Un tribunal tchèque a rejeté mercredi 25 juin une plainte déposée par le groupe français EDF contre l’attribution par Prague d’un contrat de construction de deux réacteurs au Sud-Coréen KHNP, une décision aussitôt saluée par le gouvernement.
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Parfois, des enchaînements insondables ramènent à notre conscience des mémoires de figures marquantes dans des circonstances qui relèvent de coïncidence ou de synchronicité d'événements divers. Ainsi en est-il de quelques récentes actualités relatives à l'avenir énergétique des nations africaines et plus spécifiquement les perspectives – salutaires, je dirais - du développement de centrales nucléaires, actualités qui me portèrent vers le souvenir de l'éminent scientifique et enseignant que fut le Professeur Abdou Moumouni Dioffo dont l'université nationale du Niger reçut le nom en hommage. Moumouni naquit le 26 juin 1929 au Niger. Ancien diplômé de l'école William Ponty de Dakar, il poursuivit ses études dans le système français jusqu'au doctorat d'état en sciences physiques en 1967. Il compte parmi les membres fondateurs de la FEANF (Fédération des étudiants d'Afrique noire en France). Enseignant, il s'investit dans la recherche scientifique et technique, notamment dans le domaine de l'énergie solaire.
Je garderai toujours une conviction personnelle qui est que le professeur Abdou Moumouni, scientifique théoricien autant que praticien, aurait été une ressource à même d'encadrer le déploiement de l'énergie nucléaire dans l'espace économique ne serait-ce qu' ouest-africain bien des décennies en avance si l'histoire et ses contingences l'avaient permis. C'est cette réflexion qui refit surface en lisant cet entrefilet de presse en annexe qui notait « la levée de l'interdiction du financement du développement de l'énergie nucléaire par la banque mondiale. »
L'évocation du souvenir du Professeur Abdou Moumouni nous rappelle que bien souvent des destins œuvrent bien en dessous des potentialités qu'ils portent parce que l'histoire n'est pas au rendez-vous. Le Niger qui a vu naître Abdou Moumouni Dioffo et tant d'autres scientifiques et ingénieurs compétents aurait pu dans un cadre coopératif se poser depuis bien des décennies comme un prospère pourvoyeur d'énergie électrique fiable pour le développement industriel de toute une sous-région africaine au lieu d'être classé comme un des pays les plus pauvres de la planète.
Puissent les générations montantes s'en souvenir pour infléchir et forcer l'histoire, en vue de maximiser leurs énergies dans l'accomplissement de leurs missions au sens où Frantz Fanon le stipulait.
G. Théophile Nouatin
https://24haubenin.info/?L-Afrique-doit-miser-sur-le-nucleaire-modulaire-Pr-Lassina-Zerbo
La présidente de la Commission a appelé la Hongrie à autoriser la tenue de la Pride dans sa capitale hongroise ce samedi 28 juin. Une prise de position qui a suscité la réplique du Premier ministre Viktor Orbán.
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Les dirigeants de l’UE se retrouvent ce jeudi 26 juin à Bruxelles pour un Conseil européen dominé par les dossiers du Moyen-Orient, de la guerre en Ukraine et des migrations. Les discussions devraient mener à peu de résultats concrets.
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IAEA chief Rafael Grossi said Iran has reported no increase in radiation levels outside Fordow, Isfahan and Natanz nuclear sites. After surprise US bombing raids on Iranian uranium enrichment facilities over the weekend, the head of the UN-backed nuclear watchdog on Monday appealed for immediate access to the targeted sites to assess the damage that is likely “very significant”. 23 June 2025. Credit: Dean Calma/IAEA
By James E. Jennings
ATLANTA, USA, Jun 26 2025 (IPS)
Chest thumping “Mission Accomplished” claims by President Trump that he ordered the world’s biggest conventional bombs to be dropped on a sleeping nation of 90 million people, were premature. To top it off he bragged that Iran’s nuclear capacity was devastated and that the whole nation fired “not a single shot” back.
