Baghdad Bounedjah monte en puissance. Il enchaine les bonnes performances et envoie un signal fort au sélectionneur national Djamel Belmadi. Ses efforts devraient être récompensés […]
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Dans le cadre du nouveau caractère des relations russo-occidentales qui s'est instauré depuis le début de l'année 2022, la suspension par la Fédération de Russie de sa participation dans le traité sur la réduction des armements stratégiques offensifs Start-II/SNV-III n'a été qu'une suite logique et parfaitement prévisible : face à la menace déclarée et partiellement mise en œuvre par l'occident collectif vis-à-vis de la Russie, cette dernière a procédé à la suppression légale des restrictions au développement de son armement stratégique.
Oleg Nesterenko
Président du Centre de Commerce et d'Industrie Européen
Une réponse appropriée
Dans les clauses du traité Start-II, il est stipulé que chacune des parties prenantes de l'accord dispose du droit de le quitter dans le cas de changement significatif des circonstances : « si elle considère que les circonstances exceptionnelles liées au contenu du présent accord ont mis en péril ses intérêts suprêmes » (article 14, paragraphe 3).
La fixation par l'occident collectif comme objectif « la défaite stratégique de la Russie » et les nombreuses déclarations officielles de ce dernier dans ce sens est un changement significatif des circonstances qui a reçu une réponse appropriée.
Par ailleurs, depuis plusieurs mois, les Etats-Unis d'Amérique ont réclamé à multiples reprises leur droit d'inspection des sites stratégiques russes, aussi étonnant que cela puisse paraitre dans les circonstances politiques actuelles. L'inadmissibilité de la présence des visites de contrôle des sites de défense stratégique du pays par les représentants de l'état-ennemi avec lequel, de facto, la Russie se situe en état de guerre était une évidence. Ceci est sans négliger le fait que les Etats-Unis, de leur côté, ont procédé à la création d'obstacles artificiels à la réciprocité des visites prévues par l'article 11 du traité en vigueur, via la non-délivrance des visas américains aux contrôleurs russes et la fermeture de l'espace aérien américain aux avions russes qui pourrait les amener sur le sol américain, ce qui, de jure, vaut sa violation directe.
L'officialisation de la démarche de Moscou par l'adoption suivie de la ratification de loi fédérale Nr. 38-FZ du 23 février 2023 a été entreprise, afin de rester dans la stricte légalité vis-à-vis des engagements internationaux signés et ratifiés par la Fédération de Russie et de ne pas créer un précédent permettant aux adversaires d'instrumentaliser une hypothétique violation des engagements russes dans le cadre du droit international en vigueur.
Cela étant, avec le gel de sa participation dans le traité, Moscou souligne qu'elle continuerait à « respecter strictement les limites quantitatives des armes stratégiques offensives » indépendamment du présent accord russo-américain, mais qu'elle serait « prête à des essais d'armes nucléaires » si Washington en effectuait en premier.
La traduction de ce nouveau pas stratégique russe est sans équivoque : vu l'hostilité ouverte et croissante de l'occident collectif gravitant autour des USA vis-à-vis de la Russie, il est exclu que nous continuions à exposer nos forces nucléaires au contrôle par l'ennemi, toutefois, n'avisez pas de profiter de cette nouvelle disposition pour faire croitre les vôtres.
Une excellente nouvelle pour les États-Unis
Suivant la déclaration russe, toute une pluie de réactions d'indignation émanant du camp atlantiste a eu lieu. Parmi elles, considérer comme non hypocrite les paroles du chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, que la rupture de New Start par la Russie est « très décevante » serait la preuve d'une grande légèreté.
À la suite des retraits unilatéraux des États-Unis de l'intégralité des accords internationaux clés sur le contrôle des armements nucléaires, hormis celui de Start-II : retrait en juin 2002 du traité ABM sur la limitation des systèmes de défense contre les missiles balistiques, retrait en mai 2018 de l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien, retrait en août 2019 du traité INF sur les missiles nucléaires à portée intermédiaire et le retrait en mai 2020 du traité « Ciel ouvert » sur la vérification des mouvements militaires et de la limitation des armements - l'initiative russe de février 2023 est bien une excellente nouvelle pour les stratèges américains.
