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Le prix du poulet a enregistré, à l’instar de plusieurs autres produits alimentaires, des hausses exorbitantes ces dernières semaines. Cette situation risque de durer dans le temps. Pis encore, les professionnels de la filière s’attendent à de nouvelles hausses.
Alors que les consommateurs s’attendaient à une baisse, notamment après la célébration de la fête du Mawlid Ennabawi, où la consommation du poulet augmente considérablement, les prix ont pris une autre tendance. Non seulement ils sont toujours assez chers, mais ils risquent de flamber encore plus.
Actuellement, il convient de noter que le kilogramme du poulet déplumé et éviscéré est proposé entre 450 et 500 DA. Les professionnels de la filière avicole avancent plusieurs facteurs derrière cette nouvelle hausse inattendue.
Interrogé par le quotidien le Soir d’Algérie, le membre du Conseil national interprofessionnel de la filière avicole, Noureddine Aïd livre un constat décevant pour les consommateurs. « Comme chaque année, la consommation du poulet lors de la fête du Mawlid Ennabawi augmente, seulement cette fois-ci, la demande a dépassé l’offre », a-t-il déclaré.
Rareté du poussin d’un jour sur le marché nationalSelon lui, les prix devront connaitre de nouvelles hausses. « Nous nous attendions, d’ailleurs, à ce que son prix augmente », a-t-il ajouté. Comme explication à cela, l’intervenant souligne que « toutes les quantités disponibles ont été écoulées ».
Autre raison évoquée par le même responsable ; la rareté du poussin d’un jour sur le marché national. À ce propos, il explique que « les besoins nationaux sont de huit millions de poussins d’un jour chaque semaine. Or, cette quantité n’est pas disponible ».
Ainsi, Noureddine Aïd prévoit au minimum une durée de dix à quinze jours avant que la nouvelle production ne soit prête et mise sur le marché. D’ailleurs, il affirme que « seuls six millions de poussins d’un jour sont disponibles chaque semaine ce qui reste insuffisant par rapport à la demande nationale ».
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Le Conseil de sécurité de l'ONU examinera la situation au Soudan après le retour de sa délégation du Mali et du Niger le 26 octobre, a déclaré à TASS Anna Evstigneeva, membre de la délégation russe au Conseil de sécurité de l'ONU.
"Les membres du Conseil au Mali et au Niger ont décidé qu'ils discuteraient du Soudan à leur retour à New York", a déclaré la diplomate.
La rencontre entre Abdel Fattah Abdelrahmane al-Burhan, chef du Conseil de souveraineté du Soudan, et Abdallah Hamdok a été suivie par de nombreuses arrestations à Khartoum, capitale du pays. Les interpellations ont notamment touché plusieurs ministres, un membre civil du Conseil de souveraineté et le gouverneur de Khartoum. Plus tard, le président du conseil des ministres et son conseiller le plus proche ont été assignés à résidence. Il existe également des informations sur l'interpellation d'un grand nombre de leaders de partis politiques.
Source : TASS
Alors qu’il n’était qu’un mythe qui s’évanouissait progressivement, les autorités essaient désormais, timidement, de faire revive le barrage vert, du moins sur le papier.
C’est le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Abdelhamid Hamdani, qui a officiellement installé hier lundi de l’Organe National de Coordination pour la Lutte contre la Désertification et la Réhabilitation du Barrage Vert.
L’installation de cet organe a eu lieu lors de la tenue de la rencontre nationale sur la réhabilitation des écosystèmes forestiers, organisée par l’Université Abbas Laghrour de Khenchela, dans le cadre de la célébration de la Journée nationale de l’arbre, qui coïncide avec le 25 octobre de chaque année, indique un communiqué du ministère de l’agriculture.
L’Agence spatiale parmi les membres de la commissionLe projet agroécologique qui vise à reboiser la steppe algérienne afin de stopper l’avancée du désert, rappelle sans nul doute l’ère de Boumédiène. Le ministère de l’Agriculture a tenu quand même à donner, à cette l’initiative de le faire renaitre le barrage vert de ses cendres, une touche de modernité.
En effet, et toujours selon le communiqué du ministère, parmi les 30 membres dont se constitue l’Organe National de Coordination pour la Lutte contre la Désertification et la Réhabilitation du Barrage Vert, figure un représentant de l’Agence Spatiale Algérienne. Le rôle de l’ASAL n’a pas été dévoilé par le ministère de l’Agriculture, mais il s’agit sans doute d’un apport concernant l’imagerie satellitaire.
