You are here

Feed aggregator

Covid-19 : après Omicron, la France traque un variant congolais

Algérie 360 - Mon, 12/06/2021 - 11:35

La France, dans sa lutte contre la Covid-19, semble être envahie par la crainte d’un nouveau variant qui remettrait à zéro tous les efforts vaccinaux entrepris depuis le début de la pandémie.

Après le Variant Omicron, découvert en Afrique du Sud, les autorités sanitaires françaises s’inquiètent à propos d’un autre variant d’origine africaine.

En effet, le variant congolais a été détecté pour la première fois au mois d’octobre dernier en France, et depuis, il a gagné du terrain en contaminant plus de 50 patients, principalement en région Paca, en Auvergne-Rhône-Alpes, en Aquitaine et en Île-de-France.

Un variant sans lettre grecque

Bien que le variant congolais, sobrement baptisé B.1.640, n’ait pas eu droit à sa lettre grecque, comme ce fut le cas avec le variant Omicron, il n’en demeure pas moins inquiétant aux yeux du ministère de la Santé en France, qui affirme le surveiller de prés.

Ce variant, détecté pour la première fois fin septembre, en République démocratique du Congo, n’est pas considéré comme un « variant préoccupant ou d’intérêt » par l’OMS. En France pourtant, on dit ne pas encore connaitre son impact réel, ce qui fait de lui un variant « en cours d’évaluation ».

« On le surveille à fond », confie le virologue Français Bruno Lina à propos de ce variant détecté chez un Nantais en provenance du Congo. Ce patient a toutefois contaminé toute une famille lors d’une soirée dans le Finistère. Quelques jours plus tard, le virus est détecté chez 24 autres personnes, dont 18 élèves dans une école primaire, ce qui a causé la fermeture de plusieurs classes.

 Une « souche anormale »

Après ce coming-out assez spectaculaire, le variant congolais est évoqué par le ministre Français de la Santé. Olivier Véran déclare, en novembre dernier : « vous avez peut-être entendu parler d’un variant congolais. Huit cas ont été identifiés en République du Congo et on a découvert fin septembre un cluster familial chez des personnes qui en revenaient ».

Le ministre affirme toutefois qu’il « ne dit pas ça pour inquiéter, rien n’indique que ce variant soit particulièrement dangereux, mais pour souligner que notre capacité à traquer les variants est très forte ».

Le variant congolais est doté cependant « d’un profil de mutations particulier, il a été retrouvé chez des enfants et des personnes vaccinées à peu près partout », indique le professeur Bruno Lina qui affirme qu’il s’agit d’une « souche anormale » et « très particulière ».

Le même intervenant précise que plus de 50 cas ont été déjà recensé en France, ce qui fait d’après lui de ce variant un centre de préoccupation. Le professeur confie que ce variant « est en train de se répandre et circule en même temps que le Delta, poursuit-il. On est le pays qui en rapporte le plus« .

L’article Covid-19 : après Omicron, la France traque un variant congolais est apparu en premier sur .

Categories: Afrique

Traversées maritimes : le pass vaccinal se heurte au refus des députés

Algérie 360 - Mon, 12/06/2021 - 11:25

Entre la décrue du nombre de cas de contaminations du Covid-19 et le nouveau variant « Omicron » récemment découvert, les autorités se précipitent partout dans le monde pour mettre en place les mesure préventives nécessaires afin d’éviter les vagues mortifères de cette pandémie.

L’Algérie, à titre d’exemple, tente de se protéger de ce nouveau variant et de reprendre la stabilité et la décrue qui a été enregistrée durant les mois précédents, et ce, en veillant sur l’application d’un protocole sanitaire stricte dont la tête de gondole n’est autre que la vaccination.

En effet, le ministère des Transports a annoncé le 1er décembre à travers un communiqué, la vaccination obligatoire pour les voyageurs par voie maritime ainsi que le test PCR et le test antigénique à l’arrivé, en partance ou en provenance de l’étranger vers l’Algérie à partir d’aujourd’hui, 6 décembre 2021.

