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Le PDG de Sonatrach se confie au « Le Quotidien d’Oran »: L’affaire BRC, le départ des cadres, Augusta…

Algérie 360 - Sun, 06/03/2018 - 11:11

Abdelmoumène Ould Kaddour a accepté, durant une discussion à bâtons rompus que nous avons eue avec lui mardi dernier, de répondre à nos questions. Sans complexe. A celle relative «au conseil » donné par un spécialiste étranger à Sonatrach de ne pas acheter la raffinerie italienne, il répond avec son sourire habituel « j’ai 25 années d’études (…) et on vient aujourd’hui me dire de ne pas acheter Augusta ! Mais de quoi se mêlent les étrangers ?» Dans cet article-interview, il parlera de la stratégie HS 2030. Il évoquera aussi, non sans amertume, « l’affaire BRC » et son incarcération à la prison militaire de Blida. « Une affaire scabreuse !» dit-il.

«Abdou » comme il aime être appelé, a, avant toute chose, tenu à nous faire visiter « le 9ème étage» de l’immeuble-siège de Sonatrach (Hydra). C’est un étage nouvellement aménagé en « open-space » où des cadres nationaux et étrangers planchent sur de nombreux dossiers. Ould Kaddour veut décloisonner la structuration et l’organisation du groupe qu’il dirige depuis le 20 mars 2017. « A mon arrivée à Sonatrach, j’ai été choqué par le cloisonnement entre les services, les bureaux, les cadres, personne ne parlait à personne » rappelle-t-il. Pourquoi les cadres de Sonatrach se donnent-ils le dos ? lui demandons-nous. « C’est peut-être une conséquence des scandales qui ont secoué le secteur, mais je pense surtout que c’est une culture en Algérie, quand on détient une information, ou un savoir-faire, on veut les garder pour soi-même » nous dit-il. Il a tenu à nous expliquer les raisons qui l’ont poussé à entreprendre des réaménagements dans la disposition des bureaux et services de Sonatrach. Bras droit toujours retenu par une attelle, air détendu, yeux rieurs, le patron de Sonatrach semble prendre à cœur la mise en œuvre des décisions de décloisonnement du groupe.

Démarche inscrite clairement dans la stratégie SH 2030 qu’il tient à présenter à tous les personnels du groupe « là où ils activent ». Il estime qu’« il faut mettre un terme à ce nivellement par le bas qui bloque les initiatives et empêche le dialogue, la communication, l’échange (…) ».

Le PDG nous ramène dans son bureau. Il avait à ses côtés un de ses proches collaborateurs et un de ses cadres, Fethi Arabi, chef du projet Stratégie SH 2030. « On veut changer le fonctionnement de Sonatrach » dit-il en s’asseyant. Ould Kaddour semble bien connaître le secteur pour l’avoir « pratiqué » pendant de longues années ici et ailleurs. Comment avez-vous vécu les événements de l’affaire BRC ? lui demandons-nous. « J’ai passé deux ans de prison à Blida, chez les militaires, j’ai été condamné officiellement à 30 mois de prison ferme, mais avant de les terminer, on est venu me dire tu sors, j’ai refusé, j’ai demandé pourquoi vous m’avez mis en prison et pourquoi vous voulez que je sorte aujourd’hui ?, » relate-t-il. Il nous rappelle qu’en prison, il avait ouvert une école d’initiation à la langue française « et aussi à la langue arabe » (rires). « L’école existait mais était fermée, j’ai embêté les responsables pour qu’on me permette de l’ouvrir et de donner des cours aux appelés » dit-il.

«L’affaire BRC étaitpour casser Khelil»

Détournements ? Malversations ? De quoi avez-vous été accusé précisément ? interrogeons-nous encore. « D’espionnage ! » répond-il sur un ton ferme. Ould Kaddour a été jugé en 2007. Il était depuis 2002 PDG de la société Brown and Root Condor (BRC), dans laquelle l’Algérie est actionnaire avec l’américain KBR, une filiale d’Haliburton. Incarcéré à la prison militaire de Blida, Ould Kaddour s’en sortira ainsi avant de purger toute sa peine. « On m’a sorti de prison comme on m’a fait entrer, sans aucun papier, sans aucun dossier » lâche-t-il. BRC « que nous avons créée » était, dit-il, « une entreprise performante, de niveau mondial, elle réalisait des projets complexes dans les délais et dans les coûts, elle employait 2.000 ingénieurs et techniciens algériens, en majorité des jeunes, on travaillait dans un cadre super sophistiqué, on avait déjà l’open-space (…)». Il note que BRC avait construit le centre de criminologie de Bouchouaoui, le siège du ministère de l’Energie, les hôpitaux d’Oran et de Constantine, le centre d’expertise et des grands brûlés de Aïn Naadja (…). « On traitait de gros projets, qui dit gros projets, dit grosses sommes d’argent, on nous en voulait, les tentations…, » dit-il sans jamais se départir de son sourire. « J’ai été jugé pour espionnage alors que BRC avait construit le siège de l’état-major de l’armée ! N’est-ce pas contradictoire ? » interroge-t-il. L’affaire BRC est pour lui, « une affaire compliquée, scabreuse ». Ould Kaddour reste convaincu qu’«elle a été diligentée pour casser Chakib Khelil ». Qui lui en voulait et pourquoi ? lui demandons-nous. « Chakib Khelil n’a jamais accepté que le DRS s’implique dans la gestion des entreprises affiliées à Sonatrach encore moins dans son ministère » affirme-t-il. Il regrette que BRC ait été fermée en mettant dehors 2.000 compétences algériennes. « C’est un véritable gâchis ! » déplore-t-il. « Abdou » refuse de continuer de parler sur ce sujet. « Je ne veux plus en parler » dit-il en se levant de sa chaise. Pendant quelques secondes, l’amertume lui avait fait éclipser le sourire.

