Le président de la chambre de jugement de la Criet, Dossa Guillaume Lally, a fait l'état des lieux du traitement des actes délictuels sur les réseaux sociaux au Bénin et souligne la nécessité de doter la police de moyens techniques afin d'approfondir les enquêtes. C'était ce mardi 26 octobre 2021 lors de la première journée du séminaire de l'UEMOA sur les comportements délictuels sur les réseaux sociaux.
Selon Dossa Guillaume Lally, la répression infractions commises via les systèmes informatiques ou à l'aide des moyens de communication électroniques est du ressort de la Criet. Pour réprimer les comportements délictuels sur les réseaux sociaux, le Bénin dispose de la loi n°2017-20 du 20 avril 2018 portant code du numérique, la loi portant protection des données à caractère personnel et la loi 2018-16 du 28 décembre 2018 portant code pénal.
Au titre des actes délictuels fréquents sur les réseaux sociaux, il cite entre autres, l'enregistrement sous une fausse identité ou fictive et l'utilisation des numéros de téléphone de l'étranger pour arnaquer. La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) a été saisie de plusieurs cas d'intrusion dans les systèmes informatiques. Guillaume Lally a fait cas de l'intrusion dans le système de la Poste du Bénin. A l'en croire, les individus ont pu s'introduire pour ouvrir des comptes et retirer après une forte somme d'argent. Les individus ont aussi attaqué le système de l'un des réseaux de téléphonie mobile béninois (plus de 600 millions de FCFA retirés du système). Il s'est révélé qu'une importante partie des sous détournés est toujours envoyée en Côte d'ivoire. Des personnes ayant eu accès au système informatique des agences pour proposer des emplois contre rémunération sont jugées par la Criet. Les réseaux sociaux sont également utilisés au Bénin pour commettre des cyber escroqueries (maraboutage, love chat, porno-chantage). « On les condamne presque tous les jours », a déclaré le président de la chambre de jugement de la Criet.
Les difficultés liées à la répression efficace des comportements délictuels sur les réseaux sociaux concernent les moyens techniques. « Nous n'avons pas les moyens de faire les perquisitions informatiques pour poursuivre les délinquants parce que les enquêtes sont sommaires. C'est tout récemment que la police qui a compétence pour enquêter sur les infractions commises sur les réseaux sociaux a été dotée d'un certain nombre d'outils », a informé Guillaume Lally. Selon le spécialiste du droit, les individus dissimulent les données dès qu'ils savent que la police a déclenché des enquêtes. Pour lui, il est nécessaire de fournir les moyens techniques aux policiers afin de leur permettre de bien mener les enquêtes. Le président de la chambre de jugement de la Criet a insisté sur la formation des policiers et des acteurs judiciaires en matière de TIC.
Akpédjé A. Ayosso
Le port minéralier d'Owendo (OMP) a enregistré des résultats satisfaisants au troisième trimestre 2021. Il a aussi connu une croissance significative du débit portuaire et ferroviaire.
Le débit du port a atteint 3,97 millions de tonnes, ce qui représente une croissance de 8,24 % en glissement annuel à la fin du troisième trimestre. Le "débit de fret" a enregistré une croissance de 26,61% d'un trimestre à l'autre pour l'exercice 2021. OMP a accueilli avec succès 87 navires au 3e trimestre de l'exercice 2021. Le débit ferroviaire a atteint 3,67 millions de tonnes, soit une croissance de 10,03 % en glissement annuel à la fin du troisième trimestre.
De trimestre à trimestre, l'exercice 2021 a enregistré une croissance de 37,16% pour le "débit ferroviaire". OMP a traité avec succès 457 râteliers à conteneurs au 3e trimestre de l'exercice 2021. Depuis sa création en 2017, le Port Minéralier d'Owendo (OMP, Gabon) est leader dans le secteur portuaire vertical vraquier avec une approche centrée sur le client. L'OMP s'est établi comme une solution globale mise à la disposition de ses Clients, offrant un service portuaire et ferroviaire unifié répondant aux meilleurs standards internationaux, tout particulièrement en Afrique.
