Un employé d'une société de transit et de consignation séjourne à la prison civile de Cotonou. Il a simulé un braquage afin de détourner des millions de francs CFA de la société qui l'emploie.
24 millions de francs CFA, c'est le montant que l'employé a détourné. En mission pour le paiement des frais d'une marchandise que sa société devrait sortir du Port autonome de Cotonou, il appelle son comptable pour lui l'informer d'un braquage dont il a été victime.
Soumis à l'interrogatoire, il s'est avéré qu'il a utilisé les sous dans une autre affaire dont lui avait parlé un ami, et qui devrait lui rapporter gros. Contre toute attente, le business a tourné au drame, et il n'a pu récupérer les sous comme prévu.
. L'ami en question est actuellement en cavale et recherché par la police.
F. A. A.
La Post-doctorante Esther Deguenon de nationalité béninoise est l'un des Jeunes Talents 2021 Afrique de l'Ouest L'Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science.
Post-doctorante en science de la vie et spécialisée en microbiologie, Esther Deguenon de l'Université d'Abomey-Calavi reçoit le Prix Jeunes Talents 2021 L'Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science. Originaire du Bénin, elle mène actuellement ses recherches visant à « identifier et apprivoiser les gènes de résistance aux antibiotiques et aux produits chimiques antibiotiques dans l'eau potable pour une meilleure qualité de vie ». Consciente de l'interconnexion entre l'homme, les animaux, les plantes et leur environnement commun, elle exploite la microbiologie moléculaire et la pharmacologie dans la lutte contre la multirésistance aux médicaments. Esther Deguenon rêve d'une Afrique et d'un monde où les maladies infectieuses ne menacent plus les enfants et les plus vulnérables, où la résistance antimicrobienne est efficacement contrôlée et où l'accès à la santé est une réalité pour tous.
Le Prix Jeunes Talents est remis chaque année par la Fondation L'Oréal, en partenariat avec l'UNESCO à 20 femmes scientifiques africaines qui se démarquent de par leurs travaux de recherche.
Pour l'édition 2021, sept chercheuses proviennent de l'Afrique de l'Ouest.
Le Prix Pour les Femmes et la Science, édition 2021, aura lieu le 25 novembre 2021 à Kigali.
Le taux de change de l’euro face au dinar a connu une légère hausse dans les cotations officielles de ce lundi 22 novembre. Sur le marché parallèle des devises, la situation est restée stable par rapport aux niveaux d’hier.
Dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie, l’euro s’échange pour ce lundi, contre 157,17 dinars à l’achat et 157,20 dinars à la vente. Hier, il s’échangeait contre 157,15 dinars à l’achat et 157,21 dinars à la vente.
Pour la monnaie étasunienne, les cours sur le marché interbancaire des changes d’Alger font état d’un dollar contre 138,64 dinars à l’achat et 138,66 dinars à la vente. Hier, il était à 138,62 dinars à l’achat et 138,63 dinars à la vente.
En outre, le tableau de change de la banque d’Algérie indique que la livre sterling a enregistré une baisse sur le marché officiel. L’unité de cette monnaie s’échange contre 187,00 dinars à l’achat et 187,05 dinars à la vente, contre 187,27 dinars à l’achat et 187,34 dinars à la vente hier.
Taux de change sur le marché parallèleAu niveau du marché parallèle des devises, la monnaie unique européenne s’affiche, pour ce lundi, dans les environs des 214 dinars à la vente contre 216 dinars à la vente, soit 21.400 DA pour 100 euros à la vente et 21.600 DA à l’achat.
Concernant le dollar américain au niveau du même circuit, un dollar est proposé contre à 188 DA à la vente contre 191 DA à l’achat. La livre sterling dans le marché noir des devises s’échange, quant à elle, contre 247 DA à l’achat 250 DA à la vente.
Pour ce qui est du taux de change du dollar canadien, il affiche ce dimanche dans les cotations officielles 110,02 dinars à l’achat et 110,07 dinars à la vente. En outre, un seul dollar canadien est cédé au marché noir contre 140 dinars à l’achat et contre 143 dinars à la vente.