Les pays membres de l'Union Européenne, depuis plus de 30 ans, ont acquis une certitude qu'à l'avenir des horizons visibles ils ne seront plus confrontés à des menaces existentielles – qualifiées comme telles à tort ou à raison – et ne seront plus engagés dans des conflits majeurs nécessitant des actifs militaires considérables, à la suite de quoi une politique générale du désinvestissement dans des secteurs de la défense a été mise en place et menée depuis avec un succès indéniable.
Toutes les initiatives émanant des parties partisantes d'une Europe indépendante et forte non seulement économiquement, mais aussi militairement, ont été contrecarrées.
Notamment, le freinage constant au niveau de la quasi-intégralité des accords dans le domaine de la coopération des industries de l'armement entre deux moteurs du cœur de l'Union Européenne, la France et l'Allemagne, qui pourraient mener au développement significatif de l'industrie de défense européenne, entrepris ces dernières années par le pouvoir allemand politiquement dominé par les Etats-Unis, ce freinage a paralysé la possibilité de la création d'un véritable bloc de défense européenne autonome.
Cette neutralisation a mené vers plusieurs succès majeurs de la politique étrangère américaine : l'affaiblissement significatif du concurrent européen dans le domaine de l'armement, l'élargissement du marché pour l'industrie américaine de l'armement sur le sol européen et, surtout, comme déjà mentionné, la neutralisation du danger de la création du bloc de défense européenne autonome des Etats-Unis d'Amérique.
En réponse aux événements qui ont lieu depuis le début de l'année 2022, dans les 10 ans à venir, au moins, des investissements considérables auront lieu dans le réarmement, d'une part, de la Fédération de Russie, d'autre part, de l'Union Européenne.
Si du côté de la Russie, c'est l'industrie nationale de défense qui verra l'accroissement significatif de ses activités qui sont déjà, depuis plus de 10 ans, sur les rails du développement progressif ;
du côté de l'U.E., ce sont les USA qui exécuteront le rôle majeur dans le réarmement du vieux continent, ce qui mènera bien vers la création d'une véritable force de défense européenne, mais qui aura aucune autonomie vis-à-vis de son mentor et sous-traitant Outre-Atlantique.
Il est également important de noter que les Etats-Unis d'Amérique utilisent contre l'économie concurrente de l'Union Européenne la stratégie sous-jacente du « retour de l'ascenseur », qui sera également incriminée à la Russie :
lors de la guerre froide, l'occident collectif a utilisé contre l'Union Soviétique la baisse significative du cours des énergies fossiles jumelée à l'augmentation considérable des dépenses militaires dans la course imposée aux armements, afin de faire effondrer son économie.
Aujourd'hui, c'est l'économie européenne qui se situe au bord de la récession, accompagnée d'une augmentation sans précèdent du cours des énergies fossiles jumelée à l'augmentation considérable des dépenses militaires dans la course aux armements.
Course aux armements qui n'est plus évitable à la suite de l'abandon par la Russie de sa participation au traité sur la réduction des armements stratégiques offensifs.
A la suite de ces processus, un nouvel équilibre géostratégique sera instauré. L'équilibre qui ne sera plus basé sur les accords, les traités et les partenariats entre la Russie et l'Occident collectif, mais sur la parité militaire rajusté en flux tendu entre les parties.
Le futur « ancien » bouclier anti-missile
Le temps propice pour Washington est arrivé : le relancement du projet de l'installation du bouclier anti-missile par les USA sur le sol européen aura inévitablement lieu et, cette fois-ci, il aboutira.
La Maison Blanche est parfaitement consciente qu'avec, notamment, la mise en service des missiles stratégiques russes porteurs de charge nucléaire, basés sur des technologies révolutionnaires et sans égal qui ont vu le jour dans les dernières années - la neutralisation par les systèmes de défense existants d'une éventuelle frappe nucléaire du sol américain ou européen entreprise par la Russie s'avère être impossible, sans même la prise en compte de la composante sous-marine de l'adversaire.
Le déploiement du système américain de défense antimissile sera mis en œuvre non pas en tant qu'une protection effective contre la menace russe, ni en tant qu'un élément symbolique. L'objectif visé sera parfaitement pragmatique et consistera à l'augmentation du degré et la consolidation à long terme de la domination politico-militaire américaine sur le continent européen.