L'OMP est parfaitement connecté aux régions intérieures du Gabon et fournit des services à haute valeur ajoutée à ses clients par la mer, la route et le rail. Ainsi, l'OMP continue notamment à soutenir le développement du secteur minier et des unités de fabrication de ciment pour l'exportation et l'importation de marchandises en vrac avec des installations de pointe.
Le succès de l'OMP repose sur une infrastructure Port & Rail unique, assurant le meilleur niveau de connectivité, de sûreté et d'efficacité. Le Port Minéralier d'Owendo est un atout essentiel dans la stratégie de diversification économique du Gabon. L'OMP a créé plus de 400 emplois directs et indirects grâce à ses activités portuaires.
« La croissance de l''OMP témoigne du dévouement et de l'efficacité que nous fournissons à notre chère Clientèle. Nous sommes reconnaissants de la confiance de nos partenaires en nos services et notre engagement. Cette croissance témoigne plus particulièrement de la capacité de l'OMP à soutenir la transformation et la diversification sociale et économique de l'économie gabonaise », a déclaré Ranjan kumar Sahu, directeur général du Port Minéralier d'Owendo (OMP).
A propos d'Arise Ports & LogistiqueLes événements s’accélèrent au niveau du dossier du gazoduc Maghreb-Europe qui alimente l’Espagne en gaz via le Maroc. Alors que l’Algérie semble déterminée à mettre fin à ce transit, le Maroc tente de se rattraper en faisant appel à la médiation espagnole.
Suite aux dernières tensions entre les deux pays voisins, l’Algérie a décidé de cesser de fournir le gaz naturel à l’Espagne via le gazoduc Maghreb-Europe. Ainsi, le Maroc sera privé du gaz algérien à compter du 1er novembre prochain, selon ce qu’a rapporté l’Agence Reuters lundi dernier.
Comme alternative, l’Algérie décide de continuer l’approvisionnement de l’Espagne via le gazoduc sous-marin Medgaz d’une capacité annuelle de 8 milliards de m3 qui ne passe pas par le Maroc. D’ailleurs, c’est ce qu’a dit le président Tebboune le 11 octobre en cours.
« Nous avons convenu avec les amis espagnols de les approvisionner en gaz naturel via le gazoduc Medgaz », a-t-il déclaré lors d’une entrevue avec la presse. Cependant, les inquiétudes commencent déjà à se ressentir, notamment du côté marocain.
Les dernières cartes du MarocSelon le quotidien espagnol El Pais, cette situation a conduit Rabat à négocier avec Madrid une solution pour sécuriser des alternatives à la résiliation du contrat qui permet la fourniture de gaz à l’Espagne via le gazoduc Maghreb-Europe (GME) et qui alimente également ce pays.
Plus loin encore, le Maroc négocie actuellement avec l’Espagne une autre alternative ; il s’agit d’une possibilité de se faire livrer du gaz à partir de l’Espagne. Selon une source espagnole citée anonymement par le même journal, « le Maroc pourrait demander à l’Espagne d’envoyer du gaz par le gazoduc Maghreb – Europe (GME) dans le sens inverse ».
Cela dit, cette même source affirme que l’Espagne redoute la réaction de l’Alger quant à cette alternative, d’autant qu’il s’agit du gaz qu’expédie l’Algérie vers la péninsule. « Nous ne savons pas comment l’Algérie réagira si l’Espagne est d’accord », indique-t-on encore.
La ministre de la Transition écologique espagnole en visite en AlgérieEn tout cas, l’Espagne est déterminée à garder intact l’approvisionnement en gaz depuis l’Algérie. Dans cette optique, la troisième vice-présidente et ministre de la Transition écologique et du défi démographique espagnole, Teresa Ribera, devra arriver ce mercredi à Alger pour rencontrer les autorités algériennes.