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Bosnie-Herzégovine : et si la vraie crise, c'était celle des internationaux
Bosnie-Herzégovine : cette grande peur du retour de la guerre
Bosnie-Herzégovine : la diaspora ne croit pas à la guerre
Changer les frontières des Balkans : un « non paper » qui bouleverse la région
Revue de presse • Milorad Dodik et Dragan Čović, seigneurs et maîtres de la Bosnie-Herzégovine ?
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VIENNA, 22 November 2021 — OSCE Secretary General Helga Maria Schmid, will visit Bosnia and Herzegovina from 22 to 24 November for meetings with high-level officials and other stakeholders. She will also visit OSCE Mission to Bosnia and Herzegovina and one of its field offices.
Schmid will meet with the members of the Presidency of Bosnia and Herzegovina Željko Komšić, Milorad Dodik and Šefik Džaferović, as well as Foreign Affairs Minister Bisera Turković. She will also have discussions with the Collegium of Parliament Houses and Inter-Agency Working Group on Election Law Reform.
Talks will focus on promoting dialogue and reconciliation, pursuing the country’s reform priorities, including election, education, judicial and anti-corruption reforms.
Schmid will also meet with representatives of civil society and OSCE partners.
Plusieurs wilayas du nord du pays seront au rendez-vous ce lundi 22 novembre avec de fortes pluies, indique un bulletin de l’office national de météorologie (ONM).
Selon la carte de vigilance publiée sur le site de l’ONM, les wilayas de Tizi Ouzou, Boumerdès, Alger, Tipaza, Blida, Chlef, Mostaganem sont placées en vigilance orange pluie. La wilaya de Ain Defla est placée, quant à elle, en vigilance jaune pluie.
La validité du bulletin sur l’ensemble des régions citées s’étalera jusqu’à 15 h 00 de cette même journée. Les quantités de pluie attendues pourront dépasser les 40 mm localement, précise encore la même source.
Les prévisions et températures pour ce lundiPour les autres régions, Météo Algérie prévoit un temps souvent nuageux avec quelques averses de pluie parfois orageuses sur les régions est et centre. Probabilité d’observer des bancs de brume en début de cette matinée sur les hauts plateaux.
Sur les régions sahariennes, des bancs de brume avec des nuages bas en matinée sont attendus sur la région de Tindouf vers les régions de Béni Abbès et Béchar. Sur le nord du Sahara et les oasis, le temps sera voilé à nuageux avec quelques pluies.
Pour ce qui est des températures maximales attendues pour cette même journée, Météo Algérie prévoit entre 16 et 20 degrés sur les régions côtières, entre 10 et 18 degrés sur les régions intérieures et entre 13 et 33 degrés sur les régions sahariennes.
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Die Zusammenarbeit mit Nordafrika war für die letzten deutschen Regierungen eine wichtige Priorität und wird es wahrscheinlich auch für die kommende Regierung bleiben. Dies liegt an starken gemeinsamen Interessen in den Bereichen Handel, Sicherheit, Klima- und Energiezusammenarbeit, aber auch daran, dass viele der politischen und wirtschaftlichen Probleme, die zu den arabischen Aufständen im Jahr 2011 geführt haben, nicht gelöst sind.
Wenn es, wie Chou En Lai vielleicht nie zu Henry Kissinger gesagt hat, zu früh ist, um zu wissen, welche Auswirkungen die Französische Revolution haben wird, dann ist es nach einem Jahrzehnt viel zu früh, mit Sicherheit sagen zu können, welche Folgen die arabischen Aufstände haben werden. Die arabische Welt befindet sich in einem gesellschaftlichen Transformationsprozess, der noch lange nicht abgeschlossen ist und dessen Ausgang niemand vorhersehen kann. Deutschland braucht daher einen langfristigen und unterstützenden Kooperationsansatz, der kurzfristigen Interessen und diplomatischen Querelen widersteht.
