Un processus d'identification des candidats à la fonction enseignante dans les universités sera lancé dans les prochains jours. L'information a été rendue publique, jeudi 28 octobre 2021, par le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Eléonore Ladékan Yayi.
Le « processus d'identification de tous ceux-là qui aspirent à la fonction enseignante de qualité », sera lancé bientôt selon une annonce de la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, jeudi 28 octobre 2021, à l'occasion de la rentrée des universités nationales. Le gouvernement entend corriger l'injustice faite aux ‘'assistants'' ou ‘'moniteurs'' qui interviennent dans le processus mais ne sont pas pris en compte.
La ministre a saisi l'occasion pour inviter les assistants à se faire valoriser dans le cadre de la constitution de la base des enseignants. « La base ainsi constituée va pouvoir générer le processus de recrutements de nos assistants », a précisé Eléonore Ladékan Yayi. La ministre a fait des recommandations aux aspirants à la fonction enseignante dans les universités. A l'en croire, on choisit la fonction enseignante par « vocation », « passion » ou par souci de la qualité des ressources des ressources humaines. « On n'y vient pas parce qu'on a des besoins financiers ou parce qu'on cherche des abris de sécurité », a martelé Eléonore Ladékan Yayi.
Dans le cadre de la constitution de la base, l'inscription des potentiels candidats est subordonnée à la constitution d'un dossier physique et numérique dont le contenu est précisé par arrêté ministériel, la soumission à un test psycho-social et à une enquête de moralité.
Les doctorants titulaires de masters et diplômes équivalents sont recrutés pour appuyer les enseignants. Les ‘'moniteurs'' sont éligibles au fichier national des aspirants à l'enseignement supérieur à l'obtention de leur doctorat, selon le décret 2021-378 du 14 juillet 2021 relatif au fichier national pour l'inscription des aspirants à l'Enseignement supérieur.
M. M.
L’Algérie a lancé, ces dernières semaines, une « reforme » des mesures d’importation et d’exportation. Des changements ou un renforcement qui arrive aujourd’hui à la direction générale de la douane.
Dans une circulaire datée du 23 octobre, la Direction général des Douanes a annoncé le renforcement de son dispositif de contrôle des flux des marchandises à l’entrée et à la sortie du pays. Ces marchandises concernent l’importation et l’exportation.
Il s’agit d’un dispositif basé sur la gestion des risques et sur l’analyse des risques en amont et en aval, pour orienter les déclarations en douane vers l’un des quatre circuits de contrôle, suivant une fonction de critères combinés et intégrés dans le système d’information des douanes.
Une mesure pour « faciliter les procédures douanières »Selon la même source, il s’agit d’un système de sélection automatique et rationnelle des opérations par la technique de gestion des risques. Il a pour but de réduire le temps et le coût de stationnement au niveau des enceintes portuaires et aéroportuaires.
Ce système permet également la sélection des opérations présentant un risque de fraude ; mais aussi à l’élimination des frais grevant, inutilement, la facture des surestaries, dus aux séjours prolongés des conteneurs sur le territoire national.
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La communauté maghrébine, plus particulièrement algérienne est omniprésente au Canada. Il s’agit de la deuxième destination favori des Algériens après l’Hexagone. Personne ne peut nier que le Canada est connu pour être un pays qui accueillent et ouvres ses différentes portes aux immigrés.
Ces derniers ont le choix d’accéder, en fonction de leurs compétences, à différents domaines de travail, notamment la politique. Oui, les maghrébins peuvent effectivement devenir des acteurs de la scène politique au Canada comme en témoigne un reportage publié récemment sur le site RCI.
Sachant que les élections municipales au Québec sont prévues pour le 7 novembre, deux Algériens ont déposé leurs dossiers de candidatures. Il s’agit selon la meme source de Boufeldja Benabdallah et Redouane Yahmi qui souhaitent gérer le district de Cap-aux-Diamants, qui couvre la partie la plus connue de la ville : le Vieux-Québec.