Cette initiative, contrairement à sa version précédente, n'aura plus besoin de requérir à des déclarations mensongères, comme auparavant, sur la soi-disant protection contre l'hypothétique menace nucléaire iranienne.
A noter que la probabilité de l'utilisation, à l'avenir, du territoire de l'Ukraine en tant qu'une composante de la défense anti-missile face à l'hypothétique menace nucléaire russe est mathématiquement proche de zéro absolu.
La flûte de Hamelin et les distorsions de la réalité
Pour tous les experts qui n'ont pas perdu le sens de la réalité il est parfaitement évident que la Fédération de Russie n'a aucune attention, de son côté, ni par le passé, ni à présent, d'entrer en guerre contre les pays de l'Union européenne.
Ce n'est qu'en instaurant artificiellement dans l'imaginaire collectif par la classe dirigeante occidentale une association des valeurs ukrainiennes à celles des européennes et en introduisant l'idée totalement coupée de la réalité du destin commun des deux par les techniques de manipulation des masses, telles que le filtrage et la distorsion de la réalité via l'outil de médias mainstream, que les masses ont acquis la croyance dans le sérieux de la menace russe.
Les futures dépenses faramineuses de certains pays de l'Union Européenne, dont la France et l'Allemagne, dans le réarmement dit conventionnel seront un engagement financier sans aucun rapport réel avec l'hypothétique menace russe.
Du côté de la Russie, la force de dissuasion nucléaire est considérée, à juste titre, en tant qu'un élément suffisant pour assurer la mission qui est la sienne : dissuader les adversaires d'engager leurs armées dans une confrontation directe avec la Russie, ce qui, selon la doctrine militaire russe en vigueur, mènerait directement à des frappes nucléaires de représailles.
Les déclarations du contraire sont à l'opposé de la réalité économico-militaire et ne sont que de la démagogie adressée à des masses préformatées dans le cadre de la poursuite des objectifs politiques préétablis de ses auteurs, parfaitement conscients, en ce qui les concerne, de la futilité de leurs propos.
Les paroles de l'ancien directeur de la CIA, William Casey, prononcées en 1981 : « Notre programme de désinformation aura atteint son but lorsque tout ce que le public américain croira sera faux » brillent aujourd'hui sur le vieux continent avec des couleurs ravivées.
L'époque des ténèbres dans la diplomatie russo-européenne
Pour donner suite à l'anéantissement des relations bilatérales à l'initiative occidentale dans l'intégralité des domaines stratégiques, le nouvel modus operandi à long terme de la Fédération de Russie vis-à-vis de l'Union Européenne consistera dans l'absence totale de confiance vis-à-vis des engagements du signataire de l'ouest : plus aucun équilibre ne sera basé sur les signatures et ratifications des accords bilatéraux, mais sur la parité des forces armées. Les relations diplomatiques russo-européennes entrent dans l'époque des ténèbres.
La suspension de la participation de la Russie dans le traité Start II, dont le maintien ne peut exister dans le cadre du niveau actuel des relations entre les parties prenantes et les parties intéressées, est le second pas stratégique russe dans ce sens.
Le premier pas a été la sortie de la Russie du Conseil de l'Europe. Contrairement à des déclarations purement mensongères, afin de sauver la face, c'est bien la Fédération de Russie qui a quitté l'organisation par sa décision souveraine et non pas été exclue, comme ceci est prétendu. Le 15 mars 2022, Marija Pejčinović Burić, la secrétaire générale du C.E. a reçu une lettre officielle dans ce sens, envoyé par Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de Russie. À la suite de cette décision de Moscou, le lendemain, le 16 mars 2022, une réunion extraordinaire de l'organisation a été tenue au cours de laquelle il a été « décidé » l'exclusion la Russie du Conseil de l'Europe.
L'un des prochains pas politique de la Russie d'une importance majeure sera, très certainement, la suspension de sa participation au sein de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), dont elle est co-fondatrice. La suspension aura lieu à la suite du comportement abusif et illicite des pays-membres du bloc occidental vis-à-vis du fonctionnement de l'organisation, ce qui remet en cause la viabilité même de la plateforme de l'organisation servant au dialogue sécuritaire. Si la Russie entreprenne sa suspension - le sens même de l'existence de l'OSCE sera remis en cause, car, sans la participation russe les objectifs de la structure ne peuvent jamais être atteints.
