La CAF a retiré l'organisation de la CAN en 2025 à la Guinée, qui n'est pas prête. Dans la foulée, un appel à candidatures a été lancé dès l'annonce du retrait de la CAN 2025 à la Guinée. À cet effet, l'Afrique du Sud, l'Algérie, le Maroc, la Zambie et le duo Nigeria-Bénin, sont en lice pour remplacer la Guinée. L'identité de l'heureux élu sera connue le 10 février 2023. Si l'Afrique du Sud, l'Algérie et le Maroc ont des arguments à valoir, pas de débats devant le Maroc qui se présente comme atouts meilleurs et indiscutables, surtout. En effet, le Maroc dispose, à lui seul, des particularités qui font de lui le candidat parfait.
Evrard Fulgérale
Ce n'est plus à prouver, le Maroc est l'une des grandes nations de football en Afrique, même à l'international. Le parcours historique des Lions de l'atlas à la coupe du monde Qatar 2022 est un exemple palpable. Mais, cela n'est pas suffisant pour faire du Maroc le meilleur candidat à l'organisation de la CAN 2025. Ce qui rend le Maroc spécial, ce sont ses atouts hors normes et uniques. La force de l'expérience pour avoir organisé plusieurs grandes compétitions, la disponibilité des infrastructures de qualité, la stabilité politique, la sécurité font, entre autres, les atouts du Maroc.
Le Maroc a déjà fait ses preuves
Le Maroc a une grande expérience en matière d'organisation des grands événements footballistiques. Les demi-finalistes de la coupe du monde 2022 ont été pays hôte avec succès deux éditions de la Coupe du monde des clubs respectivement en 2013 et 2014. Mieux, l'édition 2022 de cette compétition qui a été très bien préparée pour le mois de février 2023. Un peu plus loin, le Maroc a aussi organisé avec brio le CHAN en 2018, la CAN féminine en 2022, qui reste, jusqu'ici, la plus réussie de l'histoire de la compétition. Que dirions nous encore ! Le Maroc a aussi abrité plusieurs autres compétitions d'envergure mondiale avec professionnalisme, notamment les finales de la Ligue des champions, et autres.
Le Maroc a une avance considérable et remarquable
Le Maroc est le seul pays africain qui remplit le cahier des charges de la FIFA pour l'organisation de la Coupe du Monde 2026 à 48 Équipes et était d'ailleurs le seul candidat face à la candidature du trio USA - Canada - Mexique. Une Task Force composée de dizaines d'experts avaient sillonné tout le Maroc pendant plusieurs mois avant de lui attribuer une note au-delà de la moyenne. Ce qui a rendu sa candidature éligible à la coupe du monde sous le nouveau format de 48 équipes. Sachant que la CAN 2025 sera à 24 équipes, le Maroc est bien dans les cordes et dans la gamme.
De plus, le Maroc possède sans conteste la meilleure offre touristique du continent africain, avec des infrastructures de premier plan (hébergements et transports) et des terrains de football répondant aux standards internationaux.
Des infrastructures au top mis plusieurs fois à disposition d'autres pays africains
En raison des exigences de la CAF concernant la conformité des stades pour la réception de matchs internationaux, de nombreux pays se sont tournés vers le Maroc pour jouer leurs matchs à domicile. Entre les enceintes de Casablanca (67 000 places), Rabat (65 000), Marrakech (45 000 places), Fès (45 000), Tanger (45 000) ou encore Agadir (45 000), des stades modernes sont déjà sur place au Maroc. Ces derniers sont régulièrement mis à contribution pour le championnat national.
Le Maroc dispose, en gros, de plus de 200 pelouses synthétiques aux normes, d'une vingtaine de stades avec pelouses naturelles et éclairages aux normes, des centres régionaux de formation ainsi que le fameux Complexe Mohammed VI de Football, infrastructure unique en Afrique. Ces installations offrent des équipements de pointe, conformes aux standards de la FIFA, qui font de ce joyau du football marocain l'un des complexes sportifs les plus importants et performants de la planète. Tant d'atouts qui font du Maroc le candidat plus que parfait pour une bonne organisation de la CAN 2025.
