A magát fiatalkorúnak való férfit hivatalos személy elleni csoportosan, felfegyverkezve elkövetett erőszak, rongálás és közlekedés biztonsága elleni bűncselekmény elkövetésével gyanúsítják.
A rendelkezésre álló adatok szerint a gyanúsított pénteken este két társával a határt védő kerítésen egy alumíniumlétrával átmászva próbált Szerbiából Magyarország területére jutni. Próbálkozásukat a Határrendészeti Távfelügyeleti Központban észrevették, ezért járőröket küldtek a helyszínre.
Az odaérkező Csongrád-Csanád megyei rendőrök járművét azonban a határ szerb oldala felől az elkövetők megdobálták. A mozgásban lévő rendőrautót több találat is érte, amelyek közül egy féltégla nagyságú kődarab betörte a jármű szélvédőjét, de eltalálta azt egy hozzávetőlegesen egyméteres, tíz centiméter átmérőjű fahusáng is. A dobálás a járműben mintegy százezer forintos kárt okozott.
Ezután a rendőrök elfogták a kerítésnek támasztott létra tetején álló támadó, erőszakos magatartást tanúsító férfit. A férfit őrizetbe vették, kihallgatták, ám ő megtagadta a vallomástételt.
Az ügyészség a szökés, elrejtőzés veszélye miatt indítványozta a jelentős tárgyi súlyú bűncselekmények elkövetésével gyanúsított, Magyarországon jogszerű tartózkodási engedéllyel nem rendelkező férfi letartóztatásának elrendelését – áll a közleményben.
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Gerard Diellesen sportújságíró egy újonnan megjelent interjúkötetéhez korábban riportot készített Van Dartellel, aki azt nyilatkozta: „nem szabad elfelejteni, hogy az ukránok valójában oroszok”. A diplomata arról is beszélt, hogy véleménye szerint a „nemzetközi politikusok naívak és álmokat kergetnek, ha azt gondolják, hogy meg tudják változtatni Oroszországot”.
A külügyminisztérium közleményében közölte: kijelentéseket Van Dartel nyugdíjba vonulása után és különmegbízotti kinevezése előtt tette, a minisztérium nem tudott a könyv szerzőjével folytatott beszélgetéséről. Van Dartel azonnali hatállyal lemondott, mivel kijelentései után úgy gondolja, nem tudja hitelesen elvégezni a rá bízott feladatot.
Van Dartel, aki korábban Szerbia, Lengyelország és Oroszország nagyköveti tisztségeit töltötte be, már nyugállományba vonult, mielőtt április elején kinevezték különleges megbízottnak Ukrajnába. Küldetése során a feladata az lett volna, hogy feltérképezze, hogyan segítheti a holland üzleti közösség Ukrajna újjáépítését.
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(Par Roger Gbégnonvi)
Sur une carte d'Afrique aux frontières tracées mais sans les noms des pays, rares sont les Béninois qui montreront avec assurance où se situe le Rwanda. Les peuples rwandais et béninois se connaissent à peine. Ce ne sont donc pas eux qui se courent après mais leurs chefs respectifs, fascinés l'un par l'autre, passionnés d'Afrique, du Rwanda et du Bénin. Au-delà de leurs rencontres d'Etat se trouvent les trois points de rencontre entre Kagame et Talon.