«Le départ de nos cadres nous fragilise»

On enchaîne sur les 10.000 ou 16.000 cadres qui ont quitté Sonatrach depuis les quatre dernières années. « Il y a eu des retraites anticipées, mais beaucoup d’entre eux ont quitté pour aller travailler ailleurs, en général à l’étranger » précise-t-il. « Le départ de nos cadres vers les multinationales nous fragilise, on ne peut plus se permettre une telle hémorragie » avoue-t-il. Le PDG regrette « des défaillances dans le système du travail, le manque de motivation, de perspectives (…) ». Il nous explique que « les cadres ont été remplacés mais avec beaucoup de peine et de difficultés, ceux qui ont été recrutés ne sont pas expérimentés, on doit investir dans leur formation, ça prend du temps, pour récolter le fruit de cet investissement, ça prend des années… ». Fethi Arabi ne manque pas de noter que « Sonatrach a mis au point dans sa nouvelle stratégie, des parcours de carrières, des programmes de développement des compétences, des systèmes de récompense des performances, des formations (cadres et formateurs), le e-learning… ». Ould Kaddour rebondit et affirme qu’« il faut tout revoir dans le fonctionnement et l’organisation de Sonatrach ». Le premier constat qu’il dit avoir fait dès son arrivée, « celui de la bureaucratie, dans le bureau qu’on m’a donné, il n’y avait que des parapheurs, par le fait du cloisonnement, les têtes pensantes étaient coupées, aucune explication logique à cela si ce n’est comme je l’ai dit au début, la théorie du nivellement par le bas ». Il a trouvé « bizarre que personne ne se demande pourquoi Sonatrach n’a-t-elle pas de présence importante à l’international ou par exemple ne fait pas de raffinage… ». Il s’exclame « Sonatrach a importé de 2011 à ce jour plus de 16 milliards de dollars de produits raffinés, on achète pour deux milliards de dollars par an de carburants, jusqu’à quand ! ». Mais pourquoi l’Algérie préfère-t-elle exporter son pétrole brut pour le racheter raffiné ? « Peut-être qu’avant, il n’y avait pas eu de responsables qui avaient le courage de prendre la décision de raffiner en Algérie » pense-t-il. Aujourd’hui, il dit vouloir « inverser l’équation le plus rapidement possible». La question sur l’achat de la raffinerie italienne Augusta est évidente. « Même des étrangers vous ont recommandé de ne pas l’acheter » lui avions dit. « J’ai passé 25 ans à étudier, je suis diplômé en génie chimique de l’école nationale polytechnique d’Alger, j’ai fait MIT (Massachussets Institut of Technology), Harvard University (…), avec toutes les écoles que j’ai fréquentées, on vient me dire aujourd’hui n’achetez-pas ! De quoi se mêlent les étrangers ? (…) On est des professionnels ! » dit-il.

« Ne manquait à Sonatrach que de préparer à manger ! »

Ould kaddour explique à propos de la procédure d’acquisition d’Augusta qu’« on était sur une compétition, ce n’est pas le gré à gré, c’est un processus concurrentiel, on s’est dit que pour construire une raffinerie neuve, il faut 5 milliards de dollars et ça nous prendra 5 années, on a refusé de faire des calculs d’épicier ». Ould Kaddour se laisse dire « oui je confirme, le prix d’acquisition d’Augusta est 700 millions de dollars ». Il souligne que « dans notre stratégie SH 2030, nous avons intégré le processing, nous avons commencé à raffiner en février 2018 (…), on ne doit plus vendre nos matières premières et notre gaz sans valeur ajoutée, avec le contrat que nous avons signé avec Total, on va produire des dérivés à Arzew (…). » Acquise en mars 2018 auprès de l’américain Exxon Mobil, Augusta deviendra la propriété de Sonatrach en 2019. « On est en phase de transition, en pleine procédure de cession » dit le PDG. Il croit fermement que « Sontrach doit absolument revenir à ses métiers de base, oil and gas (pétrole et gaz) » dit-il avec un parfait accent américain (anglais ?). Il arbore un large sourire en rappelant que Sonatrach avait « un certain temps, voulu se lancer dans le catering, je prépare à manger ?!? J’avais tout fait dans le pétrole et le gaz, ne manquait à Sonatrach que de préparer à manger ! » continue-t-il de s’exclamer. Sonatrach va-t-elle garder la compagnie aérienne Tassili ? « J’en ai hérité… » répond-il simplement. « Je voudrais que Sonatrach se concentre sur ses métiers de base qui sont la recherche, l’exploration, l’exploitation, la production, le transport, la transformation et la commercialisation des hydrocarbures, c’est comme ça qu’on peut faire du business » pense-t-il. Qu’est-ce que vous appelez business ? « Sonatrach doit rebondir, faire d’autres découvertes, avoir plus de production, de productivité, vendre des produits raffinés, faire tout pour que Sonatrach se positionne dans le top des 5 premières compagnies mondiales » dit-il. « Surtout, il faut qu’on s’organise bien, parce que l’organisation que nous avons n’est pas très efficace, on n’avait pas de stratégie jusqu’à mars 2017 où nous avons commencé à élaborer la stratégie SH 2030, on n’avait pas de système d’information, et c’est ce que nous allons mettre en œuvre sur les dix ans à venir ». Il appellera deux de ses cadres pour présenter le projet SAP de « l’information instantanée » qui mettra en réseau l’ensemble du groupe Sonatrach pour faire circuler toutes les données « en temps réel». Il note « on a tout repris à zéro ». Il veut que dans les zones du sud « où il y a des hydrocarbures, on forme les jeunes pour les métiers de Sonatrach, il ne faut plus qu’on recrute des locaux comme chauffeur ou gardien ». In Salah sera doté, dit-il, « très prochainement d’un centre de formation, il faut former ».