Une décision « boudée » aussi bien par les voyageurs que par la classe politique, en raison de manque d’informations et de précisions et surtout, les tests imposés pour les vaccinés et les non-vaccinés à titre égal .

Une protestation parlementaire

Cette décision a déplu a plusieurs personnes, ainsi que la manière dont elle a été annoncée. Le député de l’émigration Abdelouahab Yagoubi a déploré une telle façon d’annoncer une information aussi importante, il décide donc d’agir avec d’autres députés suite à l’incompréhension que cette décision a suscitée.

« Suite à la décision improvisée prise hier par le ministère des Transports d’imposer arbitrairement l’obligation de vaccination aux citoyens, je me suis déplacé, cet après-midi, avec une délégation de députés de l’Assemblée Populaire Nationale aujourd’hui au siège du ministère des Transports pour faire part de notre protestation contre cette décision anti-constitutionnelle, qui a été prise d’une manière absolument inacceptable » a t-il publié sur sa page Facebook.

Le député de l’émigration a ajouté « indépendamment du devoir de chacun d’inciter les citoyens à se faire vacciner, il est hors de question qu’une instruction administrative impose cette contrainte aux citoyens, comme l’a souligné le Président de la République« .

« Nous demandons l’annulation de cette mesure »

Tewfiq Khedim, un député de l’émigration a également exprimé son mécontentement, rappelant que la vaccination n’est pas une mesure à imposer du jour au lendemain notamment pour les voyageurs ayant déjà réservés, et ce, sans consultation aucune des parlementaires.

Raison pour laquelle, une délégation de 6 députés dont Abdelouahab Yagoubi s’est déplacée au siège du ministère des Transports pour leur faire part de leur protestation contre cette décision « anti-constitutionnelle« . Yagoubi a  souligné « le protocole efficace reste l’exigence d’un test PCR négatif à l’embarquement et d’un examen antigénique à l’arrivée pour les vaccinés et les non vaccinés« , ainsi, ils espèrent l’annulation de cette mesure.

L’article Traversées maritimes : le pass vaccinal se heurte au refus des députés est apparu en premier sur .

Categories: Afrique

Thomas Massie : un membre du Congrès américain condamné pour sa photo de fusils de Noël

BBC Afrique - Mon, 12/06/2021 - 11:24
La photo de la famille de Thomas Massie posant avec des armes à feu a été postée quelques jours après une fusillade meurtrière dans une école.
Categories: Afrique

Les parlementaires européens demandent un renforcement des règles relatives au transport des animaux vivants

Euractiv.fr - Mon, 12/06/2021 - 11:14
Les règles relatives à la durée et aux conditions de transport des animaux doivent devenir plus strictes, ont déclaré les députés d’une commission spéciale du Parlement après avoir constaté de nombreuses infractions aux règles existantes en matière de bien-être animal.
Categories: Union européenne

Artikel - Diese Woche im EP: Migration, Sicherheit von Spielzeug, LUX-Filmpreis

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Mon, 12/06/2021 - 10:53
Maßnahmen für sicheres Kinderspielzeug und Ideen zur Verbesserung der Krebsbekämpfung in der EU stehen auf der Tagesordnung des Europäischen Parlaments.

Quelle : © Europäische Union, 2021 - EP
Categories: Europäische Union

Joël Aïvo à la Criet

24 Heures au Bénin - Mon, 12/06/2021 - 10:46

La première session criminelle de l'année judiciaire 2021-2022 s'est ouverte ce lundi 06 décembre 2021 à la CRIET avec le dossier du Professeur Joël Aïvo.

L'opposant Joël Aïvo s'est rendu à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme aux environs de 8 h. Ses co-accusés Ibrahim Moudjahidou, Boni Saré Issiakou sont également présents. L'audience ouverte vers 9 heures a été suspendue en raison de l'absence de l'un des accusés Alain Dotou Gnonlonfoun. Le chargé des finances du Professeur est en route pour la Criet.

Plusieurs avocats se sont mobilisés pour la défense de l'opposant Aïvo dont Me Robert Dossou, Me Nadine Sakponou, Me Elvis Didè. Le Professeur de droit constitutionnel est poursuivi pour "atteinte à la sûreté de L'État et blanchiment de capitaux". Candidat recalé à l'élection présidentielle, Joël Aïvo a été déposé à la prison civile de Cotonou le 16 avril 2021 après sa présentation devant le procureur spécial près la Criet.

