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Diplomacy & Defense Think Tank News

Not Frozen!

SWP - Tue, 27/09/2016 - 00:00

Since 2014 German and European attention has been largely absorbed by the annexation of Crimea, the war in Donbas and the crisis in relations with Russia. Yet the eastern neighbourhood also contains four unresolved territorial conflicts, which have in some respects developed very dynamically since 2014. The authors of this study examine the role of Russia in these conflicts, the political background, the relevant actors and their interests, and the connection between conflict level and geopolitical context. Together they produce a nuanced picture of the arc of conflict in the EU’s eastern neighbourhood. Their verdict in all four cases is that the conditions for constructive conflict regulation have deteriorated since 2014. Alongside the geopolitical context, local factors are also significant. Russia plays an ambivalent role, instrumentalising all four conflicts to preserve its influence in the affected states, but without enjoying full control of the dynamics. The authors recommend the EU pursue a nuanced policy of conflict regulation that takes into account context-sensitive local factors as well as the international context. The medium-term goals of such a policy range from the preservation of existing channels of interaction (Transnistria) through de-isolation (Abkhazia and South Ossetia) to de-escalation and conflict prevention (Nagorno-Karabakh).

Table of Contents

Sabine Fischer
Issues and Recommendations
p. 5

Sabine Fischer
Russian Policy in the Unresolved Conflicts
p. 9

Klemens Büscher
The Transnistria Conflict in Light of the Crisis over Ukraine
p. 25

Sabine Fischer
The Conflicts over Abkhazia and South Ossetia in Light of the Crisis over Ukraine
p. 43

Franziska Smolnik / Uwe Halbach
The Nagorno-Karabakh Conflict in Light of the Crisis over Ukraine
p. 61

Sabine Fischer
Conclusions and Recommendations: European Peace Policy in the Unresolved Conflicts
p. 81

Unveiling the Structure of Unconventional Organized Crime

SWP - Tue, 27/09/2016 - 00:00

In the last decades, the traditional understanding of organized crime (OC) has been widely challenged. As the United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC), Europol, as well as German authorities have extensively highlighted, hierarchical criminal organizations coexist and overlap with new forms of liquid networked criminality. These criminal networks are composed of flexible alliances between professionals acting worldwide that regulate themselves based on market logic rather than violent conflicts. While appearing “dis-organized,” these criminal networks are highly resilient to law enforcement intervention due to their redundancy. Their capacity for infiltrating the legitimate economy and the estimated sums of money they launder globally, which amounts to between 2 and 5 percent of global GDP yearly (UNODC), are alarming. Therefore, not only law enforcement and policymakers, but also the private sector cannot afford to drop their guard. National interventions often just push criminal activities into other countries; hence, effective strategies should address global markets’ dynamics.

Demokratische Republik Kongo: Aktuelle politische Entwicklungen

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 27/09/2016 - 00:00
Schon seit Beginn des Jahres ist die politische Situation in der DR Kongo wegen der anstehenden Präsidentschaftswahlen gespannt. Diese Wahlen sollten am 27. November 2016 stattfinden, wurden aber aufgrund von Organisationsmängeln und Uneinigkeit über den Wahlverlauf auf ein unbestimmtes Datum verschoben.

Mexiko: Diplomkurs Konrad Adenauer

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 27/09/2016 - 00:00
27 junge Politiker, 16 Länder Lateinamerikas und ein gemeinsames Ziel: Neues lernen über politische Kommunikation und Strategie.

Social Bots: Invasion der Meinungs-Roboter

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 27/09/2016 - 00:00
Social-Bots beeinflussen Meinung, ihr bevorzugter Wirkungsraum sind die sozialen Netzwerke. Welche Gefahren sind damit verbunden?

Social Bots

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 27/09/2016 - 00:00
Die vorliegende Kurzstudie soll erklären, was Bots sind, wie Social Bots funktionieren und welche Gefahren damit verbunden sind. Darüber hinaus werden Beispiele für politische Aktivitäten von Social Bots aufgeführt. Abschließend wird prognostiziert, welche Entwicklungen in diesem Bereich in naher Zukunft zu erwarten sind.

