Eszerint a romániai nemzeti kisebbségeknek joguk van fordítóhoz a bíróságon, és használhatják az anyanyelvüket, hogy megismerhessék az ellenük felhozott vádakat, illetve hogy ismertethessék saját álláspontjukat. A törvény egy másik módosítása szerint, amikor az egyik peres fél nem ért románul, a bíróságnak alkalmaznia kell egy hivatalos fordítót. Ha a felek egyetértenek, a fordítói feladatokat a bírósági jegyző is elláthatja. A módosításról a képviselőház hozza meg a végső döntést.
Madame Benghabrit, ministre de l’Education nationale en visite à Bordj Bou-Arréridj a été reçue avec bienveillance par les autorités locales, les 3 et 4 du mois en cours au siège de la résidence wilayale.
Le premier jour de son arrivée, Madame la ministre a convié les cadres de son secteur ainsi que les syndicats (Cnapest, Snapap et Ugta) à deux réunions tenues à huis clos, l’une à 16h30 avec les cadres gestionnaires, et l’autre à 19h avec les syndicats.
Sans voir dans la boule de cristal, la ministre voulait s’enquérir des doléances pour connaître les symptômes des problèmes des cadres de l’éducation et des syndicats, en tirer une radiographie claire et complète afin de cerner les points saillants de l’école à Bordj Bou-Arréridj d’une part, et prendre acte des outils qui sont mis au service des apprentissages destinés à la réussite scolaire, d’autre part. Pour ce faire, un tableau de bord a été élaboré et a permis à Madame la ministre de visualiser le fonctionnement de l’école telle qu’elle est pilotée par les professionnels de l’éducation nationale. Madame la ministre s’étant enquis, que l’école est en train de sortir d’un archaïsme qui a duré plus de 30 ans. Au final, la raison d’être de l’enseignant est de dispenser des cours, comme un artisan, attentif à la qualité de la transmission des connaissances dont il a la charge.
Le 4 février, Madame la ministre a inauguré des structures éducatives à travers la wilaya dont le coût est de 105 milliards de centimes, s’agissant de 8 structures éducatives, un lycée de 800 places, 5 établissements scolaires du cycle moyen, et 6 écoles primaires , de facto, la wilaya de Bordj Bou-Arréridj se retrouve avec un acquis de 648 établissements scolaires. Les structures scolaires sont bénéfiques à plus d’un titre. En cela, ce nouvel apport en établissements scolaires permettra de désengorger les structures éducatives existantes en surcharge.
Il va sans dire que chaque année, il y a une vague d’enfants qui déferlent par milliers dans le souci d’être scolarisés, alors que les structures actuelles ne peuvent pas honorer. Les principales causes sont les redoublements, le manque de structures d’accueil, le manque d’encadrement pédagogique qualifié, les départs à la retraite des enseignants, et de surcroît, l’absence d’une politique démographique par un espacement des naissances. Il est impératif d’espacer les natalités pour donner l’opportunité à l’Etat de construire davantage d’écoles, d’emplois, de logements etc. Un pays prospère ne réside pas dans ses richesses de gisement pétrolier, gazier, aurifère ou autres, ni par sa taille, mais par la qualité de son système éducatif.
En tout état de cause, les nouvelles écoles permettront un rapprochement significatif des structures éducatives des élèves des zones rurales, ces derniers n’auront plus le désagrément de prendre le bus, le taxi, ou faire parfois du stop pour aller à l’école. La construction des espaces éducatifs fait partie des conditions concrètes de la scolarité et donc de l’ensemble des facteurs qui la conceptualisent. En conséquence de quoi, le système éducatif doit disposer d’enseignants dans toutes les disciplines pour répondre aux besoins des élèves et à leur évolution.
