Bonne et heureuse nouvelle pour tous les Algériens, notamment le public sportif et les amoureux du ballon rond : « le ministre du Bonheur », Djamel Belmadi, est désormais classé quatrième dans la liste des meilleurs entraineurs dans le monde.
En effet, le sélectionneur national Belmadi a été nominé dernièrement, par la Fédération Internationale de l’Histoire du Football et des Statistiques (IFFHS), pour le Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021.
Cette nomination est intervenue à la suite des grands résultats ainsi que les nombreux titres obtenus par les Fennecs, et ce, depuis que Belmadi est arrivé à la tête du staff technique de l’équipe nationale en août 2018.
Le coach a mené ses joueurs à remporter le fameux trophée de la Coupe d’Afrique des Nations 2019 en Égypte et une sacrée série de 33 matchs sans défaite.
Djamel Belmadi occupe désormais la quatrième placeSur ce, la Fédération internationale d’histoire et de statistiques du football (IFFHS), qui est une organisation d’études historiques et statistiques sur le football, créée en 1984, a classé Djamel Belmadi quatrième, avec un score de 15 points, tout comme son homologue brésilien Tite.
Pour le prestigieux Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021, il est obtenu par l’italien Roberto Mancini, avec 225 points. On trouve également dans la deuxième place l’Argentin Lionel Scaloni qui a eu 30 points, et le Français Didier Deshamps dans la troisième place, juste avant Djamel Belmadi, avec une différence de 10 points, soit 25 points.
Par ailleurs, il est utile de rappeler que le sélectionneur français Didier Deschamps a décroché ledit titre de l’année dernière.
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The Republic of Congo received just over 300,000 doses of the COVID vaccines through the COVAX Facility in August 2021. The international COVAX initiative aimed at guaranteeing global access to the vaccines, recently announced that it was being forced to slash planned deliveries to Africa, by around 150 million doses this year. The scheme is now expected to deliver 470 million doses through the end of December. These will be enough to protect just 17 per cent of the continent, far below the 40 per cent target, according to the World Health Organization (WHO). Credit: UNICEF/Aimable Twiringiyima
By Victoria Fan and Steve Kuo
MANOA, Hawaii / TAIPEI, Taiwan, Dec 6 2021 (IPS)
Many countries around the world have punished most of the African continent for the scientific discovery of the Omicron variant through the imposition of travel bans.
These travel bans are more injury upon the injury of low vaccination in Africa. Even well-intentioned rallying phrases such as “vaccine apartheid” or “vaccine equity” still lack the moral weight, indignation, and urgency that we should all feel, no matter which country we live. Words fail us.
How can it be that—even now—vast swaths of a continent go without access to these lifesaving vaccines? How is this situation even possible, let alone acceptable? For sure, there’s not been enough vaccines arriving to African countries.
Flowery donor pledges gone unfilled are no better than empty promises. Some say it’s the monopolized production from a vaccine company based outside of Africa or intellectual property issues.
Others cite supply chain and cold chain problems, the need for refrigeration, and lack of electricity. Still others note vaccine hesitancy and misinformation. Throw in “corruption” and “poor governance.” Yadda yadda yadda.
Let us please transfer all the energy spent on the manufacturing of excuses to create ideas for how we’ll get vaccines to Africa.
One thing we should have learned during COVID-19 is that so-called “leaders” are amazing at coming up with excuses for things not getting done. Let’s remind ourselves of the HIV pandemic when world “leaders” were hesitating to distribute antiretroviral treatment to so-called “developing countries.”
There was even an administrator of USAID, supposedly a leading aid agency, who conveniently came up with a racist excuse that the reason why Africans couldn’t get treatment against HIV was because they couldn’t tell time.
Excuses easily come out of the human mouth. Let us please transfer all the energy spent on the manufacturing of excuses to create ideas for how we’ll get vaccines to Africa.
If Africa can’t get the vaccines it needs, perhaps Africa should take a play from the Indonesian playbook during the 2007 avian flu.
The Indonesian Government argued that its decision in January 2007 to stop sending avian flu samples (H5N1 virus) to the WHO’s reference labs was justifiable because the samples provided freely from lower-income countries were used by companies in higher-income countries to develop vaccines that the lower-income countries couldn’t afford and couldn’t benefit from.
Indonesia wanted a guarantee that it would benefit from the samples it provided. After months of withholding the samples, WHO and the Indonesian government eventually came to an agreement and changed the terms of reference for sample sharing.