Ces rencontres devront porter que la recherche d’une solution à la fermeture du gazoduc Maghreb-Europe (GME) qui traverse le Maroc et que l’Algérie envisage de fermer dès ce premier novembre, date à laquelle prend fin le contrat de 25 ans qui garantit l’approvisionnement et les accords tripartites.
Par ailleurs, il convient de noter que l’arrêt du gazoduc Maghreb-Europe peut causer d’énormes dommages au Maroc. En effet, Rabat obtient entre 50 et 200 millions d’euros par an de « droits de passage », un chiffre qui varie en fonction du montant expédié.
Et, en plus, il garde 800 millions de mètres cubes par an de gaz d’Algérie à un prix stable. Ce gaz est utilisé pour alimenter les centrales à cycle combiné de Tahaddart (dans la région de Tanger) et d’Ain Beni Mathar (à Oujda, dans l’est du pays). Ces centrales couvrent environ 10 % de la production électrique marocaine.
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A fegyveres erők működését átfogó módon szabályozó tervezet 14 régebbi törvényt helyettesítene, köztük olyanokat, amelyek – módosított formában – még az 1989 előtti időszakban érvénybe lépett törvényekre vezethetők vissza.
Az új törvény a jelenlegi nemzetközi helyzetre, Lengyelország aktuális védelmi szükségleteire ad választ – mondta el a kormányfőhelyettesként a védelmi és belbiztonsági ügyeket felügyelő Kaczynski a sajtókonferencián. A NATO, valamint az Európai Unió határán is fekvő Lengyelország “komoly elrettentő erővel kell, hogy rendelkezzen, és szükség esetén (…) hosszabb ideig is önállóan kell, hogy tudjon védekezni” – indokolta meg Kaczynski az új szabályozást.
Felidézve a régi mondást (Si vis pacem, para bellum), kijelentette: “aki békét akar, építsen erős fegyveres erőket”. Utalt Oroszország “birodalmi törekvéseire” és a lengyel-fehérorosz határon zajló “hibrid háborúra”.
Blaszczak miniszter közölte: a tervezet olyan mechanizmus kialakítását teszi lehetővé, amelynek révén a lengyel hadsereg a további korszerűsítést célzó új pénzforrásokhoz jut. Ezért létrehozzák a fegyveres erők támogatási alapját, amelynek forrásait a költségvetési eszközök mellett az állami kötvények, az Állami Fejlesztési Bank (BGK) által kibocsátott kötvények, valamint a jegybank nyereségéből származó befizetések képezik majd.
A hadsereg létszámnövelése érdekében bővítik a tartalékosok továbbképzési lehetőségeit, és bevezetik az önkéntes katonai alapszolgálatot. A 28 napos alapkurzus és 11 hónapos kiképzés után az önkéntesek vagy tartalékba vonulhatnak, vagy hivatásos katonaként szolgálhatnak tovább.
Ez az önkéntes szolgálat egy másik formája lesz a lengyel hadsereg struktúráiban 2016 óta már működő területvédelmi erők (WOT) mellett. A WOT legénysége jelenleg több mint harmincezer főt számlál, tagjai számát a jövőben legalább 50 ezerre emelik. A hivatásos katonák létszámát pedig 250 ezerre fogják bővíteni – jelentette be Blaszczak. Ismertette az önkéntes és a hivatásos katonák előléptetésének és jutalmazásának új szabályait is.
Ösztöndíjprogramot jelentett be a civil főiskolákon és egyetemeken tanuló, de a hadseregben hasznosítható szakokon végző hallgatók számára. Az ilyen ösztöndíjasok öt évig a hadsereg kötelékében dolgoznának majd, és tiszti képzésben vehetnének részt. A törvénytervezet újonnan kiképzett kibervédelmi erők bevonására is számít a hadseregben. Tartalmaz fegyelmi, korrupció- és nepotizmusellenes előírásokat is. A jogszabálytervezetet a kormány, majd a parlament is megvitatja majd.