Des parents d’élèves dans la foule anonyme, soutiennent que l’école est en crise depuis de longues années, malgré la bonne volonté de Madame la ministre à vouloir faire de l’école algérienne un pôle de savoir identique aux pays modernes, hélas ! les états généraux du système éducatif semblent marquer un certain recul de l’efficacité, par rapport à nos voisins tunisiens, et/ou marocains, les causes premières sont les grèves à répétition du corps enseignant initiées par les syndicalistes qui démolissent sciemment et méthodiquement l’école pour obliger les élèves à faire des cours chez leurs profs grévistes ou les orienter vers les écoles privées, c’est la même méthode sournoise qui a détruit le système de santé publique, pour orienter les malades vers le privé.
A cette fin, les enseignants doivent sortir de l’immobilisme et le maintien des situations acquises, alors que le monde est en perpétuel mouvement. Au final, les enseignants sont les acteurs majeurs du changement pour que l’école dispense un savoir qui s’inscrit dans le XXIe siècle.
Layachi Salah-Eddine
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C’est, pratiquement, une première dans les annales de la wilaya d’El Tarf. Et pour cause, nonobstant les conditions climatiques exécrables, des centaines de citoyens de la commune d’Echatt ont bravé le froid polaire et la distance pour se déplacer, par centaines, au siège de la wilaya afin de déposer des recours à l’encontre de la liste des 1 214 bénéficiaires de logements de type LPL, affichée, jeudi dernier. «Ce sont 1 750 recours déposés en 3 jours», a-t-on fait savoir, auprès des responsables locaux, ce qui est colossal.
Pour cette opération de recours, les autorités ont mobilisé cinq bureaux pour recevoir les doléances et requêtes des citoyens et ce, dans une ambiance électrique et surchauffée où les services de sécurité ont mobilisé une armada de policiers pour encadrer un tel rush, exceptionnel. Interrogés, les citoyens au bord de la crise de nerfs sont unanimes à dénoncer «le travail bâclé, partial et sournois de la commission de daïra». «La commission assistée par l’inspectrice générale de wilaya a concocté une liste pour le moins scandaleuse et à dessein, où on peut trouver de jeunes femmes célibataires (6) qui travaillent dans le siège de la commune, des retraités de l’armée, les enfants de responsables locaux dont l’âge varie entre 19 et 25 ans, de hauts fonctionnaires et des cadres qui ont falsifié leurs fiches de paye etc.
C’est un véritable désastre. Le ministre de l’Intérieur se doit d’ouvrir une enquête sur les tenants et aboutissants qui se cachent derrière cette mascarade», ont soutenu nos interlocuteurs, devant le grand portail du siège de la wilaya. Et de renchérir sur le fait «qu’il y a anguille sous roche derrière une telle liste qui comporte beaucoup de dépassements.
La dernière liste de bénéficiaires de logements sociaux qui date de 2011 fut affichée sans contestations et dans le calme. La commission d’alors a accompli un travail, selon les lois de la République. Existe-il des intérêts non avoués ?».
Daoud Allam
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«Le raccordement au réseau de gaz naturel se poursuivra pour les habitants des localités des zones éparses et les hameaux isolés opérant dans le territoire de la wilaya de Naâma».
C’est ce qu’a indiqué le premier responsable de la wilaya, M. Mohamed Hadjar, lors de sa visite qui l’a conduit au courant de la semaine écoulée, à l’extrême-ouest de la commune de Aïn-Benkhelil. De ce fait, dira-t-il, «une enveloppe financière serai dégagée très prochainement pour approvisionner ces localités rurales isolées des centres urbains, à l’exemple de Hassi-Defla, El-Gaâloul, Nessanisse, Tala, Forthassa, Ouzaght-Houdoudia, et bien d’autres localités et groupements d’habitations, jusqu’à atteindre la couverture totale de presque les 100% des ménages qui devront eux aussi bénéficier de cette prestigieuse énergie vitale et mettront, par conséquent, fin au casse-tête de la bonbonne à gaz ; ce sont des opérations qui rentrent dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des citoyens».
En somme, les habitants de cette contrée du sud-ouest souffrent d’un hiver connu de sa rudesse où, la température en cette période hivernale frôle entre le 0°C et les -10°C.
