Ne dit-on pas que le pire n’est pas de commettre une erreur, mais de ne pas la reconnaître ! C’est le cas de cet Algérien qui avait blessé, en 2017 à Levallois, six soldats français en fonçant sur eux au volant de sa voiture. Son procès débute aujourd’hui à Paris.
Aujourd’hui « en fauteuil roulant » depuis sa blessure à la colonne vertébrale lors de son arrestation, le mis en cause s’obstine à nier les faits qui lui sont reprochés. L’Algérien campe toujours sur sa position soulignant qu’il « avait été victime d’un malaise et avait perdu le contrôle de son véhicule », selon le journal français Le Figaro.
Un motif qui ne convainc point la chambre d’accusation. Aujourd’hui il est poursuivi pour «tentative d’assassinats sur personnes dépositaires de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste». L’acte accusation est appuyé d’autant que les faits se sont produits « en pleine vague d’attentats djihadistes en France ».
Un projet « terroriste » et un intérêt pour L’EIPour le parquet national antiterroriste (Pnat) les faits reprochés à l’accusé présentaient «non seulement un caractère intentionnel avéré» mais également «associés à la volonté de tuer, et ce dans le cadre d’un projet terroriste» du fait qu’il avait effectué des repérages sur les lieux trois jours avant l’attentat.
Bien que l’accusé n’était pas connu pour « radicalisation religieuse », mais lors d’un examen de contenus effectués sur ses deux téléphones, il s’est avéré, selon la même source, que l’Algérien avait un vif intérêt l’EI et des velléités de départ pour la Syrie.
« dénégations pas crédibles »!Prenant la fuite après les faits, toutes les dénégations avancés par cet Algérien ne sont pas crédibles, selon la partie civile.
Sans casier judiciaire au moment de son arrestation, le quadragénaire a depuis fait l’objet de « deux condamnations » pour « agressions contre des surveillants pendant sa détention », selon la même source.
Endossant aujourd’hui une lourde accusation, le mis en cause comparaitra devant la cour d’assises spécialement composée en attendant son jugement final.
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La France, dans sa lutte contre la Covid-19, semble être envahie par la crainte d’un nouveau variant qui remettrait à zéro tous les efforts vaccinaux entrepris depuis le début de la pandémie.
Après le Variant Omicron, découvert en Afrique du Sud, les autorités sanitaires françaises s’inquiètent à propos d’un autre variant d’origine africaine.
En effet, le variant congolais a été détecté pour la première fois au mois d’octobre dernier en France, et depuis, il a gagné du terrain en contaminant plus de 50 patients, principalement en région Paca, en Auvergne-Rhône-Alpes, en Aquitaine et en Île-de-France.
Un variant sans lettre grecqueBien que le variant congolais, sobrement baptisé B.1.640, n’ait pas eu droit à sa lettre grecque, comme ce fut le cas avec le variant Omicron, il n’en demeure pas moins inquiétant aux yeux du ministère de la Santé en France, qui affirme le surveiller de prés.
Ce variant, détecté pour la première fois fin septembre, en République démocratique du Congo, n’est pas considéré comme un « variant préoccupant ou d’intérêt » par l’OMS. En France pourtant, on dit ne pas encore connaitre son impact réel, ce qui fait de lui un variant « en cours d’évaluation ».
« On le surveille à fond », confie le virologue Français Bruno Lina à propos de ce variant détecté chez un Nantais en provenance du Congo. Ce patient a toutefois contaminé toute une famille lors d’une soirée dans le Finistère. Quelques jours plus tard, le virus est détecté chez 24 autres personnes, dont 18 élèves dans une école primaire, ce qui a causé la fermeture de plusieurs classes.
Une « souche anormale »Après ce coming-out assez spectaculaire, le variant congolais est évoqué par le ministre Français de la Santé. Olivier Véran déclare, en novembre dernier : « vous avez peut-être entendu parler d’un variant congolais. Huit cas ont été identifiés en République du Congo et on a découvert fin septembre un cluster familial chez des personnes qui en revenaient ».
