Le parti d'opposition Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) a enregistré une nouvelle vague de démission, dimanche 05 décembre 2021, à Parakou. Les cinq (05) démissionnaires annoncent appartenir désormais au parti de la mouvance Bloc Républicain (BR).
Cinq membres de la coordination communale de Parakou ont déposé leur démission au parti FCBE, présidé par le chef de file de l'opposition Paul Hounkpè. Il s'agit de Mare Bio Abdoulaye, Secrétaire général de la coordination communale, de Sare Boni Khoda Mashoud, coordonnateur zone A du 3ème arrondissement ; Bio Pibou Gounou Soulé, coordonnateur zone B du 3ème Arrondissement ; Esse urbain, Chef de la cellule de communication du bureau communal et Adambi Assimiou, secrétaire exécutif adjoint communal. C'est à travers une déclaration, dimanche 05 décembre 2021, à la presse. « Nous, membres du bureau communal des FCBE Parakou, annonçons notre démission au profit du Bloc Républicain. (...) », ont indiqué les démissionnaires dans une déclaration lue par Bio Abdoulaye Maré.
Les démissionnaires ont salué le chef de l'Etat Patrice Talon « pour les œuvres salvatrices amorcées jusqu'ici ».
M. M.
Au moment où l’Europe fait face à la menace du variant Omicron, l’Algérie quant à elle se concentre sur le variant Delta, qui demeure la souche dominante de la covid-19. Malgré le taux de vaccination assez faible, les Algériens, après les 3 vague consécutif de la pandémie, ont quand même acquis une certaine immunité cillective naturelle.
Peut-on toutefois miser sur cette immunité naturelle pour faire face à la prochaine vague ? Selon le Professeur Kamel Djenouhat, président de la Société algérienne d’immunologie clinique, une étude a déjà été menée par ses services à l’hôpital de Rouiba afin de calculer le taux de l’immunité collective.
Répondant à une question posée par nos confrères du quotidien le Soir d’Algérie, le Pr Kamel Djenouhat a soutenu que « non, nous n’avons pas encore atteint l’immunité collective ». Pour ce spécialiste, l’Algérie est encore loin de pouvoir miser sur son immunité collective naturelle et ce « malgré le nombre de cas très élevé enregistré lors des vagues précédentes ».
Le Professeur Djenouhat ajoute que selon les résultats préliminaires d’une étude que son équipe est en train de réaliser au niveau de l’hôpital de Rouiba, « le taux de l’immunité collective est aux alentours de 65 à 68% ». Un chiffre que le spécialiste juge insuffisant vu « les nouvelles valeurs de l’immunité collective imposées par les nouveaux variants qui sont de 90 à 95% », précise le même spécialiste.
Variant Omicron, une menace sur l’Algérie ?Concernant le variant Omicron, Le Pr Djenouhat a affirmé que son émergence est certainement due au manque de vaccination. Il confie que « l’Afrique représente le continent le moins vacciné dans le monde avec un taux de couverture vaccinale qui n’excède pas les 10% ». Le spécialiste rappelle qu’avant qu’Omicron ne voit le jour, « les variants, qu’ils soient «préoccupants» ou «d’intérêts», ont émergé en Inde, en Colombie, en Équateur et au Pérou, tous ces pays avaient à l’époque un taux de couverture vaccinale très bas ».
À propos de la dangerosité du variant Omicron, le président de la Société algérienne d’immunologie clinique a affirmé que quand un variant dispose de « 50 mutations dont 32 touchent la protéine Spike et parmi lesquelles 10 concernent le domaine RBD, la partie ciblée par les anticorps protecteurs secondaires à l’infection naturelle ou au vaccin, on est en face d’une situation inquiétante. »
Comparativement au variant Delta, le spécialiste affirme que « chez les sujets ayant déjà contracté l’infection Covid-19, le taux de réinfection par le variant Omicron est trois fois supérieur à celui des variants Delta ou Alpha » avant de nuancer précisant qu’il s’agit d’un « d’un constat clinique sans preuve biologique » établi par une publication sud-africaine parue ce vendredi ».