N'ayant pas organisé la compétition depuis 1988, voir le Maroc organiser la CAN 2025 suivrait aussi la logique des choses. Le pays qui avait déjà postulé pour l'organisation de plusieurs éditions de la Coupe du monde en vain, peut prendre la CAN 2025 pour faire encore une nouvelle fois ses preuves et dissiper d'éventuels doutes.
Le taux de croissance du Bénin pourrait s'établir à 6,2% en 2023 selon les dernières perspectives économiques publiées le 10 janvier par la Banque mondiale.
6, 2 % de taux de croissance en 2023. C'est ce qu'annonce la Banque mondiale dans son document « perspectives économiques mondiales : Afrique subsaharienne ». Le Bénin présente l'une des croissances économiques les plus fortes en Afrique subsaharienne. De 5, 7 % en 2022, le Bénin pourrait afficher un taux de croissance au-delà de 6,4 % projeté en 2023. En dépit des chocs exogènes liés à la Covid-19 et les effets de la guerre en Ukraine, le Bénin a une économie résiliente et dynamique.
En Afrique subsaharienne, la croissance en Afrique subsaharienne s'est ralentie en 2022, pour s'établir à 3,4 %. Les tensions sur « les prix des denrées alimentaires, déjà importantes avant la pandémie (Covid-19), se sont encore intensifiées en raison des aléas climatiques, des perturbations de l'approvisionnement aggravées par l'invasion de l'Ukraine par la Russie, d'une fragilité et d'une insécurité accrues et, dans certains pays, de fortes dépréciations monétaires ». La croissance en Afrique subsaharienne devrait accélérer à 3,6 % en 2023 et 3,9 % en 2024.
Akpédjé Ayosso
GNONLONFOUN G. Aimée, candidate sur la liste du parti Les Démocrates (LD) à l'élection législative du 08 janvier 2023 conteste l'élection de Cécile AHOUMENOU au poste de candidature exclusivement réservée aux femmes sur la liste du parti Union Progressiste le Renouveau (UPR) dans la 19e circonscription électorale. Elle a déposé un recours à la Cour constitutionnelle vendredi 20 janvier 2023.
Le parti Les Démocrates, principale formation politique opposée au régime du président Patrice TALON conteste les résultats proclamés par la Commission électorale nationale autonome (CENA), et confirmés par la Cour constitutionnel. Outre le recours en invalidation du siège de Benoît DEGLA dans la 10e circonscription électorale, et pour lequel le verdict de la Cour constitutionnelle est attendu jeudi 26 janvier 2023, le parti a déposé plusieurs autres recours contre l'élection de certains candidats. C'est le cas de la vice-présidente de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC). GNONLONFOUN G. Aimée conteste l'élection de Cécile AHOUMENOU. Un recours est déposé à la Cour constitutionnelle.
En dehors de la vice-présidente de la HAAC et l'ancien ministre Benoît DEGLA, le maire de Dassa-Zoumè, Nicaise FAGNON selon nos sources, est également visé. Un recours est introduit à la Cour pour l'invalidation de son élection.
Au niveau de la 6e circonscription électorale, la formation politique de l'opposition demande l'invalidation de deux sièges. Il s'agit selon nos sources, de Viwagnon Jean M. ZANNOU, Nestor NOUTAI, respectivement 3e et 4e titulaires, et déclarés élus sur la liste UPR. Dans cette circonscription, l'UPR selon les résultats obtient 05 sièges, Les Démocrates 02 sièges, et le Bloc Républicain, 01 sièges.
Selon les résultats définitifs de l'élection législative du 08 janvier, l'Union Progressiste le Renouveau arrive en tête avec 53 députés, suivi du Bloc Républicain (BR) 28 députés, et des Démocrates, 28 députés.
Après la publication de ces résultats par la Cour constitutionnelle, le président du parti Les Démocrates, Eric HOUNDETE par un recours demande à la Cour d'enjoindre à la Commission électorale nationale autonome, de lui donner copies des procès-verbaux de compilation des résultats du scrutin du 08 janvier 2023. Une requête qui n'a pas prospéré devant la haute juridiction.
F. A. A.
La jeune joueuse béninoise de tennis Gloriana Goreti Nahum, a démarré l'année 2023 avec succès.
Agé de 16 ans, Gloriana s'est imposée en deux sets 6-1/6-4 face à la tête de série n°4, Mia Slama, lors de la 58e édition du tournoi Bol De Cafe (ITF J300). C'était lors de sa deuxième tournée en Amérique du Nord, qui a démarré le 22 janvier dernier.
