Le bal des hommes d’affaires et des responsables mouillés dans des affaires de corruption se poursuit dans divers tribunaux du pays. À la chambre correctionnelle près le tribunal de Tipaza, c’est l’affaire de l’ancien wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, qui a été traitée.
Aujourd’hui, le 29 décembre 2021, la chambre correctionnelle près le tribunal de Tipaza a statué sur les affaires dans lesquels est poursuivi l’ex-wali d’Alger, Abdelkader Zoukh. Le mis en cause est notamment cité, en sa qualité d’accusé principal, dans les dossiers Haddad, Tahkout, mais aussi dans celui de l’ancien chef de la police, Abdelghani Hamel.
Peines réduites pour ZoukhEn ce qui concerne l’affaire Hamel, la peine prononcée contre l’ancien wali de la capitale, Abdelkader Zoukh, a été réduite de quatre ans à un an de prison ferme. Suite à la révision de la décision de justice dans les poursuites civiles, l’ancien haut responsable a écopé également d’une augmentation de l’amende, qui s’élève désormais à 5 millions du Dinar.
Dans l’affaire Haddad, la peine de Abdelkader Zoukh a été réduite de 4 ans de prison ferme à 3 ans de prison ferme. L’ancien wali de la capitale Alger doit payer une amende de 5 millions de dinars.
Enfin, dans l’affaire Tahkout, Zoukh a également bénéficié d’une autre réduction de peine. Il écope désormais de 3 ans de prison ferme, et de 2 ans avec sursis au lieu de cinq ans de prison ferme, rapporte le journal arabophone El Khabar.
L’ancien wali d’Alger a également bénéficié d’une dispense des travaux d’intérêt général eu égard à son âge avancé. Il est à rappeler qu’Abdelkader Zoukh, âgé de 72 ans, est notamment poursuivi par la justice pour « dilapidation délibérée de deniers publics par un fonctionnaire », « d’utilisation illégale de biens et de deniers publics qui lui ont été confiés en vertu de sa fonction », « d’abus de fonction et violation des lois et règlements dans le but d’obtention d’avantages pour un tiers ».
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L'Ambassade du Bénin à Pékin célèbre le 49e anniversaire du rétablissement des relations diplomatiques entre le Bénin et la Chine. Ce dimanche 26 décembre 2021, il a été organisé une exposition de photos et de peintures dénommée « Beautés diversifiées et harmonieuses » à l'Ambassade de la République du Bénin en Chine.
Le Bénin et la Chine entretiennent une coopération dynamique depuis plus de quarante-cinq ans. Établies en 1964, les relations diplomatiques entre le Bénin et la Chine ont été suspendues en 1967 pour des raisons politiques. Suite à l'avènement du gouvernement militaire révolutionnaire dirigé à l'époque par le président Mathieu Kérékou, les relations diplomatiques ont été rétablies le 29 décembre 1972. Les relations entre les deux pays ont été portées à une nouvelle dimension lors de la rencontre entre Xi Jinping, Président de la République Populaire de Chine et Patrice Talon, Président de la République du Bénin en septembre 2018 à Beijing.
« C'est en souvenir de ce jour mémorable du rétablissement des relations qui unissent nos deux pays que nous avons organisé la présente activité culturelle, qui rassemble des artistes béninois et chinois autour de la photographie, de la calligraphie et de la peinture », a déclaré l'Ambassadeur du Bénin près la Chine. Selon SEM. Simon Pierre Adovelande, cette exposition de photos et de peintures a une note particulière pour deux raisons. « C'est une expression de gratitude de ma part au Ministère des Affaires Étrangères de la République Populaire de Chine, en particulier le Département des Affaires Africaines pour les nombreux voyages de découvertes organisés à l'intention des Diplomates accrédités en Chine. Les photos de la présente exposition ont été prises lors de ces différents voyages », a affirmé l'Ambassadeur.
La deuxième raison poursuit-il, c'est qu'à « travers ces voyages, la Chine a nourri ma passion pour la photographie ». « Ainsi, le photographe dont vous verrez les œuvres dans la présente exposition n'est autre que moi, Simon Pierre Adovelande, Ambassadeur du Bénin en Chine ; assisté de ma fille Ruth Arielle qui m'a aidé dans le choix final des œuvres », a ajouté le diplomate.