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Governments, regional organizations and international agencies have failed to come up with sensible answers or effective policies to address the increasing waves of illegal migrants. Credit: Javier García/IPS
By Joseph Chamie
PORTLAND, USA, Oct 27 2021 (IPS)
Illegal immigration is a 21st century crisis that will only worsen with the consequences of climate change.
In addition to poverty, civil conflict and violence, the increasing high temperatures, widespread droughts, frequent flooding and rising sea levels are leaving parts of the world unlivable. The result will be climate-fueled instability with millions of people likely migrating for their survival.
Unfortunately, governments, regional organizations and international agencies have failed to come up with sensible answers or effective policies to address the increasing waves of illegal migrants, including caravans of thousands, arriving at borders and the growing numbers of migrants unlawfully resident.
The recently negotiated Global Compact for Safe, Orderly and Regular Migration, for example, has done relatively little to address illegal migration. Other than fences, barriers, closed borders, pushbacks and official statements, governments appear ill prepared to deal with the growing numbers unlawfully crossing their borders.
In the coming decades climate-related migration will become an even more critical challenge. A recent landmark ruling by the UN Human Rights Committee found it unlawful for governments to return people to countries where their lives might be threatened by a climate crisis
With the assistance of social media and smugglers, thousands of migrants are arriving at borders by boat, motor vehicle and even by foot, pleading to enter the country. Refusing entry and/or deporting them to their home countries, especially when migrants claim asylum or come from failed states, have created serious dilemmas for governments.
Also, governments seem reluctant to acknowledge that visa overstayers and unauthorized migrants don’t expect to be deported. This expectation is largely based on the experiences of millions of unauthorized migrants permitted to live in host countries.
In many countries the public is displeased with their government’s handling of illegal immigration. This dissatisfaction contributes to anti-migrant sentiments, demonstrations against illegal immigration, xenophobia and violence towards migrants.
International surveys have found that approximately 15 percent of the world’s adults, or more than 800 million, want to migrate to another country. If children are included, the number of people wanting to migrate increases to more than 1 billion, or one-eighth of the world’s population of nearly 8 billion.
The preferred destinations are wealthy nations, with the United States being the top choice, followed by Canada, Germany, France, Australia and the United Kingdom. Those countries offer employment, services, opportunities, benefits, safety, human rights and security.
Among the economic, social and environmental forces influencing illegal migration are population size imbalances. For example, whereas the populations of Latin America and the Caribbean and Northern America were about the same size in 1950, today the population of Latin America is nearly double that of Northern America and is projected to remain so for the foreseeable future (Figure 1).
Source: United Nations Population Division.
Another noteworthy population size imbalance is between Europe and Africa. Whereas, in 1950 Europe’s population was double the size of Africa’s, by 2020 the demographic situation was the reverse. By 2050 Africa’s population is expected to be more than triple the size of Europe’s, 2.5 versus 0.7 billion (Figure 2).
Source: United Nations Population Division.
World population is also substantially larger than in was in the recent past. Today’s world population of nearly 8 billion is quadruple the number of people in 1921 and double the number in 1974.
Population projections point to continued demographic growth. World population is expected to reach 9 billion in 2037 and 10 billion in 2056, with most of the growth occurring in developing countries. Africa alone is expected to gain more than one billion people by midcentury (Figure 3).
Source: United Nations Population Division.
The asymmetry of human rights is also contributing to illegal immigration. The Universal Declaration of Human rights states that everyone has the right to leave and return to their country (Article 13). However, the Declaration does not give one the right to entry another country without authorization.
Lacking a legal right to emigrate, migrants turn to illegal migration with many claiming the right to seek asylum, Article 14 of the Declaration, to enter the destination country. Once in the country, unauthorized migrants believe they will not be repatriated even if their asylum claim is rejected, which is typically the case.
Of the world’s nearly 300 million migrants, the number of unauthorized migrants is likely to be no less than one-fifth of all migrants, or about 60 million. In the United States, for example, about one-fourth of the foreign-born population, or approximately 11 million, are unauthorized migrants,
The European Commission reports taking strong actions to prevent illegal migration through ensuring that each European Union (EU) country controls its own portion of EU’s external borders. Increasingly EU states are erecting walls, fences and even military force and technology to secure their borders against illegal immigration. Recently, the interior ministers from 12 member states demanded that the EU finance border-wall projects to stop migrants entering through Belarus.
