ALGER -Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel s’est félicité jeudi à Alger de la qualité des relations « exceptionnelles » qui lient l’Algérie aux Etats-Unis d’Amérique, dont le dialogue sur les questions sécuritaires et la lutte antiterroriste est une « illustration » de la qualité de ces relations.
« Je tiens tout d’abord à me féliciter de la qualité des relations exceptionnelles qui unissent nos deux pays, dont ce dialogue est une illustration en ce qu’il nous permet de développer et d’approfondir la concertation et la coopération sur une liste de thèmes en constante progression », a déclaré M. Messahel lors la 5ème session de ce dialogue qu’il a coprésidée avec le Secrétaire d’Etat américain adjoint, John Sullivan.
Il a, à cette occasion, réitéré toute l’importance qu’attache l’Algérie à la « poursuite et au renforcement » de ce dialogue qui a « permis de mieux apprécier nos préoccupations respectives sur les questions d’intérêt commun abordées dans ce cadre et de générer des dynamiques de coopération mutuellement bénéfiques entre certaines de nos institutions ».
« Autre maillon important de notre coopération, le dialogue militaire dont la huitième session s’est tenue à Alger au mois de février dernier, et qui a permis aux responsables de ce secteur de mesurer les progrès enregistrés dans la voie de la coopération bilatérale et de tracer les perspectives pour leur renforcement », a noté M. Messahel, relevant que « cette évolution positive des échanges dans des domaines aussi importants est rendue possible par la qualité satisfaisante des relations bilatérales que nos deux pays tiennent à entretenir ».
Le chef de la diplomatie algérienne a, à cet égard, réaffirmé la volonté de l’Algérie « de développer ces relations et de les élargir à de nouveaux domaines d’intérêt commun dans un esprit de partenariat, de respect mutuel et d’amitié », citant en particulier, le secteur économique.
Dans ce contexte, M. Messahel a fait observer que l’Algérie « poursuit ses efforts en vue de créer des conditions plus propices aux investissements offrant ainsi aux entreprises américaines de nouvelles opportunités d’investissements productifs, aussi bien dans le domaine des hydrocarbures que dans d’autres secteurs », appelant ces entreprises à saisir ces opportunités.
Revenant sur cette nouvelle session du dialogue sécuritaire entre les deux pays, le ministre a relevé qu’elle « se tient dans un contexte régional marqué par d’importants défis porteurs de menaces pour la paix et la sécurité régionales et internationales et sur lesquels nous aurons à partager nos vues et nos analyses ».
Parmi ces défis, M. Messahel a cité les phénomènes de radicalisation et d’extrémisme violent ainsi que la menace terroriste « qui s’étendent en dépit de la mobilisation internationale pour les combattre et les contenir », notant que le terrorisme « continue de causer des pertes de vies dans de nombreux pays, notamment dans la bande sahélo-saharienne, mais également dans d’autres régions épargnées jusque-là ».
« Le retour des combattants terroristes étrangers représente aussi une grave menace pour les pays d’origine mais aussi pour beaucoup d’autres pays, en particulier ceux souffrant de la faiblesse et de la rareté des moyens pour les combattre », a-t-il dit, précisant que la densification de la relation entre les groupes terroristes et le crime organisé transnational, « met à la disposition des uns et des autres des moyens financiers considérables ».
Evoquant la migration illégale, le ministre a indiqué qu’elle « s’impose de plus en plus comme une menace sérieuse dans de nombreuses régions du monde », ajoutant que « c’est une menace qui préoccupe fortement l’Algérie, devenue un pays d’accueil recevant « régulièrement d’importants flux de migrants acheminés par des groupes criminels » vers les frontières sud du pays.
Messahel a affirmé que cette nouvelle session du dialogue algéro-américain sera l’occasion de passer en revue « l’évolution récente » des situations conflictuelles notamment en Libye, au Mali, au Sahel et dans la région, avec l’objectif de conjuguer les efforts de l’Algérie et des Etats-Unis « en faveur de la promotion de solutions pacifiques conformes au Droit international et dans le respect de la souveraineté, de l’indépendance, de l’intégrité territoriale et de l’unité de ces pays en insistant sur la non-ingérence dans leurs affaires intérieures ».