Le ministre affirme toutefois qu’il « ne dit pas ça pour inquiéter, rien n’indique que ce variant soit particulièrement dangereux, mais pour souligner que notre capacité à traquer les variants est très forte ».
Le variant congolais est doté cependant « d’un profil de mutations particulier, il a été retrouvé chez des enfants et des personnes vaccinées à peu près partout », indique le professeur Bruno Lina qui affirme qu’il s’agit d’une « souche anormale » et « très particulière ».
Le même intervenant précise que plus de 50 cas ont été déjà recensé en France, ce qui fait d’après lui de ce variant un centre de préoccupation. Le professeur confie que ce variant « est en train de se répandre et circule en même temps que le Delta, poursuit-il. On est le pays qui en rapporte le plus« .
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Entre la décrue du nombre de cas de contaminations du Covid-19 et le nouveau variant « Omicron » récemment découvert, les autorités se précipitent partout dans le monde pour mettre en place les mesure préventives nécessaires afin d’éviter les vagues mortifères de cette pandémie.
L’Algérie, à titre d’exemple, tente de se protéger de ce nouveau variant et de reprendre la stabilité et la décrue qui a été enregistrée durant les mois précédents, et ce, en veillant sur l’application d’un protocole sanitaire stricte dont la tête de gondole n’est autre que la vaccination.
En effet, le ministère des Transports a annoncé le 1er décembre à travers un communiqué, la vaccination obligatoire pour les voyageurs par voie maritime ainsi que le test PCR et le test antigénique à l’arrivé, en partance ou en provenance de l’étranger vers l’Algérie à partir d’aujourd’hui, 6 décembre 2021.
Une décision « boudée » aussi bien par les voyageurs que par la classe politique, en raison de manque d’informations et de précisions et surtout, les tests imposés pour les vaccinés et les non-vaccinés à titre égal .
Une protestation parlementaireCette décision a déplu a plusieurs personnes, ainsi que la manière dont elle a été annoncée. Le député de l’émigration Abdelouahab Yagoubi a déploré une telle façon d’annoncer une information aussi importante, il décide donc d’agir avec d’autres députés suite à l’incompréhension que cette décision a suscitée.
« Suite à la décision improvisée prise hier par le ministère des Transports d’imposer arbitrairement l’obligation de vaccination aux citoyens, je me suis déplacé, cet après-midi, avec une délégation de députés de l’Assemblée Populaire Nationale aujourd’hui au siège du ministère des Transports pour faire part de notre protestation contre cette décision anti-constitutionnelle, qui a été prise d’une manière absolument inacceptable » a t-il publié sur sa page Facebook.
Le député de l’émigration a ajouté « indépendamment du devoir de chacun d’inciter les citoyens à se faire vacciner, il est hors de question qu’une instruction administrative impose cette contrainte aux citoyens, comme l’a souligné le Président de la République« .
« Nous demandons l’annulation de cette mesure »Tewfiq Khedim, un député de l’émigration a également exprimé son mécontentement, rappelant que la vaccination n’est pas une mesure à imposer du jour au lendemain notamment pour les voyageurs ayant déjà réservés, et ce, sans consultation aucune des parlementaires.
Raison pour laquelle, une délégation de 6 députés dont Abdelouahab Yagoubi s’est déplacée au siège du ministère des Transports pour leur faire part de leur protestation contre cette décision « anti-constitutionnelle« . Yagoubi a souligné « le protocole efficace reste l’exigence d’un test PCR négatif à l’embarquement et d’un examen antigénique à l’arrivée pour les vaccinés et les non vaccinés« , ainsi, ils espèrent l’annulation de cette mesure.
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La première session criminelle de l'année judiciaire 2021-2022 s'est ouverte ce lundi 06 décembre 2021 à la CRIET avec le dossier du Professeur Joël Aïvo.