Classée 3ème IT Juniors (Afrique), Nahum a fait honneur au drapeau béninois en se classant 41ème au classement mondial ITF Juniors. Grâce à cette performance, la jeune joueuse s'est rapproché de son objectif à court terme de figurer dans le top 100 ITF Juniors avant la fin de l'année 2023. Elle devient la seule joueuse béninoise à atteindre ce niveau.
Gloriana devrait continuer sa nouvelle étape en Équateur pour une autre compétition dénommée J300 de Salinas qui débutera le 30 janvier prochain. Elle se rendra par la suite en Colombie pour le tournoi J300 de Barranquilla.
Josué SOSSOU
Annoncé à plusieurs reprises à Saint-Etienne, l'aillier béninois Jordel Dossou a finalement signé au FC Sochaux Montbéliard.
Après Brandon Baiye et Arial Mendy, Jodel Dossou est le troisième joueur à quitter à son tour le Clermont Foot cet hiver.
L'Ecureuil du Bénin a signé au FC Sochaux un contrat de deux ans et demi. Son transfert a été officialisé hier par le CF63. S'il avait encore un an et demi de contrat avec le Clermont Foot, Dossou a pour objectif d'avoir plus de temps de jeu et d'aider Sochaux à remonter en Ligue 1 au terme de la saison en cours.
Après son transfert, l'international béninois, a réagi sur son compte Twitter : « Nouvel arrêt pour le FC Sochaux Montbéliard. Hâte de découvrir Bonal et de débuter cette aventure avec vous. A Clermont foot, j'ai passé deux belles années et demie. De la Ligue 2 à la Ligue 1 malgré tout. Merci », a écrit l'Ecureuil béninois.
Josué SOSSOU
Despite unprecedented challenges, 2022 also opened windows of opportunity to move the needle around critical anti-corruption issues, such as anti-money laundering, asset recovery, beneficial ownership, and renewable energy. Credit: Shutterstock.
By Sanjeeta Pant
Sanjeeta Pant, Jan 25 2023 (IPS)
The G20 India Presidency is marked by unprecedented geopolitical, environmental, and economic crises. Rising inflation threatens to erase decades of economic development and push more people into poverty. Violent extremism is also on the rise as a result of increasing global inequality, and the rule of law is in decline everywhere. All of these challenges impact the G20’s goal of realizing a faster and more equitable post-pandemic economic recovery.
But as India prioritizes its agenda for 2023, it is corruption that is at the heart of all of these other problems- and which poses the greatest threat to worldwide peace and prosperity.
An Idea Whose Time Has Come
Although the G20 has repeatedly committed to the Financial Action Task Force's (FATF) anti-money laundering standards, member countries have been slow to implement policy reforms
Despite unprecedented challenges, 2022 also opened windows of opportunity to move the needle around critical anti-corruption issues, such as anti-money laundering, asset recovery, beneficial ownership, and renewable energy. When global leaders meet during the G20 Indian Presidency , they must prioritize and build on this progress, rather than make new commitments around these issues that they then fail to implement.
According to the UN, an estimated 2-5% of global GDP, or up to $2 trillion, is laundered annually. Although the G20 has repeatedly committed to the Financial Action Task Force’s (FATF) anti-money laundering standards, member countries have been slow to implement policy reforms. In the wake of the Russian invasion of Ukraine and ineffective economic sanctions against Russian oligarchs, governments have started reexamining existing policy and institutional gaps, especially recognizing the role of Designated Non-Financial Businesses and Professions (DNFBPs), also known as “gatekeepers.”
G20 member countries are responding to concerns and criticisms from their national counterparts regarding failures to adopt FATF recommendations and clamp down on “dirty money.” Grappling with the need to be able to prosecute money-laundering cases and recover billions of dollars worth of frozen assets, they are also amending national laws to be able to do so.
Lack of beneficial ownership transparency is also aiding the flow of laundered money globally. The G20 recognizes beneficial ownership data as an effective instrument to fight financial crime and “protect the integrity and transparency of the global financial system.”
