Gajdos Milán, a Magyar Honvédség tűzszerész ezredének kommunikációs tisztje elmondta: a Duna medrében fellelt eszköz kiemelését követően a tűzszerészek egy száz kilogrammos szovjet légibombát azonosítottak. Az eszköz éles orrgyújtó szerkezetét eltávolították. A helyszín átvizsgálásakor előkerült egy kétszázötven kilós szovjet légibomba maradványa is. Ez azonban nem tartalmazott gyújtószerkezetet – közölte.
A tűzszerészek mindkét eszközt vízi úton szállítják el a helyszínről, majd a Magyar Honvédség központi gyűjtőhelyére viszik későbbi megsemmisítésre – tette hozzá. A munkálatok idejére korábban mintegy háromszáz méter sugarú körben elrendelt – több forgalmas útszakaszt, a közösségi közlekedést is érintő – kiürítést és lezárást feloldották – tájékoztatott a kommunikációs tiszt.
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Criminal justice professionals in Albania took part in an OSCE-organized national workshop from 14 to 18 June 2021 to enhance their capacities to develop intelligence through open-source internet research. The workshop focused on the use of open source intelligence (OSINT) for financial and criminal investigations.
Participants developed their knowledge on different aspects of internet investigations such as advanced web searches, the use of internet databases, evidence capture, investigations of digital images, and other relevant topics. They also gained in-depth knowledge about the architecture of the internet and how to navigate it effectively in support of financial investigations.
OSINT can help with relevant information gathering on financial flows and assets, which, in turn, can support investigations into organized crime and corruption.
The workshop is part of the OSCE’s extra-budgetary project on Asset Recovery in South-Eastern Europe, financially supported by the United States, Italy, Germany and the United Kingdom.
Après quelques semaines passées en zone de turbulence, le marché noir des devises semble avoir retrouvé une certaine stabilité. Au marché officiel, la monnaie nationale est toujours en souffrance face à l’Euro et au dollar, qui ont retrouvé toutes leurs forces. Les cambistes du Square Port-Saïd, qui attendaient depuis trop longtemps une flambée après la […]
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(B2) Le Premier ministre slovène va bientôt passer au premier plan de l’Union européenne, six mois durant, à compter du 1er juillet. Il n’en est pas à son coup d’essai. Il sait diriger. Et celui qui pourra le faire plier devra s’y reprendre à plusieurs reprises
Janez Jansa en uniforme de la jeune armée slovène (crédit : J.Jansa – facebook)Un ‘rouge’, anar
Janša n’était pas un homme de droite… au départ. Il se situait plutôt à l’autre bout de l’échiquier : à la gauche. Même très à gauche. C’est un Rouge, anar, anti-militariste, adepte de Mao, dans un pays, la Yougoslavie, dominée par un parti unique (la Ligue communiste de Yougoslavie), qui affiche l’autogestion socialiste, tiers-mondiste, et une certaine distance avec Moscou, mais sait aussi pourchasser, de façon sévère, les opposants à la ligne.
Un passage par les jeunesses communistes
Janez est de ces opposants. Il se montre très critique. Président de la commission de défense de l’association de la jeunesse socialiste de Slovénie, il met en cause la direction dans l’hebdomadaire des jeunesses communistes Mladina, réputé pour son esprit alternatif, et est exclu du parti. Avec son acolyte David Tasic (1), ils mettent les autorités en émoi. Tasic publie ‘La nuit des longs couteaux‘ qui décrit (à l’aide d’un enregistrement) la façon dont le comité central de la Ligue communiste envisageait l’arrestation des militants de la société civile. D’autres articles sont publiés sur les plans militaires de l’armée yougoslave.
Le JBTZ, lanceur de la carrière de Jansa
Suite à cette affaire, ils sont arrêtés en 1988, avec un militaire Ivan Borstner, ainsi que le rédacteur en chef de Mladina, Franci Zavrl. Les quatre sont traduits en cour martiale. Janša est condamné à dix-huit mois de prison. Leur procès, médiatisé, se déroule en plein mois de juillet 1988. Une formidable erreur du pouvoir de Belgrade ! Ce qu’on a appelé le groupe JBTZ passe à la célébrité. Des comités de soutien ‘Free Jansa’ jaillissent. Ils cristallisent comme jamais le ressentiment slovène, sel de cristallisation de l’indépendance future. Pour Jansa, c’est la bascule, vers ce qui restera sa passion : l’arène politique.