Abordant la lutte contre le financement du terrorisme, le ministre a noté qu’il s’agit d’une autre question « urgente » qui interpelle l’ensemble de la communauté internationale, rappelant la tenue, à Alger en avril dernier, d’une conférence africaine sur la lutte contre le financement de ce fléau.
Par ailleurs, M. Messahel a indiqué que l’Algérie, « qui a mené une politique réussie de réconciliation nationale et de dé-radicalisation croit fermement aux valeurs du vivre-ensemble en paix au sein des sociétés et entre les Nations », ajoutant que cette politique a été initiée, conduite et menée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
« A l’initiative de l’Algérie et entérinée par l’Assemblée générale des Nations unies, le monde a célébré le 16 mai dernier, et pour la première fois, la Journée mondiale du vivre-ensemble en paix », a-t-il rappelé.
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ALGER- Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a reçu jeudi le secrétaire d’Etat adjoint américain, John Joseph Sullivan, qui effectue une visite de travail à Alger dans le cadre de la tenue de la 5ème session des consultations bilatérales sur les questions sécuritaires et de lutte contre le terrorisme, indique un communiqué des services du Premier ministre.
L’audience s’est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, ajoute la même source.
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ALGER- Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui, a reçu jeudi à Alger une délégation du réseau national des associations des malades chroniques, où il a exprimé la « volonté » du ministère d' »institutionnaliser » les relations avec ces associations afin de les impliquer dans le processus de mise en place des politiques de Santé.
A l’occasion de cette rencontre, M. Hasbellaoui « a mis en exergue la volonté du ministère de la Santé d’institutionnaliser les relations avec les associations de malades chroniques à l’effet de les impliquer fortement dans le processus de mise en place des politiques de santé et ce, en application des directives du président de la République relatives au dialogue et à l’implication des partenaires sociaux », précise un communiqué du ministère.
A cet effet, le ministre de la Santé « a annoncé la désignation d’un point focal qui sera chargé de l’articulation des relations entre l’administration centrale et le mouvement associatif », indique la même source.
Cette rencontre a ainsi permis aux représentants des associations de « marquer leur satisfaction quant à cette nouvelle perspective de partenariat qui leur donnera la possibilité de mieux mener leur mission d’accompagnement des malades chroniques qui font souvent face à des difficultés d’orientation en matière de soins malgré les ressources disponibles mises en places et mobilisées par l’Etat ».
Concernant ce point, M. Hasbellaoui « a rappelé que la solution viendra de la mise en place des réseaux de soins à la faveur de la nouvelle loi sur la Santé, en instance de promulgation, qui réorganisera le système national de santé sur des bases modernes et efficientes », souligne le communiqué.
« Ces réseaux seront adossés à des procédures claires et à une organisation pertinente pour améliorer la communication entre tous les acteurs concernés notamment le mouvement associatif activant dans le secteur de la santé, mouvement qui va faire l’objet d’un état des lieux dans le cadre de l’élaboration de l’annuaire des associations de santé », note la même source.
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ALGER- Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a annoncé, jeudi à Alger, que son département ministériel était sur le point d’achever l’examen de la liste des daïras concernées par la promotion en wilayas déléguées au niveau des Hauts-Plateaux, rappelant que l’annonce de la liste finale relève des prérogatives du président de la République.
Lors d’une séance plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN), consacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que dans le cadre de la deuxième phase du plan stratégique du président de la République, les services de son ministère étaient « sur le point d’achever l’examen de la liste des daïras concernées, au niveau des Hauts-plateaux, par la création de nouvelles wilayas déléguées », ajoutant que « les derniers préparatifs sont en cours pour concrétiser cette opération, selon des normes objectives répondant aux exigences du développement local escompté par les pouvoirs publics ».