Syrie : « Rien ne peut se faire sans l’aval du conseil de sécurité »

IRIS - Mon, 26/09/2016 - 16:04

L’Organisation des Nations unies (ONU), est la somme des États membres qui la composent. À l’ONU, rien ne peut se faire sans l’aval du conseil de sécurité composé de cinq membres (Chine, États-Unis, Fédération de Russie, France et Royaume Unie), car ils disposent du pouvoir de veto qui est l’expression politique d’un État.

C’est le cas pour le conflit israélo-palestinien où un nombre considérable de résolutions onusiennes a été l’objet d’un veto américain parce que Washington ne souhaitait pas imposer quoi que ce soit à Israël.

Un jeu de dupes

Sur le dossier syrien, il ne peut pas y avoir de règlement sans un accord entre les États-Unis, chef de file qui soutient un certain nombre de groupes d’opposition et compte dans ses rangs la Turquie et l’Arabie saoudite, et de l’autre la Russie qui soutient le régime de Bachar, soutenu aussi par l’Iran. Le conflit syrien est un jeu de dupes entre des puissances qui annoncent vouloir établir un règlement alors qu’en coulisse, elles continuent à alimenter des groupes d’opposition.

Le 9 septembre, un accord pour un cessez-le-feu en Syrie a été conclu entre Washington et Moscou. Il a volé en éclat au bout d’une semaine, parce que Washington n’a pas réussi à imposer aux groupes qu’il soutient sur le terrain de le respecter.

En Syrie, il n’y a pas une guerre, il y en a des dizaines. À Alep, le groupe dominant sur le terrain, c’est al Nosra, qui s’est rebaptisé Fatah al Cham (pour faire oublier son affiliation à Al-Qaida). Al Nosra était exclu de l’accord de cessez-le-feu.

D’autres groupes comme les salafistes d’Ahrar al-Cham et l’armée syrienne libre, soutenue les États-Unis, et qui se battent aux côtés d’al Nosra à Alep, n’ont pas respecté le cessez-le-feu parce qu’ils sont dépendants du bon vouloir d’al Nosra. Pour que le cessez-le-feu perdure, il faudrait qu’ils se désolidarisent d’al Nosra.

La Russie marque des points

La Russie aussi, qui marque des points dans cette guerre, n’est pas disposée à abandonner ses acquis sur le terrain et laisser les djihadistes se renforcer et s’organiser. À la moindre violation du cessez-le-feu, Moscou et l’armée syrienne ont répondu par des attaques massives sur les positions de l’opposition à Alep.

Le mécanisme d’une négociation se passe toujours en plusieurs temps. Les acteurs négocient entre eux, comme les Russes et les Américains le font en Syrie. Ensuite, une fois que celui-ci est respecté, l’ONU peut intervenir pour mener les négociations, pour la mise en place d’un gouvernement de transition et ensuite le processus des élections, dans le cas syrien.

Mais la première phase se passe toujours entre les grandes puissances. C’est ce qui s’est passé entre Washington et Téhéran pour les négociations qui ont abouti à la signature de l’accord sur le nucléaire iranien. Il faut distinguer entre le pouvoir réel sur le terrain et le pouvoir juridique de l’ONU. L’ONU vient en appui quand les grandes puissances en ont besoin. Mais sans leur volonté, l’ONU ne peut rien faire tant qu’existe un droit de veto.

Recueilli par Agnès Rotivel

Colombie : « Le succès de l’accord de paix dépendra de l’intégration des anciens guérilleros »

IRIS - Mon, 26/09/2016 - 15:52

Comment la guérilla des FARC est-elle née et comment expliquez-vous sa longévité ?