« L’idéal est de rapprocher le plus possible le prix du gasoil de celui de l’essence »

Quid des réserves de l’Algérie en pétrole et en gaz ? « On est loin de ce que nous devions découvrir » répond le PDG. « Notre pays a beaucoup de ressources qui ne sont pas exploitées, il y a beaucoup de travail à faire, on est très loin d’avoir exploité toutes nos richesses » assure-t-il. Et le gaz de schiste ? « Nous sommes la 3ème réserve mondiale, ce sont des professionnels qui en ont fait l’évaluation » affirme-t-il. Il a promis aux jeunes d’In Salah de les emmener avec lui « en Argentine, au Canada, aux Etats-Unis pour leur montrer que le gaz de schiste, ce n’est pas un poison ». Il soutient en effet, « oui, la balle est dans leur camp, ils doivent choisir entre eux, ceux qui devront partir pour que l’ensemble du processus d’exploitation du gaz de schiste leur soit expliqué, on doit le faire, le plus tôt possible serait le mieux. » Les énergies renouvelables sont-elles une alternative à portée de main ? « On y est », répond-il mais « ce n’est pas une solution facile, elle est très coûteuse, il faut du temps ». Il fait savoir qu’en juillet prochain, « on va inaugurer une centrale de 10 MW à Bir Arbaâ Nour, au sud-est de Hassi Messaoud, on investit… » A l’horizon 2030, « on aura 1,6 gigawatt de solaire, » promet-il. « On pense qu’à terme, on va solariser tous nos champs, mais ça ne se fait pas du jour au lendemain, ça prendra le temps qu’il faut, » précise-t-il.

Qu’apportera de nouveau la loi sur les hydrocarbures une fois révisée ? « Elle va nous ramener des investisseurs, depuis la dernière loi, plus personne ne vient » affirme-t-il. La règle 51/49 ? « Ce n’est pas un problème pour les étrangers, l’essentiel pour eux est que le partage des gains soit équitable » dit-il. Il affirme encore « si on veut développer de nouvelles réserves, on a besoin d’experts et de technologies». Sonatrach consacre dans sa stratégie SH 2030, un large volet sur l’hygiène, la sécurité et l’environnement (HSE). « La stratégie n’apporte pas vraiment quelque chose de nouveau, « HSE », ce sont des fondamentaux qu’on ne doit pas négocier » estime Ould kaddour. Il est question pour Sonatrach de réduire l’achat du gasoil, carburant polluant par excellence. « C’est sûr qu’on y pense, on doit rapprocher le prix du gasoil le plus près de celui de l’essence, ce serait l’idéal, » estime le PDG. Le code des douanes complique-t-il les choses à Sonatrach ? « Je n’ai pas de problème avec le code des douanes, mais avec la bureaucratie, le concept de l’importation temporaire nous pose des problèmes auprès des douanes » explique Abdou Ould Kaddour.

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Categories: Afrique

Intégration industrielle: Sonatrach réunit les entreprises publiques et privées

Algérie 360 - Sun, 06/03/2018 - 11:08

par G.O.

«Nous faisons appel à des entreprises nationales publiques et privées pour réaliser nos projets, l’objectif principal est d’atteindre un taux d’intégration de 50% ,» nous dit Hammoudi Bouhaddouda, conseiller du P-DG de Sonatrach chargé de la préparation d’une rencontre prévue à cet effet, les 24 et 25 juin prochains, au CIC, Club des Pins.

Sonatrach présentera sa stratégie de développement 2030 «premier du genre » mais aussi son plan 2018-2022 précisément « le volet technique et le volume des travaux et des équipements dont elle a besoin.» Bouhaddouda fait savoir que « ce sont plus de 100 entreprises publiques économiques (EPE) et privées qui sont invitées par Sonatrach.» Le conseiller du P-DG estime que «nous voulons que les entreprises algériennes puissent se préparer pour réaliser ce dont a besoin Sonatrach.» Pour pouvoir atteindre un taux d’intégration de 50%, dans les produits réalisés, «nous devons revoir nos cahiers des charges pour qu’on puisse savoir comment confier nos travaux à des entreprises algériennes, » nous indique Bouhaddouda. « Le taux de 50% englobe, aussi, la main-d’œuvre que nous voulons qu’elle soit algérienne, Sonatrach a la ferme intention et a pris la décision d’atteindre cet objectif, c’est pour cela qu’on a aussi invité des recteurs d’universités et des centres professionnels, » rebondit le P-DG qui assure en dernier «on y croit ! » Lors de cette rencontre, Sonatrach signera entre autres , 4 importants contrats avec Cosider, Alfapipe, Infratel et GTP. « D’ici à la fin de l’année, nous allons signer une dizaine de contrats de projets pour augmenter nos capacités de production, » nous fait savoir le P-DG.

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Categories: Afrique

Két fiatal felgyújtott egy katolikus templomot

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 06/03/2018 - 11:07
Két fiatal még szombatra virradó éjszaka tüzet okozott a magyarországi kemenessömjéni templomban, a karzaton, az orgona mellett - írta meg szombaton a vaol.hu.

A NATO és Oroszország az ukrajnai orosz katonai tevékenységről tárgyalt Brüsszelben

Biztonságpiac - Sun, 06/03/2018 - 11:04
Többek között az ukrajnai és Ukrajna körüli helyzetről, valamint katonai tevékenységekkel kapcsolatos kérdésekről tárgyaltak csütörtökön Brüsszelben Oroszország és a NATO-tagországok nagykövetei – közölte az észak-atlanti szövetség sajtószolgálata.

Tájékoztatásuk szerint a NATO-Oroszország Tanács zárt ajtók mögött folytatott nagyköveti szintű megbeszélésén nagy hangsúlyt fektettek a műveletek és döntések átláthatóságának biztosítására, s áttekintették a kockázatcsökkentés kérdéseit. A NATO tájékoztatta Oroszországot fontosabb közelgő hadgyakorlatairól.

