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Le vice-président de Guinée équatoriale, poursuivi pour blanchiment à genève, est mis hors de cause.

In Lausanne gescheitert, in St. Gallen schon gefeiert: Simone Rapp (26) hat einen raschen Aufstieg hinter sich. Dass er mit seinen zwei Toren gegen den FCZ Erwartungen schürt, stört ihn nicht. Im Gegenteil.

TASR: A V4-es országok és Németország egy közös projektet készítenek elő Marokkó megsegítésére a migráció külső okainak kezelése keretében – jelentette ki csütörtökön Peter Pellegrini kormányfő a pozsonyi várban, a V4-es vezetők és Angela Merkel német kancellár csúcstalálkozója után.

Pas de panique, les scientifiques se sont mis en mode tête chercheuse et ont fait des découvertes étonnantes, à tester dès les premiers signes.

Il est tout à fait normal de perdre ses cheveux l’automne venu. Nos follicules pileux réagissent au changement de temps. Reste qu’il existe une multitude de causes – fluctuation hormonale (maternité, ménopause), stress, fatigue, régime carencé…- pouvant expliquer que nos cheveux finissent, plus que de raison, en brosses. Mais simple caprice saisonnier ou problème plus sérieux, les stratégies pour retrouver son capital pilaire ne manquent pas. Le tout est de s’armer d’un peu de patience. Si les choses peuvent s’améliorer vite, il faut tout de même compter 2 à 3 mois pour que la lutte antichute porte totalement ses fruits. Raison de plus pour agir vite.

Etape 1 : je mise sur la caféine.
Pas en tasse, mais en lotion ou shampoing. D’après le Journal international de dermatologie, elle bloque l’hormone, la dihydrotestérone, responsable de la chute des cheveux. Avec un effet bénéfique chez les femmes ! What else ? Laisser agir au moins 2 min pour atteindre le bulbe pileux.
Si ça ne marche pas…

Etape 2 : je mange des pommes.
Des chercheurs japonais ont testé plus de 1 000 extraits végétaux pour découvrir lequel était le meilleur antichute et boosteur de repousse. Résultat : les polyphénols présents dans la pomme (les procyanidines B2) ont remporté la palme.
Si ça ne marche pas…

Etape 3 : je fais une cure de zinc.
Il joue un rôle important dans le renouvellement des cellules, la croissance et la bonne santé des cheveux. Des biochimistes de la Faculté de la Pitié-Salpêtrière ont confirmé son intérêt pour enrayer la chute et montré qu’il est d’autant plus efficace qu’on l’associé à la vitamine B6.
Si ça ne marche pas…

Etape 4 : je passe aux huiles essentielles.
Elles activent la circulation, renforcent la tige capillaire et leur effet repousse a été prouvé par une étude écossaise. Le cocktail testé : HE de thym (2 gouttes), lavande (3 gouttes), romarin (3 gouttes) et cèdre (2 gouttes) mélangées dans de l’huile végétale de Jojoba (3 ml) et de pépins de raisin (20 ml). A utiliser en massage du cuir chevelu pendant 2 min chaque soir. On peut aussi recourir à des shampoings et lotions toutes faites.
Et si ça ne marche toujours pas…

Etape 5 : je consulte un dermatologue.
Un bilan hormonal et sanguin permettra d’identifier si vous souffrez d’un éventuel trouble (thyroïdien par exemple) ou d’une carence (on dose alors le fer, le zinc, les vitamines B, voire le magnésium si vous êtes stressé). Et un trichogramme, c’est-à-dire une étude des racines au microscope, aidera à mieux déterminer les causes de la chute et adapter le traitement.

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Une rencontre entre les gilets jaunes et le ministre du travail italien, Luigi Di Maio, a mis le feu aux poudres entre Paris et Rome, dont les relations se sont dégradés ces derniers mois

Des feuilles de diouls, 2 œufs battus
Pour la farce : poulet désossé, 100 g riz, 1 œuf, 1 bouquet de persil, des feuilles de menthe, 1 cuillère à café de sel, 1 cuillère à soupe de poivre
Pour la sauce : 3 cuillères à soupe d’huile, 1 bouquet de coriandre,
1 bouquet de menthe, 1 cuillère à café de piment doux, 1/2 cuillère à café de piment fort, 1/2 cuillère à café de cumin en poudre, 1/2 cuillère à café de sel, de l’huile pour la friture.

