La faim est en recrudescence à la table des pays africains en proie à un conflit, mais aussi à celle de nations qui pensaient s'en être protégées. Cette crise, la plus grave en une décennie, reste encore trop largement ignorée des opinions publiques occidentales, le regard tourné vers l'Ukraine et les risques de famine à Gaza.
- Mots d'Afrique / Alimentation, Faim, Nigeria, Aide humanitaire(B2) Un navire marchand grec a été gravement atteint en mer Rouge mercredi (12 juin). L’équipage contraint d’évacuer. Le lendemain, un autre navire ukraino-polonais a été atteint, moins gravement. Mais un marin a dû être évacué.
Le MV Tutor, atteint par un navire suicide
La veille, mercredi (12 juin), un incident plus grave a été observé. Le MV Tutor, un vraquier battant pavillon libérien, détenu et exploité par des Grecs, a été atteint par un bateau suicide — un navire de surface sans équipage (USV), rempli d’explosifs — alors qu’il se situait près de la côte érythréenne (à 24 miles marins), à 66 miles marins au sud-ouest de Al Hudaydah, en mer Rouge. Le navire attaquant faisait entre 5 à 7 mètres de long et de couleur blanche, et il a heurté le MV Tutor par l’arrière, précise le centre britannique de surveillance maritime (UKMTO).
… le navire abandonné, un mort
L’attaque provoque « de graves inondations et des dommages à la salle des machines », indique le commandement américain (CentCom). Un marin a été « porté disparu suite à l’attaque ». C’est un des premiers marins victimes directement d’un tir Houthi. L’équipage décide alors d’abandonner le navire. Il est secouru par un navire de guerre américain, l‘USS Philippine Sea (CG 58) et d’autres forces. Quant au navire, parti à la dérive, il « prend lentement l’eau », indique le commandement US, le 14 juin, et pourrait couler.
Le MV Verbena, touché également
Un autre navire marchand, le MV Verbena, battant pavillon de Palau, propriété ukrainienne, exploité par une société polonaise, a été atteint jeudi (13 juin), par deux missiles tirés par les Houthis, alors qu’il naviguait à 70 miles de Djibouti.
Incendie important à bord
Les tirs ont provoqué un incendie. Les informations sont ensuite contradictoires. Tout d’abord, le 14 juin, le commandement américain CentCom a indiqué que l’équipage du MV Verbena « a éteint l’incendie » et a « repris son transit dans le golfe d’Aden ». Mais le lendemain (15 juin), le message du commandement américain est beaucoup alarmant.
Incendie non maitrisé, l’équipage abandonne
En fait, l’équipage a lancé un signal de détresse. Un autre navire marchand, le MV Anna Meta a répondu « à l’appel à l’aide a récupéré les marins pour les amener en lieu sûr ». L’équipage a « dû abandonné le navire en raison des incendies persistants et de l’incapacité de les contrôler » indique le CentCom. Et les Américains de préciser que la frégate iranienne IRIN Jamaran, qui se trouvait tout près, « à huit milles marins du MV Verbena, n’a pas répondu à l’appel de détresse ».
Un blessé évacué
Ce qui est sûr c’est qu’un des marins du MV Verbena a été gravement blessé, un Népalais. L’hélicoptère de bord du Karel Doormans, le navire néerlandais de soutien de l’opération Aspides, est alors intervenu. Le marin blessé a reçu des premiers soins à bord, et opéré, puis transféré vers un hôpital à Djibouti.
(Photo : EUNAVFOR Aspides)D’autres attaques signalées
Le même jour, jeudi (13 juin) à 11 h 27 UTC, un navire marchand a signalé une explosion de missile à proximité du navire en mer Rouge. Par ailleurs, les forces américaines ont réussi à détruire un navire de surface sans équipage (USV° ainsi qu’un système aérien sans pilote (UAS) en mer Rouge.
(Nicolas Gros-Verheyde)
À travers un communiqué en date du 13 juin 2024, le Directeur Général de l'Office du Baccalauréat informe les candidats à l'examen du Baccalauréat session unique de juin 2024, des pièces donnant accès aux centres.
Les candidats à l'examen du Baccalauréat session de juin 2024 composent à partir du lundi 17 juin. Selon un communiqué du Directeur Général de l'Office du Baccalauréat, les candidats une fois au centre doivent présenter la convocation et une pièce officielle d'identité (carte nationale d'identité, CIP avec ou sans signature du candidat, passeport, carte consulaire).
"Tout candidat inscrit ayant une difficulté quelle qu'elle soit devra se rapprocher le lundi 17 juin 2024 à 07 heures des responsables de son centre", précise-t-il.
Le Directeur Général de l'Office du Baccalauréat souhaite une bonne composition à tous les candidats.
A.A.A
La télévision italienne Rai3 a diffusé un nouveau reportage accablant sur les liens structurels entre le régime d'Edi Rama et les réseaux criminels, montrant comment l'Albanie serait devenue un narco-État servant à blanchir l'argent de la drogue. À court d'arguments, le Premier ministre dénonce une « offense » à son pays.
- Le fil de l'Info / Albanie, Politique intérieure, Défense, police et justice, PS Albanie, drogues, Courrier des BalkansLa télévision italienne Rai3 a diffusé un nouveau reportage accablant sur les liens structurels entre le régime d'Edi Rama et les réseaux criminels, montrant comment l'Albanie serait devenue un narco-État servant à blanchir l'argent de la drogue. À court d'arguments, le Premier ministre dénonce une « offense » à son pays.
- Le fil de l'Info / Albanie, Politique intérieure, Défense, police et justice, PS Albanie, drogues, Courrier des BalkansWritten by Marketa Pape.
Algorithms and artificial intelligence (AI) are changing the way people live and work. Depending on how AI technologies are used and what purpose they serve, they can drive progress and benefit the whole of society, but they also raise ethical concerns and may cause harm. When introduced to the world of work, their transformative potential runs into complex national and EU rules. Existing labour laws, put in place before AI systems came on the scene, do not appear fit to provide meaningful guiderails.
As with any new technologies, tensions arise between two opposing regulatory approaches: strict regulation to safeguard society from potential hazards and minimum regulation to promote the technology’s deployment and innovation. For employers who invest in AI systems, the main motivation is better workplace organisation, increased productivity, and competitiveness. Workers, on the other hand, may fear losing their jobs, and also want to have a say in how AI and algorithms are to become part of their daily lives.
Focusing on workplace deployment of AI, this briefing looks at the state of play of algorithmic management in the workplace and some issues relating to the data that algorithms use and generate. It offers an overview of the current top-down EU legislative approach, of insights brought by the European Parliament, and of advances in collective bargaining, demonstrating the potential of a bottom-up approach to complement AI deployment.
The briefing looks at the potential use of sleeping clauses in the existing EU legal framework and – taking note of the views of both employers and trade unions – highlights the many open questions that remain.
Read the complete briefing on ‘Addressing AI risks in the workplace: Workers and algorithms‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.