Vous êtes ici

Agrégateur de flux

Aid for trade and export performance of recipient countries: the moderating role of institutions

Using bilateral trade and aid for trade (AfT) data for a sample of 155 countries over the period 2002-2019, this paper uses a gravity analysis to assess whether bilateral aggregate AfT and various AfT categories have stimulated exports of AfT-recipient countries to donors, and to examine if the institutional distance between recipients and donor countries affected the efficacy of AfT in promoting the former's bilateral exports. The results suggest that AfT flows tend to foster exports of recipients, both at the extensive margin and intensive margin. However, the trade-stimulating effect of AfT for trade policy and regulation is more pronounced than that of other AfT flows. Finally, institutional disparities between trading partners dampen the effectiveness of AfT in promoting exports at both margins of trade; and certain regions and income-based groups have managed to benefit more than others from AfT. Increasing the amount of disbursed aid flows is likely to speed-up the insertion of developing countries into world markets; strengthening governance in AfT-beneficiary countries and closing their institutional gap with donors would enhance the effect of AfT on their exports; and tying AfT flows to governance-related reforms in recipients can be an option to consider by donors.

Aid for trade and export performance of recipient countries: the moderating role of institutions

Using bilateral trade and aid for trade (AfT) data for a sample of 155 countries over the period 2002-2019, this paper uses a gravity analysis to assess whether bilateral aggregate AfT and various AfT categories have stimulated exports of AfT-recipient countries to donors, and to examine if the institutional distance between recipients and donor countries affected the efficacy of AfT in promoting the former's bilateral exports. The results suggest that AfT flows tend to foster exports of recipients, both at the extensive margin and intensive margin. However, the trade-stimulating effect of AfT for trade policy and regulation is more pronounced than that of other AfT flows. Finally, institutional disparities between trading partners dampen the effectiveness of AfT in promoting exports at both margins of trade; and certain regions and income-based groups have managed to benefit more than others from AfT. Increasing the amount of disbursed aid flows is likely to speed-up the insertion of developing countries into world markets; strengthening governance in AfT-beneficiary countries and closing their institutional gap with donors would enhance the effect of AfT on their exports; and tying AfT flows to governance-related reforms in recipients can be an option to consider by donors.

[Podcast] Les élections européennes en pratique

Toute l'Europe - jeu, 02/05/2024 - 12:47

On commence par la date à retenir ! Les élections se tiennent du 6 au 9 juin prochains dans les 27 Etats membres de l’Union européenne. Tous les électeurs ne votent pas le même jour. Certains pays sont habitués à voter en semaine, c’est le cas des Pays-Bas. En France, ce sera le dimanche 9 juin, et dès le samedi 8 juin pour certaines régions d’Outre-mer, comme en Martinique, en Guadeloupe ou en Guyane.

L’élection se déroule au suffrage universel direct à un seul tour. Chaque parti politique présente une liste de 81 candidats. L’électeur choisit parmi l’une de ses listes. La France forme une seule circonscription nationale.

À LIRE AUSSIElections européennes 2024 : les candidats têtes de liste en FranceÀ LIRE AUSSI[Infographie] Le rôle du Parlement européen Avant d’aller voter, quelles conditions faut-il remplir ?

En France, il faut d’abord être âgé de 18 ans, comme dans la majorité des Etats membres, sauf en Belgique et en Allemagne. Dans ces deux pays, on peut voter dès l’âge de 16 ans. Si le vote est un droit, il est également un devoir pour 4 pays européens où le vote est obligatoire : Belgique, Bulgarie, Luxembourg et Grèce.

Autre condition indispensable, être bien inscrit sur les listes électorales. La date limite pour s’inscrire en ligne est dépassée depuis le 1er mai, vous avez jusqu’au vendredi 3 mai au soir pour vous inscrire dans votre mairie. Cette inscription est une étape essentielle, en 2019 lors des précédentes élections, 8 millions d’électeurs français étaient mal inscrits, c’est à dire inscrits sur la liste électorale d’une commune dans laquelle ils ne résident pas.

À LIRE AUSSIVoter aux élections européennes en France Et si besoin, peut-on voter par procuration ?

Oui, deux options s’offrent à vous. La première c’est de faire une procuration auprès d’un tribunal judiciaire, d’un commissariat de police ou d’une gendarmerie, qui peuvent être près de chez vous ou non.