B. Henine
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Après l’intérieur, Renault dévoile l’extérieur de sa nouvelle et cinquième génération de Clio. Les changements sont moins flagrants que dans l’habitacle.
Quelques jours seulement après avoir dévoilé son habitacle, la cinquième génération de la citadine au losange révèle maintenant son style extérieur. Comme attendu, celui-ci ne fait pas vraiment dans la nouveauté. Si l’on parlait de révolution intérieure, cette fois il est davantage question d’évolution.
«Le design extérieur de Clio 4 a profondément séduit nos clients, et continue encore aujourd’hui de les séduire. Nous avons donc pris le parti d’en conserver les gênes tout en lui apportant plus de modernité et d’élégance», reconnaît Laurens van den Acker, directeur du Design Industriel du Groupe Renault.
Alors que les lignes générales se veulent légèrement plus marquées pour davantage de dynamisme, les principales modifications se situent au niveau de la calandre, toujours ornée en son centre d’un imposant losange mais sensiblement plus large et plus évasée qu’actuellement, ainsi que du côté des projecteurs (100% LED de série), plus effilés et dotés de feux de jour en forme de «C», comme sur les dernières créations de la marque.
Dans le même temps, les boucliers et les feux arrière (avec une nouvelle signature lumineuse en forme de C) ont été redessinés, le capot a adopté des nervures et des déflecteurs d’air ont été installés pour la première fois au niveau des passages de roues à l’avant.
Le losange lance également trois nouvelles teintes de carrosserie («Orange Valencia», «Brun Vison» et «Bleu Céladon»), ce qui porte à 11 le nombre de livrées proposées (plus 3 packs de personnalisation extérieure, rouge, orange et noir).
Côté dimensions, la nouvelle venue est raccourcie de 14 millimètres et abaisse sa carrosserie de 30 millimètres.
Le volume du coffre est, lui, porté à 391 litres, soit 91 litres de plus que sur la Clio IV. «Le double plancher facilite le chargement au quotidien et un plancher plat apparaît lorsque les sièges arrière sont rabattus», précise Renault.
Renault revoit sa version haut de gamme «Initiale Paris» avec au programme de nombreuses touches de chrome (contours de fenêtres, protections inférieures de portes, grille de calandre…), des badges «Initiale Paris», une antenne requin, des jantes spécifiques de 17 pouces, deux ambiances intérieures (noir et gris sable), des sièges en cuir matelassé et un volant en cuir moussé.
Sa première présentation au public est attendue début mars au Salon de Genève.
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ALGER- Dix huit (18) personnes ont trouvé la mort et 854 autres ont été blessées, durant la période du 27 janvier au 02 février 2019, suite à 815 accidents de la circulation survenus sur le territoire national, indique mercredi la Protection civile dans un communiqué.
« Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de M’Sila avec 03 personnes décédées et 16 autres blessées, suite à 23 accidents de la route.
« Les blessés ont été pris en charge par nos secours puis évacués vers les structures hospitalières », précise la même source.
Durant cette période, les unités d’interventions de la Protection civile ont enregistré un total de 24293 appels de secours relatifs aux différents types d’interventions, (accidents de la circulation et domestiques, évacuation sanitaire, extinction d’incendies et assistance diverses, etc), dont 15650 ont concerné les secours à personnes.
Suite à ces interventions, 1867 blessés ont été traités par les secours médicalisés de la Protection civile sur les lieux d’accidents et 13508 malades évacués vers les structures sanitaires, conclut le communiqué
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(B2) L’Union européenne dispose aujourd’hui de huit représentants spéciaux (Bosnie-Herzégovine*, Kosovo*, Processus de paix au Moyen Orient, Asie centrale, Sud Caucase et crise en Géorgie, Corne de l’Afrique, Sahel, Droits de l’Homme)
Le représentant spécial pour l’Asie centrale Peter Burian à New-York (crédit : SEAE)
Des super-diplomates à l’efficacité invisible
Ces ‘super diplomates’, compétents, se sont tellement ‘incrustés’ dans le paysage, dans une fonction quasi permanente, qu’on a cependant bien des difficultés à situer leur utilité dans le paysage européen (1). Leur activité réelle reste d’ailleurs un grand mystère. Aucun compte-rendu d’action n’est disponible : ni oral (conférence de presse, etc.) ni écrit (rapport annuel).