Il faut remonter à 1948 et à l’épisode dramatique de la « Violencia », guerre civile qui a fait deux cent mille à trois cent mille morts, opposant libéraux et conservateurs, après l’assassinat du leader libéral Jorge Eliécer Gaitan. A l’issue de cette guerre civile, les FARC lancent leur première conférence, en 1964. Ils commencent leur bataille dans les campagnes et militent pour une réforme agraire.
La rébellion des FARC a duré parce qu’elle a réussi à vivre d’elle-même. Elle avait les moyens d’acheter des armes grâce au trafic de stupéfiants, aux enlèvements crapuleux qui visaient les notables installés dans les campagnes et à la taxation des activités économiques. Cette manne financière lui a permis de passer d’un système de guérilla rudimentaire, dans les années 1980, à une organisation capable de déstabiliser l’armée au milieu des années 1990.
Pendant toutes ces années, les FARC ont surtout été actives dans le sud du pays et dans les régions situées aux frontières du Panama et du Venezuela. Les négociations de l’accord de paix ont duré quatre ans, mais à aucun moment il n’y a eu de cessez-le-feu, car les deux parties savaient qu’il était facile de bloquer des négociations en le violant. Pendant les discussions, les FARC ont donc continué à attaquer les colonnes de l’armée. Les violences ont diminué au fur et à mesure.

Entre 1984 et 1999, il y a eu trois processus de paix, qui ont tous échoué. Pourquoi celui-ci aboutirait-il, selon vous ?

Les combattants sont fatigués, usés et ils ont bien conscience qu’ils n’arriveront jamais à prendre le pouvoir par les armes. Ils subissent aussi la pression des partis de gauche qui voient leur développement entravé parce qu’ils sont accusés de soutenir la guérilla. La Colombie est aussi le pays d’Amérique latine qui réserve la part la plus importante de son budget au secteur militaire. Le gouvernement prend conscience que le pays pourrait augmenter significativement sa croissance économique s’il investissait moins dans les dépenses militaires. Les deux parties ont donc intérêt à ce que le processus aboutisse.
Il y aura, le 2 octobre, un référendum. D’après les sondages, le oui l’emporte assez largement. Mais le véritable enjeu est le taux de participation. Il faut qu’il y ait un maximum d’électeurs pour assurer la légitimité de cet accord.

Que contiennent les 297 pages de l’accord de paix ?

Cela peut paraître surréaliste dans un pays urbain, mais la réforme agraire est l’un des principaux points abordés, car il constitue l’ADN des FARC. Cette réforme consisterait à restituer les terres aux paysans expropriés. Ceux qui produisent de la coca devront, quant à eux, se reconvertir dans d’autres cultures.
Le deuxième point concerne la reconversion des FARC en mouvement politique. L’accord prévoit qu’ils aient d’office cinq députés et cinq sénateurs pendant deux législatures, c’est-à-dire huit ans. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est symbolique. L’idée est de dire : « Maintenant, c’est à vous de faire mieux en vous mobilisant lors des campagnes électorales futures. » En mai 2017, l’organisation compte donc se réunir pour créer un parti politique, dont on ne connaît pas encore le nom.

Les FARC ont exprimé, à l’issue de leur conférence nationale du 23 septembre, leur « soutien unanime » à l’accord de paix. Mais existe-t-il un risque de dissidence ?

Oui, il y a des éléments dissidents. Ce sont les plus radicaux et ceux qui sont le plus impliqués dans les trafics. Les responsables ont indiqué qu’ils étaient assez résiduels, mais ils ne vont pas s’envoler dans la nature. L’ELN (deuxième guérilla de Colombie après les FARC, qui a refusé de participer au processus de paix) peut très bien constituer une plate-forme d’accueil pour ces personnes-là. Elles peuvent aussi, comme ce fut le cas en Amérique centrale, rejoindre des bandes criminelles.

Le défi le plus important à relever semble être la (ré)intégration des guérilleros dans la société civile. Comment y parvenir ?