Et la seconde, c’est la procuration en ligne, plus simple, sur le site Maprocuration.gouv.fr. . Mais attention il faut posséder une carte d’identité de nouvelle génération, format “carte bancaire”, et attester de son identité avec le nouveau service France identité. Un conseil : n’attendez pas le dernier moment, mieux vaut le faire une bonne semaine avant le vote.

À LIRE AUSSIElections européennes : comment voter par procuration en France ?

L’Europe c’est vous !

Strasbourg, Bruxelles, Francfort. L’action de l’Europe paraît parfois lointaine ! Mais où est l’Europe dans nos quotidiens ? Quel est l’impact des politiques européennes sur nos vies ? Qu’est-ce que les élections du 9 juin peuvent changer ? Retrouvez-nous tous les jeudis sur la radio RCF et en replay sur notre site pour notre chronique “L’Europe, c’est vous”.

Dernière chronique publiée : La Roumanie et la Bulgarie rejoignent l’espace Schengen

Pour en savoir plus, retrouvez également tous nos podcasts “L’Europe en 3 minutes”.

En partenariat avec

L’article [Podcast] Les élections européennes en pratique est apparu en premier sur Touteleurope.eu.

Catégories: Union européenne

Messe pour le repos de l'âme de de Ange Ydo Yao

Lefaso.net (Burkina Faso) - jeu, 02/05/2024 - 12:00

Ses amis et connaissances à Ouagadougou ont l'honneur de vous inviter à une messe pour le repos de l'âme de de Ange Ydo Yao Directeur du Bureau international d'éducation de l'UNESCO à Genève (Suisse) le dimanche 05 mai 2024 à 9h à l'église St Camille

Union de prière

Catégories: Afrique

Les États-Unis accusent les forces russes d’avoir recours à des armes chimiques en Ukraine

Zone militaire - jeu, 02/05/2024 - 11:42

Récemment, l’état-major ukrainien a accusé les forces russes d’avoir utilisé, à plusieurs reprises, des substances chimiques contre des positions tenues par ses unités d’infanterie. Dans un communiqué publié le 9 février, il a ainsi fait état de l’usage courant de grenades K-51 chargées de chloropicrine, un gaz de combat qui, apparu sur les champs de...

Cet article Les États-Unis accusent les forces russes d’avoir recours à des armes chimiques en Ukraine est apparu en premier sur Zone Militaire.

Catégories: Défense

Amid Uncertainty, U.S. Air Force Orders Additional MH-139 Grey Wolf Helicopters

The Aviationist Blog - jeu, 02/05/2024 - 11:34

A total of 26 MH-139 helicopters are now on order, although it’s not known if the service will complete the 74-helicopter fleet or stop at 36 helicopters as mentioned in the FY25 budget documents. The [...]

The post Amid Uncertainty, U.S. Air Force Orders Additional MH-139 Grey Wolf Helicopters appeared first on The Aviationist.

Catégories: Defence`s Feeds

RFI Europe Express: voyage en train à la rencontre des électeurs

RFI (Europe) - jeu, 02/05/2024 - 11:32
Prendre le train plutôt que l’avion permet de diviser par huit ses émissions de gaz à effet de serre. Les trains et les gares sont aussi d’excellents lieux de rencontres. À six semaines des élections européennes, notre envoyée spéciale Stefanie Schüler est montée à bord. En quinze jours, elle parcourt 6 500 km de voies ferrées et 5 pays du sud-est de l’Europe pour prendre le pouls de celles et ceux qui voteront, ou pas, le 9 juin. Tous les jours, notre reporter vous fera découvrir une voix croisée au hasard sur les voies. Attention au départ !
Catégories: Union européenne

Au Kenya, le bilan des inondations s’alourdit à 188 morts depuis mars

LeMonde / Afrique - jeu, 02/05/2024 - 11:16
Depuis le début de la saison des pluies, de fortes précipitations, amplifiées par le phénomène climatique El Niño, ont provoqué des inondations dévastatrices.
Catégories: Afrique

Décès de BAMBARA Yamnissou Luc : Faire-part

Lefaso.net (Burkina Faso) - jeu, 02/05/2024 - 11:06

La grande famille BAMBARA et MONE à Garango, Ouagadougou, Bobo Dioulasso ont le profond regret de vous annoncer le décès de leur fils, petit-fils, oncle et père BAMBARA Yamnissou Luc Précédemment attaché d'éducation en service à Bingo décédé ce jour 01/05/24 des suites d'une courte maladie.