L'opposant Joël Aïvo s'est rendu à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme aux environs de 8 h. Ses co-accusés Ibrahim Moudjahidou, Boni Saré Issiakou sont également présents. L'audience ouverte vers 9 heures a été suspendue en raison de l'absence de l'un des accusés Alain Dotou Gnonlonfoun. Le chargé des finances du Professeur est en route pour la Criet.
Plusieurs avocats se sont mobilisés pour la défense de l'opposant Aïvo dont Me Robert Dossou, Me Nadine Sakponou, Me Elvis Didè. Le Professeur de droit constitutionnel est poursuivi pour "atteinte à la sûreté de L'État et blanchiment de capitaux". Candidat recalé à l'élection présidentielle, Joël Aïvo a été déposé à la prison civile de Cotonou le 16 avril 2021 après sa présentation devant le procureur spécial près la Criet.
A. AYOSSO
Nach wochenlangen Spekulationen hat die „Ampel“-Koalition ihren Koalitionsvertrag veröffentlicht. Darin legt sie auch dar, wie sie die globale Entwicklung fördern will. Es ist gut, dass die Vereinbarung auf ein stärkeres globales Engagement Deutschlands, die Stärkung der Europäischen Union und ihrer Rolle in der Welt, ein kohärenteres außenpolitisches Engagement sowie die Beibehaltung und voraussichtliche Erhöhung der Ausgaben für Entwicklungszusammenarbeit hinweist. Die Koalition aus SPD, Grünen und FDP ist erwartungsgemäß stark pro-europäisch eingestellt; so hat sie Änderungen der EU-Verträge sowie eine Reform des Europäischen Auswärtigen Dienstes und des Asylsystems in Aussicht gestellt. Konkrete Maßnahmen, wie „mehr Europa“ in den Außenbeziehungen erreicht werden soll, bleiben jedoch vage und müssen von den neuen Minister*innen festgelegt werden. So tritt die neue Ministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) ihr Amt zu einer Zeit an, in der aufeinanderfolgende Krisen Deutschland und die EU von einem kohärenten und strategischen Ansatz haben abweichen lassen. Die Entwicklungspolitik ist vielmehr zu einem „Tausendsassa“ geworden, bei dem die Interessen der EU und ihrer Mitgliedstaaten im Mittelpunkt stehen. Die EU-Entwicklungspolitik hat so neben ihren „traditionellen“ Zielen – wie der Bekämpfung von Armut, Ungleichheit, Klimawandel und Umweltzerstörung sowie der Förderung guter Regierungsführung – ein breites Spektrum an Themen in ihr Portfolio aufgenommen, die von ungesteuerter Migration über gewaltsame Konflikte bis hin zu Korruption und politischer Unterdrückung reichen. Die COVID-19-Pandemie hat diese Komplexität zusätzlich erhöht, da sie sowohl gesundheitliche und wirtschaftliche Sofortmaßnahmen als auch langfristige Wiederaufbaumaßnahmen notwendig macht, die die Welt auf den 1,5-Grad-Celsius-Pfad des Pariser Abkommens lenken.
Seit Beginn der Pandemie hat die EU die Ressourcen von EU-Institutionen, Mitgliedstaaten und Investitionsbanken mobilisiert und gebündelt, um unter der Bezeichnung „Team Europe“ eine international ausgerichtete europäische Antwort auf COVID-19 zu geben. Der Team-Europe-Ansatz wird in Brüssel und den europäischen Hauptstädten positiv bewertet. Diesen Einschätzungen zufolge zeigt „Team Europe“ Einigkeit, erhöht die Sichtbarkeit Europas und demonstriert Stärke in geopolitischen Auseinandersetzungen. Im Gegensatz zu früheren Initiativen für eine stärkere Koordinierung stehen die Mitgliedstaaten dem Ansatz offen gegenüber, da sie von einem ausgedehnten Netz diplomatischer und außenpolitischer Dienste profitieren und – entsprechend ihrem eigenen Gewicht – zu gemeinsamen Initiativen beitragen können ohne Brüssel mehr Macht oder Zuständigkeiten übertragen zu müssen. Auf strategischer Ebene herrscht allerdings weniger Einigkeit, und die Entwicklungspolitik der EU ist noch nicht mehr als die Summe ihrer einzelnen Teile.