Cela suppose un débat très difficile, celui de la justice transitionnelle. Comment répondre aux attentes des victimes sans faire peser sur un trop grand nombre de combattants le poids de la justice ? Les FARC ne vont pas signer pour aller en prison. En même temps, ce conflit qui dure depuis cinquante-deux ans, a fait plus de deux cent mille morts. Le gouvernement ne peut donc pas mettre cette question sous le tapis.
L’accord prévoit que ceux qui ont commis un crime contre l’humanité seront poursuivis par des tribunaux colombiens. Des peines de cinq à sept ans sont prévues pour ceux qui reconnaîtront les faits. Dans le cas contraire, s’ils sont reconnus coupables, ils seront condamnés à vingt ans de prison. D’autres peines de réparation sont également prévues, comme participer à la recherche de mines antipersonnel.
Il faut aussi penser au désarmement des guérilleros. De ce côté-là, des choses ont déjà été négociées. Il y aurait une vingtaine de points de concentration, répartis dans tout le pays, où chaque combattant serait suivi et recevrait une indemnité pendant six mois. L’idée est de les orienter vers des activités post-conflit.
Le succès de l’accord de paix dépendra de la réussite de l’intégration des anciens combattants dans la société civile. Pour y parvenir, la Colombie multiplie les appels du pied envers le patronat et la communauté internationale. Quinze chefs d’Etat et de gouvernement seront présents pour la signature, mais il y aura aussi le FMI et la Banque mondiale, ce qui prouve bien la dimension économique de cet accord. Beaucoup de pays ont déjà tissé des liens commerciaux avec la Colombie, mais l’objectif est qu’ils investissent davantage. La signature de l’accord va renforcer l’attractivité économique du pays.

Comment l’opinion publique, notamment les victimes du conflit, accueille-t-elle cet accord ?

Le conflit colombien a touché la périphérie et n’a fait qu’effleurer les grandes villes, comme Medellín et Bogotá, qui subissent davantage la violence des cartels. La population urbaine n’est donc pas vraiment concernée par la guérilla. En revanche, dans les campagnes, les gens attendent la signature de l’accord. Ce ne sont pas dans les régions où les combats ont été les plus intenses que la résistance est la plus forte, mais dans les grandes villes et les milieux conservateurs, qui profitent de cet accord pour s’opposer au président [centriste] Juan Manuel Santos.

Propos recueillis par Feriel Alouti

»Stehen vor schwierigem Prozess der Staatsbildung in Kolumbien«

SWP - Mon, 26/09/2016 - 13:50
Der Friedensvertrag zwischen Farc-Rebellen und Regierung ist nur der Anfang der Versöhnung in...

New book on the aftermath of the Ukrainian crisis edited by Dr Panagiota Manoli

ELIAMEP - Mon, 26/09/2016 - 09:43

The book Aftermath of the Ukrainian Crisis edited by Dr Panagiota Manoli, Assitant Professor Panagiota Manoli, Head of the Programme of Slavic, East European and Eurasian Studies of ELIAMEP  was published by Routledge. The book has contributions by Hanna Shelest, Theodoros Tsakiris, Nadia Alexandrova-Arbatova, Alexey Gromyko, Sharyl Cross, Steven Blockmans and Ino Afentouli. Contributions in this edited volume attempt to address a number of key aspects of the Ukrainian issue. How does the crisis impact upon Black Sea geopolitics and on regional governance? How can EU – Russia relations evolve under the new multipolar system? How is NATO affected? How important is the energy parameter in Russia-Ukraine-EU triangle? This edited volume aims to discloses the diverse narratives on the roots, evolution and repercussions of the crisis, indicating the extent of its complexity and highlighting important parameters of the Ukrainian issue. This book was originally published as a special issue of Southeast European and Black Sea Studies.

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Der UN-Gipfel zu Flucht und Migration: Warme Worte – und sonst?