Le programme des obsèques se déroulera comme suit :
Mercredi 1er mai 2024 : veillée de prière 19h00 au domicile familial sise au 1200 logements, villa 207

Jeudi 02 mai 2024 :
12h : levé du corps à la morgue de Bogodogo
Transfère au domicile familial à la villa 207 sise aux 1200 logements suivis de l'absoute à l'église saint Camille à 14h
14h : inhumation au cimetière de Karpala

Jésus dit : « je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt ; et quiconque vit en croyant en moi ne mourra jamais. Croyez-vous cela » ?
Jean 11 ; 25-26

Catégories: Afrique

Demande d'ouverture d’une information judiciaire contre le Cardinal Ambongo : le clergé kinois qualifie cette initiative de « maladroite »

Radio Okapi / RD Congo - jeu, 02/05/2024 - 10:44


L’Assemblée du clergé kinois (ACKIN), une structure de l’église catholique de Kinshasa, a qualifié de « maladroite » la demande d’ouverture d’une information judiciaire contre le Cardinal Fridolin Ambongo.


Dans un message aux fidèles catholiques de Kinshasa, aux hommes et femmes de bonne volonté, publié mercredi 1er mai, l’ACKIN se dit convaincue de la rectitude des différentes interventions du Cardinal sur la situation socio-politique du pays.

Catégories: Afrique

Hasna El Becharia, chanteuse pionnière de la musique diwane, est morte

LeMonde / Afrique - jeu, 02/05/2024 - 10:36
Née à Béchar, dans le sud de l’Algérie, en 1950, elle était célèbre pour avoir été la première femme à jouer du guembri, une sorte de guitare nord-africaine à trois cordes, interdite autrefois aux femmes.
Catégories: Afrique

Décès de KABORÉ née KABORÉ Martine : Remerciements et faire- part

Lefaso.net (Burkina Faso) - jeu, 02/05/2024 - 10:30

« Très bien, serviteur bon et fidèle, entre dans la joie de ton Seigneur » (Matthieu 25:21)

Sa Majesté le Mogho Naaba Baongo ; Les grandes familles OUANGRAOUA, KABORÉ et KONGO à Doundoulma Nabitenga I, Ouagadougou, en Côte d'Ivoire, France, aux Etats-Unis et au Canada ; M. Sibiri Philippe KONGO KABORÉ et ses enfants P. Tatiana en France, N. Ghislain Patrick à Ouagadougou, Z. Wilfried aux Etats-Unis, P. Larissa à Banfora ;

Sa Majesté Naaba Saaga de Méguet ; Les grandes familles KABORÉ, KAFANDO, SOUDRÉ et KORSAGA à Méguet, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso ;

Les familles alliées KI, KOUDOUGOU, YANOGO, KABORÉ, OUANGRAOUA et M'BAYE vous renouvellent leurs sincères remerciements pour les soutiens multiformes, les prières, la compassion et la solidarité que vous leur avez témoignés lors du rappel à Dieu de leur épouse, sœur, mère, tante, belle-sœur, belle-mère, grand-mère et arrière-grand-mère, Madame KABORÉ née KABORÉ Martine, Educatrice Sociale à la retraite, le vendredi 29 mars 2024 à Ouagadougou à l'âge de 77 ans.

Merci à vous, Merci à Dieu !
Union de prière


Catégories: Afrique

Décès de SAWADOGO Germaine : Faire part

Lefaso.net (Burkina Faso) - jeu, 02/05/2024 - 10:30

Le Tiib-soba de Gaoua (KAYA),
Les grandes familles SAWADOGO, OUEDRAOGO à Kaya (Gaoua), Koumlakré, Tangasgo, Yaoghin, Ouagadougou, Abidjan, Lyon, Mulhouse ;
Les familles alliées SAWADOGO, OUEDRAOGO, NION, TRAORE, KAMBOU, DRABO à Kongoussi, Ouahigouya, Chicago, Philadelphie ;
M. Boukary SAWADOGO, ses frères et sœurs à Kaya ;
M. Basile SAWADOGO et frères et sœurs à Kaya, et à Ouagadougou ;
M. Yssouf SORE et frères à Ouagadougou et Kaya ;