The Russian invasion helped drive home this message, especially among countries that are popular destinations for those buying luxury goods and assets. FATF’s amendment of its beneficial ownership recommendations in early 2022 was timely. Member countries are also introducing new reporting rules, and fast-tracking policies and processes to set up beneficial ownership registers. While there are still gaps in the proposed policies – as identified here– these are important first steps.
Similarly, the transition to renewable energy, initially raised as an environmental issue and then as a national security concern is increasingly gaining attention from a resource governance perspective. Given the scale of the potential investment, there is a need to tackle corruption in the energy sector to avoid potential pitfalls resulting from a lack of open and accountable systems as we transition to a net zero economy.
The cross-cutting nature of the industry means a wide range of issues– from procurement and conflict of interest in the public sector to beneficial ownership transparency- need to be considered. The global energy crisis and the Indonesian Presidency’s prioritization of the issue have helped build momentum around corruption in the renewable energy transition, and this focus must continue.
Calling on India
Corruption-related issues identified here are transnational in nature and have global implications, including for India. For instance, with money laundering cases rising in India, it cannot afford to regard it as a problem limited to safe havens like the UK or the US. The same is true for the lack of beneficial ownership transparency or corruption in the renewable energy transition, which fuels illicit financial networks in India and beyond, and which often transcend national borders.
Finally, corruption has a disproportionate impact on the global poor. Almost 10% of the global population lives in extreme poverty, many of whom live in countries such as India. The G20, under the Indian Presidency, provides a unique opportunity to ensure the voices of the most vulnerable are heard at the global level. By prioritizing the anti-corruption agenda and building on past priority issues and commitments, the Indian government can lead efforts to bridge the North-South divide.
Sanjeeta Pant is Programs and Learning Manager at Accountability Lab. Follow the Lab on Twitter @accountlab
Une vidéo d’une enseignante algérienne de la langue anglaise a fait le tour de la Toile ! Très heureuse, la jeune femme a posté une vidéo sur le réseau social TikTok afin de montrer sa joie et sa satisfaction suite à la chute de neige dans la wilaya de Béchar. En effet, vous n’êtes pas […]
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On 24 January, the OSCE organized the third national workshop on the social re-use of confiscated assets in Serbia. The event brought together representatives from the Ministry of Justice, the Republic Public Prosecutor’s Office, the Prosecutor’s Office for Organized Crime, civil society and other international organizations.
Prosecutors at the workshop emphasized the gravity of fighting organized crime in Serbia and in the region, adding that countries in South-Eastern Europe are highly entrapped from this phenomenon. Participants highlighted that seizing and confiscating criminal assets hurts organized crime groups, and the social re-use of these assets gives back to societies what was stolen from them.
The workshop provided a platform for stakeholders to discuss key legislative and practical challenges for the social re-use of criminal assets, as well as how to tackle these challenges. Civil society representatives stated that the lack of clear procedures to apply and receive assets for re-use from the government is a key issue. Moreover, transparency and overview of available assets is required for effective social re-use.
The workshop highlighted the importance of co-operation between civil society and government in fighting organized crime. This activity was organized as part of the Strengthening the fight against transnational organized crime in South-Eastern Europe through improved regional co-operation in asset seizure, confiscation, management and re-use project, which is financially supported by , Germany, Italy the United Kingdom and the United States.
Prosecutors working on organized crime and asset recovery cases in Serbia and a judge from the Belgrade High Court visited the German Federal Criminal Police Office in Wiesbaden for a study visit on 24 and 25 January.
The visit contributed to strengthening cross-border co-operation in the fight against transnational organized crime and corruption between the interested parties by exchange of experience and operational information on asset recovery cases, especially those of transnational nature that involve tracing, seizure and confiscation of criminal assets located in foreign jurisdictions. Participants also discussed their practices on cross-border tracing of illicit financial flows and seizure of cryptocurrencies.
Familiarity with the main legal aspects of the country where criminal assets are located can facilitate the proper submission of requests for international assistance, through both formal and informal channels, and lead to swift feedback.
This activity was facilitated by the OSCE’s Transnational Threats Department and the Office of the Co-ordinator of OSCE Economic and Environmental Activities (OCEEA) as part of the Strengthening the fight against transnational organized crime in South-Eastern Europe through improved regional co-operation in asset seizure, confiscation, management and re-use project. Germany, Italy, the United Kingdom and the United States financially support this regional initiative.