Une superposition plutôt qu’une simplification
Leur existence — prévue par le Traité européen — se superpose aujourd’hui tellement aux structures existantes — délégation de l’UE + division ou département ‘géographique du siège du SEAE + missions ou opérations PSDC — qu’elle complique réellement le paysage local plutôt qu’elle ne le simplifie. Leur rôle de coordination se révèle un leurre car toutes ces structures obéissent à des impératifs et des chaînes de commandement totalement différents. J’ai été apostrophé par plusieurs Africains par exemple me demandant qui était le représentant européen dans leur pays. Belle question.
Un coût non négligeable
Le coût de ces structures n’est cependant pas négligeable. En 2018, selon le dernier état des lieux dressé par la Commission européenne, le budget se montait à 20,745 millions d’euros ! Pourtant peu d’États membres sont disposés à supprimer cette modalité qui représentante un ‘fromage’ pas désagréable à se répartir.
Une rationalisation nécessaire ?
De façon concrète, la question de supprimer la plupart de ces postes au profit d’un ‘bon’ ambassadeur local, doté d’un rôle de coordination régionale, ou tout simplement du directeur ou chef de division au siège du service diplomatique européenne, dont c’est un peu le rôle (2). Cela aurait le mérite à la fois de rationaliser le système diplomatique européen, et de dégager des marges budgétaires pour faire autre chose. NB : Ramené au salaire moyen d’un diplomate (6-7000 euros), on pourrait engager une équipe d’au moins 200 diplomates… ce n’est pas négligeable
(Nicolas Gros-Verheyde)
Written by Rosamund Shreeves,
© frikota / FotoliaThe European Union is committed to working collectively to eradicate female genital mutilation (FGM) as part of broader efforts to combat all forms of violence against women and girls, and to support the efforts of its Member States in this field. The European Commission has undertaken to assess EU efforts to combat FGM every year, on or around the International Day of Zero Tolerance for Female Genital Mutilation on 6 February.
Facts and figuresFemale genital mutilation (FGM) includes all procedures that intentionally alter or cause injury to the female genital organs for non-medical reasons. FGM is carried out for cultural, religious and/or social reasons, mostly on young girls between infancy and the age of 15. It has no health benefits and can have serious immediate and long-term effects on health and wellbeing.
In 2016, the United Nations Children’s Fund (UNICEF) estimated that, worldwide, at least 200 million women and girls are currently living with the consequences of FGM and around 3 million girls are at risk of undergoing FGM every year. The practice, which is most common in 28 African countries, is also prevalent in the Middle East (Yemen, northern Iraq), and Asia (Indonesia), and has been reported to a lesser extent elsewhere. An assessment, issued by the UN Secretary General in December 2018, finds that prevalence has been reduced in some regions, but progress could be cancelled out by population growth, girls undergoing FGM (increasingly performed by medical professionals) at a younger age, and the fact that, as a result of population movement, it is becoming a global issue.
Official EU statistics on the prevalence of FGM in Europe are lacking. However, three studies to map FGM, conducted by the European Institute for Gender Equality (EIGE) between 2012 and 2018, found that there are victims (or potential victims), in at least 16 EU countries: Austria, Belgium, Cyprus, Denmark, Germany, Greece, Finland, France, Ireland, Italy, the Netherlands, Malta, Portugal, Spain, Sweden and the UK. Around 20 000 women and girls from FGM-practising countries seek asylum in EU Member States every year, with an estimated 1 000 asylum claims directly related to FGM. This number has increased steadily since 2008.