Die politische Instabilität Nordafrikas gibt Europa nach wie vor Anlass zur Sorge. Die Rolle der deutschen Außen- und Entwicklungspolitik bei der Stärkung von Wohlstand und sozialem Zusammenhalt vor Ort ist gleichzeitig eine Herausforderung und eine Chance. Die jüngsten Entwicklungen in zwei nordafrikanischen Ländern verdeutlichen, welche Risiken ein Scheitern, aber auch welches Potenzial eine gelungene Zusammenarbeit birgt. Tunesien und Marokko sind „Reformpartnerschaftsländer“, in denen die deutschen Regierungen erhebliche finanzielle und diplomatische Ressourcen investiert haben, um Reformen zur Verbesserung der Regierungsführung und die Entwicklung der Privatwirtschaft zu unterstützen.
Der demokratische Übergang in Tunesien ist für die gesamte Region des Nahen Ostens und Nordafrikas von großer Bedeutung. Im Sommer 2021 allerdings löste Präsident Kais Saied das Parlament des Landes auf, entließ den Premierminister und regiert seitdem per Präsidialdekret. Die Tunesier sind gespalten in diejenigen, die den Sturz der als ineffizient und korrupt empfundenen Regierung unterstützen, und in diejenigen, die Saied vorwerfen, den demokratischen Übergang des Landes zu torpedieren. Viele westliche Beobachter verurteilten Saieds Schritt, ohne allerdings zu versuchen, auch die lokal vielfach andere Wahrnehmung der Entwicklung zu verstehen.
Die deutsche Reaktion auf Saieds Schritt fiel zurückhaltend aus; das Auswärtige Amt bezeichnete ihn nicht als Staatsstreich. Dies zeigt Bewusstsein dafür, dass die Situation nicht schwarz-weiß ist. Gleichzeitig hat die deutsche Regierung sich nicht dazu geäußert, wie sich die Krise auf ihre Kooperation mit dem Land auswirkt und ob sie Anpassungen erfordert. Externe Akteure können politischen Wandel vor Ort nur fördern, wenn er lokal verankert und legitimiert ist, und Deutschland muss demokratische Akteure und Prozesse eindeutig unterstützen. Dennoch kann und wird nur das tunesische Volk selbst entscheiden, ob die aktuelle Krise eine Rückkehr zu autoritärer Herrschaft bedeutet, oder ob sie ein Schritt auf dem Weg zu einer Art repräsentativer Demokratie ist.
Marokko ist ein selbstbewusstes Land, das seine Beziehungen zum übrigen Afrika ausbauen und Investitionen globaler Akteure anziehen möchte. Vor kurzem wurde eine neue marokkanische Regierung ernannt. Leider sind die deutsch-marokkanischen diplomatischen Beziehungen und auch die weitere Zusammenarbeit derzeit nach einer Reihe von Uneinigkeiten auch bez. des Status der Westsahara weitgehend ausgesetzt. Das Vertrauen, das in mehr als 40 Jahren erfolgreicher Zusammenarbeit in den Bereichen erneuerbare Energien, Umweltpolitik, Sicherheit und Handel aufgebaut wurde, wird damit auf eine harte Probe gestellt.
Das neue Entwicklungsmodell Marokkos, das die wichtigsten strategischen sozioökonomischen Ziele des Landes für die kommenden Jahre darstellt, bietet zahlreiche Ansatzpunkte für eine Zusammenarbeit, die vom Übergang zu einer klimafreundlichen Wirtschaft bis hin zu Beschäftigung, Bildung, Bürgerbeteiligung und Investitionen reichen. Die gemeinsamen Vorteile der Kooperation in diesen Bereichen und der Fortführung bestehender Projekte zur Klimapolitik, Solar- und Windenergie sowie zur Wasserstofferzeugung sollten beiden Regierungen bewusst sein. Hier könnten die bilateralen Beziehungen bald wieder ihr volles Potenzial entfalten.