Les funérailles du Start-II
La Russie a déclaré qu'elle ne quitte pas le traité, mais ne fait que suspendre sa participation. Néanmoins, étant donné que le présent accord qui est entré en vigueur en 2011 et a été prolongé pour 5 ans en février 2021 - arrive à son terme en février 2026 - il est fortement improbable qu'avant la date de son échéance les relations russo-américaines puissent se normaliser au point de relancer les contrôles réciproques des sites de défense stratégique.
Par ailleurs, vu que le document constitutif ne prévoit pas la possibilité de le suspendre, mais uniquement de le quitter, il est fort probable que, très prochainement, les USA vont le dénoncer et le quitter suivant la Russie.
De ce fait, le traité Start-II entre la Fédération de Russie et les États-Unis d'Amérique sur les mesures visant à réduire et à limiter les armements stratégiques offensifs peut être considéré comme mort et enterré, au même titre que les relations diplomatiques russo-européennes et l'autonomie politico-militaires du vieux continent.
A rendőrség, a Bács-Kiskun Vármegyei Főügyészséggel együttműködve, február 27-én egy időben csapott le a 12 gyanúsítottra Kunszentmiklóson, a bíróság pedig elrendelte valamennyiük letartóztatását – közölte Latorovszky Gábor.
A bűnbanda, több mint félszáz bűncselekményt követett el és az általuk okozott kár több tízmillió forint. Mint elmondta, a bűnözök az elhagyatott útmenti parkolókban pihenő, jellemzően alvó utasokra vadásztak. A módszerük lényege a meglepetés volt; ha nyitva volt a kocsi, akkor az ajtón keresztül szerezték meg az elérhető tárgyakat, telefonokat, pénztárcákat, autóstáskákat. Amennyiben zárva volt az autó, akkor betörték az ablakot és azon keresztül benyúlva kapták fel az értékeket – ismertette a rendőr ezredes.
Hozzátette, hogy a banda főleg az M1-es, M5-ös, M7-es autópályák és az M0-ás autóút mentén tevékenykedett. Arról is beszámolt, hogy még decemberben elfogtak öt, a bűncselekmény-sorozathoz köthető személyt, így 17 embert gyanúsítanak kifosztással és lopással – közölte Latorovszky.
Kövecs Máté a Bács-Kiskun Vármegyei Főügyészség helyettes szóvivője arról számolt be, hogy az országos rendőr-főkapitány elrendelte a különböző hatóságok bűnügyi koordinációját, így az ügyészség képviselői is részt vettek a rajtaütésben. A bíróság az ügyészség indítványára rendelte el a gyanúsítottak letartóztatását – mondta a helyettes szóvivő.
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Le Bénin reçoit l'appui de la coopération suisse pour la mise œuvre du programme d'Appui aux Initiatives dans le secteur de l'Elevage et à la cohésion sociale (PAIE) dans quatre départements. C'est un programme initié par le Haut-Commissariat à la Sédentarisation des Eleveurs (HCSE) avec le soutien de la coopération Suisse sur la période 2023-2025
Le gouvernement béninois reçoit l'appui de la Suisse dans le cadre de la lutte contre l'extrémisme violent et la radicalisation dans les zones frontalières du Nord Bénin. En collaboration avec la coopération internationale Suisse, le Haut-Commissariat à la Sédentarisation des Eleveurs (HCSE) a initié le Programme d'Appui aux Initiatives dans le secteur de l'Elevage et à la cohésion sociale (PAIE). Sa mise en œuvre permettra de renforcer la contribution du sous-secteur de l'élevage à la croissance économique et de réduire les risques de fragilité, de conflit et de violence au Bénin. L'objectif spécifique de ce programme est « d'améliorer les productions animales par la transformation des systèmes d'élevage dans un environnement sécurisé ». Le programme prend en compte toutes les communes des départements de l'Alibori, du Borgou, de l'Atacora et de la Donga pour une durée de 03 ans (2023-2025).