Le ministère de l’Intérieur, ajoute le ministre, procède à « une opération d’évaluation des wilayas déléguées au niveau du Grand Sud qui ont bénéficié d’importantes ressources matérielles, financières et humaines d’environ 30 milliards de dinars ».
Pour M. Bedoui, « les résultats de cette opération seront exploités lors de la création de nouvelles wilayas déléguées », affirmant que « le principal objectif de la stratégie du président de la République est d’eriger ces wilayas déléguées en wilayas autonomes dans le cadre du nouveau découpage administratif qui sera présenté aux deux chambres du parlement ».
Dans le même contexte, le ministre a dit que « l’annonce officielle de la liste de promotion des daïras en wilayas déléguées ne relève pas des prérogatives d’un membre du gouvernement », ajoutant que « le président de la République est le seul habilité, par la Constitution, à prendre la décision finale, à travers les mécanismes adoptés tels que le conseil des ministres ».
Répondant à la question du député Habibi Touhami relative à la promotion de la daïra d’El Abiodh Sidi Cheikh en wilaya déléguée, dans le cadre du nouveau découpage administratif, M. Bedoui a rappelé que « le mode de création de wilayas déléguées a été défini par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, lors du Conseil des ministres restreint tenu le 27 janvier 2015 consacré au développement dans les wilayas du Sud et des Hauts-plateaux ».
La définition des priorités liées à la révision du découpage administratif actuel s’est faite en trois phases, lancées dans les wilayas du sud, a indiqué M. Bedoui.
Dans ce cadre, le ministère de l’Intérieur a veillé, en collaboration avec les secteurs concernés, à mettre en £uvre la décision du président de la République de créer 10 circonscriptions administratives au Sud, avec la mobilisation des moyens matériels, humains et financiers nécessaires pour rapprocher l’administration du citoyen et prendre en charge ses préoccupations, a précisé le ministre.
Les efforts se poursuivent pour assurer les conditions idoines afin de permettre aux wilayas déléguées du sud d’accomplir pleinement leurs missions, en renforçant leurs prérogatives en matière de mise en oeuvre de leurs programmes de développement.
Concernant la daïra d’El Abiodh Sidi Cheikh (El Bayadh), situé à quelque 120 km du chef lieu de wilaya, elle dispose d’atouts qui seront pris en considération lors de la création de daïras déléguées. Il s’agit de structures et de centres économiques et sociaux dans divers domaines.
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Aufregung um nackte Frauenbrüste in Liestal: Zwei Gymnasiastinnen haben im Rahmen eines Kunstprojekts die Abdrücke ihres Oberkörpers auf Papier gebracht und an der Wand im Schulhaus aufgehängt. Jetzt regt sich Widerstand.
Brüste erregen – die Gemüter. Genauer gesagt die Abdrücke des Busens zweier Schülerinnen des Gymnasiums Liestal. Die beiden 18-Jährigen haben im Rahmen eines Kunstprojekts zum Thema «Körper» ihre Brüste mit roter und brauner Farbe bemalt und auf Papier verewigt. Die 13 Bilder hängen seit drei Tagen in einem 2 mal 1,5 Meter grossen Rahmen auf einer Wand im Schulhaus.
Eine Gruppe von Schülern stört sich daran. «Wir finden das zu explizit», sagt Renato A.* zu BLICK. «Es ist fragwürdig, warum sich zwei Schülerinnen ausziehen, um ihre Brüste auf diese Weise zu präsentieren. Kunstfreiheit hin oder her», sagt der Schüler.
Ausserdem stehe das im Widerspruch zum Umgang mit Hotpants an der Schule. «Es ist zwar grundsätzlich nicht verboten, sie zu tragen. Aber solche kurzen Hosen werden nicht gerne gesehen und die Mädchen werden auch darauf angesprochen», sagt A. «Der Abdruck nackter Brüste von Schülerinnen soll demnach völlig in Ordnung sein, aber mit Hotpants hat die Schule ein Problem», wundert er sich.