As Sedyaningsih et al noted in 2008, “This event demonstrates the unresolved imbalance between the affluent high-tech countries and the poor agriculture-based countries.” Their words still hold true more than a decade later.
When dealing with those who are habituated to a “me first” mentality, you must negotiate and bargain hard. African countries trying to gain support through an idealistic notion of global solidarity will fail unless applying “shrewd business practices.” Not just African countries, but the whole world will fail.
So, negotiate hard. Know what your opponent wants the most, and don’t give them what they want so easily till you get what you need. Empty promises and excuses won’t stop COVID-19, but hard bargaining might.
Victoria Y. Fan, ScD, is an associate professor and interim director of the Center on Aging at the University of Hawaii at Manoa and a non-resident fellow at the Center for Global Development. Steve Kuo, MD, PhD, served as director of Taiwan Centers for Disease Control including during SARS, and most recently he was the president of National Yang Ming University, now National Yang Ming Chiao Tung University.
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On a tous vu et entendu parler des harragas qui prennent le large avec leurs enfants, fuyant un quotidien douloureux à travers un risque sans pareil, espérant pour eux et pour leurs enfants une vie nouvelle, différente et meilleure. A leur grande et triste surprise, ils se retrouvent dans des situations déplorables.
Ces algériens vivant « en noir » sur le territoire français, survivent tant bien que mal. A l’exemple de certains qui se retrouvent sans-logis à Toulouse. « Un toit, c’est la loi », voici la phrase que les 39 sans-abri dont 21 enfants en bas âge (dont des algériens) ont choisi de mettre à l’entrée d’un gymnase situé sur la place de la basilique Saint-Sernin, au centre-ville de Toulouse, à 500 mètres de la place du Capitole. Ces sans-abri ont y trouvé refuge à leur corps défendant, face à l’inertie des autorités et dans l’impitoyable froid du mois de décembre.
C’est là où Yamna, une algérienne de 43 ans y vit avec son conjoint et ses trois enfants ages de 7 à 17 ans, et ce, après son arrivée d’Algérie il y trois mois. Malgré la situation pour le moins qu’on puisse dire, difficile, Yamna raconte avec le sourire « depuis des semaines nous dormions dans la rue, un peu partout dans Toulouse. C’est bien Toulouse mais dehors il fait trop froid. Ici, on est mieux« .
Les associations se mobilisentPlusieurs associations se mobilisent pour trouver une solution pour ces sans-abri et soutiennent par la même occasion cette occupation, notamment vu l’omniprésence des enfants vivant dans de telles conditions. Le collectif droit au logement (DAL) a déploré « les autorités ne font rien, ces familles dorment à la rue depuis plusieurs semaines« . Selon le même collectif, 250 personnes dorment encore dehors à Toulouse.
Les harragas algériens sont plus exposés à de telles conditions, d’autant plus que leur situation irrégulière ne leur permet pas de bénéficier des aides de l’Etat.
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The European Defence Agency (EDA) will make available various IT equipment that is no longer used by the Agency (see list here) to non-profit organisations, local community centres or schools officially based in Belgium to support local activities. EDA invites interested parties to submit their application for this equipment in accordance with rules governing the donation laid down in the present invitation. A French translation of this invitation to apply is available here.
Donations of decommissioned IT equipment are made at the discretion of the EDA and decided on a case by case basis. The hard-drives and -discs of all equipment will be removed before being donated.
How to apply?The European Defence Agency is committed to the protection of personal data. Personal data collected by EDA will be processed pursuant to Regulation (EU) 2018/1725. For more details, please consult the Privacy Statement: EDA Privacy Statement Donations IT Equipment 2021.pdf
Vous préférez le Français?Le gouvernement s’apprête à ouvrir les capitaux des banques publiques dès le début de l’année prochaine. Cette démarche intervient dans le cadre de la révision du système de gouvernance des entreprises publiques.
L’annonce a été faite hier par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane lors d’une intervention au niveau des quatre ateliers organisés dans le cadre de la Conférence nationale sur la relance industrielle.
Selon lui, l’ouverture des capitaux de banques publiques interviendra à l’entame de l’année 2022. À cet effet, il réitère la nécessité de la révision du système de gouvernance des entreprises publiques, dont la situation économique actuelle est en deçà des aspirations.
Ainsi, l’intervenant précise que ce changement dans le mode de gouvernance auprès des entreprises publiques sera opéré, à la faveur de l’octroi de davantage de prérogatives aux conseils sociaux, notamment les conseils d’administration. Cela aura pour but d’introduire une gestion efficace dans ces entreprises.