Les enfants Servanne, Mireille Chantal, Roméo et frères et sœurs,
Les petits enfants Alexandra, Joel, Yohann, Abigael, Nael, Betshalel, Danielle et cousins,
ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur sœur, tante, mère, belle-mère, et grand-mère Madame SAWADOGO Germaine archiviste documentaliste à la retraite, décès survenu le 30 Avril 2024 au CHU de Bogodogo dans sa 71 ème année, de suite de maladie.
Par ailleurs, elles vous informent que les obsèques auront lieu selon le programme suivant :

2 Timothée 4 verset 7 : « J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. ».

Catégories: Afrique

Le Congo de Denis Sassou-Nguesso observe de loin les bouleversements politiques en Afrique

LeMonde / Afrique - jeu, 02/05/2024 - 10:23
Le chef de l’Etat, 80 ans, a dirigé une première fois le pays sous le régime du parti unique, de 1979 à 1992, puis est revenu aux affaires après une guerre civile en 1997.
Catégories: Afrique

Staatsräson, Gaza-Krieg und der Schaden an der regelbasierten Weltordnung

Bonn, 2. Mai 2024. Seit dem Terror-Angriff der Hamas auf Israel am 7. Oktober 2023 rechtfertigt die Bundesregierung ihre politische und militärische Unterstützung von Israels Krieg in Gaza mit dem Prinzip der „Staatsräson“. Es basiert auf Deutschlands Verantwortung für den Holocaust und bedeutet die moralische Verpflichtung, das jüdische Volk und sein Land zu schützen. Die Staatsräson gilt als ein moralischer Pfeiler des deutschen Staates.

Das strikte Festhalten der Bundesregierung an der Staatsräson und wie diese auf Israel angewandt wird, irritiert. Man kann darin eine berechtigte innenpolitische Sorge über den zunehmenden Antisemitismus erkennen, doch untergräbt die bedingungslose Unterstützung der israelischen Regierung die moralische Verantwortung zum Schutz des menschlichen Lebens, auf der die Staatsräson letztlich beruht.

Israel hat das Recht, sich zu verteidigen. Wie der Krieg gegen Gaza geführt wird, stellt jedoch einen Verstoß gegen das Völkerrecht dar. Es fällt schwer, den Tod von mehr als 30.000 Menschen und die Zwangsvertreibung von 85 % der Bevölkerung von Gaza nicht als kollektive Bestrafung zu betrachten, was nach den Genfer Konventionen verboten ist. Ihre Strategie der verbrannten Erde hat die israelische Regierung damit gerechtfertigt, dass die Hamas "menschliche Schutzschilde" gebrauche. Das ist zwar nach den Genfer Konventionen auch verboten, aber diese Menschen haben dennoch Anspruch auf Schutz. Israels Evakuierungsbefehl an 1,1 Millionen Menschen in Gaza impliziert, dass diejenigen, die zurückbleiben, legitime Ziele sind. Auch der israelische Angriff auf die iranische Botschaft in Damaskus verstieß gegen das Völkerrecht, und zwar gegen die Wiener Übereinkommen über diplomatische und konsularische Beziehungen. Der Angriff war rücksichtslos und führte zu einem beispiellosen iranischen Vergeltungsschlag mit Drohnen, Marschflugkörpern und Raketen.

Die israelische Regierung sieht ihr Vorgehen als Verteidigung gegen existenzielle Bedrohungen in einem gewalttätigen regionalen Kontext. Der Sinn einer regelbasierten Weltordnung ist jedoch, dass Konflikte im Rahmen des Völkerrechts ausgetragen werden, weil dies langfristig die beste Chance für den Weltfrieden bietet. Die gefährliche regionale Eskalation, die nun vom Gaza-Krieg ausgeht, scheint diese im Völkerrecht verankerte Weisheit zu belegen. Im Ukraine-Konflikt haben Deutschland und andere westliche Regierungen an diese Weisheit appelliert, nicht aber in der jüngsten Nahost-Krise, trotz Parallelen bei Opferzahlen und Eskalationsgefahr.