That rosy scenario was greatly tempered a couple of days later when the US Defense Intelligence Agency reported that Iran’s nuclear program was set back only a few months. And the New York Times listed the doppelganger effect of echoing the Bush Administration’s claim of “Mission Accomplished” in Iraq, when in fact years of struggle and loss followed.
The US withdrew from Iraq not with a bang but a whimper. Saddam Hussein never had weapons of mass destruction (WMDs) as Bush alleged.
At least George W. Bush had the decency to wait awhile before making his widely mocked “Mission Accomplished” claim after invading Iraq, which proved to be ten years premature. The US attack on Iran on June 21 was based on the same kind of hallucinatory paranoia about a non-existent nuclear bomb threat as had fueled the Iraq War hysteria in Washington in 2003.
Both the International Atomic Energy Agency (IAEA) and the President’s own Director of National Intelligence denied that Iran has either a nuclear weapons program or enough high-grade uranium to produce a bomb.
Even the US Defense Intelligence Agency (DIA) and Trump’s pal in Jerusalem, Bibi Netanyahu, admit that 60% enrichment is not 90%, the percentage required to make a bomb.
Administration advocates are therefore reduced to claiming that the US bombed Iran solely on “suspicious intentions,” which is exactly what the George W. Bush Administration used as a pretext to attack a practically defenseless Iraq in 2003.
A criminal charge based on a that claim would get the plaintiff tossed out, if not laughed out, of every courtroom in the United States.
The marvelously choreographed US stealth attack on Iran, long urged by Israel, was based on protecting not just Israel’s security, but its total domination of the Middle East with US backing. There are two things wrong with that policy. Neither a secure ally in Jerusalem nor a steady partner in Washington supports it.
Israel is a tiny country in a vast area and cannot hope to forever dominate the countries around it, as a glance at the map will demonstrate. The thin margin in the Israeli Knesset is sure to be unstable. Then too, American support is variable, depending on public attitudes, budget constraints, a volatile Congress, and events and political parties that change over time.
The main reason for the 2003-2011 war, that Iraq had weapons of mass destruction, was false. The claim of the G.W. Bush Administration that the US faced the threat of a “mushroom cloud” over Washington was a wild fantasy. Vice President Cheney went so far as to say that there is “no doubt” that Iraq already has WMD.
The idea that Iraq somehow supported the 9/11 attacks against the US was also untrue. None of the reasons given for the war were true—all were lies. The evidence was available and plain to see, but the war was started anyway.
The world was shocked when Israel went ahead and attacked Iran, presumably with a green light from Mr. Trump, only a few days before diplomatic talks were scheduled to begin. That deception is reminiscent of the deadly Japanese surprise attack on Pearl Harbor that brought the United States into WW II while diplomacy was being simultaneously offered in Washington.
The fact is that this war has been advocated and planned for decades by Israel’s Prime Minister Netanyahu. If you use the WW II test for which side is guilty of blatant aggression, Hitler and his Axis allies in Tokyo or Roosevelt, you would say Hitler and Tojo.
Today the shoe is on the other foot. Israel and the United States, acting in concert, have indeed launched an illegal war of aggression (which defenders call “choice”) against Iran. No matter how many talking heads and newspapers cheer the attack, it was still illegal.
The UN charter has been breached and the American Constitution violated. What are US citizens going to do about it?
Violence cannot make friends, bring peace with 90 million Iranians whose sovereignty has been violated, or enable Israel to rule the Palestinian people. Their watchword is sumud, steadfast resistance.
IPS UN Bureau
Excerpt:
James E. Jennings, PhD is President of Conscience InternationalLes Alliés se sont accordés pour porter les dépenses de défense à au moins 3,5 % de leur PIB national, avec 1,5 % supplémentaires pour les infrastructures. Mais l’exploit réel, côté européen, aura peut-être été d’avoir su composer avec Donald Trump.
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La Commission européenne a dévoilé mercredi 25 juin sa loi spatiale tant attendue, qui vise à positionner l’Union européenne comme un acteur mondial de référence dans ce secteur.