Entre autres dispositions à adopter dans le cadre du nouveau mode de gestion adopté par le Gouvernement, le PM cite « la soumission des gestionnaires à une évaluation périodique, semestrielle et annuelle pour évaluer l’efficacité du processus de gestion ».
L’importance d’améliorer les mécanismes de gestion de la bourse d’AlgerDans les détails, le premier responsable au gouvernement souligne que le capital de certaines entreprises publiques sera ouvert via la bourse. Il a également mis l’accent sur l’importance d’améliorer les mécanismes de gestion de la bourse d’Alger et lui conférer un rôle important.
Dans le même sillage, Benabderrahmane a indiqué que le gouvernement trouvera d’autres outils pour le financement des entreprises publiques, et ce, en vue d’alléger la charge sur le trésor public.
À ce propos, il explique que la contribution de l’État à l’assainissement des entreprises publiques en difficulté a dépassé à ce jour 2.900 milliards de DA.
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Incendie au marché international de Malanville dans la soirée du dimanche 05 décembre 2021. Plusieurs dégâts matériels ont été enregistrés dans cet incendie.
Aux environs de 19h30, un incendie s'est déclaré au marché international de Malanville au niveau des vendeurs de colas. Les causes de l'incendie ne sont pas connues. Plusieurs boutiques ont été détruites par les flammes. Aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée. Il a fallu des heures aux sapeurs-pompiers pour maîtriser l'incendie.
A.A.A
Les Aspirants au métier d'enseignant (AME) signataires de motion de grève ne pourront plus accéder à leurs établissements respectifs. Le ministre des enseignements secondaire, technique, et de la formation professionnelle à travers une note en date du 3 décembre 2021, adressée aux directeurs départementaux de l'Atlantique, du Mono et de l'Ouémé, a ordonné leur suspension.
Selon la note signée du directeur de cabinet, Garba Ayouba, les AME signataires de la motion de grève « ont violé les dispositions de l'article 12 du contrat de travail qu'ils ont librement signé. En agissant ainsi, ils ont contribué à désorganiser volontairement la bonne marche des établissements et faire perdre aux apprenants des heures de cours ».
Des instructions ont été données à l'effet de procéder systématiquement à leur remplacement par les suppléants de la liste en attente.
Afin de revendiquer un mieux-être, les aspirants aux métiers d'enseignant ont annoncé une grève de 72 heures qui devrait démarrer ce lundi 06 décembre 2021.
F. A. A.
Le pôle économique et financier près tribunal de Sidi M’hamed a rendu ce lundi son verdict dans l’affaire des frères Benhamadi, propriétaires du Groupe Condor, poursuivis avec 40 cadres, notamment du groupe public Mobilis.
En effet, le juge du pôle spécialisé a prononcé une peine à une peine de 5 ans de prison dans deux ans fermes assortie d’une amende d’un million de dinars à l’encontre de Omar Benhamadi responsable de « Travocovia ». Ce dernier avait été poursuivi pour obtention d’indus avantages.
Son frère, Abderrahmane Benhamadi gérant de la société « Altrapco », poursuivi pour le même motif, a été condamné à 4 ans de prison, dont deux ans fermes, et à une amende d’un million de dinars. Le juge a également condamné Smail Benhamadi à deux ans de prison ferme avec la même amende.
Les entreprises Travocovia, GB Pharma et Altrapco, qui sont des filiales du Groupe Condor sont assignées à s’acquitter d’une amende de 4 millions de dinars chacune. Elles doivent également verser 10 000 DA en guise de dommage et intérêts au trésor public.
Les anciens PDG de Mobilis tous acquittésPour ce qui est des anciens cadres du groupe public Mobilis, le tribunal a prononcé l’acquittement dans toutes les charges. Il s’agit de l’ancien PDG de Mobilis Mohamed Habib et son successeur Ahmed Choudar.
L’autre ancien directeur général de Mobilis, Saad Damma et l’ex-directeur des télécommunications Mohamed Salah Daas ont été également acquittés de toutes les charges retenues contre eux.
Le tribunal de Sidi M’hamed a également prononcé l’acquittement en faveur de l’ex-ministre de la Jeunesse et des Sports Mohamed Hatab, poursuivi dans le cadre de cette même affaire en sa qualité d’ancien secrétaire général de la wilaya d’Alger.
Pour rappel, le procureur de la République avait requis une peine de cinq ans de prison assortie d’une amende d’un million de DA contre l’ancien ministre de la Jeunesse et des sports, Mohamed Hattab.
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