L’Algérie devient le premier fabricant arabe et africain des drones et dragues marins. La réalisation innovante de ces outils, qui permettent de désenvaser les barrages, sont l’innovation de la compétence algérienne en matière technique et technologique ouvrent de larges horizons dans le secteur, fait-on constater Djaouida Azzoug de la radio Chaine 3.
Les partenaires algériens expliquent à la journaliste que l’Algérie exportera et louera, dans un proche avenir, à ses voisins arabes et africains les services de ses compétences qui feront, subséquemment, entrer des devises par ces temps de crise.
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VIENNA, 12 February 2019 – The OSCE Representative on Freedom of the Media, Harlem Désir, together with the Council of Europe Commissioner for Human Rights, Dunja Mijatović, today opened the Safety of Female Journalists Online (#SOFJO) conference, Increasing Opportunities for Freedom of Expression and Media Plurality.
“Online harassment of women journalists is escalating in the OSCE region and beyond, and has a significant impact on women’s participation in the field of journalism and ability of society to access information. This type of gender-based violence online targets women journalists with a barrage of sexually-explicit, violent and misogynistic abuse, in order to shrink the space that women are able to access online,” stated Désir in his opening address to conference participants. “I welcome the recent OSCE Ministerial Decision adopted last December, which takes into account the specific safety risks facing female journalists online. I hope this is only a first step, as participating States develop strategies to address this issue and expand upon progress made.”
Conference participants focused on the experiences of women journalists as well as expert insights on a range of topics related to online harassment, from trauma and advocacy to strategic litigation initiatives. Commissioner Mijatović, the previous OSCE Representative on Freedom of the Media, emphasized the importance of adopting a gender sensitive approach to policy developments and challenges in order to ensure the full participation of women online.
“Our societies cannot tolerate that female journalists are being coerced into silence due to online harassment. States must step up the implementation of the human rights standards they have adopted on the safety of journalists and on combating violence against women. They have the duty to adopt protective measures for female journalists and to encourage the private sector and the media to fight gender-based violence online,” said Commissioner Mijatović.
The conference also included a screening of the recently released SOFJO documentary, “A Dark Place”, and a policy workshop organized by UNESCO and the Global Diplomacy Lab.
The Representative and Commissioner called on participating States to ensure that any meaningful and systematic response is grounded in a holistic approach with significant input from those journalists targeted with online abuse. To assist in this effort, the Representative launched a new Communiqué on Media Pluralism, Safety of Female Journalists and Safeguarding Marginalised Voices Online.
Among other recommendations, the Communiqué calls for media policies and strategies that address multiple layers of discrimination and obstacles to participation to ensure genuine plurality and a diversity of voices online.
“Democracy only thrives when all voices are able to fully participate in the online sphere. This communiqué is an indication of the continued commitment from the OSCE to continue to prioritize equal access, participation and freedom of expression for all,” stressed Désir.
“Today’s Communiqué gives new impetus to the need to counter online harassment of female journalists and calls on States to signal that online abuse of female journalists has no place in a democratic society,” said Commissioner Mijatović.
The Communiqué, recommendations and new research on legal responses to online harassment are available on the #SOFJO project website: https://www.osce.org/representative-on-freedom-of-media/safety-female-journalists-online
The OSCE Representative on Freedom of the Media observes media developments in all 57 OSCE participating States. He provides early warning on violations of freedom of expression and media freedom and promotes full compliance with OSCE media freedom commitments. Learn more at www.osce.org/fom, Twitter: @OSCE_RFoM and on www.facebook.com/osce.rfom.
Par Brahim TAKHEROUBT
Ils reprennent les itinéraires des trafiquants de cannabis marocains faisant ainsi de l’Afrique du Nord un pôle de transit «prometteur» pour la cocaïne, une fenêtre idéale qui donne sur trois continents en étant à proximité des marchés de consommation européens.
S’il y a une marchandise qui a subi un réel démantèlement tarifaire, c’est bien la cocaïne. Produit mondialisé, ses cartels écument les continents pour prospecter de nouveaux itinéraires. Les côtes d’Afrique du Nord (Algérie et Maroc) constituent-elles les nouvelles routes de la cocaïne?