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Le Centre Culturel de Rencontre International John Smith de Ouidah a accueilli, le mercredi 25 juin 2025, un colloque dédié à l'avenir de l'écoconstruction au Bénin et dans la sous-région. Il est organisé par l'ONG Acting for Life (AFL), à quelques semaines de la clôture d'un programme lancé en 2016 au profit des jeunes dans le secteur du bâtiment.
Neuf (09) années d'activités, trois pays engagés (Bénin, Togo, Mali), et des centaines de jeunes formés aux techniques de construction à base de matériaux locaux. C'est dans le cadre d'un programme visant à favoriser l'insertion professionnelle des jeunes dans le secteur du bâtiment et à appuyer le développement des filières territoriales d'écoconstruction.
La troisième et dernière phase du programme initié en 2016 est consacrée depuis 2022 au projet MADE « Maçons de Demain, former et insérer dans l'écoconstruction ». Ce projet vise à donner l'accès aux jeunes en situation de vulnérabilité à des formations en maçonnerie et écoconstruction. « Ce que je retiens, c'est qu'on donne des capacités et d'autres connaissances à nos jeunes pour leur permettre d'utiliser les matériaux locaux afin de participer au développement de notre cité », a relevé le maire de Ouidah, lors de la cérémonie d'ouverture. M. Christian Houétchénou a exprimé son souhait de voir naître à Ouidah un centre de formation dédié à l'écoconstruction.
Piloté par Acting for Life et mis en œuvre avec ses partenaires de l'ACAD au Bénin, de GEVAPAF au Togo et d'APAPE-PH au Mali, le programme est cofinancé par l'AFD à hauteur de plus de 800 millions de FCFA. Il s'achève en août 2025.
Le directeur des opérations de AFL, Cédric Touquet, a rappelé les principes des interventions dans les pays bénéficiaires. Il s'agit entre autres de l'appui des savoir-faire locaux, mise en réseau des compétences et la collaboration avec les acteurs locaux ainsi que la coopération avec les collectivités territoriales. Des principes appliqués dans la région de Mopti (Mali) depuis 2010, jusqu'aux régions de Kara et des Savanes (Togo) et des départements de l'Atacora et de la Donga (Bénin).
Pour Guillaume Reisacher, directeur adjoint de l'AFD au Bénin, l'éco-construction, n'est pas un simple phénomène de mode, c'est une réponse concrète, au défi du changement climatique, de l'urbanisation rapide et de la lutte contre la précarité. « Elle est aussi une opportunité de création d'emplois qualifiant pour une jeunesse en quête de sens et de perspective. C'est dans cet esprit que l'Agence Française de Développement a décidé de soutenir le projet MADE », a-t-il déclaré. Le projet MADE, relève Reisacher, illustre parfaitement la vision que porte l'AFD, une transition juste qui conjugue formation, insertion, innovation et écologie tout en respectant les spécificités culturelles et matérielles de chaque territoire.
Le représentant du ministère du Cadre de vie, Oscar Atingla, s'est réjoui de la transformation qu'opère désormais les jeunes femmes et hommes (devenus maçons, techniciens, entrepreneurs grâce au projet MADE) sur leur territoire.
Procédant à l'ouverture de ce colloque, le préfet de l'Atlantique, Jean-Claude Codjia, a insisté sur le caractère impératif de l'écoconstruction. Le projet MADE, indique-t-il, est un exemple concret de ce que peut produire l'alliance entre innovation, tradition et engagement citoyen. « Je forme le vœu que les recommandations issues des travaux puissent nourrir les politiques publiques, orienter les stratégies de formation et d'insertion et renforcer les synergies entre les acteurs engagés sur ce chantier commun », a-t-il ajouté.
Le colloque a offert un espace d'échanges pour réfléchir aux moyens de pérenniser les acquis du projet MADE. Les discussions se sont axées sur les défis et enjeux de l'écoconstruction au Bénin, au Togo et au Mali.
Akpédjé Ayosso