Die EU und die Mitgliedstaaten haben die klare Absicht, durch die Entwicklungspolitik ihre geopolitischen, wirtschaftlichen und sicherheitspolitischen Interessen zu fördern und ihre eigenen Prioritäten als Ausgangspunkt für die Zusammenarbeit mit ihren Partnern zu nehmen. Der Europäische Green Deal und das Ziel der EU, bis 2050 klimaneutral zu werden, sind ebenfalls in den Mittelpunkt des Engagements der EU mit ihren Partnern gerückt. Das Ziel hier ist, Partner von einem ähnlichen Wiederaufbaupfad zu überzeugen, der „green transitions“ in den Vordergrund rückt. Die Entwicklungspolitik an Prioritäten auszurichten führt jedoch nicht automatisch zu einem kohärenten Ansatz und dazu, angestrebte Ziele tatsächlich zu erreichen. Es spiegelt vor allem die unterschiedlichen Interessen der europäischen Regierungen, politischen Parteien und Interessengruppen wider. Dies erklärt auch die wachsende Skepsis und die Spannungen insbesondere mit den afrikanischen Ländern und der Afrikanischen Union. Aus ihrer Sicht versucht die EU ihnen ihre Agenda aufzuzwingen, während sie Ideen und Prioritäten der Partner für den kurz- und langfristigen Aufschwung und damit auch für soziale und ökologische Ziele vernachlässigt.
Wenn die neue Bundesministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung Svenja Schulze das BMZ übernimmt, sollte sie bei richtungsweisenden Entscheidungen die europäische Perspektive von Anfang an mitdenken. Als größter Beitragszahler zum Entwicklungsbudget der EU muss Deutschland sein Gewicht nutzen, um strategische Debatten voranzutreiben und die Mitgliedstaaten hinter gemeinsamen europäischen Initiativen zu versammeln. Eine weitere Integration im Bereich der Entwicklungspolitik scheint angesichts der starken nationalen Interessen der Mitgliedstaaten ein weit entferntes Ziel. Deutschland kann jedoch eine entscheidende Rolle dabei spielen, nicht nur die Sichtbarkeit Europas zu erhöhen, sondern auch dem „Team Europe“ mehr Substanz zu verleihen. Zwei Ziele sollten im Mittelpunkt einer strategischen Vision für einen europäischen Ansatz in der Entwicklungszusammenarbeit stehen: Erstens, die Integration sozialer und ökologischer Ziele (und damit die vollständige Kohärenz der SDGs mit dem Pariser Abkommen). Zweitens, die Förderung demokratischer Werte. Dieser Ansatz sollte nicht nur bestehende politische Initiativen zusammenführen, sondern so formuliert sein, dass die Eigenverantwortung der Entwicklungsländer gefördert und gestärkt wird.
Nach wochenlangen Spekulationen hat die „Ampel“-Koalition ihren Koalitionsvertrag veröffentlicht. Darin legt sie auch dar, wie sie die globale Entwicklung fördern will. Es ist gut, dass die Vereinbarung auf ein stärkeres globales Engagement Deutschlands, die Stärkung der Europäischen Union und ihrer Rolle in der Welt, ein kohärenteres außenpolitisches Engagement sowie die Beibehaltung und voraussichtliche Erhöhung der Ausgaben für Entwicklungszusammenarbeit hinweist. Die Koalition aus SPD, Grünen und FDP ist erwartungsgemäß stark pro-europäisch eingestellt; so hat sie Änderungen der EU-Verträge sowie eine Reform des Europäischen Auswärtigen Dienstes und des Asylsystems in Aussicht gestellt. Konkrete Maßnahmen, wie „mehr Europa“ in den Außenbeziehungen erreicht werden soll, bleiben jedoch vage und müssen von den neuen Minister*innen festgelegt werden. So tritt die neue Ministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) ihr Amt zu einer Zeit an, in der aufeinanderfolgende Krisen Deutschland und die EU von einem kohärenten und strategischen Ansatz haben abweichen lassen. Die Entwicklungspolitik ist vielmehr zu einem „Tausendsassa“ geworden, bei dem die Interessen der EU und ihrer Mitgliedstaaten im Mittelpunkt stehen. Die EU-Entwicklungspolitik hat so neben ihren „traditionellen“ Zielen – wie der Bekämpfung von Armut, Ungleichheit, Klimawandel und Umweltzerstörung sowie der Förderung guter Regierungsführung – ein breites Spektrum an Themen in ihr Portfolio aufgenommen, die von ungesteuerter Migration über gewaltsame Konflikte bis hin zu Korruption und politischer Unterdrückung reichen. Die COVID-19-Pandemie hat diese Komplexität zusätzlich erhöht, da sie sowohl gesundheitliche und wirtschaftliche Sofortmaßnahmen als auch langfristige Wiederaufbaumaßnahmen notwendig macht, die die Welt auf den 1,5-Grad-Celsius-Pfad des Pariser Abkommens lenken.