La fondation du parti d’opposition
En 1989, quand la Slovénie rompt le monopole du parti unique, Janša fonde le SDZ, l’Union démocratique slovène, le premier parti d’opposition et en devient le vice-président. En 1990-1991, durant la phase d’émancipation de la Slovénie, il occupe le poste clé de ministre de la Défense de la toute jeune république slovène, encore yougoslave. C’est à lui qu’incombe de forger la défense de la république indépendante, à partir des forces territoriales, peu équipées et peu formées, plus proches du garde-champêtres que des forces spéciales. Des structures parallèles sont mises en place, par rapport au commandement officiel. Des équipements sont achetés.
Nous sommes en guerre
Le 27 juin 1991, quand l’armée yougoslave passe à l’offensive, deux jours après la proclamation de son indépendance par Ljubljana, le tout jeune ministre proclame devant la télévision nationale : « Nous sommes en guerre ». Personne ne veut parier sur le gagnant. Pourtant, avec ses armes anti-chars, la toute jeune armée inflige à la puissante armée populaire yougoslave une défaite. Celle-ci laisse au tapis de nombreux chars et plusieurs hélicoptères, et plusieurs centaines de prisonniers. C’est à partir de cette victoire que Janša se propulse au premier plan. La troïka européenne dépêchée sur place, en urgence, obtient un accord de compromis.
La brigade spéciale Moris
L’envers du décor parait un peu moins glorieux. En décembre 1990, une brigade spéciale est mise en place, la brigade Moris (alias Ministrstvo za Obrambo Republike Slovenije), qui préfigure l’armée slovène. Une unité militaire directement subordonnée au ministre de la Défense (Janez Janša) et chargée de ce qu’on pourrait appeler toutes les opérations spéciales comme ‘under cover‘. Elle est particulièrement active en 1991 lors de l’accession à l’indépendance. Mais aussi après. Elle a ainsi « prêté » des armes et des munitions aux municipalités croates voisines, pour se défendre contre les Serbes. Ce qui contrevient alors à l’embargo décrété au niveau international par le Conseil de sécurité des Nations unies en septembre 1991 (2). Le gouvernement yougoslave de Belgrade, dirigé essentiellement par les Serbes (après le départ des Slovènes et des Croates) a fait de même auparavant, fournissant matériels et équipements en nombre aux Serbes de Croatie. La brigade Moris est aussi chargée de certaines missions de renseignement, écoutant et espionnant à la fois les politiciens et les journalistes, et au besoin pour les mettre à l’écart.
Victoires et défaites, un acharné du pouvoir
Jansa continuera ainsi à évoluer, au fil des années, entre l’ombre et la lumière, entre le succès et l’opprobre. Il exerce les fonctions de ministre de la Défense jusqu’à 1994, avant d’être écarté par le président d’alors Janez Drnovšek. Le tabassage d’un de ses anciens collaborateurs en pleine rue sonne sa fin… Mais il reviendra. Il revient au pouvoir, son parti – devenu le SDS – ayant remporté les élections d’octobre 2004, et devient premier ministre. Poste qu’il occupe jusqu’en 2008, assurant notamment la première présidence de l’Union européenne pour la Slovénie. Les élections de 2008 le font chuter, à un siège près. Il doit céder sa place à ses ennemis jurés, les sociaux-démocrates dirigés alors par Borut Pahor. Il passe à l’opposition, mais revient au pouvoir à la faveur d’une nouvelle coalition en 2012-2013.
L’affaire Patria
En juin 2013, il est atteint dans une sombre affaire de corruption pour l’achat des blindés à l’industriel finlandais Patria. Une affaire remontant à son mandat précédent de premier ministre (2004-2008). Un des plus gros contrats que l’armée slovène (278 millions d’euros) ait jamais conclu, qui comporte apparemment une annexe discrète : le versement de commissions sonnantes et trébuchantes au SDS, le parti au pouvoir. Il est condamné à deux ans de prison. Condamnation confirmée en appel en avril 2014. Jansa passe alors par la ‘case prison’ une deuxième fois ! La délivrance survient en avril 2015, avec l’annulation du jugement à l’unanimité par la Cour constitutionnelle en avril 2015. Il est libéré au bout de neuf mois de prison. L’homme en gardera, une certaine amertume, dénonçant un « complot politique ».
Un habitué de la joute politique
Aujourd’hui, Janša est un des hommes politiques slovènes qui a le plus duré, ayant traversé tous les temps. À la tenacité, il allie une rancune, souvent tenace, toujours exacerbée. Il a gardé un goût pour les joutes verbales, et autres. Adepte du twitter, à la mode Trump, il envoie ses banderilles par rafales. La modération n’est pas son fort. Il ne va pas dans la tendresse. Il pilonne ses adversaires, n’hésitant pas à sortir l’artillerie la plus lourde, et les attaques personnelles au-dessous de la ceinture (3). Peu importe l’argument, l’important est de taper. À la pacification, il préfère le champ de bataille, choisissant son terrain d’affrontement, comme le rappelle son ancien journal Mladina.