Die neue deutsche Regierung kann eine positive Rolle bei der Unterstützung des Übergangs in Tunesien und Marokko spielen, ohne dabei Kompromisse bei Kernprinzipien wie sozialer Gerechtigkeit, Menschenrechten und offenem Wirtschaftsaustausch einzugehen. Deutschland muss zwar bereit sein, die Zusammenarbeit einzustellen, wenn diese Prinzipien ernsthaft bedroht sind, aber es muss auch akzeptieren, dass Diskussionen über Fragen der Souveränität und demokratische Regierungsmodelle wahrscheinlich schwierig sein werden. Wenn Deutschland in diesen Fragen in den Dialog kommen möchte, muss es Heuchelei vermeiden, vor allem in den Bereichen Migration und Handelsschutz, wo sich hinter prinzipientreuen Aussagen oft eine ausgrenzende Politik verbirgt. Die Bekämpfung des Klimawandels und seiner Auswirkungen, die Verringerung sozioökonomischer Ungleichheiten und die Sicherheit sind Bereiche, in denen ein gemeinsames Interesse besteht, das Gemeinwohl zu fördern. Mit Blick auf die Grundprinzipien sollten diese Bereiche im Mittelpunkt eines langfristigen Kooperationsansatzes der neuen deutschen Regierung mit den nordafrikanischen Ländern stehen.
Die Zusammenarbeit mit Nordafrika war für die letzten deutschen Regierungen eine wichtige Priorität und wird es wahrscheinlich auch für die kommende Regierung bleiben. Dies liegt an starken gemeinsamen Interessen in den Bereichen Handel, Sicherheit, Klima- und Energiezusammenarbeit, aber auch daran, dass viele der politischen und wirtschaftlichen Probleme, die zu den arabischen Aufständen im Jahr 2011 geführt haben, nicht gelöst sind.
Wenn es, wie Chou En Lai vielleicht nie zu Henry Kissinger gesagt hat, zu früh ist, um zu wissen, welche Auswirkungen die Französische Revolution haben wird, dann ist es nach einem Jahrzehnt viel zu früh, mit Sicherheit sagen zu können, welche Folgen die arabischen Aufstände haben werden. Die arabische Welt befindet sich in einem gesellschaftlichen Transformationsprozess, der noch lange nicht abgeschlossen ist und dessen Ausgang niemand vorhersehen kann. Deutschland braucht daher einen langfristigen und unterstützenden Kooperationsansatz, der kurzfristigen Interessen und diplomatischen Querelen widersteht.
Die politische Instabilität Nordafrikas gibt Europa nach wie vor Anlass zur Sorge. Die Rolle der deutschen Außen- und Entwicklungspolitik bei der Stärkung von Wohlstand und sozialem Zusammenhalt vor Ort ist gleichzeitig eine Herausforderung und eine Chance. Die jüngsten Entwicklungen in zwei nordafrikanischen Ländern verdeutlichen, welche Risiken ein Scheitern, aber auch welches Potenzial eine gelungene Zusammenarbeit birgt. Tunesien und Marokko sind „Reformpartnerschaftsländer“, in denen die deutschen Regierungen erhebliche finanzielle und diplomatische Ressourcen investiert haben, um Reformen zur Verbesserung der Regierungsführung und die Entwicklung der Privatwirtschaft zu unterstützen.
Der demokratische Übergang in Tunesien ist für die gesamte Region des Nahen Ostens und Nordafrikas von großer Bedeutung. Im Sommer 2021 allerdings löste Präsident Kais Saied das Parlament des Landes auf, entließ den Premierminister und regiert seitdem per Präsidialdekret. Die Tunesier sind gespalten in diejenigen, die den Sturz der als ineffizient und korrupt empfundenen Regierung unterstützen, und in diejenigen, die Saied vorwerfen, den demokratischen Übergang des Landes zu torpedieren. Viele westliche Beobachter verurteilten Saieds Schritt, ohne allerdings zu versuchen, auch die lokal vielfach andere Wahrnehmung der Entwicklung zu verstehen.