Mint írták, a NATO arra törekszik, hogy a lehető legszélesebb körű tájékoztatást nyújtsa Oroszországnak a bizalom helyreállítása érdekében. A NATO törvénytelennek tekinti és elítéli a Krím 2014-es bekebelezését. A szövetség tagjai az elmúlt években egyértelművé tették, hogy támogatják Ukrajna szuverenitását és kiállnak területi integritása mellett.

Egy neve elhallgatását kérő NATO-forrás szerint az ukrajnai események okait vizsgálva nagy a nézetkülönbség a NATO és Oroszország között, ugyanakkor a jövőt tekintve nézetazonosság van abban, hogy a minszki megállapodást végre kell hajtani annak érdekében, hogy tovább lehessen lépni a rendezés felé.

Közel kétéves szünet után csütörtökön hetedik alkalommal ült össze Brüsszelben a NATO-Oroszország Tanács nagyköveti szinten. Ennél magasabb tárgyalási szint az ukrajnai válság kitörése óta nem volt, noha a felek eredetileg abban állapodtak meg, hogy a külügy- és a védelmi miniszterek évente kétszer összeülnek, s elvben az állam- és kormányfők találkozója sem kizárt. A dialógust 2014 júniusában az ukrajnai konfliktus miatt berekesztették, ezt követően diplomaták szintjén 2016 áprilisától újították fel a párbeszédet.

A tanácsot 2002-ben alapították azzal a céllal, hogy Oroszországot bekössék a transzatlanti katonai szövetség munkájába és bizalmat teremtsenek a két fél között.

Categories: Biztonságpolitika

Des classements qui font mal

Algérie 360 - Sun, 06/03/2018 - 11:04

par Moncef Wafi

L’université algérienne va mal, et c’est là un doux euphémisme qui cache maladroitement son état général de déliquescence, reconnu et admis par tous les observateurs avertis. Loin des discours lénifiants, les différents classements mondiaux en la matière donnent une piètre image de nos universités. En parcourant le classement du «Center for World University Ranking» des 1.000 meilleures universités au monde pour 2018 / 2019, on y constate l’absence des établissements algériens. Loin d’être une surprise, cette hiérarchie ne fait que confirmer les précédents exercices et si les organismes diffèrent, l’absence des Algériens reste une constante. Même si l’essence même de ces classements est d’ordre commercial comme le suggère le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS), on ne peut pas décemment leur reprocher de mal noter nos universités. De là à penser qu’il existe un complot contre le pays ! Il ne fait aucun doute que le niveau de nos universités laisse à désirer, et c’est le moins qu’on puisse dire. Pire, l’Algérie n’arrive même pas à rivaliser sur les plans arabe et africain, reléguée qu’elle est dans les profondeurs des tableaux. Le constat peut paraître amer, dur, mais il est en adéquation avec la triste réalité des politiques hasardeuses engagées dans le secteur de l’éducation en général.

Le dernier rapport de l’Unesco sur le classement des systèmes éducatifs à travers le monde, selon la qualité de l’enseignement et des programmes au primaire, a encore du mal à passer parmi les professionnels de l’éducation partagés entre le constat du fait accompli et le refus de cautionner un classement qui met l’Algérie derrière des pays arabes ruinés par la guerre civile à l’image de la Libye, la Syrie ou encore le Yémen. Si certains trouvent encore matière à chipoter, si ce classement est biaisé quelque part, il n’y a pourtant aucune fierté à se considérer meilleur que des pays au bord de l’implosion. Telle une lapalissade, l’université algérienne continue de briller par son absence dans le classement des universités mondiales. Le constat n’est pas celui d’hier mais la résultante d’années de tâtonnement, de mauvaise gestion et d’errements académiques. Conscient de la mauvaise image que donnent nos temples du savoir, le gouvernement, à travers Tahar Hadjar, avait promis de prendre des «mesures pratiques en vue d’améliorer la visibilité des universités algériennes pour qu’elles soient mieux classées au niveau international». Mais force est de constater que les actions gouvernementales sont toujours au stade des bonnes volontés à distribuer lors des discours solennels.

Alors que les universités du monde cherchent à rivaliser pour mieux se replacer, l’université algérienne fait encore la guerre au plagiat scientifique devenu, à force, une marque déposée et certains universitaires ont en fait un fonds de commerce juteux au même titre que les voyages d’études à l’étranger. L’Etat, comme à ses habitudes, avait privilégié le côté répressif en menaçant de prison les «plagieurs» qu’ils soient étudiants, encadreurs ou administratifs et en mettant en place des logiciels «mouchards» qui détectent le plagiat. Des mesures théoriques tant on sait que certains noms restent toujours au-dessus des lois et règles du pays. Un constat qui creuse un peu plus le fossé entre la réalité et la vision idyllique qu’ont nos responsables de l’université algérienne. Le 19 mai dernier, Bouteflika estimait que l’Algérie doit «s’enorgueillir» du niveau atteint par l’université algérienne, pour preuve les nombreux postes qu’occupent nos étudiants diplômés dans les pays occidentaux…

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Categories: Afrique

Atlético Madrid: L’avenir de Griezmann bientôt fixé

Algérie 360 - Sun, 06/03/2018 - 10:56

Après la victoire des Bleus contre l’Italie vendredi soir (3-1), Antoine Griezmann a brièvement évoqué son avenir en zone mixte. Convoité par le FC Barcelone depuis de longues semaines, l’attaquant de l’équipe de France et de l’Atletico Madrid a confirmé qu’il aimerait que la question de son avenir soit réglée avant le début de la Coupe du monde. «Oui je désire ça, ce sera fait», a simplement lâché le buteur des Colchoneros. Le club blaugrana devra donc rapidement conclure l’affaire s’il souhaite réellement recruter Griezmann.