Outre l’ASAL, figure dans cet organe, l’ONM, Office National de Météorologie, mais aussi la fédération nationale des éleveurs de bétail. Les objectifs de cet organe sont, toujours d’après le même communiqué, contrer la désertification et faire revivre le barrage vert.
L’article Barrage Vert : l’Agence Spatiale Algérienne s’en mêle est apparu en premier sur .
Credit: Daniel Beltra/Greenpeace Africa
By Remy Zahiga, Jennifer Morgan and Martin Kaiser
GOMA/AMSTERDAM/HAMBURG, Oct 26 2021 (IPS)
On the brink of an unprecedented environmental emergency, EU ambassadors to the Democratic Republic of Congo (DRC) gathered earlier this month for a luxury river cruise hosted by the country’s Environment Minister, Eve Bazaiba.
Many of them represent donor countries from the Central African Forest Initiative (CAFI), in the final stretch of negotiating an estimated $1 billion ten-year DRC forest protection program. The Minister is wining and dining them to push her top priority: the lifting of a 2002 ban on the awarding of new logging concessions.
The decision to lift the ban was approved this July by the Council of Ministers, presided by Président Félix Tshisekedi, but an implementation decree is yet to be signed. In April, at Joe Biden’s Leaders Summit on Climate, Congo’s president had pledged to stop deforestation and increase forest cover by 8%.
Minister Bazaiba has responded to a letter from local and international environmental and human rights groups by saying she has no lessons to learn from NGOs. She calls criticism of the lifting of the moratorium “beyond daring for the 21st century”; the Ministry labels critics “the beneficiaries of imperialists.”
The lifting of the moratorium could open some 70 million hectares to logging – an area roughly the size of France – and its impacts would be catastrophic. With or without a “sustainability” label, the logging of the Congo Basin is a nightmare for the rule of law and a constant threat to local people.
For millions of people who depend on the forest for their livelihoods, including Indigenous Peoples, selling it off to multinationals has meant land grabs, displacement and destitution. And bulldozing the rainforest will likely mean less rain.
The Congo Basin forest is estimated to contribute more than half of the annual precipitation in Sub-Saharan Africa, an area already facing a plethora of droughts and extreme heat waves.
One of the things the EU ambassadors the Minister is schmoozing ought to remind her is that no one appears to know exactly who these multinationals are.
Nearly six months after the launch of an EU-funded legal review of logging titles, the lead auditor reported this month that his team still hasn’t been able to pull together a list of titles… He hasn’t yet glimpsed a “so-called existing” list; what there is is “very incomplete.” Ève Bazaiba took her time to sign the team’s mission order, until two months after an intervention by the EU ambassador.
Over 40 Congolese and international NGOs are still waiting for a reply to their 23 September letter to donors, warning of the impending catastrophe.
In the letter they were told that lifting the moratorium in DRC, home to about 60 per cent of the Congo Basin forest, would remove the last shreds of credibility from COP15 on biodiversity in Kunming and from COP26 on climate in Glasgow.
The Congo Basin forest has more than 600 tree species and 10,000 animal species, including forest elephants, lowland gorillas, bonobos, and okapi. Its vegetation is estimated to contain between 25-30 billion tons of carbon, equivalent to about four years of global anthropogenic emissions of CO2. Increased logging might mean greater risk of yet another pandemic.
Just how out of it are the donors? Do they really have any clue what the current logging scene is in Congo?
Over the years, one Minister after another has violated the moratorium, gratifying senior military – including an army general under EU and US sanctions for human rights abuses – and other makeshift “logging” firms.
Bazaiba’s predecessor, Claude Nyamugabo, is facing a legal challenge from Congolese civil society organisations for transferring two million hectares of illegally allocated concessions to Chinese front companies.
But by far the most surreal example of what the lifting of the moratorium would mean is last year’s award of six so-called “conservation” concessions, covering an area half the size of Belgium, to a company called Tradelink.
The only shareholder of the firm that a Greenpeace Africa investigation has been able to identify is Aleksandar Voukovitch, a Belgian expat who’s made his career in mining, oil and timber. He would appear to have no experience in conservation, and even less in the area of forest-rights protection.
In September, the Minister missed the legal deadline to respond to an administrative complaint seeking the cancellation of his contracts.
The national Institute for Nature Conservation, ICCN, has confirmed they were awarded illegally, without its knowledge. The governor of Tshuapa province has also demanded their cancellation.