Bonn, 26.09.2016. Angesichts von über 65 Millionen Flüchtlingen und Vertriebenen weltweit befassten sich am vergangenen Montag die Vereinten Nationen auf einem eigenen Gipfel mit großen Flucht- und Migrationsbewegungen. In ihrer „New Yorker Erklärung“ bekennen sich die UN-Mitgliedsstaaten zu einer stärkeren Unterstützung der Staaten, die besonders viele Flüchtlinge aufnehmen, zu einem besseren Schutz der Rechte von Flüchtlingen und Migranten sowie zu verbesserten Integrationsmaßnahmen – all das freilich ohne rechtliche Verbindlichkeit. Nicht wenige Kritiker betrachten den UN-Gipfel deshalb lediglich als einen „Gipfel der warmen Worte“ und Absichtserklärungen, der aber keinerlei Wirkungen entfalten wird. Der Gipfel ist aber auch Ausgangspunkt zweier Prozesse, einem zu Flucht und einem zu Migration, die in den nächsten zwei Jahren in zwei entsprechende Abkommen münden sollen. Es wäre außerordentlich wichtig, dass diese Abkommen dann tatsächlich einen internationalen Rahmen bilden, um Flüchtlingskrisen besser und fairer zu begegnen und internationale Migration gerechter zu gestalten. Denn bislang gibt es keine globale Regelung zur Steuerung von Migration – und jene für Flüchtlinge funktioniert nicht.  Die Genfer Flüchtlingskonvention gehört zu den ältesten Errungenschaften der Vereinten Nationen. Unter dem Eindruck millionenfacher Flucht und Vertreibung in Europa einigte sich die internationale Gemeinschaft 1951 auf verbindliche Regeln für den Umgang mit Menschen, die aus politischen Gründen vertrieben wurden. Doch das so etablierte globale Flüchtlingsregime lieferte schon damals keine Antwort auf große kriegsbedingte Massenbewegungen, wie sie etwa die indische Teilung 1947 nach sich zog. Der große Zuwachs an Geflüchteten in den letzten Jahren hat diese Schwächen besonders deutlich gemacht. So sind die Lasten bei der Aufnahme der Flüchtlinge äußerst ungerecht verteilt. Eine Handvoll zumeist eher armer Länder – wie Jordanien, Pakistan oder Äthiopien – hat über die Hälfte der derzeit etwa 21 Millionen internationalen Flüchtlinge weltweit aufgenommen. Die meisten von ihnen leben schon seit Jahren außerhalb ihrer Herkunftsländer. Umso bitterer ist es, dass sich die allermeisten Staaten dauerhaften Lösungen, die die Lebenssituation und die Perspektiven der Flüchtlinge maßgeblich verbessern würden, verweigern. Eine reguläre Integration wird den Geflüchteten oft verweigert. Die Größenordnungen der Umsiedlungen sind kaum der Rede wert: So wurden nicht einmal 5.000 der in 2015 anvisierten 160.000 Flüchtlinge innerhalb der EU umgesiedelt, um dadurch vor allem Italien und Griechenland zu entlasten. Die Unterstützung von Flüchtlingen in den Hauptaufnahmeländern ist zudem geprägt von chronischer Mittelknappheit, starker Konkurrenz der UN-Organisationen untereinander, mangelhafter Einbindung lokaler Organisationen und einer unzureichenden Verknüpfung mit Maßnahmen der Entwicklungszusammenarbeit. Noch schwieriger stellt sich die Lage für die rund 180 Millionen internationalen Migrantinnen und Migranten dar, die ihr Land nicht als Flüchtlinge vor Bedrohung und Gewalt verlassen haben, sondern auf der Suche nach neuen Lebensperspektiven für sich oder ihre Angehörigen zu Hause, etwa durch Rücküberweisungen. Im Gegensatz zum Flüchtlingsregime, aber auch zu vielen anderen globalen Themen wie dem Weltklima, dem Welthandel oder dem internationalen Postverkehr, gibt es keinen globalen Rahmenvertrag für eine Steuerung von Migration zwischen Staaten. Die globale Migrationsgovernance ist ein Flickenteppich aus regionalen Abkommen und den Mandaten unterschiedlicher internationaler Organisationen, die das Thema Migration nur in Teilaspekten berühren. Auch wenn sich in den letzten 20 Jahren die Wahrnehmung des Migrationsthemas gewandelt hat und Migration heute von den meisten Experten grundsätzlich positiv und als Chance für Entwicklung gesehen wird, leben viele internationale Migranten unter sozial, wirtschaftlich und rechtlich prekären Bedingungen. Versuche in der Vergangenheit, zumindest rechtliche Mindeststandards zu etablieren, scheiterten stets am Widerstand vor allem der Industrienationen. Eine zuletzt in vielen Ländern zu beobachtende Zunahme von Fremdenfeindlichkeit und Rassismus verschärft die Lage zusätzlich. Doch es gibt erste kleine Schritte für eine bessere globale Steuerung von Flucht und Migration: Die Vereinten Nationen haben auf dem New Yorker Gipfel die Internationale Organisation für Migration (IOM), die zentrale Organisation für Migrationssteuerung zwischen Staaten, in das UN-System aufgenommen. Auch hat die Staatengemeinschaft nach US-Angaben dieses Jahr bereits 4,5 Milliarden US-Dollar mehr als 2015 für die Flüchtlingshilfe zur Verfügung gestellt. Diese und weitere kleine Schritte werden notwendig sein, um bis 2018 den Boden für weiterreichende internationale Abkommen zu bereiten. Dabei wird man wohl Pragmatismus walten lassen müssen, wenn unter dem Leitbild einer geteilten internationalen Verantwortung weitere Fortschritte erreicht werden sollen. Manche Staaten, wie Australien, Ungarn oder Polen, werden ihre ablehnende Haltung zur Aufnahme von Flüchtlingen einstweilen kaum aufgeben. Doch wenn diese Länder zumindest zu einer adäquaten und regelmäßigen finanziellen Beteiligung an der Flüchtlingshilfe verpflichtet werden könnten, wäre schon ein nächster Schritt getan.