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Categories: Afrique

Un octogénaire meurt dans les flammes à Allschwil

24heures.ch - Sun, 06/03/2018 - 10:51
Un retraité est décédé en voulant éteindre un départ de feu dans un atelier malgré l'intervention rapide des hommes du feu.
Categories: Swiss News

Ouyahia incite les patrons algériens à relever le défi de l’exportation : « C’est votre combat »

Algérie 360 - Sun, 06/03/2018 - 10:48

Le Premier ministre a rappelé que «si en 1988 la bataille était de pouvoir approvisionner le marché local, la bataille en 2018 est de conquérir des marchés à l’extérieur».

L’acte d’exporter exige le double préalable d’une production suffisante en quantité et convaincante en qualité. Mais encore faut-il disposer de réseaux efficients et de marchés préexistants. Les opérateurs économiques algériens qui satisfont aux préalables de la quantité et la qualité, ont également la chance quasi «naturelle» d’avoir un vaste réseau, étendu aux quatre coins du monde et des niches intéressantes qui ne demandent qu’à être exploités. Le Premier ministre qui a présidé la cérémonie «Trophée Export 2017», a mis en exergue cet aspect du métier d’exportateur, comme pour relever qu’entre 2003, année du lancement du trophée par le World Trade Center Algiers et aujourd’hui, du chemin a été fait. Pour nombre de filières industrielles, on en est donc à voir comment faire pour s’assurer une place sur le marché international. A ce propos, le Premier ministre relèvera dans son intervention l’apport important de la communauté algérienne établie à l’étranger «qui peut être un relais pour la promotion des produits algériens».

Plus encore, Ahmed Ouyahia élargit le spectre des opportunités pour les exportateurs nationaux en y mettant la communauté des anciens de l’Algérie à l’étranger, autrement dit, les pieds-noirs qui eux aussi, à en croire le chef de l’Exécutif, «peuvent ouvrir des portes pour approcher des marchés extérieurs». Affirmant s’appuyer sur son expérience de diplomate pour avancer ces arguments, le Premier ministre ouvre là une piste, encore jamais explorée par aucun autre officiel avant lui. L’appel du pied à la communauté française qui a quitté l’Algérie en 1962, pourrait être assimilée à une volonté d’ouvrir une nouvelle page, avec en prime, un partenariat susceptible d’être fécond à l’international pour l’économie du pays. Mais pareil processus exigera certainement quelques «arrangements» juridico-historiques et suscitera à n’en pas douter une féroce résistance de la part de certains milieux à l’intérieur de la classe politique nationale.
Il est évident que beaucoup de personnages politiques ne trouveront pas innocent le propos du Premier ministre sur l’apport des pieds-noirs à l’économie nationale en matière de stimulation des exportations. Il reste, cependant, que dans la bouche de Ahmed Ouyahia, le recours aux anciens colons n’est qu’une opportunité à saisir parmi d’autres, à l’image du rôle central du World Trade Center Algérie qui, à ces yeux, «n’est pas beaucoup utilisé».

Cette «audace» dans le discours du Premier ministre peut être interprétée par ailleurs, comme une volonté affirmée de booster les exportations, mais également une alerte, annonçant l’impératif de réussir le saut de l’exportation, aujourd’hui et maintenant. Cette seconde option revient en filigrane dans le discours du Premier ministre qui a délivré un message clair aux patrons algériens. D’abord, en leur signifiant que sa présence parmi eux illustrait l’intérêt qu’accorde le chef de l’Etat à la diversification des exportations hors hydrocarbures, ensuite en soulignant, à leur adresse, que le gouvernement sera «à vos côtés pour vous accompagner dans la promotion des capacités exportatrices nationales». Un accompagnement qui saura faire la différence entre les opérateurs. «Celui qui exporte un produit 100% algérien bénéficiera du soutien le plus important, celui qui fait de l’intégration bénéficiera d’un soutien à la hauteur de son taux d’intégration, celui qui fait du simple façonnage, aura accès à un bénéfice qui reflète le niveau de sa prévalue», a expliqué Ahmed Ouyahia. Un aperçu de ce que sera la stratégie de l’exportation qui verra le jour à la fin de l’année. Le Premier ministre a rappelé que «si en 1988 la bataille était de pouvoir approvisionner le marché local, la bataille en 2018 est de conquérir des marchés à l’extérieur». C’est dire que l’Algérie a su retenir les leçons, mais il reste que l’on soit aujourd’hui devant un défi, que le Premier ministre estime largement à la portée de l’Algérie. «Quand je parle des perspectives prometteuses, j’ai tendance dans mes convictions personnelles à comparer mon pays à un géant qui ne met en valeur qu’une infime partie de ses capacités et c’est le besoin qui est en train de réveiller ce géant», a défendu le Premier ministre.

Pas encore totalement réveillé, le «géant» de Ouyahia est «nourri» par la crise financière qui devient, de fait, une réelle opportunité d’imposer le made in Algeria à l’étranger. «Les mesures de sauvegarde de l’économie nationale nous permettent de faire durer au maximum les réserves de changes du pays, mais offrent également le marché national aux opérateurs économiques nationaux pour gagner des parts à domicile et pour être plus forts à l’extérieur», a-t-il souligné, histoire de relever que cette démarche est un «deuxième apport des pouvoirs publics à l’égard du monde économique algérien en termes de soutien, après tous les soutiens mis en place et qui commencent à donner leurs fruits».

Ouyahia a dépeint un tableau assez flatteur des capacités du pays à relever le défi de l’exportation. «Il y a quelques années nous avons commencé à sortir avec des produits agroalimentaires, suivis de produits électroménagers, nous en sommes aujourd’hui au ciment, nous y serons bientôt à la sidérurgie et d’autres produits, c’est important, mais il y a une grande part dans cette bataille qui est la vôtre», a insisté à juste titre, le Premier ministre.