Die deutsche Reaktion auf Saieds Schritt fiel zurückhaltend aus; das Auswärtige Amt bezeichnete ihn nicht als Staatsstreich. Dies zeigt Bewusstsein dafür, dass die Situation nicht schwarz-weiß ist. Gleichzeitig hat die deutsche Regierung sich nicht dazu geäußert, wie sich die Krise auf ihre Kooperation mit dem Land auswirkt und ob sie Anpassungen erfordert. Externe Akteure können politischen Wandel vor Ort nur fördern, wenn er lokal verankert und legitimiert ist, und Deutschland muss demokratische Akteure und Prozesse eindeutig unterstützen. Dennoch kann und wird nur das tunesische Volk selbst entscheiden, ob die aktuelle Krise eine Rückkehr zu autoritärer Herrschaft bedeutet, oder ob sie ein Schritt auf dem Weg zu einer Art repräsentativer Demokratie ist.
Marokko ist ein selbstbewusstes Land, das seine Beziehungen zum übrigen Afrika ausbauen und Investitionen globaler Akteure anziehen möchte. Vor kurzem wurde eine neue marokkanische Regierung ernannt. Leider sind die deutsch-marokkanischen diplomatischen Beziehungen und auch die weitere Zusammenarbeit derzeit nach einer Reihe von Uneinigkeiten auch bez. des Status der Westsahara weitgehend ausgesetzt. Das Vertrauen, das in mehr als 40 Jahren erfolgreicher Zusammenarbeit in den Bereichen erneuerbare Energien, Umweltpolitik, Sicherheit und Handel aufgebaut wurde, wird damit auf eine harte Probe gestellt.
Das neue Entwicklungsmodell Marokkos, das die wichtigsten strategischen sozioökonomischen Ziele des Landes für die kommenden Jahre darstellt, bietet zahlreiche Ansatzpunkte für eine Zusammenarbeit, die vom Übergang zu einer klimafreundlichen Wirtschaft bis hin zu Beschäftigung, Bildung, Bürgerbeteiligung und Investitionen reichen. Die gemeinsamen Vorteile der Kooperation in diesen Bereichen und der Fortführung bestehender Projekte zur Klimapolitik, Solar- und Windenergie sowie zur Wasserstofferzeugung sollten beiden Regierungen bewusst sein. Hier könnten die bilateralen Beziehungen bald wieder ihr volles Potenzial entfalten.
Die neue deutsche Regierung kann eine positive Rolle bei der Unterstützung des Übergangs in Tunesien und Marokko spielen, ohne dabei Kompromisse bei Kernprinzipien wie sozialer Gerechtigkeit, Menschenrechten und offenem Wirtschaftsaustausch einzugehen. Deutschland muss zwar bereit sein, die Zusammenarbeit einzustellen, wenn diese Prinzipien ernsthaft bedroht sind, aber es muss auch akzeptieren, dass Diskussionen über Fragen der Souveränität und demokratische Regierungsmodelle wahrscheinlich schwierig sein werden. Wenn Deutschland in diesen Fragen in den Dialog kommen möchte, muss es Heuchelei vermeiden, vor allem in den Bereichen Migration und Handelsschutz, wo sich hinter prinzipientreuen Aussagen oft eine ausgrenzende Politik verbirgt. Die Bekämpfung des Klimawandels und seiner Auswirkungen, die Verringerung sozioökonomischer Ungleichheiten und die Sicherheit sind Bereiche, in denen ein gemeinsames Interesse besteht, das Gemeinwohl zu fördern. Mit Blick auf die Grundprinzipien sollten diese Bereiche im Mittelpunkt eines langfristigen Kooperationsansatzes der neuen deutschen Regierung mit den nordafrikanischen Ländern stehen.
Die Zusammenarbeit mit Nordafrika war für die letzten deutschen Regierungen eine wichtige Priorität und wird es wahrscheinlich auch für die kommende Regierung bleiben. Dies liegt an starken gemeinsamen Interessen in den Bereichen Handel, Sicherheit, Klima- und Energiezusammenarbeit, aber auch daran, dass viele der politischen und wirtschaftlichen Probleme, die zu den arabischen Aufständen im Jahr 2011 geführt haben, nicht gelöst sind.
