Le monde du football est en deuil. Christian Atsu a été retrouvé sans vie à la suite des séismes en Turquie le 6 février dernier. Et les cérémonies se succèdent au Ghana pour rendre hommage à l'ancien joueur ghanéen.
La dépouille d'Atsu a été rapatriée au Ghana et, depuis, les hommages se succèdent. Samedi 04 février, une cérémonie baptisée la « one week observation » a eu lieu en présence de la famille du défunt, de ses proches et d'anciens coéquipiers comme la star Asamoah Gyan afin de « célébrer la vie » d'Atsu.
Les derniers rites funéraires se dérouleront sur le parvis de la State House à Accra le vendredi 17 mars, a annoncé sa famille. Il devrait donc s'agir de grandes funérailles nationales.
J.S
L'international égyptien Salah des Reds de Liverpool a connu une soirée de dimanche 05 mars à records. Alors que Manchester United était en déplacement à Anfield, Mohamed Salah a inscrit un doublé et délivré deux passes décisives.
Mohamed Salah a été le grand artisan de l'humiliation infligée par Liverpool aux Red Devils ce dimanche. Dans ce derby d'Angleterre comptant pour la 26e journée de Premier League, Manchester United est tombé 7-0. Une belle soirée pour Salah qui s'est offert plusieurs records.
Auteur de ses 128e et 129e buts en 205 matchs en championnat, l'international égyptien est un peu plus entré dans la légende en détrônant Robbie Fowler (127 buts) pour s'imposer comme le meilleur buteur de l'histoire du club anglais en Premier League.
Mo Salah est également devenu le premier joueur de l'histoire de son club à marquer lors de 6 matchs consécutifs face aux Red Devils toutes compétitions confondues.
Enfin, Salah affiche désormais 20 buts et 10 passes décisives au compteur cette saison toutes compétitions confondues et il est le premier joueur de Premier League à franchir ce double palier en 2022-2023.
J.S
Des responsables du Conseil National de Lutte contre le VIH/Sida, la Tuberculose, le Paludisme, les Hépatites, les Infections Sexuellement Transmissibles et les Épidémies (CNLS-TP), ont été interpellés par la Brigade Economique et Financière (BEF) dans le cadre d'un audit de gestion.
Quatre responsables du Conseil National de Lutte contre le VIH/Sida, la Tuberculose, le Paludisme, les Hépatites, les Infections Sexuellement Transmissibles et les Épidémies (CNLS-TP), ont le feu aux fesses à la suite des résultats d'un audit de gestion des ressources réalisé sur la structure.
A la suite de l'audit commandité à la suite des dénonciations d'une personne anonyme, trois responsables du CNLS-TP ont été interpellés et placés en garde-à-vue à la Brigade Economique et Financière (BEF). Il s'agit de la Personne Responsable des Marchés Publics (PRMP) Alidaé Koty ; du régisseur Razack Soumaïla et du Secrétaire Exécutif (SE) Dr Bertin Affedjou.
Cité dans le dossier, l'actuel directeur l'Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OAAS) et ex Secrétaire Exécutif (SE) du CNLS-TP, Dr Melchior Athanase Aïssi a été écouté par la BEF.
De sources concordantes, plusieurs autres personnes seront interpellées dans cette affaire de gestion des ressources du Conseil National de Lutte contre le VIH/Sida, la Tuberculose, le Paludisme, les Hépatites, les Infections Sexuellement Transmissibles et les Épidémies (CNLS-TP).
M. M.
Les étudiants des Lettres Modernes à l'Université d'Abomey-Calavi (UAC) menacent d'aller en grève. Ils l'ont fait savoir lors d'une Assemblée générale tenue le vendredi 03 mars 2023 l'amphithéâtre A1000. Voici leurs exigences.
Trois promotions d'étudiants : 2019-2020, 2020-2021 et 2021-2022 du département des Lettres Modernes n'ont toujours pas été appelées à soutenir malgré la validation de toutes les Unités d'Enseignement (UE). « Cette situation malencontreuse découle sans aucun doute du nombre insuffisant d'enseignants au Département des Lettres Modernes », ont déploré les étudiants modernistes lors de leur Assemblée générale tenue le vendredi 03 mars 2023 l'amphithéâtre A1000.