Par Saïd BOUCETTA 

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Categories: Afrique

Plastic Tsunamis Threaten Coast in Latin America

Africa - INTER PRESS SERVICE - Sun, 06/03/2018 - 10:47

Volunteers from the Peruvian Institute for the Protection of the Environment Vida clean up the waste washed up by the sea on the coast near Lima. Half of the 6,000 tonnes of marine debris collected by the organisation since 1998, with the support of 200,000 volunteers, is disposable plastic. Credit: Courtesy of Vida

By Fabiana Frayssinet
RIO DE JANEIRO, Jun 3 2018 (IPS)

Although Latin America produces just five percent of the world’s plastic, it imports billions of tons annually for the use of all kinds of products, some of which end up in the sea as garbage.

It thus contributes to this kind of artificial tsunami that threatens the biodiversity of the oceans, where 13 million tons of waste, mostly disposable plastics, are dumped each year at a global level, according to UN Environment – enough to wrap around the Earth four times..

The impact is such that it also affects human health, as this resistant waste enters the food chain, and has led the United Nations to declare “Beat Plastic Pollution” as the theme for this year’s World Environment Day, on Jun. 5."Plastic discarded improperly on beaches, rivers and the sewers ends up in the sea and causes the death of thousands of marine animals every year. Drinking straws, cigarette butts, caps, plastic bags, improperly discarded, represent the highest percentage of environmentally hazardous materials for marine wildlife." -- Marcelo Szpilman

Favoured by a 3,000-km coastline on the Pacific Ocean, with one of the world’s most nutrient-rich waters, Peru was one of the first Latin American countries to join the Clean Seas campaign, launched a year ago by UN Environment.

The global campaign aims to eliminate by 2022 the main sources of marine debris, which can remain in ecosystems for 500 years. There are five identified ‘islands’ of plastic rubbish in the Pacific, Atlantic and Indian Oceans, one of them between Chile and Peru.

“We have witnessed firsthand the serious impacts of different types of waste, including plastic in our seas,” said Ursula Carrascal, project coordinator for the Institute for the Protection of the Environment Vida in Peru.

For 20 years, the organisation has been leading a campaign to clean up beaches and coastlines in this Andean country, involving all sectors of society.

According to Carrascal, the problem is exacerbated when the country suffers additional damage caused by natural disasters, such as the “La Niña” phenomenon that in 2017 caused flooding and the shifting of tons of waste accumulated on river banks.

“Marquez Beach in Callao was literally covered in garbage for three km. Many beaches are now gone, fishing boats and artisanal fishermen are affected by the damage to their nets or engines caused by plastic,” she told IPS from Lima.

The country, according to the Environment Ministry, generates 6.8 million tons of solid waste. Lima and the neighbouring port city of Callao alone generate an estimated three million tons per year. Of that total, 53 percent is organic waste, and in second place comes plastic, accounting for 11 percent, a percentage in line with the world average.

In fact, half of the 6,000 tons of marine debris collected by Vida since 1998, with the support of 200,000 volunteers, is plastic.

“There is a strong concern about the risk in the field of food safety due to the plastic accidentally ingested by fish,” Carrascal said.

The governmental Marine Institute of Peru has been studying the impact of microplastic (less than five mm long) on Peruvian beaches and in the digestive tract of fish for years. A 2017 report found 473 plastic fragments per square metre on a beach in Callao.

The British Ellen MacArthur Foundation, dedicated to promoting the circular economy – based on the reduction of both new materials and waste, to create loops of recycling – warns that by 2050 there will be more plastic than fish in the oceans and reminds us that all marine life eats this waste.

One of the consequences, say scientists at Ghent University in Belgium, is that when you eat fish and seafood, you ingest up to 11,000 tiny pieces of plastic, a material most commonly derived from petrochemicals, every year.

In Brazil, a country with more than 9,000 km of coastline on the Atlantic Ocean, a marine aquarium was inaugurated in October 2016 in Rio de Janeiro. AquaRío, which promotes environmental education and scientific research for biodiversity conservation, is the institution with which the Clean Seas campaign was launched.

Guanabara bay, a symbol of Río de Janeiro, Brazil which until recently was surrounded by waste, mainly plastic, along its shores, has changed thanks to new awareness among groups like fisherpersons, who are helping to keep it clean. Credit: Fabiana Frayssinet/IPS

“Plastic discarded improperly on beaches, rivers and the sewers ends up in the sea and causes the death of thousands of marine animals every year. Drinking straws, cigarette butts, caps, plastic bags, improperly discarded, represent the highest percentage of environmentally hazardous materials for marine wildlife,” director Marcelo Szpilman told IPS.

“The remains of nets, fishing lines, ropes and plastic bags abandoned in the sea remain in the environment for many years due to their low biodegradability and end up injuring or killing countless animals that end up entangled and die by asphyxiation or starvation,” added the marine biologist.

To raise awareness among children about this silent killing at sea, the aquarium uses the image of mermaids dying from the ingestion of plastic.

This happens in reality in the oceans to fish, birds, seals, turtles and dolphins that confuse floating plastic waste with octopuses, squid, jellyfish and other species that they eat.

“Dolphins have been found with their stomachs full of city trash. Cigarette butts, the most widely collected item in all beach clean-up campaigns, have caused the death of animals that swallow them mistaking them for fish eggs,” Szpilman said.

In addition, he noted, “a plastic bag drifting at sea is easily mistaken for a jellyfish, which is a food for several species of sea turtles, which as a result can die from asphyxiation.

According to experts, in Brazil and other Latin American countries, the problem is combated with isolated initiatives, such as the banning of plastic bags in supermarkets, when what is needed is a broader change in the model of plastic production and consumption.

But some things have started to be done.

In Peru, for example, Vida has coordinated actions with the waste management industry to promote the circular economy model through recycling chains with the waste collected in coastal cleanups throughout the country.

This work has been carried out not only with large industry but also with small and medium-sized enterprises and the National Movement of Recyclers of Peru.

“Greater efforts and investment in recycling technology are needed to solve the plastic problem. In Peru, much of the plastic waste collected, although it could be 100 percent recycled, is not recycled because there are no recycling plants, due to lack of knowledge or lack of adequate technology,” Carrascal said.