1.- Capitaine d'Armée d'un côté et capitaine d'Industrie de l'autre, ils ont, chevillée à la conscience, la volonté innée de mettre la troupe en bon ordre pour la conduire à la victoire : « Allez les gars, foncez ! » ou, à la manière des Israéliens, « Allons les gars, suivez-moi ! »
2.- L'exil en Ouganda (où l'un est né) et à Paris (où l'autre s'est vu renaître à lui-même) leur a fait prendre du recul et voir avec une clarté douloureuse le désert éthique où les leurs se déshumanisaient. « Au fond, un homme c'est comme un animal, tu le tranches sur la tête ou sur le coup, il s'abat de soi. Dans les premiers jours, celui qui avait déjà abattu des poulets, et surtout des chèvres, se trouvait avantagé ; ça se comprend. Par la suite, tout le monde s'est accoutumé à cette nouvelle activité et a rattrapé son retard ». Aveu d'un génocidaire Hutu. Hors de toute allégeance à des dieux ou aux mânes des ancêtres, l'ethnie devient l'horizon indépassable, et l'on doit abattre ceux qui n'appartiennent pas à la ‘‘bonne'' ethnie, la vôtre. En 1992, pour se défendre d'avoir pillé les caisses de l'Etat, un ancien ministre béninois de l'économie et des finances déclare : « L'intelligent, c'est celui qui sait s'adapter à des situations nouvelles. Si vous arrivez dans un pays où tout le monde marche sur la tête, commencez par le faire aussi, sinon vous serez taxé de fou. C'est la logique de l'irrégularité. Tout le monde y nageait. » Et il marcha sur la tête avec un doctorat en main. Et l'on marcha ainsi jusqu'en 2016.
3.- Révoltés, les deux capitaines surgissent de leur exil, se hissent à la tête de leur pays pour le conduire à la victoire. On n'a pas la confession de Kagame. Elle doit rappeler la colère du Roi Christophe : « Ah ! Quel métier ! Dresser ce peuple ! Et me voici comme un maître d'école brandissant la férule à la face d'une nation de cancres ! Messieurs, comprenez bien le sens de ces sanctions. Ou bien on brise tout, ou bien on met tout debout. » Voici la confession de Talon, que le Roi Christophe et Kagame approuveraient : « On observe la situation de son pays, on s'inquiète, et puis on se rend compte qu'on n'est plus le même. Je n'avais plus goût à rien d'autre que la politique pour mon pays qui s'enfonçait. Je me souviens d'un conseil d'administration du groupe Accor à Paris… J'étais distrait, les autres administrateurs l'ont tous remarqué. Je me suis dit à quoi sert tout cela alors que mon pays est au bord du chaos ? » ...
Voilà, à n'en pas douter, ce qui fait courir en tandem Kagame et Talon, héros tragiques de La tragédie du roi Christophe d'Aimé Césaire avec qui les deux disent en chœur : « La liberté, sans doute, mais pas la liberté facile ! Et c'est donc d'avoir un Etat. Oui, quelque chose à quoi ce peuple s'enracine, boutonne, s'épanouisse, lançant à la face du monde les parfums, les fruits de la floraison ; pourquoi ne pas le dire, quelque chose qui, au besoin par la force, l'oblige à naître à lui-même et à se dépasser lui-même. » Les deux capitaines d'Armée et d'Industrie, attachés à « la vertu dans la république » selon Montesquieu, savent par cœur l'âpre vérité africaine énoncée par le Roi Christophe : « Le matériau humain lui-même est à refondre ».
Il faut souhaiter au tandem Kagame-Talon d'inspirer l'Afrique et les Africains à l'instar du désormais voilé tandem Sankara-Mandela. Tous les Chefs d'Etat africains sont conviés à la refonte du matériau humain africain. A leur audace et à leur générosité, à la noblesse cultivée et partagée de leur idéal, l'Afrique et les Africains devront, demain, d'éclairer le monde, qui a un besoin urgent de leurs énergies disponibles et de leur apport de « la succulence des fruits » selon Aimé Césaire, pour que l'humanité se transfigure, se bonifie et s'enchante.