A. AYOSSO

Categories: Afrique

Election gambienne : Adama Barrow, le président sortant déclaré vainqueur de la présidentielle

BBC Afrique - Mon, 12/06/2021 - 10:42
La commission électorale désigne Adama Barrow comme vainqueur malgré la contestation du vote par ses opposants.
Categories: Afrique

Wie die neue deutsche Regierung die europäische Entwicklungspolitik gestalten könnte

Nach wochenlangen Spekulationen hat die „Ampel“-Koalition ihren Koalitionsvertrag veröffentlicht. Darin legt sie auch dar, wie sie die globale Entwicklung fördern will. Es ist gut, dass die Vereinbarung auf ein stärkeres globales Engagement Deutschlands, die Stärkung der Europäischen Union und ihrer Rolle in der Welt, ein kohärenteres außenpolitisches Engagement sowie die Beibehaltung und voraussichtliche Erhöhung der Ausgaben für Entwicklungszusammenarbeit hinweist. Die Koalition aus SPD, Grünen und FDP ist erwartungsgemäß stark pro-europäisch eingestellt; so hat sie Änderungen der EU-Verträge sowie eine Reform des Europäischen Auswärtigen Dienstes und des Asylsystems in Aussicht gestellt. Konkrete Maßnahmen, wie „mehr Europa“ in den Außenbeziehungen erreicht werden soll, bleiben jedoch vage und müssen von den neuen Minister*innen festgelegt werden. So tritt die neue Ministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) ihr Amt zu einer Zeit an, in der aufeinanderfolgende Krisen Deutschland und die EU von einem kohärenten und strategischen Ansatz haben abweichen lassen. Die Entwicklungspolitik ist vielmehr zu einem „Tausendsassa“ geworden, bei dem die Interessen der EU und ihrer Mitgliedstaaten im Mittelpunkt stehen. Die EU-Entwicklungspolitik hat so neben ihren „traditionellen“ Zielen – wie der Bekämpfung von Armut, Ungleichheit, Klimawandel und Umweltzerstörung sowie der Förderung guter Regierungsführung – ein breites Spektrum an Themen in ihr Portfolio aufgenommen, die von ungesteuerter Migration über gewaltsame Konflikte bis hin zu Korruption und politischer Unterdrückung reichen. Die COVID-19-Pandemie hat diese Komplexität zusätzlich erhöht, da sie sowohl gesundheitliche und wirtschaftliche Sofortmaßnahmen als auch langfristige Wiederaufbaumaßnahmen notwendig macht, die die Welt auf den 1,5-Grad-Celsius-Pfad des Pariser Abkommens lenken.

Seit Beginn der Pandemie hat die EU die Ressourcen von EU-Institutionen, Mitgliedstaaten und Investitionsbanken mobilisiert und gebündelt, um unter der Bezeichnung „Team Europe“ eine international ausgerichtete europäische Antwort auf COVID-19 zu geben. Der Team-Europe-Ansatz wird in Brüssel und den europäischen Hauptstädten positiv bewertet. Diesen Einschätzungen zufolge zeigt „Team Europe“ Einigkeit, erhöht die Sichtbarkeit Europas und demonstriert Stärke in geopolitischen Auseinandersetzungen. Im Gegensatz zu früheren Initiativen für eine stärkere Koordinierung stehen die Mitgliedstaaten dem Ansatz offen gegenüber, da sie von einem ausgedehnten Netz diplomatischer und außenpolitischer Dienste profitieren und – entsprechend ihrem eigenen Gewicht – zu gemeinsamen Initiativen beitragen können ohne Brüssel mehr Macht oder Zuständigkeiten übertragen zu müssen. Auf strategischer Ebene herrscht allerdings weniger Einigkeit, und die Entwicklungspolitik der EU ist noch nicht mehr als die Summe ihrer einzelnen Teile.

