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Les équipements du réseau électrique national de haute tension, sont fabriqués avec un taux d’intégration nationale de 60%, a indiqué dimanche à Alger le P-dg du Groupe Sonelgaz, Mohamed Arkab.
Lors de son inauguration de la 2éme édition du Salon de l’électricité et des énergies renouvelables (SEER), M. Arkab a fait savoir que ce taux a été atteint grâce au plan national lancé en 2011 pour la réalisation de lignes à haute tension en s’appuyant sur une main d’œuvre algérienne et des équipements produits localement.
Ce taux d’intégration comprend la main d’œuvre algérienne, ainsi que les câbles et les pilonnes de haute tension qui sont fabriqués également localement.
De plus, le premier responsable du groupe public a indiqué que les isolateurs électriques seront également fabriqués localement tout comme les transformateurs de puissance (jusqu’à 60 kilovolts).
« Nous avons actuellement un réseau de 30.000 km de réseau électrique de haute tension à travers le pays et plus de 370 postes de haute tension et de très haute tension », a-t-il également souligné.
Cela devra participer, a-t-il poursuivi, à réduire la facture des importations d’équipements et d’accessoires électriques.
Lors d’un point de presse, en marge de sa visite, M. Arkab est revenu sur l’appel d’offres par voie de mise aux enchères pour la production de 150 MW à partir de l’énergie solaire dans plusieurs localités du sud du pays.
A ce sujet, il a précisé que les attributions des marchés se fera « d’ici mars à avril prochains » pour un début des travaux de réalisation dès l’été 2019.
Cet appel d’offres porte sur la réalisation de sept (7) centrales situées dans les régions du Sud du pays, afin de couvrir les besoins énergétiques des activités des opérateurs dans ces localités à fort potentiel agricole.
Concernant la réduction de la consommation de gaz naturel pour la production électrique du pays, le même responsable a fait savoir que l’Algérie possède actuellement plusieurs centrales à cycle combiné qui consomment 30% de gaz naturel en moins.
Le principe de ces centrales consiste à utiliser de la vapeur d’eau pour produire de l’énergie électrique grâce à des turbines à vapeur, a-t-il expliqué, précisant que le réseau national comprend cinq (5) centrales de ce type et que six (6) autres intégreront le réseau dans les années à venir.
Actuellement, près de 98% de la production électrique nationale provient du gaz naturel.
Par ailleurs, lors de sa visite aux différents stands du SEER, M. Arkab s’est enquis des niveaux d’intégration des produits des entreprises nationales, activant dans la fabrication d’équipements électriques industriels et domestiques.
Il les a ainsi appelées à hisser leurs taux d’intégration en s’appuyant notamment sur les petites et moyennes entreprises locales pour densifier le tissu industriel du secteur.
Pour rappel, plus de 120 exposants nationaux et internationaux prennent au SEER qui se tient du 10 au 13 février.
En marge du salon, des conférences seront animées par des spécialistes, tandis que des clubs scientifiques seront organisés par des étudiants qui viendront enrichir le salon en termes de réflexions et d’actualités dans le domaine des énergies du futur.
Les thématiques qui seront présentées concernent l’éclairage économique, l’efficacité énergétique du bâtiment et le compteur électrique intelligent.
En outre, un projet « Tipaza Smart-city » sera présenté par l’Unité de développement des équipements solaires du Centre de développement des énergies renouvelables (CDER).
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Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa a annoncé, dimanche à Alger, que le coût du Hadj pour la saison 2019 connaîtra « une légère hausse » et « avoisinera le nissab de la Zakat » fixé, l’année dernière, à 552.500 Da.
« Le coût du Hadj pour la saison 2019 ne connaîtra pas de flambée mais seulement une légère hausse, suite à la décision des autorités saoudiennes d’augmenter les frais de transport de plus de 300% », a indiqué M. Aissa lors du Forum du quotidien El-Moudjahid, affirmant que le nouveau montant
du Hadj « avoisinera le nissab de la Zakat, somme qui lorsqu’elle est détenue par une personne, celle-ci est considérée comme riche par la Charia ».
Le ministre a dit avoir proposé « un chiffre » au Gouvernement, qui sera étudié « lors du conseil interministériel » prévu, mardi prochain, « pour fixer le coût du hadj avant sa validation par l’Etat », réfutant, dans ce sens, le chiffre relayé par les médias, à savoir 90 millions de centimes.
Les négociations engagées par le secteur avec les opérateurs saoudiens étaient « réussies », notamment en ce qui concerne le maintien des mêmes coûts d’hébergement, de restauration et d’autres besoins, a-t-il souligné.
En dépit des efforts consentis et des résultats réalisés, « les problèmes liés à la saison du hadj n’ont pas été entièrement résolus », a regretté M. Aissa. le cout du hadj pour la saison 2018 a été fixé à 525.000 DA, le prix du transport aérien inclus.