Despite those actions, illegal immigration to the EU from January through August 2021 increased by 64 percent over the previous year. Along the western Balkan route, illegal crossings to the EU nearly doubled, with most of those migrants from Syria, Afghanistan and Morocco.
In the United States, illegal immigration has reached record levels. Officials detained 1.66 million illegal immigrants, including 145 thousand unaccompanied children, at the U.S. southern border in fiscal year 2021, the highest level ever recorded. The migrants were from 160 countries, with many seeking economic opportunities.
Many governments tolerate illegal immigration. Recently issued administration guidelines in the United States, for example, instruct immigration officials to no longer detain and repatriate migrants based on their illegal status alone; the focus is on those posing safety threats. Also, in Germany enforcement against illegal entry and unlawful residence is generally weak and authorities tend to look the other way regarding unauthorized migrant workers.
How best to address those unlawfully resident in a country remains a controversial political issue that most governments have been unable to resolve effectively. While some wish to offer a pathway to citizenship, others recommend repatriation and still others prefer to maintain the status quo.
Reasonable future levels of legal migration will be insufficient to absorb even a fraction of the estimated 1 billion people who want to migrate to wealthy countries. Consequently, future illegal migration will likely be many times greater than today’s levels.
In addition, in the coming decades climate-related migration will become an even more critical challenge. A recent landmark ruling by the UN Human Rights Committee found it unlawful for governments to return people to countries where their lives might be threatened by a climate crisis.
Tens of millions of people are expected to be displaced by 2050 because of life-threatening climate and environmental changes. Some estimate that as many as 143 million people in South Asia, sub-Saharan Africa and Latin America are likely to be displaced due to climate change.
Among the many aspects of the illegal immigration crisis that governments need to address are three critical questions:
Failing to effectively address those and related issues will only exacerbate the 21st century illegal immigration crisis that will only worsen with climate change.
Joseph Chamie is a consulting demographer, a former director of the United Nations Population Division and author of numerous publications on population issues, including his recent book, “Births, Deaths, Migrations and Other Important Population Matters.”
Après le controversé Mellal, qui a fini par quitter la direction de la JSK, voilà que son successeur de longue haleine se retrouve lui aussi sous la menace de la justice. Yarichéne a été arrêté avec deux autres personnes, la semaine dernière, après une altercation qu’ils ont eu avec un policier.
Yarichene a été placé d’abord en garde à vue, lui ainsi que le manager de la JSK Nassim Saâdaoui et le joueur Chams Eddine Harrag. Yarichéne, ainsi que ces deux coaccusés, ont été libérés provisoirement le lendemain, en attendant d’être présentés officiellement devant le tribunal.
Hier, le 26 octobre, Yarichéne, Saadaoui et Harrag, ont comparu devant le tribunal, et ont fait face aux chefs d’inculpation d' »agression sur agent de police dans l’exercice de ses fonctions » et « d’atteinte à corps constitué ». En tant que partie civile dans ce procès, il y avait la DGSN, la Direction Nationale de la Sureté Nationale.
Un an de prison ferme requis contre YarichéneLes policiers avec qui Yarichéne a eu une altercation lors d’un contrôle routier ont été présents lors de l’audience qui eu lieu hier. Deux policiers s’estiment victimes d’une agression de la part de Yarichéne et de ses deux acolytes, tandis qu’un troisième était présent en tant que de témoin.
Après avoir entendu les plaignants et les accusés, le procureur de la république a requis contre Yarichéne, Saadaoui ainsi que Harrag, un an de prison ferme et une forte amende. Les trois mis en cause demeurent sous contrôle judiciaire.
Cette affaire dans laquelle sont mouillé des représentants de la JSK constitue un énième coup dur pour le club des canaris.
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