Seit Beginn der Pandemie hat die EU die Ressourcen von EU-Institutionen, Mitgliedstaaten und Investitionsbanken mobilisiert und gebündelt, um unter der Bezeichnung „Team Europe“ eine international ausgerichtete europäische Antwort auf COVID-19 zu geben. Der Team-Europe-Ansatz wird in Brüssel und den europäischen Hauptstädten positiv bewertet. Diesen Einschätzungen zufolge zeigt „Team Europe“ Einigkeit, erhöht die Sichtbarkeit Europas und demonstriert Stärke in geopolitischen Auseinandersetzungen. Im Gegensatz zu früheren Initiativen für eine stärkere Koordinierung stehen die Mitgliedstaaten dem Ansatz offen gegenüber, da sie von einem ausgedehnten Netz diplomatischer und außenpolitischer Dienste profitieren und – entsprechend ihrem eigenen Gewicht – zu gemeinsamen Initiativen beitragen können ohne Brüssel mehr Macht oder Zuständigkeiten übertragen zu müssen. Auf strategischer Ebene herrscht allerdings weniger Einigkeit, und die Entwicklungspolitik der EU ist noch nicht mehr als die Summe ihrer einzelnen Teile.
Die EU und die Mitgliedstaaten haben die klare Absicht, durch die Entwicklungspolitik ihre geopolitischen, wirtschaftlichen und sicherheitspolitischen Interessen zu fördern und ihre eigenen Prioritäten als Ausgangspunkt für die Zusammenarbeit mit ihren Partnern zu nehmen. Der Europäische Green Deal und das Ziel der EU, bis 2050 klimaneutral zu werden, sind ebenfalls in den Mittelpunkt des Engagements der EU mit ihren Partnern gerückt. Das Ziel hier ist, Partner von einem ähnlichen Wiederaufbaupfad zu überzeugen, der „green transitions“ in den Vordergrund rückt. Die Entwicklungspolitik an Prioritäten auszurichten führt jedoch nicht automatisch zu einem kohärenten Ansatz und dazu, angestrebte Ziele tatsächlich zu erreichen. Es spiegelt vor allem die unterschiedlichen Interessen der europäischen Regierungen, politischen Parteien und Interessengruppen wider. Dies erklärt auch die wachsende Skepsis und die Spannungen insbesondere mit den afrikanischen Ländern und der Afrikanischen Union. Aus ihrer Sicht versucht die EU ihnen ihre Agenda aufzuzwingen, während sie Ideen und Prioritäten der Partner für den kurz- und langfristigen Aufschwung und damit auch für soziale und ökologische Ziele vernachlässigt.