A en croire les étudiants, le département des Lettres modernes ne compte que huit (8) enseignants. « Il est évident qu'en l'état actuel, le département des Lettres Modernes est dans l'incapacité d'exécuter les soutenances en niveau licence comme le prévoit le système LMD. C'est d'ailleurs l'une des bien nombreuses dispositions de ce système qui n'arrivent pas à être respectées », ajoutent les étudiants.
Les étudiants modernistes exigent « l'annulation de cette mesure arbitraire qu'est la soutenance en Lettres Modernes afin de libérer plus facilement et rapidement les étudiants en fin de formation à l'instar des facultés sœurs comme la FADESP et la FAST ». Ils réclament également « le recrutement en urgence d'enseignants qualifiés au Département des Lettres Modernes pour en finir avec l'esclavage que subissent les 08 enseignants de cette filière ».
Les responsables des étudiants modernistes ont adressé une correspondance, avec ampliation au Ministre de l'enseignement supérieur, au Recteur de l'Uac pour demander une rencontre dans les 96 heures. Un délai à la fin duquel, les étudiants menacent d'organiser un sit-in et une journée Fac morte.
Aux dernières informations, les autorités rectorales ont fait appel aux responsables étudiants pour décamper la situation.
Il faut préciser que 150 protocoles de recherche déposés par les étudiants sont toujours en instance pour un effectif de huit enseignants.
M. M.
La grève contre la réforme des retraites en France et les syndicats ambitionnent, pour le 7 et le 8 mars prochain de mettre le pays […]
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Credit: UN Women
Gender inequality exacerbates the impact of natural disasters, and the consequences of natural disasters compound gender inequality. States must introduce progressive taxation to finance the expansion of rights such as universal access to health care and education, and strengthen women's resilience to natural hazards, including climate change.
By Magdalena Sepúlveda
GENEVA, Switzerland, Mar 6 2023 (IPS)
She will be called Aya. This is the name that nurses gave to the infant baby pulled from the rubble of a five-story building in Jinderis, northern Syria. A miracle. Beside her, the rescuers found her mother, dead.
She had given birth within hours of the 7.8-magnitude earthquake that struck Turkey and Syria on the night of February 6, 2023. Like her, more than 50,000 people died in the earthquake. As tragic as it is hopeful, this story has moved the international media.
It also reminds us that over 350,000 pregnant women who survived the earthquake now urgently need access to health care, according to the United Nations. And this is only one aspect of women’s vulnerability to natural disasters.
Floods, droughts, earthquakes, and other extreme events are not gender-neutral, especially in developing countries. Evidence shows that women and girls die in greater numbers and have different and uneven levels of resilience and capacity to recover.
Of the 230,000 people killed in the 2004 Indian Ocean Tsunami, for example, 70% were women. Because of gender barriers, they often have fewer survival skills: boys are taught to swim or read first. This makes it difficult for them to access early warnings or identify safe shelters.
In addition, it is more difficult for women to escape from danger, since they are most often responsible for children, the elderly, and the sick. Heightened tensions and fear, as well as the loss of income provoked by disasters, drive increased domestic violence against women and girls.
They are also the first victims of sexual violence and exploitation when entire populations are displaced – this was one of the first concerns in Pakistan when more than 8 million people had to leave their homes because of the terrible floods in June-August 2022.
Natural catastrophes negatively impact everyone economically, but women and girls are disproportionately affected. World Bank data show that female farmers suffer much more than male ones in rural areas.
Assigned to domestic tasks, they are more dependent than men on access to natural resources and are, therefore, the first to suffer when these become scarce. In every region, food insecurity is higher among women than men.
In 2020, it was estimated that nearly 60% of the people who go hungry are women and girls, and the gender gap has only increased since then. Their lack of access to bank accounts also means that women’s assets are less protected than men’s.
And, of course, recovery from any crisis builds on societal expectations related to gender roles. Consequently, women bear the brunt of the increased domestic burden after a disaster at the cost of missing out on other income-generating activities.
We know that women spend, on average, 3.2 times more time than men on unpaid care work, and the COVID-19 pandemic – another human-induced natural catastrophe – made evident how unequally unpaid care and domestic work is shared, and how undervalued and underrecognized it is.
This is a major constraint on women’s access to education, an obstacle to their entry into and advancement in the paid labor market, and to their political participation, with serious consequences in terms of social protection, income, and pensions.