The same Ministry that’s accusing national and international NGOs of being imperialist stooges has remained silent about what’s probably the biggest handover of territory to Belgian interests since independence.
Finally, over a year after the award of the Tradelink contracts – and, by sheer coincidence, two weeks before COP26 — President Tshisekedi ordered their suspension, as well as that of all other “dubious” forest concessions.
Better late than never, but it would appear that the sudden interest in good “forest governance” may simply be meant to reassure donors that the moratorium can now be safely jettisoned. No sign yet of the opening of a legal investigation to determine the responsibility of the various parties.
Are donors in the process of green lighting the lifting of the moratorium even as we speak? Will the EU taxpayer be financing a free-for-all for EU and Chinese multinationals? Now’s the time for the weekend river cruisers to take a position – a public one.
But the one billion dollar question isn’t whether foreign governments will tacitly support all of the above or simply walk away. There’s a far better path for investment for CAFI and other donors too.
The most effective and just form of forest protection is supporting the land rights of Indigenous People and local communities. In areas designated as community forest concessions, the rate of deforestation is significantly lower than the national average and almost 50 per cent lower than in logging concessions.
Community forest concessions also provide a structure that is inclusive and democratic.
The health of our planet requires ending, rather than endlessly recycling, the colonial concession system so beautifully incarnated by Tradelink. The DRC government and CAFI must extend the moratorium on new logging and invest in the protection of forest rights. They must finally decide to leave the rainforest to its rightful indigenous owners.
Remy Zahiga is a Congolese climate activist. Jennifer Morgan is the Executive Director of Greenpeace International. Martin Kaiser is the Executive Director of Greenpeace Germany.
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Les véhicules importés temporairement avec un titre de passage en douanes, par des ressortissants étrangers, mais vendus et immatriculés sur le territoire national de manière non conforme aux normes établies, devront être régularisés à compter de 2022.
La régularisation exceptionnelle en matière douanière de ce type de véhicules importés devra intervenir selon les termes de la loi des finances pour l’exercice de l’année prochaine. Cela devra intervenir selon les conditions et modalités fixées par arrêté conjoint des ministres chargés des Finances, de l’intérieur et des mines.
Il s’agit, selon le projet de loi des finances 2022, des « véhicules importés temporairement avec un titre de passage en douanes, par des ressortissants étrangers dans le cadre de procédures spéciales et de facilités exceptionnelles pour des raisons humanitaires ».
Ces voitures « vendus et immatriculés sur le territoire national de manière non conforme aux normes établies, ayant fait l’objet de saisie avant le 3 juin 2021, donnent lieu à une régularisation exceptionnelle en matière douanière, de conformité et d’immatriculation », stipule le projet de loi.
Une taxe de régularisation fixée à 50.000 DAPour ce faire, une taxe de régularisation fixée à 50.000 DA, doit être payée contre la récupération du véhicule mis en fourrière, précise encore le texte.
Pour ce qui est des motifs, le PLF 2022 note que, ces dernières années, un nombre « important » de véhicules importés temporairement avec des titres de passage en douane par des ressortissants étrangers.
Importés « dans le cadre de procédures spéciales et de facilités exceptionnelles pour des raisons humanitaires », ces véhicules « ont été immatriculés sur le territoire national et ont fait l’objet de saisie par la suite ».
Alors qu’ils doivent être réexportés avant l’expiration de la durée de validité du titre de passage en douane fixée à 6 mois, ces véhicules sont immatriculés en Algérie sur la base d’un dossier falsifié, vendus par la suite et transférés entre les différentes wilayas.
Or, ces actes sont considérés comme un « délit douanier de première classe », selon l’article 325 du code des douanes, précise-t-on encore. À noter qu’un nombre « considérable » de ces véhicules a été saisi durant les dernières années.
L’article Du nouveau pour les véhicules « importés de manière non conforme » est apparu en premier sur .
Bien que le 9 janvier prochain soit fixé pour le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des nations 2022 au Cameroun, les surprises demeurent fortes sur le sort du tournoi et la possibilité de le tenir ou non.
En effet, le Cameroun devait accueillir cet évènement sportif africain, au début de cette année, mais celui-ci a été reporté d’un an, en raison de la pandémie du Coronavirus.
Selon le site spécialisé Kooora, le tournoi fait face à plusieurs difficultés à différents niveaux, qui rendent sa mise en place en doute et font que le Cameroun menace de retirer l’organisation dudit évènement pour la deuxième fois, après que cela s’était déjà produit en 2019 et que la tâche avait été confiée à l’Égypte.