«Kunstwerk und keine Pornografie»Im Rektorat versteht man die Aufregung nicht. «Das Kunstwerk ist keine Pornografie, sondern Kunstgeschichte», sagt Christine Neumayer, Assistentin des Rektors, zu BLICK. Es handle sich um eine feministische Neuinterpretation des Kunstwerks von Yves Klein. «Die Schülerinnen bestimmten alles selbst und schrieben dazu eine kritische Textarbeit, in der auch zeitgenössische Kunstschaffende befragt werden», sagt Neumayer.
Die Schülergruppe sieht das anders. «Seit diese Bilder da hängen, herrscht eine komische Grundstimmung. Die Namen der Schülerinnen stehen zwar nicht unter dem Bild, aber man weiss genau, wer sie sind», sagt der Schüler. «Auch wenn sie das alles freiwillig gemacht haben, gehört das nicht hin. Wir fragen uns, wie es solche Bilder an die Wand schaffen konnten», sagt Renato A.
Renato A. und ein Dutzend andere Gymnasiasten haben sich bei einem Geografielehrer über die Bilder beschwert, der das Anliegen an die Schulleitung weitergeleitet hat. Ob das Bild am Ende hängen bleibt, ist noch unklar. «Was wir auf jeden Fall machen, ist, eine Erklärung neben das Kunstwerk zu hängen, damit es für alle verständlich ist», sagt Neumayer. Ausserdem will sich die Schulleitung zu einem Gespräch mit den Schülern treffen.
* Name geändert
L’évènement Smart City, qui se déroule au CIC, a connu à son ouverture, hier, plusieurs ratages. Par manque de coordination entre les organisateurs, les participants et la presse étaient livrés à eux-mêmes. Les badges devaient être transmis par voie numérique, mais à la dernière minute, les organisateurs ont délivré des badges anonymes à certains participants, sans aucune explication pour ceux qui n’ont pas communiqué leurs noms aux services de la wilaya, faisant fi de tout travail de networking dans un événement censé mettre en avant la pertinence de l’utilisation des nouvelles technologies. Autre “anomalie”, l’absence de signalisation ou indication pour les panels, les différentes conférences et les exposants. Les hôtesses semblaient perdues et ne possédaient aucune information pour guider les visiteurs. Comme il fallait davantage de désagréments, les organisateurs ont omis de prévoir des interprètes pour des conférences qui se tiennent pour la plupart en anglais.
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Grande frustration auprès des étrangers, notamment européens, qui ont manifesté de l’intérêt pour le Séminaire international sur les villes intelligentes (Smart Cities). Celui-ci a ouvert ses portes hier au CIC (Clubs des Pins) avec certaines interventions qui n’auraient pas eu lieu, selon nos sources, à cause des visas qui n’auraient pas été accordés à de nombreux participants et même à quelques speakers. Notre source parle même de panels qui ont été annulés, dont celui relatif à “Smart City strategies”, “Success stories and opportunities” ainsi que celui inhérent au “Developing sustainable and affordable cities”. Un paradoxe avec le discours officiel qui prône le concours de toutes les bonnes volontés pour le developpement des Smart Cities.
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L’Apij (Association pour la promotion et l’intégration de la jeunesse) de Annaba organisera, le 5 juillet prochain, un mariage collectif au stade Abdelkader-Chabou. Première du genre, cette cérémonie permettra à 200 couples de convoler en justes noces. Issus des 12 communes de la wilaya de Annaba, ces jeunes, dont certains attendent depuis 5 années pour pouvoir se marier, font partie des personnes démunies ou aux ressources limitées, affirment les initiateurs. Ces derniers ont déjà recueilli la confirmation des communes d’El-Eulma avec 35 couples, Seraïdi (5 couples), Tréat (25 couples), Chorfa (15 couples), Oued El-Aneb (10 couples), Annaba (40 couples) et Berrahal avec un couple.