Plusieurs œuvres ont été exposées du 26 au 27 décembre à l'Ambassade du Bénin en Chine. Il s'agit des œuvres du peintre béninois Gratien Zossou ; de l'Académicien Wang Yuming, de Mme Yang Qingci ; du peintre chinois Ding Lianggui ; de Mme Yuan Shiping et Mme An Qi.
L'Ambassadeur du Bénin a remercié le sponsor China Champion Group, les co-organisateurs de l'évènement, notamment la Revue ‘‘Écrivains et Artistes Chinois'', le Comité professionnel de la calligraphie et de la peinture de la Société Socialiste de littérature et d'Art de Chine.
La coopération Sino-béninoise est renforcée par une multitude d'Accords qui ont permis la mise en œuvre de plusieurs projets.
La célébration du cinquantenaire aura lieu en 2022.
A.A.A
Il est traditionnellement connu que les parents servent de modèle pour leurs enfants. Ils tentent alors tant bien que mal de leur inculquer les bonnes valeurs et le comportement correct à l’égard des autres. Si les parents faillent dans leur éducation, on assistera donc à une véritable calamité sur le plan sociétal.
En France, un Algérien âgé de 38 ans a été condamné à six mois de prison ferme par tribunal correctionnel de Meaux, pour avoir menacé et insulté deux employés d’un restaurant rapide.
33 condamnations par le passé !Le mis en cause semble être un habitué des faits puisqu’il a été déjà condamné « 33 fois par le passé », comme le rapporte Le Parisien. Ce lourd casier judiciaire n’a pas empêché l’Algérien de poursuivre sa péripétie de délinquance.
L’Algérien ne s’est pas contenté d’insulter les employés du restaurant, mais il a également proféré des menaces à leur encontre en évoquant le passé « terroriste » de son père. Ce dernier été expulsé de France en 1994, selon la même source « en raison de ses activités terroristes présumées en lien avec le GIA ». Il n’a d’ailleurs jamais été condamné.
Injures, menacesDevant le tribunal, le mis en cause a toutefois reconnu avoir effrayé les employés du restaurant, mais nie avoir tenu des propos « hallucinantes ».
En effet, le trentenaire est accusé « menace réitérée de crime contre les personnes en récidive ». Il aurait donc dit au manager, selon la même source qu’il « allait la violer ». Je suis armé, je vais boire tout ton sang à la paille, je suis le fils du terroriste de l’attentat de Saint-Michel, je vais tous vous faire sauter « .
C’est pour ces propos, que le mis en cause a été condamné à six mois de prison ferme, avec mandat de dépôt.
L’avocate du prévenu, quant à elle, a indiqué que » les plaignantes avaient probablement imaginé ou lus ces termes dans un article de journal », et qu’elle avait déjà croisé ces termes dans une « précédente audience devant le tribunal correctionnel de Bobigny ». Les mêmes termes ont été ensuite retrouvés dans la plainte contre l’Algérien.
Mais pour le tribunal, ces mots « sont d’une violence extrême » évoquant par la même le casier judiciaire du trentenaire qui compte une trentaine de condamnation « dont 16 pour des menaces ! ».
Le mis en cause, gros consommateur de cannabis, selon le média français, aurait été « radicalisé en Angleterre », mais aussi dans les centres pénitenciers français.
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Quatre (04) Médecins Coordonnateurs de Zone sanitaire et un (01) Médecin Chef ont été nommés dans les Directions départementales de la santé de l'Atacora, l'Atlantique du Littoral et du Zou à travers un arrêté du ministre de la santé en date du 28 décembre 2021.
