L'arbitre béninoise Rosalie Ndah Tempa est représentée au sein de la Commission des arbitres de la Confédération africaine de football (CAF). Elle fait partie des officiels béninois à la CAN Cameroun 2021.
Grâce à son parcours brillant, la Béninoise Rosalie Ndah Tempa a été nommée au sein de la Commission des arbitres la CAF. Maîtresse coiffeuse et formatrice en coiffure, l'arbitre de football béninoise est âgée de 48 ans. Elle a retenu l'attention des responsables de la Commission centrale des arbitres de la Fédération béninoise de football lors d'un programme de formation de jeunes arbitres dans l'Atacora. Intervenue en première division au Bénin, Rosalie Ndah Tempa officie dans un match international pour la première fois en 2003. Elle a arbitré la finale de football des Jeux africains, au Nigéria.
L'arbitre béninoise a pris part notamment aux Jeux olympiques d'été de 2004 à Athènes, à la Coupe d'Afrique des Nations féminine de football 2004 en Afrique du Sud, à la Coupe du monde féminine de football des moins de 20 ans 2006 en Russie, à la Coupe d'Afrique des nations féminine de football 2006, à la Coupe d'Afrique des nations féminine de football 2008 en Guinée équatoriale.
Rosalie Ndah Tempa a également participé à la finale dame aux Jeux olympiques d'été de 2008 à Pékin, puis aux Jeux olympiques d'été de 2012. Lors de la Coupe du monde féminine de football 2007 en Chine, elle a été arbitre assistant. Elle était aussi à la Coupe du monde féminine de football 2011, à la Coupe du monde féminine de football des moins de 20 ans 2014 au Canada. En 2017, Ndah Tempa a été désignée comme l'un des meilleurs arbitres assistants du Bénin.
Coordonnatrice de l'équipe de football féminine Natitingou, elle est aussi directrice d'un Centre de formation en Coiffure.
A.A.A
Dans le cadre de l'opération sécuritaire ‘'Gbowélé'', trois (03) hors-la-loi ont été neutralisés à Akpakpa (Cotonou).
Les agents du commissariat de Tokplégbé ont intercepté une motocyclette qui remorquait trois individus aux environs de 22 heures le vendredi 03 décembre 2021. Les passagers ont pris la fuite à la vue des policiers. Les policiers se lancent à leur poursuite mais les individus suspects ouvrent le feu. Les trois suspects sont mortellement atteints lors de la riposte des policiers. Sur les corps sans vie des trois malfrats, il a été retrouvé un pistolet de fabrication artisanale, une cartouche, une machette et une clé passe partout. La motocyclette Bajaj qui remorquait les trois malfrats est sans immatriculation. Les corps des trois malfrats ont été déposés à la morgue du Centre National Hospitalier Universitaire (Cnhu). La police a ouvert des enquêtes complémentaires.
Selon les informations, les trois individus abattus appartiennent à un réseau spécialisé de vols à mains armées au quartier Akpakpa. La bande se remorque à trois sur une motocyclette pour identifier leur victime potentielle. Le réseau s'attaque ensuite à leur cible, s'empare de sa moto et/ou la dépouille de ses biens.
La mise hors d'état de nuire de trois membres du réseau fait suite aux renseignements obtenus dans le cadre de l'opération sécuritaire ‘'Gbowélé'' déclenchée par le commissariat central de Cotonou.
M. M.
Le parti d'opposition Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) a enregistré une nouvelle vague de démission, dimanche 05 décembre 2021, à Parakou. Les cinq (05) démissionnaires annoncent appartenir désormais au parti de la mouvance Bloc Républicain (BR).
Cinq membres de la coordination communale de Parakou ont déposé leur démission au parti FCBE, présidé par le chef de file de l'opposition Paul Hounkpè. Il s'agit de Mare Bio Abdoulaye, Secrétaire général de la coordination communale, de Sare Boni Khoda Mashoud, coordonnateur zone A du 3ème arrondissement ; Bio Pibou Gounou Soulé, coordonnateur zone B du 3ème Arrondissement ; Esse urbain, Chef de la cellule de communication du bureau communal et Adambi Assimiou, secrétaire exécutif adjoint communal. C'est à travers une déclaration, dimanche 05 décembre 2021, à la presse. « Nous, membres du bureau communal des FCBE Parakou, annonçons notre démission au profit du Bloc Républicain. (...) », ont indiqué les démissionnaires dans une déclaration lue par Bio Abdoulaye Maré.
Les démissionnaires ont salué le chef de l'Etat Patrice Talon « pour les œuvres salvatrices amorcées jusqu'ici ».