Dans une cocotte, faites cuire le poulet désossé 20 minutes à feu moyen. Faites bouillir le riz 5 minutes dans de l’eau. Egouttez-le. Lavez et hachez le persil et la menthe. Hachez grossièrement la chair de poulet. Ajoutez le riz, les fines herbes, l’œuf, le poivre et le sel. Remplissez les feuilles de diouls comme pour des boureks classiques. Préparez la sauce avec l’huile, la menthe et la coriandre hachées, le piment, le cumin et le sel.
Dressez les feuilletés sur un lit de feuilles de salade verte, présentez la sauce à part.

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Euro area economy is expected to slow down more markedly than initially expected, because of the impact of increasing risks, including a disorderly Brexit, and external tensions primarily driven by the US-China trade war.

Le président de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), Edouard Cyriaque Dossa a livré le verdict de l'affaire ICC-Services au petit matin de ce jeudi 07 février 2019. Entamée depuis le 17 décembre 2018, l'audience relative au procès ICC-Services a été levée.

A 23 heures 43 minutes, le président de la Cour et ses assesseurs ont fait leur entrée dans la salle d'audience suite à la suspension intervenue avant 13 heures. A cette reprise d'audience Edouard Cyriaque Dossa a invité les accusés à la barre.
Après avoir procédé à la délibération, la Cour déclare Guy Akplogan, Emile Tégbénou et Pamphile Ludovic Dohou, Etienne Tihoundro et Clément Sohounon, non coupable des faits d'association de malfaiteurs mis à leurs charges et les acquitte purement et simplement des fins de poursuite de ce chef.
L'accusé Michel Agbonon est déclaré non coupable des faits de complicité d'escroquerie avec appel au public mis à sa charge et l'acquitte purement et simplement des fins de poursuite de ce chef.
Justin Dimon est déclaré non coupable des faits de recel d'escroquerie avec appel au public et de corruption mis à sa charge. Elle l'acquitte purement et simplement des fins de la poursuite de ces chefs. Ordonne à son profit la restitution du cautionnement par lui versé au trésor public pour le recouvrement de sa liberté provisoire.
La Cour déclare Grégoire Ahizimé non coupable des faits de corruption mis à sa charge, l'acquitte purement et simplement des fins de la poursuite de ce chef, requalifie les faits de recel d'escroquerie avec appel au public retenus contre Grégoire Ahizimé en ceux de blanchement de capitaux. Le déclare coupable des faits de blanchement de capitaux et le condamne à 03 ans d'emprisonnement ferme et à 8 millions de FCFA d'amendes. La Cour ordonne la restitution au profit de Ahizimé du montant de 8 millions de FCFA de cautionnement versé au trésor public pour sa mise en liberté provisoire, déduction faite du montant des amendes et frais. Ordonne à Grégoire Ahizimé à verser à la Caisse de dépôt et consignation au profit des victimes de ICC-Services, la somme de 5 millions de FCFA qu'il a reçue de Guy Akplogan.
Déclare les accusés Guy Akplogan, Emile Tégbénou, Pamphile Dohou, Etienne Tihoundro et Clément Sohounon coupables de faits d'escroquerie avec appel au public et d'exercice illégal d'activité bancaire et de microfinance.
La Cour condamne chacun des nommés Guy Akplogan, Emile Tégbénou et Pamphile Dohou et Clément Sohounon à 10 ans d'emprisonnement ferme et à 12 millions FCFA d'amende. Quant à Etienne Tihoundro, il est condamné à 8 ans d'emprisonnement ferme et à 240 000 FCFA d'amende.
Elle condamne solidairement Guy Akplogan, Emile Tégbénou, Pamphile Dohou, Etienne Tihoundro, Clément Sohounon et Grégoire Ahizimé aux frais.

La Cour ordonne au greffier en chef du tribunal de première instance de première classe de Cotonou, le reversement de 252 millions 653 mille 40 FCFA issus de la vente des meubles appartenant aux promoteurs de ICC-Services à la caisse des dépôts et consignations au profit des victimes de ICC-Services. Ordonne au directeur du trésor et de la comptabilité publique le reversement de FCFA 575 millions 596 mille 781 figurant sur le compte ouvert dans le livres du trésor public à la caisse dépôts et consignation au profit de toutes les victimes de ICC-Services.

Akpédjé AYOSSO

Zum Preis einer bescheidenen Einzimmer-Wohnung in London hat ein in die Jahre gekommenes Einkaufsparadies einen neuen Käufer gefunden. Was er damit vorhat, bleibt unklar.

Das Bezirksgericht Zürich hat eine 35-jährige Frau des versuchten Mordes und weiterer Delikte schuldig gesprochen und sie zu einer Freiheitsstrafe von 18 Jahren und einer Geldstrafe verurteilt. Zudem wird sie für 15 Jahre des Landes verwiesen.