En service au Ministère de la santé, des agents de santé ont été nommés dans les Directions départementales de la santé de l'Atacora, du Zou, du Littoral et de l'Atlantique. Il s'agit de monsieur OROU YARI Mohamed, médecin de santé publique, nommé Médecin Coordonnateur de la Zone Sanitaire Banikoara ; monsieur TCHEKPE Dieu-donné, médecin de santé publique, nommé Médecin Coordonnateur de la Zone Sanitaire Zogbodomey/Bohicon/Zakpota ; Madame HOSSOU ADJADOHOUN Adjouavi Virginie Déka, médecin diplômée d'Etat, nommée Médecin Coordonnateur de la Zone Sanitaire Cotonou 2-3 ; Monsieur KAKPO ZANNOU Sèmèvo Rodrigue, médecin diplômé d'Etat, nommé Médecin Coordonnateur de la Zone Sanitaire Cotonou 6 et Madame CHABI Chastine, nommée Médecin Chef du Centre de Santé de la commune d'Abomey-Calavi (Zone sanitaire Abomey-Calavi/Sô-Ava).
M. M.
« Face à l'adversité la plus redoutable, le Bénin doit continuer à écrire les belles pages de son histoire », a souligné le chef de l'Etat Patrice Talon dans son message à la nation, ce mercredi 29 décembre 2021, au palais des gouverneurs à Porto-Novo.
Après une analyse, et la résilience face à la crise sanitaire du Coronavirus, le Bénin selon le chef de l'Etat, pourra toujours continuer sa marche vers le développement, et ceci, malgré les crises exogènes. « Face à l'adversité la plus redoutable, le Bénin doit continuer à écrire les belles pages de son histoire », a affirmé le président Talon.
Pour y parvenir, seuls l'effort permanent, la détermination résolue, la volonté de bien faire, la maîtrise du cap fixé et l'obsession d'y arriver, sont les conditions de la réussite, a précisé Patrice Talon. Ces conditions, à l'en croire, aideront à relever le défi du développement socioéconomique qui implique l'amélioration durable des conditions de vie.
A cet effet, tous les chantiers engagés pour structurer la modernisation du pays seront poursuivis, et de nouveaux seront lancés, a-t-il annoncé.
Tous ces chantiers sont pris en compte dans le Programme d'Actions du Gouvernement 2021-2026. Ce programme selon le chef de l'État, porte les ambitions du gouvernement, et traduit surtout sa détermination à bâtir le mieux-être pour tous. « Nous ferons donc en sorte que la dynamique observée ces dernières années se poursuive et s'amplifie afin que notre pays aille davantage mieux et que, comme nous l'avons dit, venant de loin, nous allions le plus loin possible sur la route du développement », a promis le président Talon. Pour lui, c'est à la portée, et c'est le challenge le plus passionnant pour son gouvernement.
F. A. A.
Auteur d’une très haute performance lors de la précédente CAN 2019 en Égypte, la Coupe arabe 2021 au Qatar, mais aussi lors de toutes les rencontres qu’il dispute, le maestro Youcef Belaili est désormais le centre d’intérêt de plusieurs clubs professionnels.
En effet, le joueur algérien a résilié dernièrement son contrat qui le liait avec son club qatari, à savoir le Qatar SC, et ce, quelques jours seulement avant la finale de la Coupe arabe, soldée par la victoire des Fennecs contre leurs homologues tunisiens (2-0).
Depuis la résiliation de son contrat, le natif d’Oran suscite l’intérêt de plusieurs clubs européens, mais aussi arabes. Cependant, celui-ci aurait refusé des offres venant de clubs égyptiens, Al-Ahly et Zamalek.
Selon plusieurs médias, Belaili n’avait également pas réussi à décrocher un contrat auprès des clubs français, dont l’Olympique de Marseille, l’Olympique Lyonnais, mais aussi le club de Montpellier, en raison du salaire très élevé exigé par son agent.
Belaili repousse une offre de Liga !Dernièrement, un autre club européen de Liga a manifesté son intérêt pour les services de Youcef Belaili. Selon Onze Mondial, ledit club lui a promis 600 000 euros par saison. Toutefois, le père du footballeur, qui est aussi son agent, aurait refusé l’offre.
D’après les informations de Kooora, l’Oranais va signer pour un club qatari Al-Duhail. Ce dernier semble prêt à répondre à toutes les exigences de l’international algérien, rapporte la même source.