Die Staatsräson beeinflusste auch Deutschlands partiellen Finanzierungsstopp für das Palästinenserhilfswerk UNWRA. Die grundsätzliche Notwendigkeit, die einzige Organisation zu unterstützen, die in einer sich verschärfenden Hungerkrise noch humanitäre Hilfe in großem Umfang leisten kann, ging verloren im Zuge von Israels Vorwürfen, UNRWA-Mitarbeiter hätten am Terror-Angriff vom 7. Oktober mitgewirkt. Deutschland und andere westliche Regierungen haben dann auch die dringenden Appelle des UN-Generalsekretärs ignoriert, UNRWA weiterhin zu unterstützen zur Linderung des Leids in Gaza.

Auf globaler Ebene hat der Kurs der Bundesregierung eine antiwestliche Stimmung verschärft. Vor zwei Jahren verurteilte die UN-Generalversammlung die russische Aggression in der Ukraine mit großer Mehrheit. Jetzt sind Deutschland und einige andere westliche Länder durch ihre Stimmenthaltung bei Gaza-Resolutionen isoliert. Der Vorwurf der Doppelmoral, der lange Zeit an andere westliche Staaten gerichtet wurde, wird nun auch Deutschland gemacht. Anstatt für seine Integrität respektiert zu werden, hat Deutschland die Demütigung erlitten, vor dem Internationalen Gerichtshof wegen Unterstützung von Völkermord angeklagt zu werden. All dies eröffnet anderen globalen Mächten Möglichkeiten, Spaltungen im Lager derjenigen auszunutzen, die für liberale Werte eintreten.

Die Unterstützung Deutschlands für die israelische Regierung schadet dem Eintreten für eine regelbasierte, humane internationale Ordnung und auch den deutschen Ambitionen auf einen ständigen Sitz in einem reformierten UN-Sicherheitsrat. Deutschlands Bemühungen um mehr internationale Verantwortung müssen sich daran messen lassen, wie Deutschland sich für das Völkerrecht und zivilisatorische Normen verwendet und wie es Deutschland gelingt, einen Ausgleich der legitimen Interessen aller Seiten, einschließlich der Palästinenser, herzustellen. Als Mittelmacht ist internationale Glaubwürdigkeit Deutschlands höchstes strategisches Gut und die Währung, mit der es seinen Einfluss am besten geltend machen kann.

Die Bundesregierung hat zu Recht den Terrorismus der Hamas verurteilt. Deutschland hat eine Verantwortung für Israel und seine Bürgerinnen und Bürger, aber die Staatsräson darf nicht dazu herhalten, Verstöße gegen das humanitäre Völkerrecht zu decken. Es genügt auch nicht, einen humanitären Zugang nach Gaza zu fordern. Deutschland muss Bedingungen stellen: Einen Stopp von Waffenlieferungen, solange diese Waffen für Verstöße gegen die Genfer Konventionen genutzt werden. Die Bundesregierung muss deutlich machen, dass die israelischen Militäroperationen in Gaza unverantwortlich sind und letztlich die Sicherheit Israels selbst untergraben. Dies wäre ein besserer Ausdruck der deutschen Staatsräson.

Staatsräson, Gaza-Krieg und der Schaden an der regelbasierten Weltordnung

Bonn, 2. Mai 2024. Seit dem Terror-Angriff der Hamas auf Israel am 7. Oktober 2023 rechtfertigt die Bundesregierung ihre politische und militärische Unterstützung von Israels Krieg in Gaza mit dem Prinzip der „Staatsräson“. Es basiert auf Deutschlands Verantwortung für den Holocaust und bedeutet die moralische Verpflichtung, das jüdische Volk und sein Land zu schützen. Die Staatsräson gilt als ein moralischer Pfeiler des deutschen Staates.

Das strikte Festhalten der Bundesregierung an der Staatsräson und wie diese auf Israel angewandt wird, irritiert. Man kann darin eine berechtigte innenpolitische Sorge über den zunehmenden Antisemitismus erkennen, doch untergräbt die bedingungslose Unterstützung der israelischen Regierung die moralische Verantwortung zum Schutz des menschlichen Lebens, auf der die Staatsräson letztlich beruht.