Die EU und die Mitgliedstaaten haben die klare Absicht, durch die Entwicklungspolitik ihre geopolitischen, wirtschaftlichen und sicherheitspolitischen Interessen zu fördern und ihre eigenen Prioritäten als Ausgangspunkt für die Zusammenarbeit mit ihren Partnern zu nehmen. Der Europäische Green Deal und das Ziel der EU, bis 2050 klimaneutral zu werden, sind ebenfalls in den Mittelpunkt des Engagements der EU mit ihren Partnern gerückt. Das Ziel hier ist, Partner von einem ähnlichen Wiederaufbaupfad zu überzeugen, der „green transitions“ in den Vordergrund rückt. Die Entwicklungspolitik an Prioritäten auszurichten führt jedoch nicht automatisch zu einem kohärenten Ansatz und dazu, angestrebte Ziele tatsächlich zu erreichen. Es spiegelt vor allem die unterschiedlichen Interessen der europäischen Regierungen, politischen Parteien und Interessengruppen wider. Dies erklärt auch die wachsende Skepsis und die Spannungen insbesondere mit den afrikanischen Ländern und der Afrikanischen Union. Aus ihrer Sicht versucht die EU ihnen ihre Agenda aufzuzwingen, während sie Ideen und Prioritäten der Partner für den kurz- und langfristigen Aufschwung und damit auch für soziale und ökologische Ziele vernachlässigt.

Wenn die neue Bundesministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung Svenja Schulze das BMZ übernimmt, sollte sie bei richtungsweisenden Entscheidungen die europäische Perspektive von Anfang an mitdenken. Als größter Beitragszahler zum Entwicklungsbudget der EU muss Deutschland sein Gewicht nutzen, um strategische Debatten voranzutreiben und die Mitgliedstaaten hinter gemeinsamen europäischen Initiativen zu versammeln. Eine weitere Integration im Bereich der Entwicklungspolitik scheint angesichts der starken nationalen Interessen der Mitgliedstaaten ein weit entferntes Ziel. Deutschland kann jedoch eine entscheidende Rolle dabei spielen, nicht nur die Sichtbarkeit Europas zu erhöhen, sondern auch dem „Team Europe“ mehr Substanz zu verleihen. Zwei Ziele sollten im Mittelpunkt einer strategischen Vision für einen europäischen Ansatz in der Entwicklungszusammenarbeit stehen: Erstens, die Integration sozialer und ökologischer Ziele (und damit die vollständige Kohärenz der SDGs mit dem Pariser Abkommen). Zweitens, die Förderung demokratischer Werte. Dieser Ansatz sollte nicht nur bestehende politische Initiativen zusammenführen, sondern so formuliert sein, dass die Eigenverantwortung der Entwicklungsländer gefördert und gestärkt wird.

Wie die neue deutsche Regierung die europäische Entwicklungspolitik gestalten könnte

Nach wochenlangen Spekulationen hat die „Ampel“-Koalition ihren Koalitionsvertrag veröffentlicht. Darin legt sie auch dar, wie sie die globale Entwicklung fördern will. Es ist gut, dass die Vereinbarung auf ein stärkeres globales Engagement Deutschlands, die Stärkung der Europäischen Union und ihrer Rolle in der Welt, ein kohärenteres außenpolitisches Engagement sowie die Beibehaltung und voraussichtliche Erhöhung der Ausgaben für Entwicklungszusammenarbeit hinweist. Die Koalition aus SPD, Grünen und FDP ist erwartungsgemäß stark pro-europäisch eingestellt; so hat sie Änderungen der EU-Verträge sowie eine Reform des Europäischen Auswärtigen Dienstes und des Asylsystems in Aussicht gestellt. Konkrete Maßnahmen, wie „mehr Europa“ in den Außenbeziehungen erreicht werden soll, bleiben jedoch vage und müssen von den neuen Minister*innen festgelegt werden. So tritt die neue Ministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) ihr Amt zu einer Zeit an, in der aufeinanderfolgende Krisen Deutschland und die EU von einem kohärenten und strategischen Ansatz haben abweichen lassen. Die Entwicklungspolitik ist vielmehr zu einem „Tausendsassa“ geworden, bei dem die Interessen der EU und ihrer Mitgliedstaaten im Mittelpunkt stehen. Die EU-Entwicklungspolitik hat so neben ihren „traditionellen“ Zielen – wie der Bekämpfung von Armut, Ungleichheit, Klimawandel und Umweltzerstörung sowie der Förderung guter Regierungsführung – ein breites Spektrum an Themen in ihr Portfolio aufgenommen, die von ungesteuerter Migration über gewaltsame Konflikte bis hin zu Korruption und politischer Unterdrückung reichen. Die COVID-19-Pandemie hat diese Komplexität zusätzlich erhöht, da sie sowohl gesundheitliche und wirtschaftliche Sofortmaßnahmen als auch langfristige Wiederaufbaumaßnahmen notwendig macht, die die Welt auf den 1,5-Grad-Celsius-Pfad des Pariser Abkommens lenken.