(Nicolas Gros-Verheyde)
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YEREVAN, 21 June 2021 –Armenia’s early parliamentary elections were competitive and well-managed within a short time frame. However, they were characterized by intense polarization and marred by increasingly inflammatory language from key contestants, as well as by the sidelining of women throughout the campaign, international observers said in a statement today.
The joint observation mission from the OSCE Office for Democratic Institutions and Human Rights (ODIHR), the OSCE Parliamentary Assembly (OSCE PA), and the Parliamentary Assembly of the Council of Europe (PACE), concluded that the electoral legal framework is generally comprehensive, but some shortcomings still remain. The observers noted that while recent changes in the electoral system were broadly debated and supported by the majority of political parties and civil society groups, the fact that amendments were adopted so close to the elections caused legal uncertainty and left little time to implement the new rules or inform voters about the changes.
“Despite the limited time for the implementation of the recent amendments to the electoral code, the administration of the elections was positively assessed by the majority of our observers,” said Margareta Cederfelt, special co-ordinator and leader of the short-term OSCE observer mission. “Most of our observers also assessed election day positively, up to and including the vote count.”
National security issues dominated the political discourse in the pre-campaign and campaign periods. However, the debate was driven by increasingly aggressive language and accusations, worsening the high degree of polarization and further reducing attention to political programmes and policy.
Election day itself was generally peaceful, and observers made an overwhelmingly positive assessment of the voting processes in the polling stations visited. However, many polling stations were inaccessible for voters with disabilities, and there was frequent overcrowding. There were also some cases of interference in the voting process by party or alliance proxies. At the same time, observers found that the vote counting process went well and was highly transparent.
“The deep polarization didn’t detract from a well-run election,” said George Katrougalos, Head of the PACE delegation. “It is to be hoped that the results will be accepted by all parties across the political spectrum, and the harsh rhetoric of the campaign will be consigned to history.”
During the brief campaign period, candidates were able to campaign freely, and the fundamental freedoms key to democratic elections were generally respected. Observers noted that in some cases there was pressure on workers in both the private and public sector to take part in specific campaign events, while allegations of vote buying and the misuse of state resources continued throughout the campaign period. Despite the fact that women candidates were included in the party lists, observers noted that their visibility during the campaign was markedly low.
“While the recently introduced electoral changes have resulted in larger representation of women in the candidate lists, they remained largely absent from the public discourse during the campaign,” said Kari Henriksen, Head of the OSCE PA delegation. “It is important that women are not just equally represented, but are also given the opportunity to engage actively in public and political life.”
Freedom of expression is guaranteed by the constitution. However, cases of journalists being harassed in the course of their duties raises questions about respect for media freedom. The observer mission’s media monitoring found that several media outlets made a visible effort to cover a wide range of contestants, organizing debates that helped ensure voters had enough information to make an informed choice on election day. At the same time, there are long-standing concerns about the political affiliation of private broadcasters.
“All candidates could campaign freely throughout the election process, and it was good to see the election authorities deliver on their mandate professionally,” said Eoghan Murphy, Head of the ODIHR election observation mission. “But the antagonistic language we heard during the campaign was not in any way constructive for an informed public debate.”
The international election observation mission to the Armenian parliamentary elections totalled 341 observers from 37 countries, composed of 249 ODIHR-deployed experts and long-term and short-term observers, 71 parliamentarians and staff from the OSCE PA, and 21 from PACE.
For more information, please contact:
Katya Andrusz, ODIHR: +48 609 522 266 or katya.andrusz@odihr.pl
Nat Parry, OSCE PA: +45 60 10 81 77 or nat@oscepa.dk
Bogdan Torcatoriu, PACE: +33 6 50 39 29 40 or bogdan.torcatoriu@coe.int
Le secrétaire général par intérim de l’Organisation nationale des Moudjahidine Mohand Ouamer Ben El Hadj, a répondu au propos et accusations que le président du mouvement El Bina Abdelkader Bengrina, a portés contre sa personne. Afin d’éclairer le contexte, il convient de rappeler que l’histoire remonte aux déclarations controversées de Bengrina sur la langue amazighe et sur […]
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Le général libyen, Khalifa Haftar, provoque l’Algérie, en déclarant le poste frontalier entre l’Algérie et la Libye « Essin » une « zone militaire fermée ». Cette décision, considérée illégitime et frappe les intérêts algéro-libyens, qui Ont commencé à être discutés par le gouvernement algérien et le gouvernement légitime dirigé par Abdelhamid Dbeibah. Le porte-parole […]
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Une fillette de 8 ans a perdu la vie dans un accident de circulation ce dimanche 20 juin 2021 à Djrègbé. A Porto-Novo, un piéton est également passé de vie à trépas.