Israel hat das Recht, sich zu verteidigen. Wie der Krieg gegen Gaza geführt wird, stellt jedoch einen Verstoß gegen das Völkerrecht dar. Es fällt schwer, den Tod von mehr als 30.000 Menschen und die Zwangsvertreibung von 85 % der Bevölkerung von Gaza nicht als kollektive Bestrafung zu betrachten, was nach den Genfer Konventionen verboten ist. Ihre Strategie der verbrannten Erde hat die israelische Regierung damit gerechtfertigt, dass die Hamas "menschliche Schutzschilde" gebrauche. Das ist zwar nach den Genfer Konventionen auch verboten, aber diese Menschen haben dennoch Anspruch auf Schutz. Israels Evakuierungsbefehl an 1,1 Millionen Menschen in Gaza impliziert, dass diejenigen, die zurückbleiben, legitime Ziele sind. Auch der israelische Angriff auf die iranische Botschaft in Damaskus verstieß gegen das Völkerrecht, und zwar gegen die Wiener Übereinkommen über diplomatische und konsularische Beziehungen. Der Angriff war rücksichtslos und führte zu einem beispiellosen iranischen Vergeltungsschlag mit Drohnen, Marschflugkörpern und Raketen.

Die israelische Regierung sieht ihr Vorgehen als Verteidigung gegen existenzielle Bedrohungen in einem gewalttätigen regionalen Kontext. Der Sinn einer regelbasierten Weltordnung ist jedoch, dass Konflikte im Rahmen des Völkerrechts ausgetragen werden, weil dies langfristig die beste Chance für den Weltfrieden bietet. Die gefährliche regionale Eskalation, die nun vom Gaza-Krieg ausgeht, scheint diese im Völkerrecht verankerte Weisheit zu belegen. Im Ukraine-Konflikt haben Deutschland und andere westliche Regierungen an diese Weisheit appelliert, nicht aber in der jüngsten Nahost-Krise, trotz Parallelen bei Opferzahlen und Eskalationsgefahr.

Die Staatsräson beeinflusste auch Deutschlands partiellen Finanzierungsstopp für das Palästinenserhilfswerk UNWRA. Die grundsätzliche Notwendigkeit, die einzige Organisation zu unterstützen, die in einer sich verschärfenden Hungerkrise noch humanitäre Hilfe in großem Umfang leisten kann, ging verloren im Zuge von Israels Vorwürfen, UNRWA-Mitarbeiter hätten am Terror-Angriff vom 7. Oktober mitgewirkt. Deutschland und andere westliche Regierungen haben dann auch die dringenden Appelle des UN-Generalsekretärs ignoriert, UNRWA weiterhin zu unterstützen zur Linderung des Leids in Gaza.

Auf globaler Ebene hat der Kurs der Bundesregierung eine antiwestliche Stimmung verschärft. Vor zwei Jahren verurteilte die UN-Generalversammlung die russische Aggression in der Ukraine mit großer Mehrheit. Jetzt sind Deutschland und einige andere westliche Länder durch ihre Stimmenthaltung bei Gaza-Resolutionen isoliert. Der Vorwurf der Doppelmoral, der lange Zeit an andere westliche Staaten gerichtet wurde, wird nun auch Deutschland gemacht. Anstatt für seine Integrität respektiert zu werden, hat Deutschland die Demütigung erlitten, vor dem Internationalen Gerichtshof wegen Unterstützung von Völkermord angeklagt zu werden. All dies eröffnet anderen globalen Mächten Möglichkeiten, Spaltungen im Lager derjenigen auszunutzen, die für liberale Werte eintreten.

Die Unterstützung Deutschlands für die israelische Regierung schadet dem Eintreten für eine regelbasierte, humane internationale Ordnung und auch den deutschen Ambitionen auf einen ständigen Sitz in einem reformierten UN-Sicherheitsrat. Deutschlands Bemühungen um mehr internationale Verantwortung müssen sich daran messen lassen, wie Deutschland sich für das Völkerrecht und zivilisatorische Normen verwendet und wie es Deutschland gelingt, einen Ausgleich der legitimen Interessen aller Seiten, einschließlich der Palästinenser, herzustellen. Als Mittelmacht ist internationale Glaubwürdigkeit Deutschlands höchstes strategisches Gut und die Währung, mit der es seinen Einfluss am besten geltend machen kann.