    Quand vous vous massez avec une pommade contre une douleur quelconque, celle-ci s’évapore rapidement avec ses principes actifs ; pour éviter ce problème et rendre son action plus efficace, il suffit, après massage, d’envelopper la partie du corps massée (cheville, cuisse, poignet, genou….) avec du film transparent de cuisine ou un sachet plastique dont vous aurez découpé le fond ; entourez d’une bande pour bien maintenir le tout et gardez le «bandage». pendant plusieurs heures (12 heures, voire plus).

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Owen Barder is Senior Fellow at the Center for Global Development (CGD), Vice President and Director of CGD, Europe

By Owen Barder
WASHINGTON DC, Feb 7 2019 (IPS)

It is time for an open, fair, merit-based process to appoint the next President of the World Bank. And I’ll explain below why I think the Europeans may, at last, break the cartel that has prevented this.

The “Gentleman’s Agreement”

Since the Second World War, Europe and the United States have operated the so-called “Gentleman’s Agreement”—that the Bank would be led by an American while the International Monetary Fund (IMF) would be led by a European.

This carve-up is an accident of history. British economist John Maynard Keynes had assumed that Harry Dexter White, a US Treasury Department official, would be appointed to run the IMF.

But partly because of suspicion that White was a communist—perhaps even a Soviet agent—the US Treasury Secretary decided to back Eugene Meyer as President of the World Bank instead.

The US Government didn’t think they could expect to nominate the head of both major financial institutions, and so a European has run the IMF ever since.

In the last two decades there have been empty promises in summit communiques to replace this cartel with a merit-based system for these appointments, but the World Bank has always gone to the American nominee, and the IMF to a European. And as my colleague Nancy Birdsall pointed out yesterday, the behind-closed-doors process means the World Bank post has always gone to a man.

The first time that the American candidate for President of the World Bank faced serious challenge was in 2012. There were three nominees—Jim Kim, José Antonio Ocampo, and Ngozi Okonjo-Iweala—who were interviewed by the Executive Board, and the appointment went to a vote.

Though Okonjo-Iweala was clearly the better candidate, Kim was eventually selected. It was assumed he won European votes as payback to the United States for allowing Christine Lagarde to be appointed unopposed to the IMF. Okonjo-Iweala said at the time that, while she had not expected to win, the process “will never ever be the same again.”

Owen Barder

Now that President Trump has nominated David Malpass to succeed Kim, the time has come to find out if Okonjo-Iweala is correct. Will the other shareholders force a fair process based on merit?

If so, Malpass seems unlikely to emerge as the victor. If 2012 was the crack in the glass ceiling, will 2019 be the year that we punch through?

The election is by a simple majority of Board votes, and while the United States is the largest shareholder it has only 16 percent of the votes. The Europeans, between them, have about 30 percent.

So, the United States cannot veto the appointment of another candidate who has the backing of the other shareholders.

High stakes for all

The World Bank (and IMF) are of most importance to the countries which have least control over them. More than a quarter of 2017 commitments were in sub-Saharan Africa, which has less than six percent of votes.

European leaders should seriously take into account the views of the Bank’s main stakeholders when making their decision, not simply adjust their power-sharing agreement with the United States.

There is a lot at stake for all of us. We need an effective and legitimate World Bank to tackle global problems such as climate change, financial instability, and pandemic disease, as well as to share knowledge, ideas and capital to help countries to meet the global goals.

For as long as the US and Europeans conspire to shut out the rest of the world from the leadership of the World Bank, it is impossible for it to be really legitimate and effective.

Given the obvious reasons why it makes sense to have a properly merit-based process, why might the Europeans nonetheless continue with the anachronistic “Gentleman’s Agreement”?

Four possible reasons it may continue:

1. They want to retain the privilege of nominating the Managing Director of the IMF.
2. They are concerned that the US will cut contributions to the World Bank if the US nominee is snubbed.
3. They are concerned to maintain good diplomatic relationships with the US generally, and this seems like a relatively unimportant concession to make for that broader goal.
4. These decisions are made mainly by white men from Europe and America, whose instinct will be to maintain their privileged access to international appointments.

Reasons that may not hold water in 2019

For a start, most European countries accept the inevitability of merit-based appointments at the IMF. It would be a big gamble to back the US nominee at the World Bank in the hope that they might maintain their grip on the IMF one last time.

They are sceptical that a US President committed to putting “America First” will keep his end of that bargain. Malpass’s nomination might, at last, be what breaks European and US collusion. Nor is the prospect of reduced US financing of the World Bank a significant consideration.