L’Algérie, comme tous les pays du monde, ne va pas échapper à ce variant, estime le Pr Djenouhat. Le spécialiste affirme que « aucun pays ne va échapper à ce variant, pour la simple raison qu’il est déjà sorti de l’Afrique australe ».
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Bonne et heureuse nouvelle pour tous les Algériens, notamment le public sportif et les amoureux du ballon rond : « le ministre du Bonheur », Djamel Belmadi, est désormais classé quatrième dans la liste des meilleurs entraineurs dans le monde.
En effet, le sélectionneur national Belmadi a été nominé dernièrement, par la Fédération Internationale de l’Histoire du Football et des Statistiques (IFFHS), pour le Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021.
Cette nomination est intervenue à la suite des grands résultats ainsi que les nombreux titres obtenus par les Fennecs, et ce, depuis que Belmadi est arrivé à la tête du staff technique de l’équipe nationale en août 2018.
Le coach a mené ses joueurs à remporter le fameux trophée de la Coupe d’Afrique des Nations 2019 en Égypte et une sacrée série de 33 matchs sans défaite.
Djamel Belmadi occupe désormais la quatrième placeSur ce, la Fédération internationale d’histoire et de statistiques du football (IFFHS), qui est une organisation d’études historiques et statistiques sur le football, créée en 1984, a classé Djamel Belmadi quatrième, avec un score de 15 points, tout comme son homologue brésilien Tite.
Pour le prestigieux Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021, il est obtenu par l’italien Roberto Mancini, avec 225 points. On trouve également dans la deuxième place l’Argentin Lionel Scaloni qui a eu 30 points, et le Français Didier Deshamps dans la troisième place, juste avant Djamel Belmadi, avec une différence de 10 points, soit 25 points.
Par ailleurs, il est utile de rappeler que le sélectionneur français Didier Deschamps a décroché ledit titre de l’année dernière.
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The Republic of Congo received just over 300,000 doses of the COVID vaccines through the COVAX Facility in August 2021. The international COVAX initiative aimed at guaranteeing global access to the vaccines, recently announced that it was being forced to slash planned deliveries to Africa, by around 150 million doses this year. The scheme is now expected to deliver 470 million doses through the end of December. These will be enough to protect just 17 per cent of the continent, far below the 40 per cent target, according to the World Health Organization (WHO). Credit: UNICEF/Aimable Twiringiyima
By Victoria Fan and Steve Kuo
MANOA, Hawaii / TAIPEI, Taiwan, Dec 6 2021 (IPS)
Many countries around the world have punished most of the African continent for the scientific discovery of the Omicron variant through the imposition of travel bans.
These travel bans are more injury upon the injury of low vaccination in Africa. Even well-intentioned rallying phrases such as “vaccine apartheid” or “vaccine equity” still lack the moral weight, indignation, and urgency that we should all feel, no matter which country we live. Words fail us.
How can it be that—even now—vast swaths of a continent go without access to these lifesaving vaccines? How is this situation even possible, let alone acceptable? For sure, there’s not been enough vaccines arriving to African countries.
Flowery donor pledges gone unfilled are no better than empty promises. Some say it’s the monopolized production from a vaccine company based outside of Africa or intellectual property issues.
Others cite supply chain and cold chain problems, the need for refrigeration, and lack of electricity. Still others note vaccine hesitancy and misinformation. Throw in “corruption” and “poor governance.” Yadda yadda yadda.
Let us please transfer all the energy spent on the manufacturing of excuses to create ideas for how we’ll get vaccines to Africa.
One thing we should have learned during COVID-19 is that so-called “leaders” are amazing at coming up with excuses for things not getting done. Let’s remind ourselves of the HIV pandemic when world “leaders” were hesitating to distribute antiretroviral treatment to so-called “developing countries.”
There was even an administrator of USAID, supposedly a leading aid agency, who conveniently came up with a racist excuse that the reason why Africans couldn’t get treatment against HIV was because they couldn’t tell time.
Excuses easily come out of the human mouth. Let us please transfer all the energy spent on the manufacturing of excuses to create ideas for how we’ll get vaccines to Africa.
If Africa can’t get the vaccines it needs, perhaps Africa should take a play from the Indonesian playbook during the 2007 avian flu.