Qui est Boufeldja Benabdallah, le candidat algérien aux élections municipales au Québec ?Il s’agit en effet d’un Algérien arrivé au Québec en 1969 pour intégrer la Faculté de foresterie de l’Université Laval. Son cursus universitaire l’a amené par la suite à travailler dans l’industrie du bois et du développement durable au sein de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
Boufeldja Benabdallah fait son entré dans la scène médiatique à partir de 2017, lorsqu’il dirigeait la mosquée du CCIQ qui a été victime le 29 janvier au cours de la même année d’une attaque armée.
« J’ai toujours été actif dans les cercles communautaires et dans le domaine du vivre-ensemble. Puis est arrivée l’attaque du 29 janvier 2017 qui m’a mis en première ligne. Honnêtement, je n’avais jamais imaginé ce qui s’est passé [ce jour-là] et je ne cherchais pas cette célébrité » a-t-il déclaré au média susmentionné.
En 2021, le parti municipal Équipe Marie-Josée Savard l’a proposé comme candidat à la mairie de Québec. « Il manquait toujours un petit quelque chose à l’intérieur de moi que je n’arrivais pas à identifier. Puis, un jour, l’Équipe Marie-Josée Savard m’a appelé pour me proposer d’être candidat. Ils m’ont dit que dans le domaine du vivre-ensemble à Québec, il y avait encore des choses à faire….. Le temps était venu pour moi de transformer mes rêves et mes paroles en actes », confie Boufeldja Benabdallah, ex-dirigeant et co-fondateur de la mosquée CCIQ.
Concernant le deuxième candidat algérien, il est beaucoup plus jeune. Redouane Yahmi a seulement 20 ans et manifeste une grande prédilection pour la politique. Avec un programme électoral intitulé : « Pour un Laval jeune et ambitieux », Redouane souhaite intégrer la scène politique en tant que candidat indépendant.
Plusieurs Maghrébins candidats aux élections municipalesD’après RCI (Radio Canada International), les deux Algériens, à savoir Boufeldja Benabdallah et Redouane Yahmi ne sont pas les seuls candidats maghrébins. En effet, le média canadien a cité dans son article trois autres maghrébins qui se sont présenté aux élections prévues pour le 7 novembre.
Il s’agit de Dalila Elhak, candidate indépendante originaire de la Tunisie, Omar Berri, originaire du Maroc et candidat de Démocratie Québec. Et enfin, de la jeune Sophia Laababsi, âgée de 26 ans et issus d’une famille d’origine marocaine. Malgré son âge, la jeune candidate jouit d’une certaine expérience en matière de gestion. Elle est propriétaire d’un restaurant à Québec et possédait auparavant une garderie pour enfants, rapporte la même source.
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In close co-operation with the National Coordinator for Countering Violent Extremism, from 26 to 28 October 2021, the OSCE Mission to Montenegro organized a series of workshops on prevention of violent extremism and radicalization leading to terrorism for first responders.
The workshops were organized in Budva, Kolašin and Podgorica, gathering teachers, youth and medical workers of local health centres, employees of centres for social work, as well as representatives of religious organizations, local media and local self-government units from the northern, central and southern regions of the country.
With the aim to strengthen capacities to identify, prevent and combat radicalization and violent extremism, the participants discussed concepts and types of extremism and radicalization, prevention and use of the internet. Marija Đorić, Research Associate at the Institute for Political Studies in Belgrade and author of the handbook for recognition, prevention and suppression of radicalization and violent extremism among students, facilitated the workshops.
Stephen Harmon, Mission’s Security and Co-operation Acting Programme Manager, said that first responders should be especially proud of their contribution to society on a daily basis. “Experience has taught us that preventing violent extremism requires commitment from all of society. As first responders, you are in daily contact with people who are vulnerable to influence that can lead to violent extremism,” said Harmon.
Rade Milošević, State Secretary at the Ministry of Interior and National Coordinator for the Prevention and Suppression of Violent Extremism, said that although violent extremism is not specific to a particular age, gender, group or community, young people are the ones most vulnerable to messages from violent extremists and terrorist organizations. “The dynamic of extremist groups is such that it offers them a sense of belonging, inclusion, equality and meaning. Education is the best tool to prevent violent extremism, build youth resilience to it and foster a positive sense of identity and belonging,” said Milošević.