Wenn es, wie Chou En Lai vielleicht nie zu Henry Kissinger gesagt hat, zu früh ist, um zu wissen, welche Auswirkungen die Französische Revolution haben wird, dann ist es nach einem Jahrzehnt viel zu früh, mit Sicherheit sagen zu können, welche Folgen die arabischen Aufstände haben werden. Die arabische Welt befindet sich in einem gesellschaftlichen Transformationsprozess, der noch lange nicht abgeschlossen ist und dessen Ausgang niemand vorhersehen kann. Deutschland braucht daher einen langfristigen und unterstützenden Kooperationsansatz, der kurzfristigen Interessen und diplomatischen Querelen widersteht.
Die politische Instabilität Nordafrikas gibt Europa nach wie vor Anlass zur Sorge. Die Rolle der deutschen Außen- und Entwicklungspolitik bei der Stärkung von Wohlstand und sozialem Zusammenhalt vor Ort ist gleichzeitig eine Herausforderung und eine Chance. Die jüngsten Entwicklungen in zwei nordafrikanischen Ländern verdeutlichen, welche Risiken ein Scheitern, aber auch welches Potenzial eine gelungene Zusammenarbeit birgt. Tunesien und Marokko sind „Reformpartnerschaftsländer“, in denen die deutschen Regierungen erhebliche finanzielle und diplomatische Ressourcen investiert haben, um Reformen zur Verbesserung der Regierungsführung und die Entwicklung der Privatwirtschaft zu unterstützen.
Der demokratische Übergang in Tunesien ist für die gesamte Region des Nahen Ostens und Nordafrikas von großer Bedeutung. Im Sommer 2021 allerdings löste Präsident Kais Saied das Parlament des Landes auf, entließ den Premierminister und regiert seitdem per Präsidialdekret. Die Tunesier sind gespalten in diejenigen, die den Sturz der als ineffizient und korrupt empfundenen Regierung unterstützen, und in diejenigen, die Saied vorwerfen, den demokratischen Übergang des Landes zu torpedieren. Viele westliche Beobachter verurteilten Saieds Schritt, ohne allerdings zu versuchen, auch die lokal vielfach andere Wahrnehmung der Entwicklung zu verstehen.
Die deutsche Reaktion auf Saieds Schritt fiel zurückhaltend aus; das Auswärtige Amt bezeichnete ihn nicht als Staatsstreich. Dies zeigt Bewusstsein dafür, dass die Situation nicht schwarz-weiß ist. Gleichzeitig hat die deutsche Regierung sich nicht dazu geäußert, wie sich die Krise auf ihre Kooperation mit dem Land auswirkt und ob sie Anpassungen erfordert. Externe Akteure können politischen Wandel vor Ort nur fördern, wenn er lokal verankert und legitimiert ist, und Deutschland muss demokratische Akteure und Prozesse eindeutig unterstützen. Dennoch kann und wird nur das tunesische Volk selbst entscheiden, ob die aktuelle Krise eine Rückkehr zu autoritärer Herrschaft bedeutet, oder ob sie ein Schritt auf dem Weg zu einer Art repräsentativer Demokratie ist.
Marokko ist ein selbstbewusstes Land, das seine Beziehungen zum übrigen Afrika ausbauen und Investitionen globaler Akteure anziehen möchte. Vor kurzem wurde eine neue marokkanische Regierung ernannt. Leider sind die deutsch-marokkanischen diplomatischen Beziehungen und auch die weitere Zusammenarbeit derzeit nach einer Reihe von Uneinigkeiten auch bez. des Status der Westsahara weitgehend ausgesetzt. Das Vertrauen, das in mehr als 40 Jahren erfolgreicher Zusammenarbeit in den Bereichen erneuerbare Energien, Umweltpolitik, Sicherheit und Handel aufgebaut wurde, wird damit auf eine harte Probe gestellt.