The World Bank is depending on donor contributions less and less for its finances, and the UK is currently the largest contributor to IDA, so even if there were a sharp fall in US contributions—which would be a decision for Congress, not the White House—this would not make a very big difference to the overall finances of the Bank.

On the contrary, a change in the leadership arrangements might well open the way to much larger donations from emerging countries such as China and India, as well as other European donors, more than compensating from a reduction in US contributions.

With the decline in US funding of the World Bank, the threat of a cut of funding no longer needs to be taken as seriously as once it was. Would the Europeans be willing to risk this slight to the United States?

Many would: there is little political advantage at home from being seen to cozy up to the Trump administration. Most will reckon that the US is unlikely to pay an enormous amount of attention (after all, the present US administration doesn’t care much about the multilateral system).

For example, nobody batted an eyelid when the rest of the world rejected the US nomination of Ken Isaacs to lead the International Organisation of Migration, another post which had traditionally gone unopposed to the United States. The world community appears to be growing a spine.

The only remaining reason that this might not happen is the inertia of privilege. Decision-makers find it hard to imagine a world in which these choices are made by fair, open processes. But once we make the change, it will be hard to remember why it ever seemed so difficult.

What’s next?

The next step is for one or more of the influential shareholders—perhaps one of the larger European countries—to build support for a more open and contested process, rather than allow the US nominee to be nodded through.

For the UK, this is a teachable moment. All the rhetoric at the moment is that the UK’s development policy should do more to serve the UK “national interest” as well as reducing poverty and spreading prosperity.

Arguably, it is in the UK’s short-term national interest to shore up its alliance with the United States, because the UK needs them for security and economic reasons, perhaps more than ever as it leaves the EU.

But it is also in the UK’s long-term national interest to have an effective, rules-based, multilateral system with legitimate institutions. Reforming the governance of the World Bank, and having a President who commands global respect, will help the UK achieve long-term goals of shared, sustainable development.

From a development point of view, there is no doubt that the UK should back a better candidate than Malpass. From a short-term foreign policy point of view, the temptation might be to go along with Trump’s pick.

Penny Mordaunt, UK Governor of the World Bank, is going to have to choose a side: the UK’s long-term interest in development, global soft power and the multilateral system, or its short-term interest in its relationship with the United States.

Her choice will send a powerful signal about whether the UK remains seriously committed to international development, or if the country has subsumed all that beneath short-term foreign policy considerations.

Potential candidates

There is time to nominate an alternative to David Malpass. Excellent candidates might include Nancy Birdsall, José Antonio Ocampo (again), Suma Chakrabarti, Kristalina Georgieva, Sri Mulyani Indrawati, Ngozi Okonjo-Iweala (again), Maria Ramos, Minouche Shafik, and Tidjane Thiam. Let the candidates—including David Malpass—make their case, and see if the world can coalesce around the best person. It is time to call time on the Gentleman’s Agreement.

The link to the original article:
https://www.cgdev.org/blog/time-gentlemen-please

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Excerpt:

Owen Barder is Senior Fellow at the Center for Global Development (CGD), Vice President and Director of CGD, Europe

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Le Rénovateur Quotidien - L’actuel Ministre de la défense Ould Ghazouani candidat de la majorité à l’élection présidentielle prochaine...

Tájékoztatott az Országos Közegészségügyi Intézet Fertőző Betegségeket Ellenőrző és Felügyelő Országos Központja. A legutóbbi áldozat egy 64 éves konstancai férfi, aki az A típusú influenzavírussal fertőződött meg. A férfi más betegségekben is szenvedett és nem volt beoltva a vírus ellen.

Deutliche Parlamentsmehrheit für die Änderung

A sajtótájékoztatót ma a Kolozsvár határában található pataréti szeméttelep szomszédságában élő kilakoltatottak közösségi házában tartották. A jelöltek között volt a listavezető Claudia Linda Zsiga emberjogi aktivista, aki korábban a pataréten lakott a családjával, miután 2010-ben a kolozsvári önkormányzat elhelyezés nélkül kilakoltatta. A listán szerepel még Daniela Gabor közgazdász, Roxana Păduraru környezetvédelmi aktivista és Claudiu Crăciun politológus, a párt elnöke is. A Demos teljes jelöltlistáján 12 személy szerepel, ebből 9 nő és 3 férfi.

La relance de la production du complexe Sider El Hadjar, annoncée pour le 10 février courant ne pourra pas être au rendez-vous, selon des sources fiables. Et pour cause, le cœur chaud de l’usine représenté principalement par le haut fourneau n°2 dont le démarrage était prévu pour la journée du mardi 5 février est toujours à l’arrêt.