In his opinion, “great progress is being made in the separation of waste from primary sources, but this cycle ends when the waste ends again in a landfill.”

The Peruvian model of waste management in the marine ecosystem has been used as a reference point in other countries of the Southeast Pacific, including Chile, Ecuador, Colombia and Panama.

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The post Plastic Tsunamis Threaten Coast in Latin America appeared first on Inter Press Service.

Excerpt:

This article is part of special IPS coverage for World Environment Day, on June 5, whose theme this year is “Beat Plastic Pollution”.

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Categories: Africa

Több tízezren tüntettek a macedón kormány ellen

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 06/03/2018 - 10:47
Több tízezren tüntettek a macedón kormány ellen szombaton Szkopjéban, a legnagyobb jobboldali ellenzéki párt támogatói az ország nevének megváltoztatása ellen, illetve előrehozott választások kiírása mellett álltak ki.

Fegyverellenes tüntetés volt New Yorkban

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 06/03/2018 - 10:34
Több ezren vonultak át a New York-i Brooklyn-hídon Manhattanbe a fegyveres erőszak ellen tiltakozva az Egyesült Államokban. A tiltakozást a februári, floridai iskolai lövöldözés túlélői által alapított szervezet, a Youth Over Guns szervezte.

Werbung auf Kosten von Boris und Lily: St. Moritz nimmt Beckers Ehe-Aus auf die Schippe

Blick.ch - Sun, 06/03/2018 - 10:31

ST. MORITZ - Nach dem Ehe-Aus muss Boris Becker viel Spott einstecken. Sogar der Ort, an dem er geheiratet hat, macht sich über den Tennis-Star lustig: St. Moritz postet einen ironischen Spot auf Facebook.

Wer seine Hochzeit an die grosse Glocke hängt, bei dem schaut man auch beim Ehe-Aus genau hin. Im Fall von Boris Becker (50) mit einer gewissen Schadenfreude. Mit der Besenkammer-Affäre oder mit finanziellen Schwierigkeiten hat er sich zur Zielscheibe Hohn und Spott gemacht.

Was er wohl zur Werbung von St. Moritz sagen würde? Dort hat Becker am 12.uni 2009 seine Lilly geheiratet. Jetzt postet St. Moritz Tourismus auf Facebook einen ironischen Spot zur Becker-Trennung: «Wir können keine ewige Liebe versprechen, aber eine Hochzeit, die für immer in Erinnerung bleibt.»

«Soll zum Schmunzeln anregen»

Ist es nicht geschmacklos, mit zerbrochenem Liebesglück zu werben? Bei St. Moritz Tourismus gibt man sich gelassen «Hier geht es um ein selbstironisches Statement, das zum Schmunzeln anregen soll. Scheidungen sind mittlerweile nicht mehr selten und erwecken keine grosse Aufmerksamkeit – ausser bei gewissen Prominenten», so die Marketing-Verantwortliche Marijana Jakic.

Der ehemalige Kurdirektor des Nobelorts, Hanspeter Danuser (71), war bei der Becker-Hochzeit bereits nicht mehr im Amt. «Früher hätte man so etwas nicht gemacht. Aber in Zeiten von twitternden Präsidenten liegt die Sache etwas anders. Die neue Generation bewegt sich spielerisch den sozialen Medien», so Danuser.

Laut Starerber Frank Bodin (56) gehört Ironie dazu, auch wenn man mit einem negativen Ereignis wie einer Scheidung spielt. «Für die Betroffenen ist es natürlich tragisch. Aber Boris Becker hat durch wiederholte Peinlichkeiten an Sympathie eingebüsst.» Selber wäre der Werber damit allerdings vorsichtig: «Werbung mit Prominenten kann Klagen nach sich ziehen.»

Hat Becker schon wieder eine Neue?

In St. Moritz wird Boris Becker wohl kaum wieder heiraten. Single bleibt er aber bestimmt nicht lange, kurz nach dem Ehe-Aus wird bereits über eine neue Liebe spekuliert. Daran ist Becker nicht ganz unschuldig. Er postete diese Woche Bilder von sich und Journalistin Birgit Nössing (35) auf Instagram. Beide sind bei den French Open in Paris, wo Becker für Eurosport kommentiert. Die schöne Brünette arbeitet ebenfalls für den Sender.

Ob sie Kollegen sind oder doch etwas mehr? Vielleicht hängt Boris seine neue Liebe ja schon bald wieder an die grosse Hochzeitsglocke.

Categories: Swiss News

Formel 1 inside: Macht Ricciardo jetzt Hamilton und Vettel nass?

Blick.ch - Sun, 06/03/2018 - 10:18

Nach seinem Monaco-Sieg ist Daniel Ricciardo heiss auf einen weiteren Coup beim GP Kanada in Montreal. Hier kommt das Formel 1 inside.

Das Roulette von Monaco hat den Australier Daniel Ricciardo (28) im 135. Grand Prix endgültig in die First Class der Formel 1 befördert. Nach Hamilton, Vettel, Alonso und Verstappen. Eine Meisterleistung, wie er 50 Runden lang ohne die 163 Zusatz-PS der MGU-K (kinetische Energierückgewinnung) vorne bleiben konnte.

Was allerdings auf jeder anderen Strecke unmöglich gewesen wäre! Die Frage ist jetzt: Kann der rote Bulle mit dem Dauerlachen mit bisher 72 WM-Punkten in das Titel-Duell Hamilton – Vettel (110:96) eingreifen? Ricciardos zwei Nuller in Bahrain (Elektrikdefekt) und Baku (Teamcrash) schmerzen.