Wenn die neue Bundesministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung Svenja Schulze das BMZ übernimmt, sollte sie bei richtungsweisenden Entscheidungen die europäische Perspektive von Anfang an mitdenken. Als größter Beitragszahler zum Entwicklungsbudget der EU muss Deutschland sein Gewicht nutzen, um strategische Debatten voranzutreiben und die Mitgliedstaaten hinter gemeinsamen europäischen Initiativen zu versammeln. Eine weitere Integration im Bereich der Entwicklungspolitik scheint angesichts der starken nationalen Interessen der Mitgliedstaaten ein weit entferntes Ziel. Deutschland kann jedoch eine entscheidende Rolle dabei spielen, nicht nur die Sichtbarkeit Europas zu erhöhen, sondern auch dem „Team Europe“ mehr Substanz zu verleihen. Zwei Ziele sollten im Mittelpunkt einer strategischen Vision für einen europäischen Ansatz in der Entwicklungszusammenarbeit stehen: Erstens, die Integration sozialer und ökologischer Ziele (und damit die vollständige Kohärenz der SDGs mit dem Pariser Abkommen). Zweitens, die Förderung demokratischer Werte. Dieser Ansatz sollte nicht nur bestehende politische Initiativen zusammenführen, sondern so formuliert sein, dass die Eigenverantwortung der Entwicklungsländer gefördert und gestärkt wird.
Nach wochenlangen Spekulationen hat die „Ampel“-Koalition ihren Koalitionsvertrag veröffentlicht. Darin legt sie auch dar, wie sie die globale Entwicklung fördern will. Es ist gut, dass die Vereinbarung auf ein stärkeres globales Engagement Deutschlands, die Stärkung der Europäischen Union und ihrer Rolle in der Welt, ein kohärenteres außenpolitisches Engagement sowie die Beibehaltung und voraussichtliche Erhöhung der Ausgaben für Entwicklungszusammenarbeit hinweist. Die Koalition aus SPD, Grünen und FDP ist erwartungsgemäß stark pro-europäisch eingestellt; so hat sie Änderungen der EU-Verträge sowie eine Reform des Europäischen Auswärtigen Dienstes und des Asylsystems in Aussicht gestellt. Konkrete Maßnahmen, wie „mehr Europa“ in den Außenbeziehungen erreicht werden soll, bleiben jedoch vage und müssen von den neuen Minister*innen festgelegt werden. So tritt die neue Ministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) ihr Amt zu einer Zeit an, in der aufeinanderfolgende Krisen Deutschland und die EU von einem kohärenten und strategischen Ansatz haben abweichen lassen. Die Entwicklungspolitik ist vielmehr zu einem „Tausendsassa“ geworden, bei dem die Interessen der EU und ihrer Mitgliedstaaten im Mittelpunkt stehen. Die EU-Entwicklungspolitik hat so neben ihren „traditionellen“ Zielen – wie der Bekämpfung von Armut, Ungleichheit, Klimawandel und Umweltzerstörung sowie der Förderung guter Regierungsführung – ein breites Spektrum an Themen in ihr Portfolio aufgenommen, die von ungesteuerter Migration über gewaltsame Konflikte bis hin zu Korruption und politischer Unterdrückung reichen. Die COVID-19-Pandemie hat diese Komplexität zusätzlich erhöht, da sie sowohl gesundheitliche und wirtschaftliche Sofortmaßnahmen als auch langfristige Wiederaufbaumaßnahmen notwendig macht, die die Welt auf den 1,5-Grad-Celsius-Pfad des Pariser Abkommens lenken.
Seit Beginn der Pandemie hat die EU die Ressourcen von EU-Institutionen, Mitgliedstaaten und Investitionsbanken mobilisiert und gebündelt, um unter der Bezeichnung „Team Europe“ eine international ausgerichtete europäische Antwort auf COVID-19 zu geben. Der Team-Europe-Ansatz wird in Brüssel und den europäischen Hauptstädten positiv bewertet. Diesen Einschätzungen zufolge zeigt „Team Europe“ Einigkeit, erhöht die Sichtbarkeit Europas und demonstriert Stärke in geopolitischen Auseinandersetzungen. Im Gegensatz zu früheren Initiativen für eine stärkere Koordinierung stehen die Mitgliedstaaten dem Ansatz offen gegenüber, da sie von einem ausgedehnten Netz diplomatischer und außenpolitischer Dienste profitieren und – entsprechend ihrem eigenen Gewicht – zu gemeinsamen Initiativen beitragen können ohne Brüssel mehr Macht oder Zuständigkeiten übertragen zu müssen. Auf strategischer Ebene herrscht allerdings weniger Einigkeit, und die Entwicklungspolitik der EU ist noch nicht mehr als die Summe ihrer einzelnen Teile.