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Quand Neymar a finalement marqué un but face au Costa Rica (2-0), vendredi dernier, le Brésil tout entier a laissé éclater sa joie, le joueur star a versé quelques larmes et sa sœur… s’est déboîté une épaule, a rapporté hier une télévision brésilienne. Selon SporTV, Rafaella Santos a célébré avec tant d’enthousiasme la réussite de son frère qu’elle s’est cognée contre une amie et s’est blessée à l’épaule.
La jeune femme a ensuite partagé sur les réseaux sociaux une photo d’elle avec le bras en écharpe. Neymar est entré dans l’histoire de la Coupe du monde avec le but le plus tardif, à la 7e minute du temps additionnel, vendredi, lors du deuxième match de la Seleçao au Mondial 2018.
Mais les larmes du joueur le plus cher du monde au coup de sifflet final ont soulevé une polémique au pays du football roi, tout comme sa simulation grossière dans la surface plus tôt dans le match, alors que sa performance dans le Mondial en Russie est vivement critiquée.
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La réunion de travail prévue, hier, entre le ministère de l’Éducation nationale et les syndicats du secteur et qui devait porter sur l’épineux dossier des œuvres sociales n’a pas eu lieu. Le report est justifié officiellement par la maladie de l’inspecteur général au MEN, qui devait présider les travaux de ce conclave. Les syndicats devraient donc patienter avant de reprendre langue avec la tutelle. L’attente risque d’être longue, puisque les vacances des personnels de l’éducation débutent dans une semaine.
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Im Spiel zwischen Tunesien und Panama gehts nicht mehr um viel. Die Frage ist nur noch: Wer verabschiedet sich mit gutem Gewissen von der WM?
Bereits nach dem zweiten Spieltag in der Gruppe G war klar: Belgien und England ziehen in die Achtelfinals ein, Panama und Tunesien gehen leer aus.
Die einzige Frage ist nur noch: Wer verabschiedet sich mit gutem Gewissen von der WM? Die Tunesier könnten mit einem Erfolg gegen Panama den ersten Sieg seit der WM 1978 (gegen Mexiko) feiern.
Aber auch Panama strebt den Vollerfolg an. Immerhin wäre es der erste Sieg an einer Weltmeisterschaft überhaupt. (ome)
Le retrait d'agrément à la CAME continue de susciter de moult interrogations dans le rang des populations. Cette décision survenue après le ménage dans le rang des importateurs de faux médicaments. L'approvisionnement en médicaments des centres hospitaliers demeure une inquiétude. Face à cette situation le ministre de la santé et son homologue de la justice ont rassuré les populations sur l''avenir de ces centres qui s''approvisionnement au niveau de CAME.
Les doutes se sont estompés dans la matinée de ce jeudi sur ce qui concerne la disponibilité des médicaments et la situation administrative de la Centrale d'achat des Médicaments CAME. C'etait lors de l'Assemblée Générale extraordinaire de la CAME, tenue au siège de Sèmè City, ex-primature à Cotonou. Pour les autorités, " la CAME continuera d'approvisionner les officines et les hôpitaux en médicaments malgré la dénonciation du contrat et le retrait de son agrément".
Selon le ministre de la santé, " le Gouvernement travaille de commun accord avec toutes les parties pour une refonte des textes de la CAME et pour une sécurisation des circuits d'approvisionnement en médicaments et de tout le secteur pharmaceutique en général. Toutes choses indispensables à la garantie de qualité des médicaments mis à la disposition des populations."
Quant au ministre de la justice, il a mis en garde les auteurs des fausses informations relatives à l'indisponibilité supposée des médicaments et consommables médicaux dans les officines et les centres de santé. "Ce sont de fausses informations et les auteurs risquent des poursuites judiciaires", laisse-t-il croire.
BERN - Das Staatssekretariat für Migration kann nicht sagen, was mit 45 Prozent der abgelehnten Asylbewerber passiert. Jetzt verlangt das Parlament Nachbesserungen.
Was passiert, wenn das Gesuch eines Asylbewerbers abgelehnt und er zur Ausreise aufgefordert wird? Normalerweise hat er drei Möglichkeiten: Er rekurriert, er reist offiziell aus – oder er reist «unkontrolliert ab», wie es in der Sprache des Staatssekretariats für Migration (SEM) heisst. Was den Eindruck vermittelt, die Leute würden die Schweiz verlassen und in einem anderen Land ihr Glück versuchen.