Die Bundesregierung hat zu Recht den Terrorismus der Hamas verurteilt. Deutschland hat eine Verantwortung für Israel und seine Bürgerinnen und Bürger, aber die Staatsräson darf nicht dazu herhalten, Verstöße gegen das humanitäre Völkerrecht zu decken. Es genügt auch nicht, einen humanitären Zugang nach Gaza zu fordern. Deutschland muss Bedingungen stellen: Einen Stopp von Waffenlieferungen, solange diese Waffen für Verstöße gegen die Genfer Konventionen genutzt werden. Die Bundesregierung muss deutlich machen, dass die israelischen Militäroperationen in Gaza unverantwortlich sind und letztlich die Sicherheit Israels selbst untergraben. Dies wäre ein besserer Ausdruck der deutschen Staatsräson.

Staatsräson, Gaza-Krieg und der Schaden an der regelbasierten Weltordnung

Bonn, 2. Mai 2024. Seit dem Terror-Angriff der Hamas auf Israel am 7. Oktober 2023 rechtfertigt die Bundesregierung ihre politische und militärische Unterstützung von Israels Krieg in Gaza mit dem Prinzip der „Staatsräson“. Es basiert auf Deutschlands Verantwortung für den Holocaust und bedeutet die moralische Verpflichtung, das jüdische Volk und sein Land zu schützen. Die Staatsräson gilt als ein moralischer Pfeiler des deutschen Staates.

Das strikte Festhalten der Bundesregierung an der Staatsräson und wie diese auf Israel angewandt wird, irritiert. Man kann darin eine berechtigte innenpolitische Sorge über den zunehmenden Antisemitismus erkennen, doch untergräbt die bedingungslose Unterstützung der israelischen Regierung die moralische Verantwortung zum Schutz des menschlichen Lebens, auf der die Staatsräson letztlich beruht.

Israel hat das Recht, sich zu verteidigen. Wie der Krieg gegen Gaza geführt wird, stellt jedoch einen Verstoß gegen das Völkerrecht dar. Es fällt schwer, den Tod von mehr als 30.000 Menschen und die Zwangsvertreibung von 85 % der Bevölkerung von Gaza nicht als kollektive Bestrafung zu betrachten, was nach den Genfer Konventionen verboten ist. Ihre Strategie der verbrannten Erde hat die israelische Regierung damit gerechtfertigt, dass die Hamas "menschliche Schutzschilde" gebrauche. Das ist zwar nach den Genfer Konventionen auch verboten, aber diese Menschen haben dennoch Anspruch auf Schutz. Israels Evakuierungsbefehl an 1,1 Millionen Menschen in Gaza impliziert, dass diejenigen, die zurückbleiben, legitime Ziele sind. Auch der israelische Angriff auf die iranische Botschaft in Damaskus verstieß gegen das Völkerrecht, und zwar gegen die Wiener Übereinkommen über diplomatische und konsularische Beziehungen. Der Angriff war rücksichtslos und führte zu einem beispiellosen iranischen Vergeltungsschlag mit Drohnen, Marschflugkörpern und Raketen.

Die israelische Regierung sieht ihr Vorgehen als Verteidigung gegen existenzielle Bedrohungen in einem gewalttätigen regionalen Kontext. Der Sinn einer regelbasierten Weltordnung ist jedoch, dass Konflikte im Rahmen des Völkerrechts ausgetragen werden, weil dies langfristig die beste Chance für den Weltfrieden bietet. Die gefährliche regionale Eskalation, die nun vom Gaza-Krieg ausgeht, scheint diese im Völkerrecht verankerte Weisheit zu belegen. Im Ukraine-Konflikt haben Deutschland und andere westliche Regierungen an diese Weisheit appelliert, nicht aber in der jüngsten Nahost-Krise, trotz Parallelen bei Opferzahlen und Eskalationsgefahr.

Die Staatsräson beeinflusste auch Deutschlands partiellen Finanzierungsstopp für das Palästinenserhilfswerk UNWRA. Die grundsätzliche Notwendigkeit, die einzige Organisation zu unterstützen, die in einer sich verschärfenden Hungerkrise noch humanitäre Hilfe in großem Umfang leisten kann, ging verloren im Zuge von Israels Vorwürfen, UNRWA-Mitarbeiter hätten am Terror-Angriff vom 7. Oktober mitgewirkt. Deutschland und andere westliche Regierungen haben dann auch die dringenden Appelle des UN-Generalsekretärs ignoriert, UNRWA weiterhin zu unterstützen zur Linderung des Leids in Gaza.