Gender inequality exacerbates the impact of natural disasters, and the consequences of natural disasters exacerbate gender inequality. An unacceptable vicious cycle. With the world already facing a growing number of climate-related tragedies, governments must take immediate and long-term action to invest in universal access to health care, water and sanitation, education, social protection, and infrastructure for gender equality and the full enjoyment of women’s human rights.
Even in times of crisis, when state coffers are nearly empty, there are equitable solutions to raise revenues to fund the investments needed to strengthen women’s resilience: to make those who profit from the crises ravaging the planet, including from those natural disasters, pay, as recommended by the Independent Commission for the Reform of International Corporate Taxation (ICRICT), of which I am a member alongside, among others, Joseph Stiglitz, Jayati Ghosh, and Thomas Piketty. Instead of implementing austerity programs that devastate the most disadvantaged, states can increase their fiscal space by taxing companies and the super-rich more.
It starts with taxing the super profits made by multinationals, and several countries in Europe and Latin America have already begun to do so. This is particularly true for the pharmaceutical giants that have made a fortune selling vaccines against Covid-19, which they were able to develop due to public subsidies. This is also the case for multinationals in the energy or food sector.
Oxfam estimates that their profits increased by more than two and a half times (256%) in 2022 compared with the 2018–2021 average. For the same reasons, it is urgent to tax the richest, who get away with paying hardly any taxes these days.
One cannot accept that, as Oxfam reminds us, a man like Elon Musk, one of the wealthiest men in history, is taxed at 3.3%, while Aber Christine, a market trader in Uganda who sells rice, is taxed at 40%.
Progressive taxation – making the richest people and multinationals pay their fair share – is one of the most powerful tools for reducing inequality of all kinds. As the world celebrates International Women’s Day, let’s keep in mind that it is impossible to build more resilient societies without fighting for gender equality.
Continuing to ignore it is a political choice, and an even more perilous threat to development than natural disasters themselves.
Magdalena Sepúlveda is the Executive Director of the Global Initiative for Economic, Social and Cultural Rights, and a member of the Independent Commission for the Reform of International Corporate Taxation (ICRICT). From 2008-2014 she was the UN Special Rapporteur on Extreme Poverty and Human Rights @Magda_Sepul
IPS UN Bureau
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Excerpt:
The following opinion piece is part of series to mark International Women’s Day, March 8.Avec la croissance rapide de la transformation numérique sur le continent, les centres de données jouent un rôle central pour s'assurer que les données sont stockées en toute sécurité et rendues accessibles aux utilisateurs
(par Pierre Havenga)
La croissance rapide de l'Afrique en tant qu'acteur majeur du marché mondial des centres de données est incontestable, avec plusieurs pays investissant massivement dans le développement de centres de données. Cette croissance est stimulée par plusieurs facteurs, notamment la demande croissante de services basés sur le cloud, la croissance de l'économie numérique et l'adoption croissante des technologies de l'Internet des objets (IoT).
La révolution des centres de données en Afrique est devenue une étape cruciale pour déployer la technologie de demain. Avec la croissance rapide de la transformation numérique sur le continent, les centres de données jouent un rôle central pour garantir que les données soient stockées en toute sécurité et rendues accessibles aux utilisateurs. Toutefois, le déploiement des centres de données se heurte encore à des difficultés, notamment une alimentation électrique inadéquate, une infrastructure en fibre optique limitée et des coûts élevés de connectivité à Internet. Relever ces défis et continuer à investir dans les centres de données sera essentiel pour la transformation numérique de l'Afrique et la croissance économique globale. C'est là que Vertiv intervient, car la révolution des centres de données en Afrique est devenue une étape essentielle dans le déploiement de la technologie de demain.
Dans ce blog, nous examinerons de plus près les tendances qui ont façonné et continueront de façonner le marché des centres de données en Afrique dans les années à venir.
Les centres de données et l'avenir de la numérisation en Afrique
Les centres de données sont l'épine dorsale du monde numérique et alimentent les activités des entreprises de tous les secteurs. À mesure que le monde devient de plus en plus numérique, la demande de centres de données augmente et l'Afrique est en train de devenir un acteur clé de ce marché.
Vertiv fournit des solutions de connectivité qui permettent aux entreprises de tirer parti de la puissance de la numérisation. En connectant les infrastructures physiques au monde numérique, Vertiv permet à ses clients de libérer le potentiel de l'Internet des objets (IoT). Alors que la numérisation continue de stimuler l'innovation et la croissance, les solutions de Vertiv peuvent aider les entreprises à saisir les opportunités offertes par cette révolution technologique.