Ce trafic est à son plus haut niveau depuis ces trois dernières années, ce qui laisse penser que de nouvelles routes sont en train d’émerger. Le «Rapport sur les drogues dans le monde» (2018), publié par l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, le confirme bien en soulignant que la quantité de cocaïne saisie en Afrique du Nord a été multipliée par six en 2016, ce qui représente 69% des saisies en Afrique.
A la fin de mai 2018, la marine algérienne a opéré une saisie record de 701 kg de cocaïne au port d’Oran. La cargaison a été trouvée dans un conteneur transportant de la viande congelée à bord du Vega-Mercury. Venant du lointain Brésil, la cargaison a fait escale dans les ports espagnols Las Palmas et de Valence avant d’arriver à Oran. Ce sont les autorités espagnoles qui auraient informé leurs homologues algériens.
Le scandale a conduit à une série de destitutions ayant touché de hauts responsables, dont le général-major, Abdelghani Hamel, ancien directeur général de la Sécurité nationale.S’ensuivent d’autres saisies qui laissent pantois les Algériens non habitués à ce genre de «feuilleton». Après la tonne de cocaïne saisie à Oran et Skikda, les services des douanes ont de nouveau mis la main sur 1,15 kg de cocaïne à Khemis El Khechna, à Boumerdès. Toujours la même technique de dissimulation: les stupéfiants sont à chaque fois dissimulés dans un conteneur alimentaire et transitant toujours par l’Espagne vers l’Algérie.
La grosse saisie d’Oran fait écho à une prise similaire au Maroc, où 2,4 tonnes de cocaïne avaient été confisquées à Rabat en octobre 2017. Et en 2018, ce sont 541 kg de cocaïne qui ont été saisis dans un cargo provenant du Brésil. Qu’est-ce qui justifie cette migration subite? Comment expliquer cette liaison du Brésil à l’Espagne, puis à l’Algérie et le Maroc? A ne pas douter, un travail de repérage a été soigneusement fait au préalable. Car, il y a un mode opératoire bien connu des cartels de la drogue: avant d’envoyer des quantités importantes, ils prennent d’abord le soin de sécuriser les itinéraires et disposent de solides partenaires locaux ainsi que sur les marchés finaux. Les spécialistes de la lutte contre la drogue estiment que ces saisies au Maroc et en Algérie suggèrent que la cocaïne transite de plus en plus par la côte nord-ouest. En réalité, ils reprennent les itinéraires des trafiquants de cannabis marocains faisant ainsi de l’Afrique du Nord un pôle de transit «prometteur» pour le trafic de cocaïne. Et voilà une fenêtre idéale qui donne sur trois continents en étant à proximité des marchés de consommation européens. Les trafiquants viennent de s’extirper du bourbier sahélien en proie à une grave instabilité sécuritaire.
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A közlemény szerint két biztonsági elemet vezettek be a gyógyszerek eredetiségvizsgálatára: a már említett egyedi azonosítót és az úgynevezett manipulálás elleni eszközt (dézsmazárat). Az utóbbi a doboz sértetlenségét garantálja, az azonosító pedig egy kétdimenziós kódban elhelyezett adatsor, amely minden egyes dobozon egyedi, és amelynek adattartalmát elsősorban a gyógyszerészek és gyógyszer-nagykereskedők ellenőrzik.
Az adatok ellenőrzéséhez szükség van az európai gyógyszerellátási lánc digitalizálása, vagyis uniós és tagállami szinten üzemeltetett, egymással összekapcsolt adattároló rendszereket létrehozására. Ezek együttesen alkotják az európai gyógyszer-azonosítási rendszert. Az európai rendszer 28 országban működik, kétezer gyógyszergyártót és -forgalmazót, hatezer gyógyszer-nagykereskedőt, 140 ezer közforgalmú gyógyszertárat és ötezer kórházi gyógyszertárat kapcsol össze.
Mint írták, a HUMVO alapítói a Generikus Gyógyszergyártók és Forgalmazók Magyarországi Érdekvédelmi Egyesülete, a Gyógyszer-nagykereskedők Szövetsége, az Innovatív Gyógyszergyártók Egyesülete, a Magyar Gyógyszerészi Kamara, a Magyarországi Gyógyszergyártók Országos Szövetsége és a “VÉDETTSÉG” Oltóanyag és Immunbiológiai Termék Gyártók és Forgalmazók Egyesülete.