Commitments and action to combat FGMFGM constitutes a form of child abuse and gender-based violence; recognised internationally as a violation of the human rights of girls and women. The practice also violates a person’s rights to health, security and physical integrity; the right to be free from torture and cruel, inhuman or degrading treatment; and the right to life in cases where the procedure results in death. A range of measures have been adopted at international, EU and national level to prevent FGM and to protect FGM victims.
International instrumentsAt international level, United Nations and Council of Europe standards are benchmarks in work to combat FGM. Key treaties, including the Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination against Women(CEDAW), the Convention on the Rights of the Child, and the Geneva Convention, all cover FGM indirectly, with specific guidance on protection and asylum for victims. The Council of Europe’s Convention on Preventing and Combating Violence against Women and Domestic Violence (‘Istanbul Convention’), is the first treaty to recognise that FGM exists in Europe (Article 38), and sets out a number of specific obligations on preventing and combating the practice, and providing support to victims and those at risk.
International actionThe UN’s longstanding efforts to end the practice culminated in its first specific resolution on female genital mutilation in December 2012, calling for the adoption of national action plans and comprehensive, multi-disciplinary strategies to eliminate FGM. The UN 2030 Agenda for Sustainable Development identifies FGM as a harmful practice which is to be eliminated by 2030 (Goal 5), a priority reaffirmed by the UN in 2018.
The UN named 6 February the International Day of Zero Tolerance for Female Genital Mutilation and the European Commission takes stock annually, around that day, of EU efforts to combat FGM.
Legislative and policy framework at European levelAlthough the EU itself currently has no binding instrument designed to protect women from violence, relevant instruments exist in a number of areas. The principles of gender equality and non-discrimination are affirmed in the Treaty on European Union and the EU Charter of Fundamental Rights, which also guarantees the right to dignity and includes specific provisions on the right to physical and mental integrity. The Directive on Victims’ Rights requires provision of support services to victims of violence, including FGM. In relation to asylum, the Asylum Reception Conditions Directive specifically mentions victims of FGM amongst vulnerable persons who should receive appropriate healthcare during their asylum procedure, while the recast Qualification Directive includes FGM as grounds to consider when granting asylum. The EU also signed the Istanbul Convention on 13 June 2017 and is currently in the accession process. Parliament has urged those Member States that have not yet done so to ratify and implement this Convention.
Combating gender-based violence is a priority in the European Commission’s strategic engagement for gender equality 2016-2019. On FGM, this includes pursuing the measures set out in the action plan adopted in the 2013 communication, ‘Towards the elimination of female genital mutilation’, aiming to ensure that action to combat FGM is mainstreamed across the fields of justice, police, health, social services, child protection, education, immigration and asylum and external action. Areas where the Commission has promised to act include:
The Commission has reported on action undertaken to 2018, including the launch of a knowledge platform for professionals who come into contact with (potential) victims, and funding made available under the Rights, Equality and Citizenship Programme 2014‐2020 and the joint EU-United Nations Spotlight initiative.
Instruments against FGM at national levelMany of the actions needed to end FGM lie within the competences of the Member States. FGM is now a prosecutable offence under national laws in all Member States, either as a specific criminal act or as an act of bodily harm or injury. However, very few cases are brought to court. A number of Member States have also developed national action plans on FGM. Continuing issues of concern include barriers to reporting and successful prosecution, support for victims and ensuring long-term, sustainable cultural change.
European Parliament positionThe European Parliament has played a particularly important role in raising awareness and pushing for firm action on FGM, including through the work of its Committee on Women’s Rights and Gender Equality (FEMM). Parliament has adopted resolutions on FGM in 2001, 2009, 2012, 2014, and 2018, calling on the Commission and Member States to provide the legal and other means required to raise awareness, protect and support victims and ensure that offenders are prosecuted. In 2016, it urged Member States to recognise FGM as a form of persecution and the Commission to draw up interpretive guidelines on FGM, according appropriate protection to women and girls seeking asylum.
This publication is a further update of an ‘at a glance’ note published in January 2015.
Read this ‘at a glance’ note on ‘Zero tolerance for female genital mutilation‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.