Sans haut fourneau ni PMA qui fourni, ce dernier en matière agglomérée, aucune autre installation (aciéries, laminoirs et autres) ne pourront, en aucun cas, reprendre leur service.
Selon des indiscrétions, le problème qui empêche le haut fourneau n°2 de fonctionner se trouverait dans la défectuosité du câblage électrique alimentant ce dernier.
L’annonce du redémarrage du haut fourneau pour la date sus indiquée a été faite par le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, lundi dernier lors de sa visite au complexe le qualifiant de symbole et du fleuron de l’industrie nationale auquel le chef de l’état y tient beaucoup. Il faisait cette déclaration sur les assurances qui lui ont été faites par des responsables du complexe dont le Pdg Chamseddine Maâtallah.

Pour rappel, le ministre Noureddine Bedoui, accompagné par les ministres des Ressources en eau et des Travaux publics et des Transports, respectivement Hocine Necib et Abdelghani Zaâlane avait effectué ce dernier lundi une visite de travail à Annaba pour s’enquérir de la situation des intempéries qui ont causé beaucoup de dégâts humain et matériel dont le décès de trois personnes et l’inondation du complexe, des cités et de 22 établissements scolaires dans six communes sur les 12 que compte la wilaya de Annaba. Des promesses ont été faites par les trois membres du gouvernement pour remédier à cette situation par l’octroi de moyens financiers et matériels.

Le ministre Bedoui a insisté sur la recherche des causes qui font que des inondations récurrentes se produisent dans cette ville. La responsabilité de l’homme qui ne respecte pas son environnement n’est pas à écarter dans la survenance de ces inondations notamment le non-respect des règlements et loi relatifs à l’urbanisation.
Des constructions à plusieurs étages biens de certains pontes et des bidonvilles sont érigées à proximité des oueds et autres voies d’évacuation des eaux pluviales. D’où les inondations plus ou moins graves à chaque chute de pluie. Et ça a été vérifié le jour même de la visite des trois représentants du gouvernement. Ce jour là, les éléments de la Protection civile avaient fort à faire. Ils n’ont pas cessé d’intervenir pour pomper l’eau et secourir des personnes encerclées par cette dernière.

A. Bouacha

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Pas de panique ! La prise de poids n’est pas inéluctable. Un spécialiste du sevrage tabagique nous livre ses explications et ses conseils pour garder la ligne.
Quels sont les risques de prendre du poids si on renonce à la cigarette ?
Le tabac a un effet à la fois anorexigène et lipolytique, autrement dit «coupe-faim» et «brûle-graisse». Le fait de fumer vous maintient en sous-poids. Lorsque vous arrêtez, il se produit un ajustement naturel vers le haut. La prise de poids peut se situer entre 0 et 6 kg.

Ces kilos éventuels gênent la motivation !
Dites-vous que l’inconvénient d’une prise de poids est sans commune mesure avec les bénéfices que vous allez tirer de l’arrêt du tabac. Votre tentative fait partie du processus normal vers l’arrêt définitif. Vous pouvez y parvenir sans aide.

Quel conseil pour réussir ?
C’est l’occasion de remettre à plat vos habitudes. Tous les fumeurs sont attirés par les plats riches,les graisses saturées, le sucre et le sel – ce qu’on appelle la «néfaste-food» ! Il est important de réintroduire les fruits et légumes, de préférence frais, de saison. Consommez des légumes secs, des «bons féculents», évitez les céréales raffinées (riz, pain blanc…) Cela vous aidera à ne pas grignoter entre les repas.

Ce sera difficile de résister…
Le grignotage sucré entraîne une hypoglycémie réactionnelle, générant des pulsions alimentaires. Pour lisser la glycémie sanguine, prévoyez un fruit de saison entre les repas. Le matin, prenez un solide petit-déjeuner ; les protéines ont un effet starter sur la vigilance et permettent de réguler la satiété dans la journée. Enfin, il est bon de reprendre une activité physique – au minimum, une heure de marche par jour. Après arrêt, vous allez retrouver rapidement un premier souffle. La reprise d’un sport devra être progressive. Après 40-45 ans, un bilan cardiovasculaire préalable est conseillé.

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"Azt hittem, hogy üldöznek" – mondta a 150 km/ó-t is túllépő sofőr az őt a Szenci járásban Cseklész (Bernolákovo) és Dunasáp (Dedinka pri Dunaji) között megállító rendőröknek. Az ijedtségnek 800 eurós bírság volt a jutalma – áll a rendőrség Facebook oldalán közzétett bejegyzésben.