Seit Beginn der Pandemie hat die EU die Ressourcen von EU-Institutionen, Mitgliedstaaten und Investitionsbanken mobilisiert und gebündelt, um unter der Bezeichnung „Team Europe“ eine international ausgerichtete europäische Antwort auf COVID-19 zu geben. Der Team-Europe-Ansatz wird in Brüssel und den europäischen Hauptstädten positiv bewertet. Diesen Einschätzungen zufolge zeigt „Team Europe“ Einigkeit, erhöht die Sichtbarkeit Europas und demonstriert Stärke in geopolitischen Auseinandersetzungen. Im Gegensatz zu früheren Initiativen für eine stärkere Koordinierung stehen die Mitgliedstaaten dem Ansatz offen gegenüber, da sie von einem ausgedehnten Netz diplomatischer und außenpolitischer Dienste profitieren und – entsprechend ihrem eigenen Gewicht – zu gemeinsamen Initiativen beitragen können ohne Brüssel mehr Macht oder Zuständigkeiten übertragen zu müssen. Auf strategischer Ebene herrscht allerdings weniger Einigkeit, und die Entwicklungspolitik der EU ist noch nicht mehr als die Summe ihrer einzelnen Teile.

Die EU und die Mitgliedstaaten haben die klare Absicht, durch die Entwicklungspolitik ihre geopolitischen, wirtschaftlichen und sicherheitspolitischen Interessen zu fördern und ihre eigenen Prioritäten als Ausgangspunkt für die Zusammenarbeit mit ihren Partnern zu nehmen. Der Europäische Green Deal und das Ziel der EU, bis 2050 klimaneutral zu werden, sind ebenfalls in den Mittelpunkt des Engagements der EU mit ihren Partnern gerückt. Das Ziel hier ist, Partner von einem ähnlichen Wiederaufbaupfad zu überzeugen, der „green transitions“ in den Vordergrund rückt. Die Entwicklungspolitik an Prioritäten auszurichten führt jedoch nicht automatisch zu einem kohärenten Ansatz und dazu, angestrebte Ziele tatsächlich zu erreichen. Es spiegelt vor allem die unterschiedlichen Interessen der europäischen Regierungen, politischen Parteien und Interessengruppen wider. Dies erklärt auch die wachsende Skepsis und die Spannungen insbesondere mit den afrikanischen Ländern und der Afrikanischen Union. Aus ihrer Sicht versucht die EU ihnen ihre Agenda aufzuzwingen, während sie Ideen und Prioritäten der Partner für den kurz- und langfristigen Aufschwung und damit auch für soziale und ökologische Ziele vernachlässigt.

