La réouverture partielle des frontières aériennes en Algérie était certes une bonne nouvelle pour les voyageurs et la diaspora algérienne, mais elle a également été marquée par la cherté des billets qui a découragé beaucoup de personnes.
Le prix des billets chez la compagnie aérienne nationale Air Algérie a engendré une grande indignation d’autant plus qu’elle s’est répandu sur d’autres compagnies.
Tout a commencé avec un billet aller simple de Dubaï qui coûte près de 1000 euros (997 euros) et un billet aller simple de Londres fixé à partir de 525 livres sterling. Cette hausse s’est confirmé avec un billet aller simple pour la ligne Montréal – Alger en classe économique qui est fixé à partir de 1222 dollars, un rabat-joie de la reprise des vols avec le Canada.
L’indignation à ce sujet n’a pas été limitée aux clients d’Air Algérie. Cela a même touché la classe politique. C’est justement le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP) Abderrezak Makri qui a dénoncé les prix exorbitants des billets. Ces chiffres « énormes » selon Makri donnent l’impression que « l’on travaille pour le compte des compagnies aériennes françaises ». Déplorant cette cherté, il a également fait une comparaison entre les prix des billets en Algérie et chez des pays voisins, une différence inquiétante.
Air Algérie : entre crise financière et cherté des billetsInvité sur le plateau d’Echourouk TV, le ministre des Transports, Aïssa Bekkai, a fait état de la cherté des billets d’Air Algérie qui ne correspondent pas au pouvoir d’achat des citoyens algériens. Expliquant que ces prix sont clairement à revoir, notamment les prix des billets des vols intérieurs.
Il a également tenu à rappeler la crise financière par laquelle passe Air Algérie suite à la crise sanitaire, affirmant que des plans à moyen et long terme sont proposés pour relever la compagnie et la sortir de cette situation.
Dans le même contexte, le ministre des Transports a indiqué qu’une entreprise de maintenance et réparation aéronautique sera bientôt établie, compte tenu des 96 compagnies commerciales en Algérie dans le domaine des transports.
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Après les assurances des spécialistes et responsables du secteur sanitaire, notamment auprès du Comité scientifique, l’Algérie passe officiellement à la troisième dose du vaccin contre le coronavirus.
Ce mardi, c’est le porte-parole du Comité scientifique chargé du suivi de l’épidémie, le Dr Djamel Fourar, qui annonce le lancement de la vaccination à la dose de rappel dans tous les centres de vaccination à travers le pays.
À ce propos, il souligne que la prise de la troisième dose du vaccin contre le Covid-19 devra intervenir après la vaccination complète, à savoir après la deuxième dose du vaccin.
Concernant la situation épidémiologique, l’intervenant affirme que l’avènement de la 4e vague du coronavirus n’est pas à écarter. À cet effet, il a appelé à la nécessité du respect strict des mesures de prévention ainsi que la vaccination.
Pour rappel, le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a affirmé vers la fin du mois écoulé que toute personne désirant recevoir une 3e dose et ayant reçu sa 2e dose après une période dépassant les six mois « peut se rapprocher des centres de vaccination ».
L’avis du Comité scientifiqueSi cette mesure intervient dans un contexte épidémiologique assez rassurant, ce qui a engendré un recul important de la campagne de vaccination, l’ensemble des spécialistes multiplient les appels à une vaccination de masse afin d’éviter tout risque quant à la 4e vague.
À ce propos, le Dr Riad Mahiaoui, chef de service réanimation au CNMS et membre du Comité scientifique, affirme que « si on fait la 3e dose ce n’est pas uniquement pour écouler les stocks ».
Intervenant hier sur les ondes de la Radio nationale, il explique « qu’on ne peut pas écouler tous les vaccins avec la troisième dose ». Selon lui, « le plus important et notre objectif principal, c’est d’aller se faire vacciner ».
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Le 1er Novembre 1954 est un événement historique qui a marqué l’histoire de l’Algérie. Chaque année, les Algériens fêtent et célèbrent le 1er Novembre, date du déclenchement de la Guerre de Libération nationale.
Plusieurs responsables et célébrités ont adressé leur mot aux Algériens à cet effet. Parmi ces derniers, figure le nom du sélectionneur national Djamel Belmadi.
» Le ministre du Bonheur » n’a pas manqué à dire son mot à l’occasion de la commémoration du 1er Novembre et du 67ème anniversaire du déclenchement de la Glorieuse Révolution de 1954.
Le coach a tenu à rendre un vibrant hommage à nos glorieux martyrs et aux sacrifices du peuple algérien, a-t-on appris aujourd’hui, du site officiel de la Fédération algérienne de football.