Par ailleurs, il convient de rappeler que le père et agent du joueur avait déclaré à la presse qatarie que son fils ne veut évoluer qu’en Europe, soulignant que l’argent ne lui importe pas.
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Le Président de la République, Patrice Talon, se représentera-t-il à l'élection présidentielle de 2026 pour briguer un troisième mandat à la tête du Bénin ? L'équivoque a été levée par le Chef de l'Etat, lors de son discours sur l'état de la Nation au parlement, ce mercredi 29 décembre 2021.
« C'est mon tout premier discours sur l'état de la nation en ce qui concerne mon second mandat. Je n'ai pas dit le deuxième, (…) le second », a précisé Patrice Talon, ce mercredi, dans son discours sur l'état de la Nation. Le mot ‘'second'' utilisé par le chef de l'Etat renseigne qu'il n'y aura pas de troisième mandat après le quinquennat 2021-2026. Les députés ont même applaudi à ce niveau du discours du Chef de l'Etat qui indique que le mandat 2021-2026 est bien le dernier du président de la République Patrice Talon.
La constitution béninoise n'autorise pas le président de la République à faire plus de deux mandats dans sa vie. Par sa déclaration ce mercredi devant les députés, le président Patrice Talon assure qu'il n'a pas l'intention de toucher à la Constitution pour se maintenir au pouvoir à la fin de son ‘'second'' et dernier quinquennat.
M. M.
Dans un contexte de vives tensions entre l’Algérie et le Maroc, la question « de citoyens algériens dépossédés de leurs biens au Maroc sans aucune indemnité » vient d’être de nouveau soulevée. L’Algérie s’engage désormais à leur « défense » à travers tous les « moyens légaux et les mécanismes juridiques ».
L’annonce a été faite hier mardi 28 décembre 2021 par l’Envoyé spécial chargé de la question du Sahara occidental et des pays du Maghreb au ministère des Affaires étrangères, Amar Belani dans une contribution publiée sur les colonnes du quotidien arabophone Echorouk.
Selon lui, « l’Algérie ne restera pas les bras croisés et recourra à tous les moyens légaux et les mécanismes juridiques pour défendre les droits spoliés de centaines de citoyens algériens dépossédés de leurs biens au Maroc sans aucune indemnité ».
Dans ce sens, il explique l’Algérie s’engage à apporter « toutes formes d’appui aux associations chargées de défendre ces victimes pour leur permettre de faire entendre leurs voix et se constituer partie civile ».
Cet appui se constitue notamment « dans des actions en justice qui seront engagées à l’avenir contre les autorités marocaines devant les différents organismes internationaux pour recouvrer leurs droits », précise encore le même intervenant.
Retour sur l’affaire des Marocains ayant quitté l’Algérie en 1975Dans un autre volet, l’Envoyé spécial chargé de la question du Sahara occidental et des pays du Maghreb au ministère des Affaires étrangères, évoque la question des « Marocains ayant quitté l’Algérie en 1975 », tout en dénonçant la volonté du Maroc à « occulter la vérité » concernant cette affaire.
À ce propos, il affirme « la partie marocaine veut induire en erreur l’opinion publique dans les deux pays et au plan international et occulter la vérité en évoquant des prétendus biens de ces ressortissants qui auraient été confisqués par les autorités algériennes ».
Dans le même sillage, Amar Belani explique que la majorité de ces ressortissants « ne possédaient pas de biens propres en Algérie ». Selon lui, ils « étaient de simples ouvriers et artisans, voire des métayers, détenteurs du cinquième, des locataires de biens immobiliers et travailleurs sur des terres appartenant à l’État algérien ou à des tiers ».
En revanche, le même responsable n’a pas manqué de souligner que durant cette période, « des centaines de citoyens algériens établis au Royaume du Maroc ont été soumis à des mesures arbitraires, injustes et inéquitables ».
Il a également tenu à préciser « que les terres que possédaient les Algériens ont été acquises à travers des transactions commerciales libres ». Selon lui, cela constitue à la fois une violation aux « accords algéro-marocains, notamment le traité d’Ifrane signé le 15 janvier 1969 … et lois marocaines elles-mêmes ».
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