Le coût global du programme est de 5.500.000 francs suisses, soit plus de 3,4 milliards de FCFA. 3.250.000.000 FCFA seront affectés au programme de sédentarisation des ruminants du Haut-Commissaire à la Sédentarisation. Les fonds restants (environ 187.500.000 FCFA) seront gérés par la Direction du Développement et de la Coopération suisse (DDC). Ils serviront pour financer les missions d'audit, d'évaluation et les capitalisations ; des mandats d'appui technique spécifique afin d'accompagner le processus de cohésion sociale, la formation et le suivi de la gestion du programme et des études thématiques.
Résultats attendus
Puiseurs résultats sont attendus de la mise en œuvre du programme. Il s'agit de la gestion rationnelle des ressources pastorales dans un environnement sécurisé ; le renforcement des infrastructures agropastorales et sociocommunautaires au profit des agro-éleveurs ; l'amélioration de la productivité et la production des espèces bovines, ovines et caprines ainsi que la diversification des activités économiques de la population cible (jeunes et femmes). Aussi, les éleveurs ont-ils un meilleur accès au foncier, au financement agricole et à d'autres services.
Un comité national sera chargé de piloter le programme. Le Comité va réunir toutes les parties prenantes, les ministères et structures concernés, les différentes organisations et associations professionnelles des producteurs et des éleveurs.
Le Programme d'Appui aux Initiatives dans le secteur de l'Elevage et à la cohésion sociale sera exécuté par le Haut-Commissariat à la Sédentarisation des Eleveurs. Il va s'appuyer sur le Secrétariat technique à la coordination du projet de cohésion sociale mis en place dans le cadre du projet de cohésion sociale dans les régions Nord du Golfe de Guinée financé par la Banque Mondiale.
Akpédjé Ayosso
Opal Palmer Adisa in Jamaica. Credit: SWAN
By SWAN
PARIS, Mar 8 2023 (IPS)
For the past six years, Jamaican writer and scholar Opal Palmer Adisa has been one of the voices crying out against the prevalence of gender-based violence in the Caribbean and elsewhere. To highlight this human rights issue, she launched “Thursdays in Black” – holding public protests throughout the year and, on Thursdays, making use of social media to spread her message and raise awareness.
Palmer Adisa, a former director of The Institute for Gender and Development Studies at the University of the West Indies, Mona, is also known as one of the forces highlighting Caribbean artists “at home and in the diaspora” (alongside SWAN, which was launched in 2011). She’s the founder of Interviewing the Caribbean, a journal where artists from all genres discuss their craft and the arts in general.
But it is her work on gender that is now coming to the fore and which is a focus in her latest publications – she has written some 20 books, including novels and collections of stories and poetry. Her most recent work, The Storyteller’s Return, looks at misogyny and examines how women find healing amidst violence.
For International Women’s Day, SWAN spoke with Palmer Adisa about her writing and her continuing fight to end GBV both in her homeland and globally. The edited interview follows.
SWAN: The United Nations defines gender-based violence (GBV) as “harmful acts directed at an individual based on their gender”. The organization cites estimates that “one in three women will experience sexual or physical violence in their lifetime”. Why isn’t the world calling this for what it is and doing more?
Opal Palmer Adisa: As much as some people claim that feminists are always blaming patriarchy, the reason why gender-based violence is not declared for what it is – life-threatening to women and damaging to the entire society – is because of patriarchy and the institutions that are patriarchal; hence gender-based violence is really not taken very seriously.
There are band-aid things that are being done in Jamaica and elsewhere to address the issue, but the issue is deeper and encoded in our social/religious institutions and, therefore, has to be attacked or resolved at those levels.
We have to look at the various interpretations of religions that make men in charge of women. So, in order to change gender-based violence, we’re talking about a complete reframing of the entire society starting with the institutions. We have to project and reinforce that women are equal to men and should be treated equally in all areas.
A question that I have been grappling with, even in my new novel, is: why do men rape? Why is it something that they feel they can and do do? It is a form of terror and control of women. There is definitely some progress, but the various governments have to declare GBV as war, which it is, and treat it as such.