Le procureur spécial près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) et le Commissaire de l'OCRC sont intervenus ce vendredi 21 avril 2023 dans l'émission spéciale « Cybercriminalité : fléau moderne ». Selon Mario Mètonou , 1188 individus sont détenus dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité. Les préjudices de cette activité criminelle sont estimés à plus de 2,5 milliards FCFA. Les peines encourues varient de 2 à 20 ans d'emprisonnement et les amendes de 1 à 25 millions FCFA
Le procureur spécial près la CRIET a fait ce vendredi le point sur la lutte contre la cybercriminalité au Bénin au cours de l'émission spéciale « Cybercriminalité : fléau moderne ». Selon Mario Mètonou, 1188 personnes sont détenues à la date d'aujourd'hui dans le cadre de cette lutte.
Le nombre d'individus condamnés est de 360 cybercriminels en 2021, 451en 2022 et 263 en 2023.
Selon le Commissaire de l'OCRC, Donatien Sokou, 2031 plaintes ont été enregistrées en 2021 et les préjudices sont évalués à 1.546.436.228 FCFA. Ces chiffres ne prennent pas en compte les victimes silencieuses qui n'ont pas porté plainte à la police.
En 2022, 2188 plaintes ont été enregistrés pour des préjudices de 663.544.225 FCFA.
De janvier 2023 à ce jour, les préjudices sont estimés 495.456.027 FCFA.
Ces préjudices déclarés sont subis par des ressortissants béninois et des étrangers, précise le Commissaire.
Des peines de 2 à 20 ans
Le procureur spécial de la CRIET a expliqué que les cybercriminels encourent des peines allant de 2 à 20 ans d'emprisonnement ferme et de fortes amendes.
« Au terme de l'article 566 de la loi portant Code du numérique, la peine varie de 02 ans à 7 ans d'emprisonnement ferme et vous risquez également une peine d'amende d'1 millions de francs CFA. Mais ça, c'est dans les cas où vous êtes reconnus coupables d'escroquerie via internet et qu'il n'y a pas de circonstances aggravantes », a souligné Mario Mètonou.
En cas de circonstance aggravante, la peine peut aller jusqu'à 20 ans.
Des amendes de 1 à 25 millions FCFA
‹‹ (...) Les circonstances aggravantes peuvent être liées d'une part, à la qualité de l'auteur et d'autre part, au statut de la victime. Dans la première catégorie, vous avez par exemple un auteur qui est un dépositaire de la force publique, un agent public. Je prends l'exemple de ma corporation. Si par exemple un magistrat commet l'escroquerie via internet, la peine qu'il encoure n'est pas de 7 ans, c'est de 10 ans à 20 ans. Vous avez une personne qui n'est pas dépositaire de l'autorité publique, mais qui utilise cette qualité pour escroquer. Exemple, on a déjà eu ça ici, les gens qui se sont faits passer pour être le procureur spécial près la CRIET et en cette qualité, sont allés escroquer d'autres personnes. Dans ces cas-là, lorsque vous usurpez de cette qualité pour commettre l'infraction, c'est une circonstance aggravante, vous risquez la peine de 10 ans à 20 ans. Troisième hypothèse, toujours liée à la qualité de l'auteur, lorsque vous faites appel à l'épargne public, vous utilisez le net, vous faites appel au public, vous mobilisez des droits et des biens pour l'escroquerie, c'est une circonstance aggravante, vous pouvez être condamné de 10 ans à 20 ans. Pour les circonstances aggravantes tenant au statut ou à la qualité de la victime, lorsque vous commettez la cybercriminalité sur une personne vulnérable (malade, souffrant d'une déficience mentale, une personne dont la vulnérabilité n'est pas inconnue de vous au moment où vous l'escroquez), vous réunissez également les conditions pour la circonstance aggravante et la peine que vous encourez dans ce cas est de 10 ans à 20 ans d'emprisonnement fermes avec une amende de 25 millions de francs CFA et également vous risquez la confiscation de tous les biens, de tous les patrimoines que vous avez accumulés par cette infraction », a rappelé le procureur spécial.
La sélection nationale marocaine U17 sera bel et bien présente à la CAN qui aura lieu en Algérie. La fédération royale marocaine de football a […]
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