The Indonesian Government argued that its decision in January 2007 to stop sending avian flu samples (H5N1 virus) to the WHO’s reference labs was justifiable because the samples provided freely from lower-income countries were used by companies in higher-income countries to develop vaccines that the lower-income countries couldn’t afford and couldn’t benefit from.
Indonesia wanted a guarantee that it would benefit from the samples it provided. After months of withholding the samples, WHO and the Indonesian government eventually came to an agreement and changed the terms of reference for sample sharing.
As Sedyaningsih et al noted in 2008, “This event demonstrates the unresolved imbalance between the affluent high-tech countries and the poor agriculture-based countries.” Their words still hold true more than a decade later.
When dealing with those who are habituated to a “me first” mentality, you must negotiate and bargain hard. African countries trying to gain support through an idealistic notion of global solidarity will fail unless applying “shrewd business practices.” Not just African countries, but the whole world will fail.
So, negotiate hard. Know what your opponent wants the most, and don’t give them what they want so easily till you get what you need. Empty promises and excuses won’t stop COVID-19, but hard bargaining might.
Victoria Y. Fan, ScD, is an associate professor and interim director of the Center on Aging at the University of Hawaii at Manoa and a non-resident fellow at the Center for Global Development. Steve Kuo, MD, PhD, served as director of Taiwan Centers for Disease Control including during SARS, and most recently he was the president of National Yang Ming University, now National Yang Ming Chiao Tung University.
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On a tous vu et entendu parler des harragas qui prennent le large avec leurs enfants, fuyant un quotidien douloureux à travers un risque sans pareil, espérant pour eux et pour leurs enfants une vie nouvelle, différente et meilleure. A leur grande et triste surprise, ils se retrouvent dans des situations déplorables.
Ces algériens vivant « en noir » sur le territoire français, survivent tant bien que mal. A l’exemple de certains qui se retrouvent sans-logis à Toulouse. « Un toit, c’est la loi », voici la phrase que les 39 sans-abri dont 21 enfants en bas âge (dont des algériens) ont choisi de mettre à l’entrée d’un gymnase situé sur la place de la basilique Saint-Sernin, au centre-ville de Toulouse, à 500 mètres de la place du Capitole. Ces sans-abri ont y trouvé refuge à leur corps défendant, face à l’inertie des autorités et dans l’impitoyable froid du mois de décembre.
C’est là où Yamna, une algérienne de 43 ans y vit avec son conjoint et ses trois enfants ages de 7 à 17 ans, et ce, après son arrivée d’Algérie il y trois mois. Malgré la situation pour le moins qu’on puisse dire, difficile, Yamna raconte avec le sourire « depuis des semaines nous dormions dans la rue, un peu partout dans Toulouse. C’est bien Toulouse mais dehors il fait trop froid. Ici, on est mieux« .
Les associations se mobilisentPlusieurs associations se mobilisent pour trouver une solution pour ces sans-abri et soutiennent par la même occasion cette occupation, notamment vu l’omniprésence des enfants vivant dans de telles conditions. Le collectif droit au logement (DAL) a déploré « les autorités ne font rien, ces familles dorment à la rue depuis plusieurs semaines« . Selon le même collectif, 250 personnes dorment encore dehors à Toulouse.
Les harragas algériens sont plus exposés à de telles conditions, d’autant plus que leur situation irrégulière ne leur permet pas de bénéficier des aides de l’Etat.
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The European Defence Agency (EDA) will make available various IT equipment that is no longer used by the Agency (see list here) to non-profit organisations, local community centres or schools officially based in Belgium to support local activities. EDA invites interested parties to submit their application for this equipment in accordance with rules governing the donation laid down in the present invitation. A French translation of this invitation to apply is available here.
Donations of decommissioned IT equipment are made at the discretion of the EDA and decided on a case by case basis. The hard-drives and -discs of all equipment will be removed before being donated.
How to apply?The European Defence Agency is committed to the protection of personal data. Personal data collected by EDA will be processed pursuant to Regulation (EU) 2018/1725. For more details, please consult the Privacy Statement: EDA Privacy Statement Donations IT Equipment 2021.pdf
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