Das neue Entwicklungsmodell Marokkos, das die wichtigsten strategischen sozioökonomischen Ziele des Landes für die kommenden Jahre darstellt, bietet zahlreiche Ansatzpunkte für eine Zusammenarbeit, die vom Übergang zu einer klimafreundlichen Wirtschaft bis hin zu Beschäftigung, Bildung, Bürgerbeteiligung und Investitionen reichen. Die gemeinsamen Vorteile der Kooperation in diesen Bereichen und der Fortführung bestehender Projekte zur Klimapolitik, Solar- und Windenergie sowie zur Wasserstofferzeugung sollten beiden Regierungen bewusst sein. Hier könnten die bilateralen Beziehungen bald wieder ihr volles Potenzial entfalten.
Die neue deutsche Regierung kann eine positive Rolle bei der Unterstützung des Übergangs in Tunesien und Marokko spielen, ohne dabei Kompromisse bei Kernprinzipien wie sozialer Gerechtigkeit, Menschenrechten und offenem Wirtschaftsaustausch einzugehen. Deutschland muss zwar bereit sein, die Zusammenarbeit einzustellen, wenn diese Prinzipien ernsthaft bedroht sind, aber es muss auch akzeptieren, dass Diskussionen über Fragen der Souveränität und demokratische Regierungsmodelle wahrscheinlich schwierig sein werden. Wenn Deutschland in diesen Fragen in den Dialog kommen möchte, muss es Heuchelei vermeiden, vor allem in den Bereichen Migration und Handelsschutz, wo sich hinter prinzipientreuen Aussagen oft eine ausgrenzende Politik verbirgt. Die Bekämpfung des Klimawandels und seiner Auswirkungen, die Verringerung sozioökonomischer Ungleichheiten und die Sicherheit sind Bereiche, in denen ein gemeinsames Interesse besteht, das Gemeinwohl zu fördern. Mit Blick auf die Grundprinzipien sollten diese Bereiche im Mittelpunkt eines langfristigen Kooperationsansatzes der neuen deutschen Regierung mit den nordafrikanischen Ländern stehen.
Azt írták: a hűvösebb idő kezdetével, jellemzően ősztől egyre gyakoribbak a kisebb-nagyobb otthoni tűzesetek, hiszen a sütés-főzés, a fűtés, de a dohányzás kapcsán is adottak az égés feltételei.
A Magyar Tűzoltó Szövetséget a tűzmegelőzési és az ezt elősegítő társadalmi tájékoztatási küldetésében a Philip Morris Magyarország is támogatja. A vállalat nagy hangsúlyt fektet a dohányzással kapcsolatos ártalomcsökkentéssel – első sorban a leszokás fontosságával – összefüggő tájékoztatásra, illetve a füst nélküli technológiákról szóló hiteles információk elérhetővé tételére, valamint a dohányzásból eredő hulladékok felelős kezelésének ösztönzésére – írták.
Tekintettel a hagyományos dohánytermékek használatából eredő tűzesetekre és következményeikre, a két szervezet közösen tájékoztat a megelőzés lehetőségeiről, illetve a nyílt láng figyelmetlen használatának veszélyeiről.
Hangsúlyozták, hogy az otthonokban keletkezett tűzesetek megelőzéséhez az egyik legfontosabb üzenet, hogy nyílt lángot soha ne hagyjanak felügyelet nélkül.
A tűzoltó szövetség azt javasolja, hogy minden lakásban, házban legyen legalább egy kis méretű porral oltó eszköz. Az elektromos eszközök vagy konnektor közelében keletkezett tűz esetén mindenekelőtt áramtalanítani kell. Ezt követően az esetleges tüzet el lehet oltani vízzel is, ennek hiányában porral vagy habbal oltó eszközt is lehet használni – ismertették.
Minden tűz esetén a 112-es segélyhívó telefonszámot kell hívni, és kérni a tűzoltók, sérülés esetén pedig a mentők segítségét – hívták fel a figyelmet.
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