Die EU und die Mitgliedstaaten haben die klare Absicht, durch die Entwicklungspolitik ihre geopolitischen, wirtschaftlichen und sicherheitspolitischen Interessen zu fördern und ihre eigenen Prioritäten als Ausgangspunkt für die Zusammenarbeit mit ihren Partnern zu nehmen. Der Europäische Green Deal und das Ziel der EU, bis 2050 klimaneutral zu werden, sind ebenfalls in den Mittelpunkt des Engagements der EU mit ihren Partnern gerückt. Das Ziel hier ist, Partner von einem ähnlichen Wiederaufbaupfad zu überzeugen, der „green transitions“ in den Vordergrund rückt. Die Entwicklungspolitik an Prioritäten auszurichten führt jedoch nicht automatisch zu einem kohärenten Ansatz und dazu, angestrebte Ziele tatsächlich zu erreichen. Es spiegelt vor allem die unterschiedlichen Interessen der europäischen Regierungen, politischen Parteien und Interessengruppen wider. Dies erklärt auch die wachsende Skepsis und die Spannungen insbesondere mit den afrikanischen Ländern und der Afrikanischen Union. Aus ihrer Sicht versucht die EU ihnen ihre Agenda aufzuzwingen, während sie Ideen und Prioritäten der Partner für den kurz- und langfristigen Aufschwung und damit auch für soziale und ökologische Ziele vernachlässigt.
Wenn die neue Bundesministerin für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung Svenja Schulze das BMZ übernimmt, sollte sie bei richtungsweisenden Entscheidungen die europäische Perspektive von Anfang an mitdenken. Als größter Beitragszahler zum Entwicklungsbudget der EU muss Deutschland sein Gewicht nutzen, um strategische Debatten voranzutreiben und die Mitgliedstaaten hinter gemeinsamen europäischen Initiativen zu versammeln. Eine weitere Integration im Bereich der Entwicklungspolitik scheint angesichts der starken nationalen Interessen der Mitgliedstaaten ein weit entferntes Ziel. Deutschland kann jedoch eine entscheidende Rolle dabei spielen, nicht nur die Sichtbarkeit Europas zu erhöhen, sondern auch dem „Team Europe“ mehr Substanz zu verleihen. Zwei Ziele sollten im Mittelpunkt einer strategischen Vision für einen europäischen Ansatz in der Entwicklungszusammenarbeit stehen: Erstens, die Integration sozialer und ökologischer Ziele (und damit die vollständige Kohärenz der SDGs mit dem Pariser Abkommen). Zweitens, die Förderung demokratischer Werte. Dieser Ansatz sollte nicht nur bestehende politische Initiativen zusammenführen, sondern so formuliert sein, dass die Eigenverantwortung der Entwicklungsländer gefördert und gestärkt wird.
Un autre militaire a perdu la vie dans les rangs de l'armée béninoise
En renfort aux militaires dans le cadre de la riposte contre les assaillants, un policier faisant partie d'un contingent tire sur un militaire dans la nuit du samedi 04 au dimanche 05 décembre 2021 à Tanguiéta. Le militaire a été confondu à un assaillant. Le sergent Albert Koukpo est décédé quelques minutes après avoir reçu la balle par erreur. Ce décès porte à quatre (04) le nombre de soldats béninois tués en quelques jours suite à l'attaque de groupes armés contre l'armée béninoise dans la région frontalière au Burkina Faso. Deux militaires avaient été tués lors des attaques, un autre a trouvé la mort dans un accident de convoi du ministre se rendant au chevet des positions attaquées.
M. M.