M. M.
Au moment où l’Europe fait face à la menace du variant Omicron, l’Algérie quant à elle se concentre sur le variant Delta, qui demeure la souche dominante de la covid-19. Malgré le taux de vaccination assez faible, les Algériens, après les 3 vague consécutif de la pandémie, ont quand même acquis une certaine immunité cillective naturelle.
Peut-on toutefois miser sur cette immunité naturelle pour faire face à la prochaine vague ? Selon le Professeur Kamel Djenouhat, président de la Société algérienne d’immunologie clinique, une étude a déjà été menée par ses services à l’hôpital de Rouiba afin de calculer le taux de l’immunité collective.
Répondant à une question posée par nos confrères du quotidien le Soir d’Algérie, le Pr Kamel Djenouhat a soutenu que « non, nous n’avons pas encore atteint l’immunité collective ». Pour ce spécialiste, l’Algérie est encore loin de pouvoir miser sur son immunité collective naturelle et ce « malgré le nombre de cas très élevé enregistré lors des vagues précédentes ».
Le Professeur Djenouhat ajoute que selon les résultats préliminaires d’une étude que son équipe est en train de réaliser au niveau de l’hôpital de Rouiba, « le taux de l’immunité collective est aux alentours de 65 à 68% ». Un chiffre que le spécialiste juge insuffisant vu « les nouvelles valeurs de l’immunité collective imposées par les nouveaux variants qui sont de 90 à 95% », précise le même spécialiste.
Variant Omicron, une menace sur l’Algérie ?Concernant le variant Omicron, Le Pr Djenouhat a affirmé que son émergence est certainement due au manque de vaccination. Il confie que « l’Afrique représente le continent le moins vacciné dans le monde avec un taux de couverture vaccinale qui n’excède pas les 10% ». Le spécialiste rappelle qu’avant qu’Omicron ne voit le jour, « les variants, qu’ils soient «préoccupants» ou «d’intérêts», ont émergé en Inde, en Colombie, en Équateur et au Pérou, tous ces pays avaient à l’époque un taux de couverture vaccinale très bas ».
À propos de la dangerosité du variant Omicron, le président de la Société algérienne d’immunologie clinique a affirmé que quand un variant dispose de « 50 mutations dont 32 touchent la protéine Spike et parmi lesquelles 10 concernent le domaine RBD, la partie ciblée par les anticorps protecteurs secondaires à l’infection naturelle ou au vaccin, on est en face d’une situation inquiétante. »
Comparativement au variant Delta, le spécialiste affirme que « chez les sujets ayant déjà contracté l’infection Covid-19, le taux de réinfection par le variant Omicron est trois fois supérieur à celui des variants Delta ou Alpha » avant de nuancer précisant qu’il s’agit d’un « d’un constat clinique sans preuve biologique » établi par une publication sud-africaine parue ce vendredi ».
L’Algérie, comme tous les pays du monde, ne va pas échapper à ce variant, estime le Pr Djenouhat. Le spécialiste affirme que « aucun pays ne va échapper à ce variant, pour la simple raison qu’il est déjà sorti de l’Afrique australe ».
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Bonne et heureuse nouvelle pour tous les Algériens, notamment le public sportif et les amoureux du ballon rond : « le ministre du Bonheur », Djamel Belmadi, est désormais classé quatrième dans la liste des meilleurs entraineurs dans le monde.
En effet, le sélectionneur national Belmadi a été nominé dernièrement, par la Fédération Internationale de l’Histoire du Football et des Statistiques (IFFHS), pour le Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021.
Cette nomination est intervenue à la suite des grands résultats ainsi que les nombreux titres obtenus par les Fennecs, et ce, depuis que Belmadi est arrivé à la tête du staff technique de l’équipe nationale en août 2018.
Le coach a mené ses joueurs à remporter le fameux trophée de la Coupe d’Afrique des Nations 2019 en Égypte et une sacrée série de 33 matchs sans défaite.
Djamel Belmadi occupe désormais la quatrième placeSur ce, la Fédération internationale d’histoire et de statistiques du football (IFFHS), qui est une organisation d’études historiques et statistiques sur le football, créée en 1984, a classé Djamel Belmadi quatrième, avec un score de 15 points, tout comme son homologue brésilien Tite.
Pour le prestigieux Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021, il est obtenu par l’italien Roberto Mancini, avec 225 points. On trouve également dans la deuxième place l’Argentin Lionel Scaloni qui a eu 30 points, et le Français Didier Deshamps dans la troisième place, juste avant Djamel Belmadi, avec une différence de 10 points, soit 25 points.
Par ailleurs, il est utile de rappeler que le sélectionneur français Didier Deschamps a décroché ledit titre de l’année dernière.
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