projets favorisent le développement. 75% des revenus du Club proviennent du ‘'Noël des arts''.
Le CIFC rassemble les femmes béninoises et les femmes de différentes nationalités présentes au Bénin désireuses de soutenir le développement des femmes et des enfants défavorisés du pays.
A.A.A
Written by Alex Wilson (1st edition).
On 14 July 2021 the European Commission adopted the ‘fit for 55’ package, adapting existing climate and energy legislation to meet the new EU objective of a minimum 55 % reduction in greenhouse gas (GHG) emissions by 2030. The fit for 55 package is part of the European Green Deal, a flagship of the von der Leyen Commission that aims to put the EU firmly on the path towards climate neutrality by 2050, as set out in the recently agreed European Climate Law (July 2021).
One element in the fit for 55 package is the revision of the Renewable Energy Directive (RED II), to help the EU deliver the new 55 % GHG target. Under RED II, the EU is currently obliged to ensure at least 32 % of its energy consumption comes from renewable energy sources (RES) by 2030. The revised RED II strengthens these provisions and sets a new EU target of a minimum 40 % share of RES in final energy consumption by 2030, together with new sectoral targets. In the European Parliament, the file has been referred to the Committee for Industry, Research and Energy, with the Committee on the Environment, Public Health and Food Safety as associated committee under Rule 57. Discussions on the file have also begun in the Council of the EU.
VersionsGeorgina Wabano and her mother cooking traditional food for school children in Peawanuck, ON, December 18, 2019. : © 2019 Daron Donahue
By Shantha Rau Barriga
Nov 15 2021 (IPS)
“Nothing about us without us” – that was the call from the indigenous rights advocate Ghazali Ohorella from the Alifuru people in the Maluku Islands, Indonesia during a panel at the climate summit in Glasgow.
This plea was echoed by many activists from groups marginalized by systemic oppression whom I met at COP26: young activists, women, people with disabilities, older people, refugees, people from the Global South – all of whom are the most affected but have contributed the least to the climate crisis.
These experts spoke firsthand of the impacts of the climate crisis on their communities, the ongoing struggle to have their voices heard, and the concrete actions needed to solve this existential crisis which affects us all.
Worldwide, women farmers make up nearly half of the agricultural labor force, and produce up to 80 percent of food crops in developing nations yet, in many countries, women have less access to resources, such as land rights, credit, markets, education and technology
Instead of shutting out these voices, governments should listen and learn from them.
The slogan I heard from Ohorella has long been used by disability rights advocates and the session reminded me of the negotiations toward the UN treaty on the rights of people with disabilities, which was adopted in 2006.
During that process, I saw firsthand the benefits of inclusion. Governments came to respect and recognize the expertise of people with lived disability experience, which led to major advancements on their rights. It also resulted in changed mindsets, where people with disabilities were no longer seen as objects of charity, but holders of rights.
Fifteen years later, climate activists at COP spoke about the disconnect between the knowledge held by those with lived experience and the governments seated at the table making decisions on their behalf. Activists like Gabriele Peters from British Columbia and Ayakha Melithafa from South Africa urged world leaders to work with them and learn from them.
We should listen to and incorporate this know-how to build the kind of systems change we need to respond to the climate crisis, with equity. For example, involving women in local forest management has had positive effects for both livelihoods and conservation. This is already happening in Indonesia and Brazil.
Worldwide, women farmers make up nearly half of the agricultural labor force, and produce up to 80 percent of food crops in developing nations yet, in many countries, women have less access to resources, such as land rights, credit, markets, education and technology.
By leveling the playing field through legal reforms, targeted investments, and increased women’s meaningful participation, according to Project Drawdown, a resource for climate solutions, farm yields will rise and there is less pressure to deforest. Ensuring that women are included in the design and implementation of climate planning would heighten chances of success.
Overall, lands securely held and managed by Indigenous peoples also have lower rates of deforestation than comparable areas, evidencing their successful forest management practices. Advancing the rights of marginalized groups – an urgency in and of itself – has major climate benefits for the planet.