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Ricciardo ist also der Mann der Stunde. WM-Leader Hamilton: «Ich habe gehört, dass Daniel bei Red Bull klar weniger verdient als Verstappen. Obwohl er konstanter ist und das Auto häufiger an einem Stück lässt! Ich hoffe, er bekommt im Team die nötige Wertschätzung und einen guten Vertrag!» Denn der Brite sieht bei Mercedes und Ferrari für 2019 keinen freien Platz. Bottas liefert sehr gute Arbeit bei den Silberpfeilen ab – wie auch Räikkönen bei den Roten!

 

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Der GP Kanada ist am nächsten Sonntag (TV live ab 20 Uhr) ein Kampf gegen die Mauern. Vor allem nach der 340 km/h schnellen Geraden vor der Schikane kurz vor dem Zielstrich. «Da geht es um Zenti-meter, ja oft um Millimeter, ob du anschlägst oder eben knapp durchkommst!» Der Satz stammt von Max Verstappen (20), der bei Red Bull klar unter Druck gekommen ist und seine Ziele 2018 bisher verfehlte. Krise? Mad Max: «Die hast du nur, wenn du zu langsam bist! Ich machte zwei Fehler, beim Rest handelte es sich um unglückliche Zustände!» Bullen-Chef Horner: «Vielleicht sollte sich Max mal etwas von Ricciardo abschauen!»

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Ricciardo, der 55. Pilot, dem in Monaco ein Start-Ziel-Sieg gelang, gewann sein siebtes Rennen erstmals von den ersten drei Startpositionen! Sein Premieren-Triumph? Montreal 2014. Danach gelang aber Hamilton dort ein Hattrick. Total kam er auf sechs Kanada-Siege, Schumi brachte es auf sieben.

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In Montreal 2008 feierte Sauber mit Partner BMW und Kubica den bisher einzigen Erfolg. Der neue Partner Alfa Romeo liefert zwar keine Motoren (das tut weiter Ferrari), aber Alfa breitet sich dank Ferrari-Boss und Alfa-Nostalgiker Marchionne immer mehr in Hinwil aus. Auch der neue Technik-Direktor Simone Resta (47) kommt aus Maranello, arbeitete schon mit Schumi und auch mit Vettel zusammen. Zudem wurde Sauber mit Islero Investments in eine neue Gesellschaft in Hinwil verschoben. Grund: schnellere Abläufe!

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Idén is népszerű volt a libádi-bélai rendezésű Lobad Race

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 06/03/2018 - 10:15
Június 2-án harmadik alkalommal került megrendezésre a Lobad Race. A futóverseny különlegessége, hogy a futás mellett akadálypálya is várja a sport szerelmeseit.

Un dépassement téméraire et c'est la mort

24heures.ch - Sun, 06/03/2018 - 10:02
Un motard autrichien s'est tué samedi après-midi après avoir été éjecté de son engin à la suite d'un accident vers Appenzell.
Categories: Swiss News

Ismét rendőrkézen a dunaszerdahelyi Juraj H., aki egy Fülöp-szigeteki férfi halálát okozta

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 06/03/2018 - 09:57
A 28 éves dunaszerdahelyi járásbeli lakost, Juraj H.-t, aki május 26-án megtámadott egy Fülöp-szigeteki férfit, elfogták. A férfit gyilkossággal gyanúsítják.

Aus für beliebten Kommunikationskanal: Lehrer schliessen Klassen-Chats wegen EU-Gesetz

Blick.ch - Sun, 06/03/2018 - 09:57

Wegen des neuen EU-Gesetz' dürfen Schüler unter 16 Jahren WhatsApp offiziell nicht mehr benutzen. Der Klassenchat ist damit offiziell nicht mehr möglich. Nun suchen die Lehrer nach Alternativen.

Schnell, einfach, unkompliziert: Per WhatsApp konnten Lehrer ihre Schüler über Änderungen im Stundenplan, Ausflüge oder Elternabende informieren. Die Nachrichten in den Klassenchats erleichterten den Lehrer-Alltag. Doch damit ist jetzt Schluss!

Der Grund: die Datenschutz-Grundverordnung, also das neue EU-Gesetz, das seit Ende Mai in Kraft getreten ist. WhatsApp ist damit erst ab 16 Jahren erlaubt. Jubel-Stimmung bei den Datenschützern, Verzweiflung in den Lehrerzimmern.

E-Mail-Adressen für Schüler eingerichtet

Die meisten Schüler fallen unter die Altersgrenze und dürfen offiziell die App gar nicht mehr nutzen.

Wie soll es nun weitergehen? Darüber grübelten diese Woche 20 Lehrer im Oberstufenzentrum Orpund im Kanton Bern. Es wurde extra eine Arbeitsgruppe eingesetzt. «Nach den Sommerferien soll für die neuen Klassen eine Lösung vorliegen», sagt Lehrer Alain Pichard zur «SonntagsZeitung.»

Reto Valsecchi, Schulleiter in Dietlikon ZH, hat dagegen schon eine Lösung. Er hat für alle 200 Schüler eine E-Mail-Adresse angelegt.

Dass Lehrer und Schüler so einfach umsatteln und von nun an Mails schreiben, glaubt Christian Hugi, Präsident des Lehrerverbands des Kantons Zürich, nicht. Wer bislang per WhatsApp mit den Schülern kommunizierte, werde «jetzt vermutlich auf andere Apps ausweichen», sagt Hugi zur «SonntagsZeitung».

Dabei könnten die Lehrer WhatsApp weiterhin für ihre Klassenchats verwenden. Aber nur unter einer Bedingung: Die Eltern müssten ihr schriftliches Einverständnis geben. Dann könnte es so weitergehen wie bisher. (jmh)

Categories: Swiss News

A szabadságharc ikonikus csatája elevenedett meg az erődben

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 06/03/2018 - 09:48
Egy huszárvágással visszacsöppenhettek a Monostori erőd látogatói az 1848/49-es forradalom és szabadságharc időszakába. A lassan két évtizede zajló Hadijáték az 1849. július 2-án zajló csata két fontos momentumát elevenítette fel.

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