» En cette date hautement historique et bien ancrée dans nos cœurs et nos mémoires, je m’incline à la mémoire de nos valeureux Chouhadas, qui, sans leur combat et leurs sacrifices, notre Algérie n’aurait jamais retrouvé son indépendance et sa dignité « , lit-on dans le site de ladite Fédération.
» Je salue aussi, en cette occasion renouvelée, le militantisme, la bravoure et la résistance des enfants de l’Algérie, femmes et hommes, qui nous permettent aujourd’hui de puiser notre fierté et nos forces pour défendre les couleurs et les intérêts de notre nation « , rapporte la même source.
Belmadi rend hommage aux prédécesseurs de l’équipe du Front de libération nationalePar ailleurs, Belmadi a également rendu hommage aux prédécesseurs de la Glorieuse équipe du Front de libération nationale. » Évidemment, j’ai une pensée émue et particulière à nos vaillants prédécesseurs de la Glorieuse équipe du Front de libération nationale. Que ceux qui nous ont déjà quittés, Allah yarhamhoum et que Le Tout-Puissant les accueille dans Son Vaste Paradis, parmi les meilleurs de ce bas monde « .
Il a poursuivi à ce propos : » que ceux qui sont toujours parmi nous, en l’occurrence M.M. Mohamed MAOUCHE, Rachid MEKHLOUFI, Hamid ZOUBA, Abdelkrim KERROUM, Dahmane DEFNOUN et Mohamed SOUKHANE, prions Dieu de leur prêter longue vie et de préserver leur bonne santé pour nous faire rappeler à chaque instant ce devoir de mémoire envers leurs sacrifices et l’égard que nous leur devons pour leurs aspirations afin que vive une Algérie libre, indépendante et grande parmi les nations « .
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La Police Est en deuil.
Le commissaire Samuel Atchou est passé de vie à trépas. Le décès du fonctionnaire de police a été annoncé ce mardi 2 novembre 2021.
Samuel Atchou a été commissaire du commissariat spécial de l'Aéroport international Cardinal Bernardin Gantin de Cotonou.
Paix à l'âme du disparu et condoléances à la famille.
M. M.
Le prix de la pomme de terre est devenu ces dernières années un indicateur incontournable du pouvoir d’achat du citoyen algérien. Si cela est en soi une preuve de la détérioration de la situation économique, la hausse des prix de cette denrée, indispensable aux algériens, n’a rien arrangé aux choses.
Après la sardine, les viandes, rouges puis blanches, la hausse des prix a gagné les fruits en tous genres, puis les légumes, au point ou la pomme de terre a atteint les 140 dinars le kilo sur les étales de certains marchés. Suite à cette détérioration sans précédent, et malgré la timide hausse des salaires, le gouvernement, dos au mur, a été contraint à ouvrir un peu les vannes.
C’est le président Tebboune qui a annoncé, à l’issue du dernier conseil des ministres, que le gouvernement pourrait « recourir à l’importation, à titre urgent et exceptionnel, pour préserver le pouvoir d’achat du citoyen ». Il n’en fallait pas plus apparemment pour le ministère du Commerce pour lancer une vaste opération d’importation de pomme de terre.
Pomme de terre : Rézig veut inonder le marchéSuite à l’annonce du chef de l’État concernant la relance « urgente et exceptionnelle » de l’importation des produits de première nécessité, et ce, afin de « résoudre les préoccupations des citoyens concernant les secteurs du commerce et de l’agriculture et lutter contre la hausse des prix », le ministère du Commerce n’a pas tardé à réagir.
Selon nos sources, le département de Kamel Rézig, le ministre du Commerce, a décidé d’importer des milliers de tonnes de pomme de terre, cela dans le cadre de la lutte contre la spéculation et la hausse des prix des produits de première nécessité.
Il est à rappeler que le ministre de l’Agriculture quant à lui, a affirmé devant le Sénat, que l’Algérie, qui est désormais considérée par la FAO comme ayant réalisé sa sécurité alimentaire, pourrait se tourner vers l’exportation de la pomme de terre.
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A bepanaszolt esetek közül három az orosz Szövetségi Büntetés-végrehajtási Szolgálat (FSZIN) 1. megyei tbc-kórházában, 182 pedig magában a börtönben elkövetett erőszakra vonatkozott. További tíz panaszt a fogva tartási körülmények miatt tettek.
Sznyezsana Muntyan, az őrizetesek jogi képviselője hétfőn a TASZSZ-nak azt mondta, hogy a szaratovi 13. börtönben több mint négyszázan panaszkodtak a tbc-kórházban elkövetett kínzásra, illetve arra, hogy magában a büntetés-végrehajtási intézményben megverték és megzsarolták őket. Az ügyvédnő szerint a börtönben elkövetett nemi erőszakra vonatkozó adat egyelőre nincs. Muntyan közölte: a börtönhatóságok nyomást gyakorolnak az elítéltekre annak érdekében, hogy ne emeljenek hivatalosan panaszt.