This activity was a continuation of 2019 and 2020 Mission’s workshops for educators and youth on prevention and combating violent extremism and radicalization leading to terrorism.
Organisée conjointement par le Centre pour la lutte antitabac en Afrique (CTCA) et la Fondation africaine pour le renforcement des capacités (ACBF), la première Conférence africaine sur la lutte antitabac et le développement, démarrée le 26 octobre 2021, a pris fin jeudi dernier. Dans le communiqué, qui a sanctionné la fin des travaux, les organisateurs exhortent les pays africains à introduire des politiques qui permettront de lutter contre l'impact humiliant de l'usage du tabac sur la santé des Africains et des économies du continent. (Lire le communiqué).
Communiqué de presse de la conférence
Près de 600 parties prenantes de tout le continent se sont inscrites au rassemblement qui a vu 35 conférenciers,15 sessions de conférence, 42 présentations de recherche et 21 affiches. Les présentateurs et les délégués ont exhorté les pays et partenaires africains à accroître leurs investissements dans la recherche locale pour soutenir les initiatives de lutte antitabac et renforcer le plaidoyer et les partenariats grâce à une recherche dynamique fondée sur des données probantes.
Les dirigeants de la conférence ont noté que la mise en œuvre de la lutte antitabac nécessite de la souplesse pour s'aligner sur les priorités du gouvernement et l'évolution de la dynamique de gouvernance. Le manque de données sur le continent a eu un impact négatif sur la promulgation de politiques efficaces de lutte antitabac dans de nombreux pays africains.
Le communiqué officiel de la conférence encourage les pays africains à introduire des politiques qui décourageront l'usage du tabac. Il est prouvé que l'augmentation de la taxation des produits du tabac encourage l'abandon du tabac en rendant les cigarettes inabordables. Pourtant, l'Afrique est à la traîne dans l'introduction et l'application des politiques de taxation du tabac, en partie à cause de l'ingérence de l'industrie du tabac.
Les délégués ont été alarmés par le fait que les produits du tabac sans fumée émergents créent de nouveaux défis pour la lutte antitabac, compliqués par l'augmentation de l'utilisation du tabac au sein de la grande population de jeunes africains.
« Il est nécessaire de mettre en œuvre des lois solides pour relever ces défis, en particulier en étant vigilants à l'égard de ces nouveaux produits et en adoptant des stratégies pour contrer les tactiques en constante évolution de l'industrie.« La recherche locale aboutira à des messages irréfutables contre l'industrie du tabac et favorisera la compréhension du contexte local et du contexte politique local », a déclaré le président de la conférence, le professeur William Bazeyo, qui est le directeur de la CTCA.
Dans son allocution de clôture, Dr William Maina, chargé de projet principal à l'AFRO de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), a qualifié la conférence d'événement historique qui a créé une synergie entre de nombreux leaders de la recherche sur la lutte antitabac, de la conception de programmes, de la mise en œuvre de politiques, de l'engagement communautaire et du suivi de la performance par rapport aux objectifs de lutte antitabac et des pitreries de l'industrie.
« Cette conférence est un tremplin. Nous concluons la conférence sur une trajectoire plus claire, après avoir identifié ce que nous savons et ce que nous devons savoir pour lutter contre l'épidémie de tabagisme », a déclaré Dr Maina.
La conférence a été soutenue par divers partenaires, dont l'OMS AFRO, l'Unité de recherche sur l'économie des produits excisables (REEP), la Campagne pour des enfants sans tabac (CTFK), l'Alliance africaine pour la lutte antitabac (ATCA), le Centre africain de surveillance de l'industrie du tabac et de recherche sur les politiques (ATIM), l'Union internationale contre la tuberculose et les maladies pulmonaires et le Tax Justice Network-Africa (TJN-A).
Juliette Mitonhoun