Concernant les visas de la Omra, le ministre a précisé que le nombre des visas délivrés cette année, a enregistré « un recul important », en raison de la procédure relative au système d’empreinte génétique, imposée par les autorités saoudiennes. L’ambassade du Royaume d’Arabie Saoudite à Alger avait ouvert 7 centres spécialisés dans le système d’empreinte génétique, renforcés, à la demande du ministère, par 7 autres centres répartis à travers les wilayas du sud, a-t-il dit.
« La cadence de la délivrance des visas s’accélère grâce à l’ouverture de ces centres », a rassuré M. Aissa, annonçant la préparation de l’acheminement des équipements du système d’empreinte génétique au profit des hadjis des régions éloignées.
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Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a été reçu dimanche à Addis-Abeba (Ethiopie), par le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, auquel il a transmis un message du président de la République Abdelaziz Bouteflika.
« J’ai transmis au président Ramaphosa un message d’amitié du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ainsi que ses félicitations pour l’élection de l’Afrique du Sud à la Présidence en exercice de l’Union africaine pour l’année 2020 », a déclaré M. Ouyahia, à la presse, en marge des travaux du 32ème sommet de l’UA.
Rappelant les relations historiques de fraternité, de solidarité et de coopération entre les deux pays, M. Ouyahia a réitéré « l’engagement de l’Algérie et son attachement au développement continu des relations bilatérales avec la République sœur de l’Afrique du Sud », en mettant l’accent sur l’importance de « poursuivre les efforts visant à leur donner un contenu économique à la hauteur des potentialités des deux pays ».
Il s’est également félicité de la convergence de vues entre l’Algérie et l’Afrique du Sud sur l’ensemble des questions évoquées.
L’audience a été aussi l’occasion pour les deux parties de procéder à un échange de vues sur la situation dans leurs régions respectives et sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun, ainsi que les principales questions stratégiques à l’agenda de l’Union africaine, notamment la question du Sahara occidental.
A ce titre, ils se sont félicités de la conférence internationale de solidarité avec le peuple sahraoui qu’abritera, le mois prochain, l’Afrique du Sud.
« L’entretien était aussi une occasion de féliciter nos frères d’Afrique du Sud pour leur initiative d’organiser une conférence internationale, le mois prochain, sur la question du Sahara occidental », a-t-il dit.
Lors de l’audience, le Président Ramaphosa a exprimé sa satisfaction quant à la qualité « exceptionnelle » des relations bilatérales et de « la tradition de concertation et de dialogue politique régulier entre les deux pays », exprimant, à cet égard, « son engagement pour davantage de renforcement de cette relation stratégique et d’exception ».
Le Président Ramaphosa a chargé M. Ouyahia de transmettre « ses remerciements au Président Bouteflika pour son message de félicitations, ses sentiments de considération et d’estime à son égard ainsi que ses vœux de progrès pour le peuple algérien frère ».
M.Ouyahia représente le Président Bouteflika, aux travaux du 32ème Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA.
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L’Assemblée populaire nationale (APN) reprendra, lundi, ses travaux en séance plénière consacrée à la présentation et au débat du projet de loi relatif aux activités spatiales, a indiqué, dimanche, un communiqué de la chambre basse du parlement.
Le projet de loi prévoit « l’obligation d’instituer un registre national pour l’immatriculation des objets spatiaux lancés dans l’espace extérieur », et traite « des questions relatives à la prévention des risques spatiaux et à l’intervention en cas de survenance de catastrophes naturelles, des questions non évoquées par la législation nationale, et ce en complément aux dispositions de la loi 04-20 du 25 décembre 2004 relative à la prévention des risques majeurs et à la gestion des catastrophes dans le cadre du développement durable ».
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Un nombre important de visiteurs désireux de s’enquérir de plus près des missions de la Garde républicaine a afflué dimanche à la maison de la culture Ibn Rochd de Djelfa qui abrite des « Portes ouvertes » sur ce corps d’arme.
Outre le public nombreux, des représentants des autorités locales, militaires et civiles, et les correspondants de la presse nationale, étaient présents, au côté du wali Toufik Dhif, à l’ouverture de cette manifestation, présidée par le Commandant du secteur opérationnel de la wilaya de Djelfa, au nom du Commandant de la Première région militaire.
Dans son allocution à l’occasion, le Commandant du secteur opérationnel de Djelfa a loué l’organisation de ce type d’événements permettant au large public de « connaître de plus près les différentes unités composant la Garde républicaine et les missions qui leurs sont dévolues ».
Inscrite au titre de la mise en œuvre du plan de communication 2019, adopté par le Haut commandement de l’Armée nationale populaire(ANP), cette manifestation, qui s’étalera sur trois jours, a pour objectif principal « d’offrir l’opportunité au citoyens de Djelfa, mais aussi ceux de wilayas avoisinantes, en vue de s’enquérir des missions et prérogatives dévolues aux différentes unités de ce corps, tout en mettant en exergue les progrès accomplis par l’ANP dans le cadre de sa modernisation », a indiqué le chef du service communication du Commandement de la Garde républicaine, le colonel Gharbi Lamine.