Doch dies kann das SEM, welches Justizministerin Simonetta Sommaruga (58) untersteht, nicht mit Sicherheit sagen. Oft ist es auch nicht der Fall. Das hat die Geschäftsprüfungskommission des Nationalrats (GPK) herausgefunden. Sie liess im Rahmen einer Prüfung der Ausschaffungshaft auch untersuchen, ob negative Asylentscheide zu einer Ausreise führen oder nicht. Mehr als 61’000 Asylentscheide schaute sie sich an.
Von 45 Prozent weiss niemand, wo sie sindDie Prüfung ergab: 47 Prozent der abgelehnten Asylsuchenden reisten unter den Augen der Behörden aus der Schweiz aus. Bei acht Prozent wurde der negative Entscheid in einen legalen Status umgewandelt, meist in eine vorläufige Aufnahme. 25 Prozent sind «unkontrolliert abgereist». Bei den restlichen 20 Prozent ist der Ausreisestatus «offen». Was heisst, dass niemand so genau weiss, wo 45 Prozent der abgelehnten Asylsuchenden sind.
Denn die Untersuchung zeigt auch: Viele von denen, die «unkontrolliert abgereist» sind oder deren Verbleib «offen» ist, bleiben in der Schweiz. Anhand eines Vergleichs zwischen der Datenbank des SEM und dem Monitoring Nothilfe konnte nachgewiesen werden, dass 41 Prozent der Personen mit einem «offenen» Ausreisestatus irgendwann Nothilfe bezogen haben. Sich also weiterhin in der Schweiz befanden. Auch neun Prozent jener, die als «unkontrolliert Abgereiste» geführt wurden, bezogen später einmal Nothilfe.
GPK spart nicht mit KritikIn der SEM-Datenbank sah man davon nichts. «Dies bedeutet, dass die Kategorie der unkontrollierten Abreise die effektiven Verhältnisse nicht korrekt widerspiegelt», schliesst die GPK daraus. Und teilt ordentlich aus: «Die Datenverwaltung des SEM ist ineffizient, fehleranfällig und von beschränktem Nutzen», so die Kritik.
Die Kommission fordert den Bundesrat nun auf, dafür zu sorgen, dass untergetauchte Personen als solche erfasst werden. Zudem sollen die Meldepraxis der Kantone vereinheitlicht und die Meldungen der Kantone tatsächlich registriert werden. Auch am Begriff der «unkontrollierten Abreise» stört sich die Kommission. Hier soll der Bundesrat dafür sorgen, dass er nicht mehr für untergetauchte Asylbewerber verwendet wird.
SEM rechtfertigt sichAuf Anfrage von BLICK lässt das SEM ausrichten, es habe den Bericht zu Kenntnis genommen. «Zum genauen Verbleib von Asylsuchenden nach deren unkontrollierten Abreisen hat das SEM naturgemäss in der Regel keine präzisen Angaben. Hingegen gibt keine Hinweise darauf, dass Personen, die das Schweizer Asylverfahren unkontrolliert verlassen, mehrheitlich in der Schweiz verbleiben», sagt Sprecher Martin Reichlin.
Man würde aber alle kantonalen Meldungen auch in die Datenbank eintragen. Zudem würden alle Asylsuchenden registriert, inklusive Fingerabdrücke und persönlicher Daten. Unkontrolliert abgereiste Personen könnten zudem in Fahndungssystemen zur Verhaftung ausgeschrieben werden.
Das SEM habe in der Kommission Stellung zu den einzelnen Punkten des Berichts genommen und auch Fragen beantwortet.«Wir werden den fertigen Bericht nun sorgfältig analysieren und die Empfehlungen der Kommission genau prüfen. Im kommenden Herbst wird dann der Bundesrat gegenüber der Kommission Stellung nehmen.»