Október 18-án a elítéltek jogainak védelmében fellépő Gulagu.net projekt, meg nem nevezett forrásra hivatkozva azt állította, hogy a 13. börtöntelepen többszáz rab megtagadta a munkát, s emiatt különleges erőket vezényeltek a létesítményhez. A FSZIN regionális igazgatósága erről október 19-én cáfolatot adott ki.
Szobolev, aki október 20-án járt a börtönben, másnap úgy nyilatkozott, hogy információi szerint verekedés tört ki, de maguk a foglyok vetettek véget neki. Közölte, hogy a rohamegységek behívásáról szóló értesülés nem nyert megerősítést.
Az orosz Nyomozó Bizottság (SZK) regionális parancsnokság október 22-én arról adott ki tájékoztatást, hogy a 13. börtöntelepen történtek után tíz rab ellen három büntetőeljárás indult, amelyet egységesen kezelnek. A vizsgálat arra a megállapításra jutott, hogy október 20-án a börtön egyik lakóépületében nyolc elítélt kilenc másikat bántalmazott “bosszúból” az intézmény vezetésével történő együttműködésükért. A verekedők szétválasztása közben két őr megsérült.
Vlagyimir Oszecskin, a Gulagu.net alapítója október elején videofelvételeket hozott nyilvánosságra a FSZIN szaratovi megyei 1. tbc-kórházában rabok ellen állítólag elkövetett fizikai és nemi erőszakról. Oszecskin azt mondta akkor, hogy a szervezete több mint ezer hasonló tartalmú, a FSZIN archívumaiból származó videófájl birtokába jutott és ezeket kijuttatta Oroszországból. A felvételek szerinte megerősítik, hogy az oroszországi büntetés-végrehajtási és előzetes letartóztatási intézményekben rendszerszintű a kínzás.
A felvételeket egy volt rab, Szergej Szaveljev informatikus mentette el. Szaveljev a BBC orosznyelvű szolgálatának elmondta, hogy a tbc-kórház komputerén dolgozva bukkant rá a felvételekre, amelyeket a börtönszemélyzet által kötelezően viselt kamerák rögzítettek.
Az ügy kipattanását követően, október 6-án elbocsátották a FSZIN Szaratov megyei parancsnokát, Alekszej Fedotovot és az 1 tbc-börtönkórház vezetőjét, Pavel Gacenkót. Emellett felmentették tisztségéből Szergej Szalovot, a kórházigazgató biztonsági és műveleti helyettesét, valamint Anton Bocskovot, az intézmény műveleti osztályának, és Szergej Malcevet, a biztonsági osztálynak a vezetőjét.
Körözést adtak ki a felvételeket megszerző, fehérorosz állampolgárságú Szaveljev ellen is, aki Franciaországban folyamodott menedékért.
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L’ambition et la détermination peuvent faire concrétiser même les rêves les plus fous. Cela a certainement été la devise et le mindset d’un Algérien qui a vu entre possible et impossible que deux lettres et un état d’esprit. On ne parle pas ici d’entreprise ou de start-up, mais d’un simple citoyen algérien qui, au nom de sa passion, a su traduire son rêve en réalité vrai.
C’est l’histoire d’Ali Guendouzi, un Algérien âgé de 28 ans habitant la commune d’Aflou à Laghouat. Mari et père de quatre enfants, Ali est un passionné d’automobile depuis son jeune âge. Il travaille comme mécanicien, un métier qui le rapproche des voitures mais pas que!
Ali ne s’est pas contenté de mettre la photo d’une Lamborghini comme photo de couverture sur son compte Facebook, il avait un rêve, une idée et surtout une volonté exceptionnelle qui a donné naissance à la première réplique de Lamborghini « Made in Algeria ».
Lorsqu’un rêve défie la réalitéAli a commencé son projet dans le petit garage de son ami. N’ayant pas une situation financière qui lui permet de se procurer les pièces et les outils adaptés, il a pris sa tronçonneuse, des pièces de voitures délaissées qu’il a ramassé au fur et à mesure et surtout sa détermination. C’est ainsi qu’un artiste ayant pour canevas sa Nissan Sunny 1994 a fait une réplique de Lamborghini.
Le talentueux mécanicien a dédié six mois pour transformer sa voiture en Lamborghini. Avec peu de moyens mais beaucoup de passion, il a travaillé jour et nuit pour atteindre son objectif. Il continue encore de rajouter des détails à sa Lamborghini, des retouches par-ci par-là pour agrémenter son joyau.
Les ambitions d’Ali ne connaissent pas de limites, il rêve également de fabriquer une voiture électrique malgré l’absence des moyens. On entendra certainement son nom dans l’avenir en Algérie et même ailleurs grâce à son travail.
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