Not every impact of climate change can be solved with new technologies. Front line communities with deep knowledge of their lands are also carrying out successful adaptation strategies. In Australia, first responders are learning from aboriginal people, who lower the risk of bushfires by reducing fuel levels on the forest floor. In Mexico, farmers hit by increasingly long droughts and diminishing crop yields are developing groundbreaking solutions to restore degraded land to productivity.
In Canada, some First Nations maintain strong traditional food sharing networks that have helped address climate-driven loss of food through sharing harvests with at-risk members of the community, while others have built up community science programs that monitor climate change impacts on their environment.
Frontline communities are also developing healing practices to process grief caused by the permanent loss or alteration of ecological features that once sustained livelihoods and cultural practices. Artists are also leading the movement from artistic expression to policy change. As the climate crisis increasingly takes a toll on mental health, particularly among youth, we should support the arts, culture, and healing advanced by climate and environmental justice and Indigenous rights movements.
Meaningful participation in decision-making processes that affect citizens’ lives is not only a demand, it’s a right. While the United Nations Framework Convention on Climate Change and the Paris Agreement recognize the importance of participation, including “a country-driven, gender-responsive, participatory and fully transparent approach” for adaptation, states (and COP organizers) aren’t meeting these requirements. For Indigenous people, their free, prior, and informed consent is required for implementation to be successful.
As Ridhima Pandey, a youth climate activist from India, told us this week: “If we really want to treat the climate crisis as a crisis, it’s really important for the governments, organizations and activists to all come together, to start taking concrete action.”
Wise words from a 14-year old. Will governments listen?
Excerpt:
Shantha Rau Barriga is the disability rights director and the lead on Strategy Development at Human Rights WatchLes athlètes algériens, femmes et hommes, ont depuis toujours honoré leur pays, et hisser haut le drapeau national, et ce, dans les différents tournois, à savoir national, continental, voire international.
C’est le cas d’ailleurs des éléments de l’élite cycliste nationale algérienne. Ces derniers ont brillé lors des compétitions du Festival arabe 2021 sur route, déroulées au Caire en Égypte.
En effet, ces sportifs ont réussi lors de ces mêmes compétitions, à décrocher trois médailles, à savoir une médaille de bronze et deux médailles d’or.
» Félicitations aux éléments de l’élite cycliste nationale algérienne pour leur éclat et l’obtention d’un total de trois médailles avec détermination, détaillées par deux médailles d’or et une médaille de bronze, lors des compétitions du Festival arabe 2021 sur route, qui se tient actuellement au Caire, en d’Égypte, du 12 au 28 novembre 2021 « , lit-on dans un communiqué publié aujourd’hui, sur la page Facebook officielle du ministère de la Jeunesse et des Sports.
Selon la même source, les médailles sont reparties comme suit : une médaille d’or au chrono par équipe, une autre médaille d’or au chrono selon les équipes juniors, ainsi qu’une autre médaille de bronze.
La sélection féminine remporte le contre-la-montreQuant à la sélection féminine de cyclisme (seniors/dames), elle a remporté le contre-la-montre » par équipe » du Festival arabe 2021 sur route, et ce, avec la participation d’un quatuor, composé des athlètes Nesrine Houili, Chahra Azzouz, Hanine Belatrous et Yamna Bouyagour.
En effet, la compétition s’est déroulée sur une distance de 36 kilomètres, où notre sélection féminine a pu boucler cela en 51 minutes, 43 secondes et 37 centièmes seulement.
Avec ce merveilleux résultat, l’équipe algérienne a devancé son homologue Émiratie, qui s’est classée deuxième, avec un chrono de 58 minutes, 38 secondes et 17 centièmes.
Il convient également de préciser que la compétition déroulée en Égypte, s’y poursuivra jusqu’au 25 novembre courant, et comportera plusieurs autres épreuves à son menu.
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