Wenn die neue Bundesministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung Svenja Schulze das BMZ übernimmt, sollte sie bei richtungsweisenden Entscheidungen die europäische Perspektive von Anfang an mitdenken. Als größter Beitragszahler zum Entwicklungsbudget der EU muss Deutschland sein Gewicht nutzen, um strategische Debatten voranzutreiben und die Mitgliedstaaten hinter gemeinsamen europäischen Initiativen zu versammeln. Eine weitere Integration im Bereich der Entwicklungspolitik scheint angesichts der starken nationalen Interessen der Mitgliedstaaten ein weit entferntes Ziel. Deutschland kann jedoch eine entscheidende Rolle dabei spielen, nicht nur die Sichtbarkeit Europas zu erhöhen, sondern auch dem „Team Europe“ mehr Substanz zu verleihen. Zwei Ziele sollten im Mittelpunkt einer strategischen Vision für einen europäischen Ansatz in der Entwicklungszusammenarbeit stehen: Erstens, die Integration sozialer und ökologischer Ziele (und damit die vollständige Kohärenz der SDGs mit dem Pariser Abkommen). Zweitens, die Förderung demokratischer Werte. Dieser Ansatz sollte nicht nur bestehende politische Initiativen zusammenführen, sondern so formuliert sein, dass die Eigenverantwortung der Entwicklungsländer gefördert und gestärkt wird.

Wie die neue deutsche Regierung die europäische Entwicklungspolitik gestalten könnte

Nach wochenlangen Spekulationen hat die „Ampel“-Koalition ihren Koalitionsvertrag veröffentlicht. Darin legt sie auch dar, wie sie die globale Entwicklung fördern will. Es ist gut, dass die Vereinbarung auf ein stärkeres globales Engagement Deutschlands, die Stärkung der Europäischen Union und ihrer Rolle in der Welt, ein kohärenteres außenpolitisches Engagement sowie die Beibehaltung und voraussichtliche Erhöhung der Ausgaben für Entwicklungszusammenarbeit hinweist. Die Koalition aus SPD, Grünen und FDP ist erwartungsgemäß stark pro-europäisch eingestellt; so hat sie Änderungen der EU-Verträge sowie eine Reform des Europäischen Auswärtigen Dienstes und des Asylsystems in Aussicht gestellt. Konkrete Maßnahmen, wie „mehr Europa“ in den Außenbeziehungen erreicht werden soll, bleiben jedoch vage und müssen von den neuen Minister*innen festgelegt werden. So tritt die neue Ministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) ihr Amt zu einer Zeit an, in der aufeinanderfolgende Krisen Deutschland und die EU von einem kohärenten und strategischen Ansatz haben abweichen lassen. Die Entwicklungspolitik ist vielmehr zu einem „Tausendsassa“ geworden, bei dem die Interessen der EU und ihrer Mitgliedstaaten im Mittelpunkt stehen. Die EU-Entwicklungspolitik hat so neben ihren „traditionellen“ Zielen – wie der Bekämpfung von Armut, Ungleichheit, Klimawandel und Umweltzerstörung sowie der Förderung guter Regierungsführung – ein breites Spektrum an Themen in ihr Portfolio aufgenommen, die von ungesteuerter Migration über gewaltsame Konflikte bis hin zu Korruption und politischer Unterdrückung reichen. Die COVID-19-Pandemie hat diese Komplexität zusätzlich erhöht, da sie sowohl gesundheitliche und wirtschaftliche Sofortmaßnahmen als auch langfristige Wiederaufbaumaßnahmen notwendig macht, die die Welt auf den 1,5-Grad-Celsius-Pfad des Pariser Abkommens lenken.

Seit Beginn der Pandemie hat die EU die Ressourcen von EU-Institutionen, Mitgliedstaaten und Investitionsbanken mobilisiert und gebündelt, um unter der Bezeichnung „Team Europe“ eine international ausgerichtete europäische Antwort auf COVID-19 zu geben. Der Team-Europe-Ansatz wird in Brüssel und den europäischen Hauptstädten positiv bewertet. Diesen Einschätzungen zufolge zeigt „Team Europe“ Einigkeit, erhöht die Sichtbarkeit Europas und demonstriert Stärke in geopolitischen Auseinandersetzungen. Im Gegensatz zu früheren Initiativen für eine stärkere Koordinierung stehen die Mitgliedstaaten dem Ansatz offen gegenüber, da sie von einem ausgedehnten Netz diplomatischer und außenpolitischer Dienste profitieren und – entsprechend ihrem eigenen Gewicht – zu gemeinsamen Initiativen beitragen können ohne Brüssel mehr Macht oder Zuständigkeiten übertragen zu müssen. Auf strategischer Ebene herrscht allerdings weniger Einigkeit, und die Entwicklungspolitik der EU ist noch nicht mehr als die Summe ihrer einzelnen Teile.