En outre, la croissance du marché des centres de données en Afrique présente une opportunité de créer des emplois et de stimuler la croissance économique dans la région. À mesure que les centres de données continueront de se développer, ils créeront de nouvelles opportunités d'emploi, à la fois directement et indirectement, dans divers secteurs verticaux tels que l'éducation, le gouvernement, la santé, la construction et les opérations. Ils permettront ainsi aux entreprises d'accomplir des tâches avec plus d'efficacité et de flexibilité.
La numérisation a permis à des entreprises dans divers secteurs d'accroître leur portée et leur potentiel de revenus, car les clients sont désormais en mesure d'accéder aux produits et services depuis n'importe quel endroit.
La croissance rapide du marché africain des centres de données représente une opportunité unique pour les entreprises. Trouver le bon équilibre entre les investissements et les solutions d'efficacité énergétique reste un défi pour certaines entreprises. Alors que la demande de centres de données continue de croître, il est essentiel que les entreprises opèrent de manière durable, transparente et responsable pour garantir le succès à long terme de l'industrie.
L'essor du cloud
La demande croissante de services basés sur le cloud est l'un des principaux moteurs du marché africain des centres de données, le segment du cloud public représentant la majorité du marché, ce qui souligne l'importance des services basés sur le cloud dans la transformation numérique de l'Afrique. La technologie de Vertiv est présente sur plusieurs sites en Afrique, offrant aux clients des solutions évolutives et flexibles soutenant leur besoin de croissance et d'efficacité énergétique.
L'Afrique est un continent diversifié et hétérogène, ce qui signifie qu'elle est non seulement différente des autres régions, mais qu'elle présente également des différences internes importantes. Le développement d'une infrastructure qui soit la mieux adaptée à une Afrique hétérogène est évidemment un défi. Certaines des approches établies peuvent encore s'appliquer dans certains pays - notamment en Afrique du Sud - mais d'autres nécessiteront une nouvelle réflexion qui sortira des sentiers battus. Par exemple, l'instabilité et la disponibilité du réseau sont l'un des problèmes les plus graves sur le continent. Les générateurs et les systèmes UPS sont souvent considérés comme la principale source d'énergie, le réseau n'étant qu'une solution de secours peu fiable. Les énergies renouvelables sur site sont également en pleine expansion, certains fournisseurs de colocation ayant déjà investi dans l'énergie solaire. Cela pourrait permettre de nouveaux modèles de génération de revenus en réinjectant l'énergie excédentaire dans le réseau, mais cela dépendra des exigences réglementaires de chaque pays.
L'augmentation des investissements dans les centres de données
La croissance du marché africain des centres de données est également stimulée par l'augmentation des investissements des opérateurs internationaux de centres de données pour accueillir les hyperscalers, ainsi que par l'augmentation du nombre d'entreprises clientes s'installant dans l'espace de colocation. Selon Intelligent CIO, le marché africain des centres de données devrait attirer 5 milliards de dollars d'investissements d'ici 2026.
En conclusion, l'avenir de la numérisation en Afrique est étroitement lié à la croissance de l'industrie des centres de données. L'essor du cloud et l'augmentation des investissements dans les centres de données continueront à soutenir la croissance de la technologie dans la région et à favoriser la transformation numérique des entreprises et des gouvernements.
À propos de l'auteur :
Pierre Havenga est le directeur général de Vertiv pour la région du Moyen-Orient et de l'Afrique (MEA).
Pierre a rejoint Vertiv (anciennement Emerson Network Power) en 2011 en tant que directeur général. Il est actuellement basé aux Émirats arabes unis et est responsable de la planification et de l'exécution de la croissance stratégique de Vertiv dans toute la région, en veillant à ce que les objectifs de l'entreprise soient alignés sur sa vision globale.
Avant de rejoindre Vertiv, Pierre a occupé le poste de directeur général d'Eltek Valere pour la région MEA. Il possède plus de 35 ans d'expérience en gestion dans les domaines de la finance, de la trésorerie, des ventes et du marketing, de la direction générale et des fusions et acquisitions, dans des secteurs aussi variés que les télécommunications, l'industrie manufacturière et les mines.
Pierre est titulaire d'une licence en sciences comptables (BCompt) de l'université d'Afrique du Sud. Il a également obtenu des certificats en négociation, en planification des ressources et en conclusion d'accords à l'École de commerce de l'UNISA.