La fillette de 8 ans est décédée dimanche 20 juin aux environs de 15 heures à Djrègbé. Le drame s'est produit lorsqu'elle voulait traverser la voie. Selon Frissons Radio, l'enfant aurait mal traversé la route. La victime a été percutée par un véhicule qui serait en excès de vitesse. Elle est morte sur-le-champ.
Plus tôt, vers 2 heures du matin, un piéton est mort après un choc avec un motocycliste devant le Lycée Toffa 1er à Porto-Novo.
A.A.A
La ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique Éléonore Yayi Ladékan et son collègue des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle Yves Kouaro ont procédé ce lundi 21 juin 2021 au lancement des épreuves écrites du Baccalauréat au CEG 1 de Djougou, dans le département de la Donga.
82.938 candidats répartis dans 132 centres planchent cette année pour l'obtention du premier diplôme universitaire. 31.931 filles soit 38,50 ℅ composent pour cet examen. En 2020 et 2019, le pourcentage de filles était respectivement de 36,74% et 33,95 ℅. Selon la ministre Éléonore Yayi Ladékan ce progrès est la preuve que les filles sont davantage scolarisées et abandonnent de moins en moins les classes.
« Les épreuves sont abordables, ce n'est pas un concours mais un examen. Ne soyez donc pas stressés », a déclaré le ministre Yves Kouaro à l'endroit des candidats.
Les ministres ont invité les candidats à la sérénité et à la concentration. 5340 candidats composent pour le compte du Baccalauréat, session de juin 2021 dans la Donga.
A.A.A
Le constitutionnaliste et ex doyen de la faculté de droit de l'Université d'Abomey-Calavi a le coronavirus.
En détention provisoire depuis le 16 avril dernier à la prison civile de Cotonou, le professeur Joël Aïvo a contracté le coronavirus, selon les tests effectués le 17 juin 2021.
D'après les informations, les premiers symptômes sont apparus il y a quelques semaines.
Le professeur Joël Aïvo suit depuis lors un traitement depuis sa cellule.
Candidat disqualifié à la dernière élection présidentielle, Joël Aïvo a été interpellé dans la soirée du jeudi 15 avril puis auditionné et placé en détention. L'universitaire et homme politique est poursuivi pour « atteinte à la sûreté et blanchiment de capitaux ».
M. M.
L'examen du Baccalauréat démarre ce lundi 21 juin 2021 sur toute l'étendue du territoire national. Plus de 82.000 candidats prennent part à cet examen.
Le nombre de candidats au Baccalauréat cette année est de 82.938 candidats. Ils sont répartis dans 132 centres composition. Le total des filles inscrites est de 31.931 soit 38,50 % contre 51.007 candidats de sexe masculin.
L'effectif des inscrits est en baisse de 13% comparativement à 2020 d'où la fermeture de six (06) centres de composition cette année. L'examen du Baccalauréat se déroule du 21 au 24 juin 2021.
A.A.A
Der diesjährige Weltflüchtlingstag gibt wenig Anlass, optimistisch auf das Thema Flucht und Vertreibung zu blicken: In den letzten zehn Jahren hat sich die Anzahl der Geflüchteten weltweit verdoppelt. Was aber können wir anders machen, um – wie gerade von der Entwicklungspolitik angestrebt – Fluchtursachen zu mindern? Wir müssen zunächst die Art und Weise hinterfragen, wie Politik und Gesellschaft in Deutschland über Flucht und ihre Ursachen diskutieren.
Ein Blick auf Zeitungsartikel, Redebeiträge oder öffentliche Diskussionen zum Thema Fluchtursachen zeigt: Es wimmelt nur so von Fehlvorstellungen und Mythen. Dazu zählt die Annahme, dass Europa am Anfang einer Zuwanderungswelle aus Afrika oder anderen Teilen des globalen Südens von gigantischem Ausmaß stünde. Begrifflichkeiten wie „Völkerwanderung“ oder „Massenmigration“ sind nicht nur am rechten Rand schnell zur Hand. Menschliche Mobilität wird zu einer pauschalen Bedrohung und häufig werden Migration und Flucht gar nicht mehr unterschieden. Auch die Ursachen von Migration oder Flucht werden in Politik und Medien stark simplifiziert: Einzelne Faktoren wie Armut, Bevölkerungswachstum, die Corona-Pandemie oder der Klimawandel werden schnell und gerne als Hauptgründe für Flucht herangezogen. Die erzwungene Migration ist in einer solchen Betrachtungsweise zwangsläufig das Ergebnis eines einfachen Reiz-Reaktions-Schemas: je höher die Armut oder je heftiger die Auswirkungen des Klimawandels, desto mehr Flucht – fertig ist die Fluchtarithmetik!