Le Cameroun pourrait attaquer la CAF en justiceDans le même sillage, la même source a fait savoir que les difficultés les plus marquantes sont l’impossibilité de compléter l’équipement requis pour le début du tournoi, qui est censé se terminer quelque temps avant la date de la compétition.
Il s’agit en effet, de l’état des pelouses des stades, la préparation des hôtels d’hébergement, le nombre de supporters autorisés à assister à chaque match, ainsi que l’arrivée des caméras chargées des retransmissions télévisées qui n’ont pas pourtant arrivé au Cameroun.
L’arrivée de ces caméras demande beaucoup de temps pour accomplir les différentes procédures pour leur entrée dans le pays. Ce retard met donc le comité d’organisation local au Cameroun devant une crise dans la façon de finaliser tous ces détails d’ici à la fin d’année.
Par ailleurs, le site Kooora a également révélé que le Cameroun pourrait attaquer la CAF en justice afin d’exiger une compensation financière pour les énormes sommes d’argent dépensées, et ce, dans le cas où le tournoi serait reporté ou transféré dans un autre pays.
L’article Coupe d’Afrique 2022 au Cameroun : le tournoi va-t-il être reporté ? est apparu en premier sur .
The Firms and Markets department analyzes the determinants of firms’ strategic behavior and its effects on competition, efficiency, and productivity. We particularly focus on studying the effectiveness of those policies that affect the functioning of markets such as regulations, consumer, competition, industrial, and innovation policies. We empirically test these insights by means of a variety of micro-econometric tools including structural econometric models, policy evaluation and panel methods, as well as semi- and non-parametric techniques.
We are looking for a
Postdoc (f/m/div)
« Il s'agit de faire connaître aux églises du monde entier le sens des prophéties (du livre de l'Apocalypse) et la réalité de l'accomplissement des prophéties.
Le séminaire « Témoignage sur la prophétie et l'accomplissement de l'Apocalypse, la nouvelle alliance de Dieu », qui a commencé par cette déclaration audacieuse du président Man Hee Lee de Shincheonji Église de Jésus, Temple du Tabernacle du Témoignage se tient du 18 octobre au 27 décembre.
Concernant le but d'organiser un séminaire sur l'Apocalypse en tant que livre de la Bible qui prophétisait sur l'avenir du monde chrétien avec des avertissements apocalyptiques après la première venue de Jésus, le président Lee a souligné qu'il est en accord avec les paroles de la Bible de « rendre témoignage pour les églises » (Ap 22:16) par celui « qui a entendu et vu » (Ap 22:8).
Selon son explication, la clé pour comprendre le livre de l'Apocalypse commence par le sens de la révélation. C'est « ouvrir et montrer (ce qui était scellé et invisible) », et il y a un moment où les prophéties enregistrées dans le passé sont accomplies (révélées) dans la réalité.
Il est rapporté dans le chapitre 1 de l'Apocalypse que Jean (l'apôtre) envoie des lettres de Jésus aux sept églises d'Asie, ce qui est décrit comme l'un des mystères (Ap 1:4, 1:20). Le président Lee a expliqué que l'enregistrement de l'envoi de lettres aux sept églises est une prophétie et s'est accompli en réalité au moment de la seconde venue de Jésus. En conséquence, les mystères de la Bible ne sont pas connus au moment de la rédaction du livre de l'Apocalypse, mais ne sont connus que par « celui qui a entendu et vu tous les événements du livre lorsque le récit de la prophétie s'accomplit en réalité. »
En deux jours, le séminaire sur le chapitre 1 de l'Apocalypse sur YouTube par le président Lee a dépassé les 300 000 vues à travers le monde y compris 5 000 leaders chrétiens.
Depuis août, 25 églises africaines avec 10 000 membres ont signé des protocoles d'accord avec Shincheonji Église de Jésus. L'église a déclaré que 18 églises supplémentaires signeront des protocoles d'entente pour sensibiliser à la compréhension de cette époque et promouvoir le développement de la vie religieuse.
(Vous pouvez regarder le séminaire en recherchant « Témoignage sur la prophétie et l'accomplissement de l'Apocalypse, la nouvelle alliance de Dieu » sur YouTube ou via le lien
https://www.youtube.com/channel/UC4qU5LKYyShfNwrAoGSDi-g)