SWAN: Campaigns to stop violence against women – the main victims of GBV – are generally highlighted every International Women’s Day (March 8) and every Nov. 25 – International Day for the Elimination of Violence Against Women. What are these campaigns achieving on the international level?
OPA: International Women’s Day and the 16 days of elimination of violence against women have brought international attention to this issue, and this has forced more governments and people worldwide to stop and pay attention, and understand the long-term effect of gender-based violence, not just on the woman and man who are involved (because 80% of the perpetrators are men), but it impacts the children, it impacts the elders, it impacts the health industry, the economy – because women have to seek help through medical care, lose work time, etc.
More importantly, because of these specific days, a growing number of women globally understand that they don’t have to be victims and that there are resources now for those who are in abusive situations to get some kind of respite. The changes that are needed are still a long time away, but these days bring attention and awareness and education.
However, we need to understand that we live in a world that prescribes violence as a solution, and GBV is an obvious consequence. There has to be a major paradigm shift – what we’re talking about is non-violent conflict resolution, which for me is one of the important things in my struggle against gender-based violence: teaching men and women how to talk with each other and how to disagree with each other without resorting to physical harm.
We must teach men to deeply respect women, not just to say it, but to respect women and to understand that women are not here to be of service to them, to wash their clothes or cook their meals, to take care of them sexually – that woman are their partners and deserve to be treated with mutual respect.
International Women’s Day and November 25th through December 10th are very important because they bring tremendous awareness to the ills and plight of women and offer some solutions to ameliorate these conditions.
SWAN: According to the Caribbean Policy Research Institute, Jamaica is among the nations that have the highest rate of femicide (intentional homicide of females) and of “intimate partner violence”. You have been highlighting these issues through both your scholarly and creative work. How did your initiative in this area begin?
OPA: As you’ve indicated, Jamaica has a very high femicide and gender-based-violence rate, and, as a child growing up, I saw this. I grew up on a sugar estate where poverty was a reality for those cane cutters and their families who toiled daily under the sun, and violence fed by anger was also part of that reality. There were numerous whispered stories of gender-based violence.
This lived experience influenced my work, so my very first collection Bake-Face and Other Guava Stories explores this issue as well as sexual abuse. In my creative work, I always felt it was important to illuminate these issues to bring about awareness. My advocacy of “Thursdays in Black” is really just a continuation.
As a writer, my work is intended to address those issues that impact both women and men and try to offer solutions. Growing up, I felt that not many people were doing anything about these issues, dismissing them as “man-and-woman” business.
Honestly, I think that many people didn’t understand the social and long-lasting impact it had on children, on the entire family unit, and so I feel it’s my duty to do that, to write about these things, and expose the theme in the hope of bringing about change. My writing is really about healing – how do we heal from these historical traumas of enslavement but also the daily traumas that we inflict on each other.
SWAN: At the 2021 Bocas Lit Fest (an annual literary festival in Trinidad), you did a powerful online reading of How Do I Keep Them Safe. Can you tell us what motivated this poem?
OPA: In the last 6 years, I have been working specifically to look at issues impacting women and children. Living in Jamaica, you can’t help but hear about the tremendous atrocities done to girls, raping, and mutilation. It’s just awful, quite devastating, and in some instances debilitating.
So, I wrote that poem for mothers. Seeing them in the newspaper or the news, underlining their lament and grief is how do we keep our girls safe. I am a mother, and even though my girls are young adults, it was my constant concern – how to keep them safe. The poem is the voices of women, the community, the voice of fathers who are searching for ways to keep their children safe, specifically their girl children from sexual harassment, which is rampant, and from rape and mutilation.
SWAN: Your most recent collection of poetry, The Storyteller’s Return, explores misogyny and women’s survival and healing in hostile spaces. What do you want readers to take from it?
OPA: The Storyteller’s Return is a love story to Jamaica, a book of gratitude about being able to return. It’s for all the returnees and for all those who want to return but don’t feel they can. While it asserts that Jamaica is unsafe and misogyny is pervasive, it also reveals that there are safe havens and beautiful wonderful people still present in Jamaica.
I want readers to really take away from this book that in the midst of the hostility there is redemption, and all of us have a role to play. The collection is really a homage to those who are away and who have returned and who are wanting to return and who cannot return – to understand that even in the midst of the seeming chaos and hostility, there is opportunity and joy and peace.