Auf globaler Ebene hat der Kurs der Bundesregierung eine antiwestliche Stimmung verschärft. Vor zwei Jahren verurteilte die UN-Generalversammlung die russische Aggression in der Ukraine mit großer Mehrheit. Jetzt sind Deutschland und einige andere westliche Länder durch ihre Stimmenthaltung bei Gaza-Resolutionen isoliert. Der Vorwurf der Doppelmoral, der lange Zeit an andere westliche Staaten gerichtet wurde, wird nun auch Deutschland gemacht. Anstatt für seine Integrität respektiert zu werden, hat Deutschland die Demütigung erlitten, vor dem Internationalen Gerichtshof wegen Unterstützung von Völkermord angeklagt zu werden. All dies eröffnet anderen globalen Mächten Möglichkeiten, Spaltungen im Lager derjenigen auszunutzen, die für liberale Werte eintreten.

Die Unterstützung Deutschlands für die israelische Regierung schadet dem Eintreten für eine regelbasierte, humane internationale Ordnung und auch den deutschen Ambitionen auf einen ständigen Sitz in einem reformierten UN-Sicherheitsrat. Deutschlands Bemühungen um mehr internationale Verantwortung müssen sich daran messen lassen, wie Deutschland sich für das Völkerrecht und zivilisatorische Normen verwendet und wie es Deutschland gelingt, einen Ausgleich der legitimen Interessen aller Seiten, einschließlich der Palästinenser, herzustellen. Als Mittelmacht ist internationale Glaubwürdigkeit Deutschlands höchstes strategisches Gut und die Währung, mit der es seinen Einfluss am besten geltend machen kann.

Die Bundesregierung hat zu Recht den Terrorismus der Hamas verurteilt. Deutschland hat eine Verantwortung für Israel und seine Bürgerinnen und Bürger, aber die Staatsräson darf nicht dazu herhalten, Verstöße gegen das humanitäre Völkerrecht zu decken. Es genügt auch nicht, einen humanitären Zugang nach Gaza zu fordern. Deutschland muss Bedingungen stellen: Einen Stopp von Waffenlieferungen, solange diese Waffen für Verstöße gegen die Genfer Konventionen genutzt werden. Die Bundesregierung muss deutlich machen, dass die israelischen Militäroperationen in Gaza unverantwortlich sind und letztlich die Sicherheit Israels selbst untergraben. Dies wäre ein besserer Ausdruck der deutschen Staatsräson.

Le GAO scrute le Pentagone qui reconstitue et modernise ses stocks vidés pour armer Kiev

Lignes de défense - jeu, 02/05/2024 - 10:00

Le GAO a diffusé le 30 avril une étude d'une douzaine de pages intitulée "Ukraine: Status and Challenges of DoD Weapon Replacement Efforts" (GAO-24-106649). L'équivalent de notre Cour des comptes y analyse les fournitures d'armes et de munitions à l'Ukraine et le processus de remplacement de ces équipements au sein des arsenaux américains. 

Avant mars 2024 (donc avant le vote des 62 milliards de dollars d'aide supplémentaire), le Congrès avait donné son accord à un financement supplémentaire de 25,9 milliards de dollars:

Ces fonds devaient permettre au DoD de:
- recompléter ses stocks au niveau où ils étaient avant le début des cessions à l'Ukraine
- acheter des modèles plus récents et plus modernes des armements livrées à l'Ukraine
- investir dans la base industrielle de défense pour accélérer la production d'armes
- rembourser les frais de logistique associés aux transferts vers l'Ukraine (par exemple, coûts du carburant et de l'entretien pour expédier les matériels à l’étranger).

Au 31 décembre 2023, le DoD avait déjà  utilisé plus de 70 % de ce financement, soit plus de 18 milliards de dollars.

Sur cette somme, plus de 16 milliards de dollars ont été engagés pour l'achat d'armes et l'adaptation de la base industrielle pour qu'elle produise davantage d'armement et de munitions (on pense aux obus de 155mm dont la production aura été multipliée par 7) et dans des délais raccourcis, tandis que le reste a été engagé pour rembourser les coûts de transport et de logistique du DoD.

Les achats de munitions, de missiles et de véhicules de combat constituent le coeur de ces commandes, comme indiqué ci-dessous:

C'est sur ces processus que s'est penché le GAO pour que l'utilisation des 25,9 milliards de dollars soit optimale et que le processus de cession à Kiev ne pénalise pas la capacité militaire US.

Catégories: Défense

Pages