Jörn Grävingholt und Benjamin Schraven sind wissenschaftliche Mitarbeiter am Deutschen Institut für Entwicklungspolitik (DIE) in Bonn.

Les intérêts stratégiques de l'Union européenne

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 26/09/2016 - 02:00
L'analyse des intérêts stratégiques de l'Union européenne ne pose pas, en bonne logique, de difficulté. De par la position de l'Europe dans le monde global, son action vis-à-vis des grands défis que nos sociétés affrontent (environnement, énergie, société de l'information, terrorisme,...

Fondation, L'Europe et la souveraineté

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 26/09/2016 - 02:00
En partenariat avec l'Institut Egmont et Eurodefense France, la Fondation Robert Schuman organise à Bruxelles le 29 septembre un séminaire intitulé "L'Europe et la souveraineté : réalités, limites et perspectives". Inscription en ligne

Migrations, Sommet des Nations Unies pour les Réfugiés et les Migrants

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 26/09/2016 - 02:00
Le 19 septembre s'est tenu à New-York le Sommet des Nations unies pour les réfugiés et les migrants. L'Assemblée générale a adopté une déclaration dans laquelle les Etats se sont engagés à protéger davantage les droits fondamentaux des migrants, à accroître le soutien aux pays d'accueil débordés et à promouvoir l'éducation des enfants réfugiés.

Migrations, Rapprochement entre l'UE et la Suisse sur la question de l'immigration

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 26/09/2016 - 02:00
Le 21 septembre, le Conseil national, chambre basse du Parlement suisse, se prononçant sur l'immigration, a opté pour une solution préservant la voie bilatérale avec l'Union européenne. Il refuse l'instauration de contingents et prévoit que la Suisse ne puisse pas instaurer de mesures correctives sans l'aval de Bruxelles.

Migrations, L'OCDE publie la 'Perspective des migrations internationales 2016'

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 26/09/2016 - 02:00
Le 19 septembre, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a publié les 'Perspectives des migrations internationales 2016' et souligne que les pays doivent répondre aux réactions négatives entourant l'immigration en renforçant les politiques d'intégration et la coopération internationale.

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