SWAN: Not all artists can be activists, but what are some of the ways in which everyone can join the fight to end GBV?
OPA: In order for gender-based violence and violence in general to change in Jamaica, and anywhere else, everyone has to do their role. You don’t have to be an activist and go on marches and carry out other conscious acts of protest like I do, and you don’t have to make this your weekly assignment, but there is a lot you can do on a personal individual level.
Start by having meaningful conversations about some of the ills you see in your society and what each of us as individuals can do to help eradicate and address those ills. Almost everyone has seen, heard and/or witnessed GBV. We have to adopt the African motto: “Each one teach one.” Start on the individual level, talking with each other, acting peacefully with your friends and colleagues and whenever you see injustice or wrong, be brave and speak up against it; do not ignore it or pretend it doesn’t exist. So, that’s how do our part – be a witness, speak up, help a victim when and wherever you can.
Le Royaume du Maroc à travers son ambassade à Cotonou prend une part active à l'édition 2023 du mois de la Francophonie. Une projection de film a été organisée dans la soirée du mardi 07 mars 2023 à l'Institut français de Cotonou. Après la projection du film, SEM. Rachid RGUIBI a offert aux invités un cocktail avec des mets marocains
« Le Maroc est un membre actif de l'Organisation Internationale de la Francophonie, qui agit en faveur de la promotion des valeurs de solidarité internationale, de dialogue et du multilatéralisme », a déclaré l'Ambassadeur de Sa Majesté le Roi au Bénin dans son mot de bienvenue. Ce qui justifie selon lui, la participation du Royaume aux activités du mois de la Francophonie.
« TAMBOURS DE FEU » ou « LES CAVALIERS DE LA GLOIRE », c'est le titre du film projeté au public composé d'ambassadeurs et autres invités de marque à l'Institut français de Cotonou dans la soirée du mardi 07 mars.
Ce film qui décrit l'épopée d'un Sultan courageux à coup d'épées, de galopes de chevaux et villes et campagnes qui brûlent. Il est réalisé par le cinéaste marocain, Souheil BEN BARKA.
Selon SEM. Rachid RGUIBI, « TAMBOURS DE FEU » est un film basé sur des « faits historiques », et qui raconte l'histoire de la dynastie des Saadiens, et plus particulièrement, celle du Prince Abdelmalek chassé de son pays par ses propres frères.
« Il passera plusieurs années (1560/1578) de sa vie sur les mers, d'une aventure de la bataille de Lépante, de la prison d'Alicante à la prise de Tunis, avant de retrouver son pays le Maroc envahi par Don Sébastien Roi du Portugal », a-t-il expliqué.
Le film poursuit le diplomate marocain, finit par la « fameuse bataille des trois rois du 04 août 1578 », et plus connue sous le nom « bataille d'oued al-Makhazin ». Une bataille qui met fin au projet d'invasion du Maroc par les Portugais, et fait du Royaume, le seul pays de l'Afrique du Nord à ne pas avoir été sous la domination ottomane.
L'Ambassadeur du Roi a par ailleurs remercié l'auteur du film pour avoir répondu « favorablement » à sa demande de projeter une seconde fois son œuvre à Cotonou. BEN BARKA selon SEM. Rachid RGUIBI, a marqué le cinéma marocain à travers la réalisation de grands films. Il a rappelé le film « AMOK » projeté l'an dernier dans le cadre du mois de la Francophonie à Cotonou.
Le cinéaste Souheil BEN BARKA fut directeur général du Centre Cinématographique du Maroc (CCM). Sous sa direction (1986-2003), le Maroc a connu la construction de studios de cinéma international OUARZAZATE, et la création du Fonds de soutien aux cinéastes marocains.
Rachid RGUIBI a exprimé ses chaleureux remerciements à SEM. Marc VIZY, Ambassadeur de France au Bénin, et Président du groupe des ambassadeurs francophones, ainsi qu'au directeur de l'Institut français de Cotonou, et à toutes les personnes qui ont facilité l'organisation de la manifestation culturelle.
A la fin de la projection du film, SEM. Rachid RGUIBI a offert aux invités un cocktail avec des mets marocains.
F. A. A.