Die EU und die Mitgliedstaaten haben die klare Absicht, durch die Entwicklungspolitik ihre geopolitischen, wirtschaftlichen und sicherheitspolitischen Interessen zu fördern und ihre eigenen Prioritäten als Ausgangspunkt für die Zusammenarbeit mit ihren Partnern zu nehmen. Der Europäische Green Deal und das Ziel der EU, bis 2050 klimaneutral zu werden, sind ebenfalls in den Mittelpunkt des Engagements der EU mit ihren Partnern gerückt. Das Ziel hier ist, Partner von einem ähnlichen Wiederaufbaupfad zu überzeugen, der „green transitions“ in den Vordergrund rückt. Die Entwicklungspolitik an Prioritäten auszurichten führt jedoch nicht automatisch zu einem kohärenten Ansatz und dazu, angestrebte Ziele tatsächlich zu erreichen. Es spiegelt vor allem die unterschiedlichen Interessen der europäischen Regierungen, politischen Parteien und Interessengruppen wider. Dies erklärt auch die wachsende Skepsis und die Spannungen insbesondere mit den afrikanischen Ländern und der Afrikanischen Union. Aus ihrer Sicht versucht die EU ihnen ihre Agenda aufzuzwingen, während sie Ideen und Prioritäten der Partner für den kurz- und langfristigen Aufschwung und damit auch für soziale und ökologische Ziele vernachlässigt.

Wenn die neue Bundesministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung Svenja Schulze das BMZ übernimmt, sollte sie bei richtungsweisenden Entscheidungen die europäische Perspektive von Anfang an mitdenken. Als größter Beitragszahler zum Entwicklungsbudget der EU muss Deutschland sein Gewicht nutzen, um strategische Debatten voranzutreiben und die Mitgliedstaaten hinter gemeinsamen europäischen Initiativen zu versammeln. Eine weitere Integration im Bereich der Entwicklungspolitik scheint angesichts der starken nationalen Interessen der Mitgliedstaaten ein weit entferntes Ziel. Deutschland kann jedoch eine entscheidende Rolle dabei spielen, nicht nur die Sichtbarkeit Europas zu erhöhen, sondern auch dem „Team Europe“ mehr Substanz zu verleihen. Zwei Ziele sollten im Mittelpunkt einer strategischen Vision für einen europäischen Ansatz in der Entwicklungszusammenarbeit stehen: Erstens, die Integration sozialer und ökologischer Ziele (und damit die vollständige Kohärenz der SDGs mit dem Pariser Abkommen). Zweitens, die Förderung demokratischer Werte. Dieser Ansatz sollte nicht nur bestehende politische Initiativen zusammenführen, sondern so formuliert sein, dass die Eigenverantwortung der Entwicklungsländer gefördert und gestärkt wird.

Ferenc pápa menedékkérőkkel találkozott Leszbosz szigetén

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 12/06/2021 - 10:40
Euronews: "Sírkövek nélküli temetővé válik a Földközi-tenger" - mondta Leszbosz szigetén a katolikus egyházfő, felhívva a figyelmet a menekülők nyomorúságos helyzetére.

Davis Kupa – Harmadszor bajnok az orosz csapat

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 12/06/2021 - 10:40
A US Open-címvédő Danyiil Medvegyev legyőzte Marin Cilicet, ezzel az oroszok 2-0-ra legyőzték a horvátokat a tenisz Davis Kupa-döntő madridi fináléjában.

Confondu à un djihadiste, un militaire est abattu

24 Heures au Bénin - Mon, 12/06/2021 - 10:38

Un autre militaire a perdu la vie dans les rangs de l'armée béninoise

En renfort aux militaires dans le cadre de la riposte contre les assaillants, un policier faisant partie d'un contingent tire sur un militaire dans la nuit du samedi 04 au dimanche 05 décembre 2021 à Tanguiéta. Le militaire a été confondu à un assaillant. Le sergent Albert Koukpo est décédé quelques minutes après avoir reçu la balle par erreur. Ce décès porte à quatre (04) le nombre de soldats béninois tués en quelques jours suite à l'attaque de groupes armés contre l'armée béninoise dans la région frontalière au Burkina Faso. Deux militaires avaient été tués lors des attaques, un autre a trouvé la mort dans un accident de convoi du ministre se rendant au chevet des positions attaquées.
M. M.