Ein Blick auf die Forschungslage jedoch zeigt: Flucht und Migration haben sehr komplexe und vielschichtige Ursachen, die politischer, sozialer, ökonomischer und ökologischer Natur sind. Auch bei der Frage, was Flucht und Vertreibung in den Ländern Afrikas, Asiens oder Lateinamerikas eigentlich mit unserer Lebens- und Wirtschaftsweise im globalen Norden zu tun hat, sollten wir uns von einem simplen Benennen von „Hauptschuldigen“ hüten. Kolonialismus oder historische Treibhausgasemissionen der OECD-Länder etwa haben sicherlich einen Anteil an vielen Fluchtprozessen im globalen Süden. Dafür müssen wir Verantwortung tragen – aber gleichzeitig entlässt dies lokale Eliten nicht aus ihrer Verantwortung. Das heißt auch, dass Fluchtursachen in erster Linie von den betroffenen Ländern selbst bewältigt werden müssen. Entwicklungspolitik kann nur unterstützen. Und auch wenn sich etwa bei der aus europäischer Sicht irregulären Migration aus Subsahara-Afrika klassische Migrationsmotive (z.B. das Streben nach besseren wirtschaftlichen Perspektiven) mit tatsächlichen Fluchtgründen (z.B. Konflikte) vermischen: Das hektische Verlassen eines Bürgerkriegslandes ist wahrlich nicht vergleichbar etwa mit dem Antreten einer neuen Stelle im Ausland. Auch muss man sich immer wieder vor Augen führen, dass ein Großteil der weltweiten Migrations- und Fluchtbewegungen innerhalb des globalen Südens stattfindet (z.B. innerhalb West-Afrikas). Nicht zuletzt verhindert die in diesen Regionen verbreitete Armut größere Migrationsbewegungen in Richtung Europa. Aber auch bei dieser Süd-Süd-Migration ergeben sich durchaus positive wirtschaftliche Impulse: Geldsendungen von Migrierenden an ihre Familien in die Herkunftsländer sind ein globaler Wirtschaftsfaktor, der Millionen von Haushalten im globalen Süden bessere Lebensgrundlagen ermöglicht.
Fluchtursachen lassen sich nicht reduzieren, indem man ihre Komplexität reduziert. Mythen und Pauschalisierungen bieten vermeintlich einfache Erklärungen und sprechen Menschen emotional an. Die Vielschichtigkeit menschlicher Mobilität und ihrer Ursachen, Konsequenzen und Begleitumstände macht aber differenziertere Betrachtungsweisen notwendig. Politik, Medien und Gesellschaft sollten sich auf eine tiefgründigere Auseinandersetzung einlassen. Auch muss die Politik den häufig geäußerten Vorsatz „Fluchtursachen bekämpfen, aber nicht Flüchtlinge“ ernst nehmen. Das bedeutet: sich gleichzeitig für eine Reduktion der Fluchtursachen und eine bessere Unterstützung von Geflüchteten in den Hauptaufnahmeländern und für eine Migrations- bzw. Zuwanderungspolitik einzusetzen, die dem Interessensausgleich aller Beteiligten verpflichtet ist. Hier ist auch die Innenpolitik gefragt. Ein Festhalten an holzschnittartigen (Fehl-)Annahmen führt leicht zu politischen Trugschlüssen, Enttäuschungen oder gegenläufigen Entwicklungen. Ein Beispiel ist hier der EU-Treuhandfonds für Afrika (EUTF), der stark auf der Annahme fußt, dass nicht zuletzt Maßnahmen der Wirtschaftsförderung und Grenzsicherung irreguläre Migration und Flucht verhindern. Leider stellen wachsende Zahlen von Geflüchteten in der EUTF-Schwerpunktregion Sahel diese Annahme durchaus in Zweifel. Wenn wir also die Mythen der „Fluchtursachenbekämpfung“ nicht stärker hinterfragen, dann helfen auch keine noch so ausgefeilten Beiträge für eine bessere „Fluchtursachenbekämpfung“, wie etwa die vor wenigen Wochen veröffentlichten Empfehlungen der „Fachkommission Fluchtursachen“ der Bundesregierung.