Il s’agit, également, a-t-il ajouté, de « renforcer les liens qui unissent l’Armée au reste de la Nation, tout en instaurant des canaux de communication plus efficients, doublés d’une relation professionnelle avec
les mass médias », a-t-il précisé.
L’opportunité a donné lieu à des expositions diverses mettant en exergue les différentes unités de ce corps, dont la cavalerie, la fanfare et les unités de combat, entre autres, à travers des documentaires et photos reflétant les diverses missions du Commandement de ce corps de l’Armée nationale populaire (ANP), dont celles liées à la protection et à la sécurité de l’institution présidentielle.
Un documentaire sur l’évolution de ce corps d’arme et ses missions principales a été aussi projeté au début de la manifestation, au moment ou un stand spécial a été dédié aux jeunes intéressés par une carrière militaire, afin de s’informer des conditions et critères nécessités pour rejoindre la Garde républicaine.
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De grands espoirs sont fondés par les services de la wilaya de Boumerdès sur le marché de véhicules d’occasion de Tidjelabine, en tant que vecteur essentiel de la relance du développement dans la région. Nécessitant une opération de valorisation, cet espace commercial de renommée nationale a fait l’objet d’une session élargie du Conseil exécutif de la wilaya, consacrée à l’examen d’une étude technique visant sa réhabilitation et réaménagement, à tous les niveaux.
L’étude technique a été élaborée par la commune de Tidjelabine, qui lui avait consacré, ces dernières années, une partie d’une enveloppe de plus de 35 millions de DA, le reste ayant été affecté à la réalisation de travaux d’aménagement au profit de ce marché de réputation nationale, crée en 1985 sur une assiette de 14 ha, dont seulement sept ha sont exploités de manière organisée.
Dans son intervention mercredi dernier lors de cette session, le président de la commune de Tidjelabine, Belkacem Kessoum, a souligné «l’insuffisance» de l’enveloppe suscitée pour la valorisation de ce site, lançant un appel aux autorités concernées en vue d’une «intervention pour compléter le montant nécessaire à la réalisation des différentes commodités et travaux», dont le coût devrait atteindre, «près de 200 millions de DA», selon les estimations du bureau d’études en charge.
Parmi les recommandations émises par l’étude technique en question, une proposition d’élargir sa capacité d’accueil de près de 3000 véhicules, actuellement, à plus de 5000, outre la répartition du site en trois espaces, pour organiser le parcage des véhicules selon leur type et taille. Une autre recommandation est relative à la création de trois accès et de sorties principales pour ce marché, outre des commodités et structures pour la gestion et l’administration, mais aussi pour la restauration. A cela s’ajoutent des salles d’eau, des bureaux de prestations diverses et une unité d’intervention de la Protection civile, entre autres.
En intervenant à l’issue de cet exposé, le wali de Boumerdès, Mohamed Selmani, a appelé «à l’impératif, pour cette étude, d’allier ‘simplicité et esthétique’ selon les moyens financiers ‘limités’ affectés au projet», a-t-il relevé. «Il s’agira surtout de viabiliser cet espace en lui assurant le maximum d’entrées et de sorties vers la RN5, de manière notamment à garantir une meilleur fluidité du trafic automobile, tout en facilitant les interventions des services concernés, en cas d’incendies, parallèlement à la réalisation d’un mur de protection pour le marché et à la multiplication des panneaux signalétiques et d’éclairage sur le trajet y menant», a-t-il insisté.
Parallèlement à la réalisation de cette étude que le wali a instruit de livrer «dans les plus brefs délais», des propositions sont émises, en coordination avec la direction du commerce et les services de la commune de Tidjelabine, en vue de la révision et de l’amélioration de la méthode de gestion de ce site dans un objectif d’augmenter ses revenus.
Il s’agit particulièrement, selon la directrice du commerce de la wilaya, Samia Ababssa, d’ «adapter la gestion de cet espace vital avec les dispositions du décret exécutif N 18-199, relatif à la délégation de service public». «Un cahier de charges, adapté à tous les grands marchés de la wilaya, a été élaboré à cet effet, parallèlement à l’installation des commissions appropriées, conformément aux dispositions du décret exécutif suscité, dont notamment les commissions de délégation de service public, de sélection des offres, et de règlement à l’amiable des conflits, entre autres», a ajouté la même responsable.
Une fois cette proposition adoptée par le Conseil de la wilaya, il sera procédé à la location du site au profit d’un particulier pour une période fixée entre les deux parties concernées, à travers un avis d’appel d’offres public, avec un cahier de charge fixant les obligations et droits de chacune des parties, a précisé Mme Ababssa.
Actuellement, le marché assure des rentes estimées entre 2,3 et 2,5 millions de DA chaque semaine au profit de la commune de Tidjelabine qui en assure la gérance, suite à l’échec des tentatives de sa mise en location, à des particuliers, en 2017 et 2018, comme c’était le cas par le passé. «Au moins trois avis d’appels d’offres ont été rendus publics, à cet effet, mais ils étaient tous infructueux, car les offres proposées étaient au dessous du prix fixé à l’ouverture des adjudications», a expliqué directrice du commerce de la wilaya.
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