Categories: Afrique

SPD-Verhandler: Deutschland lehnt ‘Backdoors‘ in ePrivacy Gesetz ab

Euractiv.de - Mon, 12/06/2021 - 10:37
In der Debatte rund um die Ende-zu-Ende-Verschlüsselung und die Einrichtung von Backdoors dürfte die kommende Bundesregierung eine Kursänderung hinlegen, sagte Jens Zimmermann, Verhandlungsführer für die SPD im Bereich Digitales, im Interview mit EURACTIV.
Categories: Europäische Union

L’UE et les États-Unis entameront un nouveau dialogue sur la défense et la sécurité début 2022

Euractiv.fr - Mon, 12/06/2021 - 10:36
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken et le chef de la diplomatie de l’Union européenne Josep Borrell ont annoncé que le dialogue entre les États-Unis et l’UE sur la sécurité et la défense, qui avait déjà été annoncé, serait lancé début 2022.
Categories: Union européenne

Natural Gas is not a transitional fuel, so let’s stop saying it is

Euractiv.com - Mon, 12/06/2021 - 10:32
Instead of being promoted as "transitional fuel", gas could be better described as a fuel of last resort, with the caveat that it is not the only one: other technologies are advancing into the balancing role for the power systems, writes Julian Popov.
Categories: European Union

Karl Nehammer az új osztrák kancellár hétfőtől

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 12/06/2021 - 10:20
Euronews: A járványkezelésről azt mondta, hogy készen áll az új kihívásra, mert belügyminiszterként már korábban is felelős volt a szükséges intézkedések bevezetéséért.

Variant Omicron et pass sanitaire : ce que propose le DG de Pasteur

Algérie 360 - Mon, 12/06/2021 - 10:15

Au risque de l’avènement du variant Omicron en Algérie et au vu de la situation épidémiologique actuelle, les spécialistes et responsables du secteur sanitaire multiplient les appels à la vigilance. Dans la foulée, des propositions sont également faites.

Intervenant ce lundi sur les ondes de la radio nationale, le Directeur général de l’Institut Pasteur d’Algérie Dr Fawzi Derrar a appelé à généraliser le pass sanitaire dans tous les secteurs tout comme la décision du ministère des Transports concernant le transport maritime.

Le même responsable affirme que la généralisation du pass sanitaire vaccinal est désormais une nécessité au niveau de tous les secteurs et les institutions, tout en l’accompagnant avec une campagne de sensibilisation auprès des citoyens.

Si cette proposition intervient dans le souci de faire face à tout risque de propagation du variant Omicron en Algérie, l’intervenant estime tout de même que le débat autour du variant Omicron est un peu anticipé actuellement.

Pic du variant Omicron : Derrar livre ses pronostics

A ce propos, il estime que le variant le plus important en ce moment, c’est le Delta. Dans le même sillage, le DG de l’IPA ajoute que conformément aux études et prévisions scientifiques, le pic du nouveau variant interviendra vers la fin du mois de février ou le début du mois de mars 2022.

Revenant sur la vaccination, l’invité de la Radio préconise de changer le type de vaccin pour la troisième dose afin d’atteindre une immunité optimale contre tout autre variant.

Dans le même sillage, il affirme que toutes les rumeurs circulant autour des effets indésirables des vaccins sont théoriques, d’autant qu’aucune d’entre elles n’est prouvée scientifiquement.

L’article Variant Omicron et pass sanitaire : ce que propose le DG de Pasteur est apparu en premier sur .

Categories: Afrique

Extraterritorial legal outreach: Why should the US call the shots?

Euractiv.com - Mon, 12/06/2021 - 10:13
A US law aimed at ending corrupt practices by US corporations has morphed into an economic and political weapon and a virtual goldmine in terms of the resources US agencies have extracted from non-US companies, writes Dick Roche.
Categories: European Union

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.