ALGER – Le tabagisme représente un « véritable problème de santé publique » en Algérie et provoque plus de 15.000 morts par an, soit une moyenne de 45 décès chaque jour, a mis en garde Mme Kaïd Nouara, professeur en économie de la santé et auteure de plusieurs publications sur les effets des fléaux sociaux.
Sur l’ensemble de ces décès, on dénombre environ 7.000 infarctus du myocarde, 4.000 cancers bronchiques et plus de 3.000 insuffisants respiratoires, a détaillé cette experte dans un entretien à l’APS.
« Le taux de prévalence du tabagisme dans la société algérienne était de 7,7% en 1978. En 20 ans, la consommation du tabac a triplé et passe à 20,6% en 1998. Cette augmentation évolue jusqu’à 2004 avec un taux de prévalence de 28,6%, puis passe à 27,2% en 2009. En 2018, l’OMS estime que la prévalence du tabagisme en Algérie a baissé et passe à 20% dans la population totale », a précisé l’experte qui s’apprête à publier un livre sur le tabagisme en Algérie.
Pour situer l’ampleur de ce phénomène, elle a noté qu’avec les changements de mode de vie, notamment le développement des comportements à risque, en l’occurrence le tabagisme chez les jeunes, « les maladies chroniques et non transmissibles occupent une place de plus en plus importante dans le profil épidémiologique et représentent actuellement un problème majeur de santé publique ».
« Ainsi, a-t-elle expliqué, les maladies cardiovasculaires, les cancers, les affections respiratoires chroniques et les maladies métaboliques constituent une cause importante de morbidité, de mortalité et d’invalidité et pèsent lourdement sur le système de santé algérien ».
En 2014, les données du ministère de la Santé indiquaient que 70 % des cancers de la trachée, des bronches et du poumon, 42% des cancers de la bouche et de l’oropharynx, 42 % des cancers de l’£sophage, 28 % des cancers de la vessie et 22% des cancers du pancréas sont liés au tabac. En outre, 90% des cancers du poumon surviennent chez les fumeurs en Algérie, a-t-elle observé.
Le tabagisme, comme facteur seul et/ou associé, est compté parmi les facteurs à l’origine des maladies cardiovasculaires en Algérie. A cause du tabagisme, ces dernières années, ces maladies sont en nette augmentation chez les jeunes en Algérie, a déploré l’experte.
De plus, 500.000 fumeurs passifs sont victimes de pathologies respiratoires chroniques.
Selon une étude réalisée en 2015 et citée par l’experte, le tabagisme « affecte sensiblement la population vulnérable en affaiblissant le pouvoir d’achat des fumeurs et de leurs familles, en amoindrissant leur épargne familiale ou carrément en contribuant à leur paupérisation ».
A cause du tabagisme, des familles ne se permettent pas une meilleure alimentation, dont certains membres sont privés du panier alimentaire de base. D’autres familles auraient pu faire mieux pour protéger la santé de leurs enfants et investir dans leur éducation, nourriture, vêtement, etc.
Par ailleurs, les fumeurs malades supportent des coûts extrêmement élevés dus à leur maladie. Les paiements directs des soins des maladies imputables au tabagisme sont exorbitants pour les malades pauvres et appauvrissent davantage les plus défavorisés, selon le constat établi dans cette étude.
Les employeurs assument également des coûts directs et indirects engendrés par le tabagisme de leurs employés: absentéisme et baisse de productivité à cause de maladie.
Selon la même étude, le traitement du cancer des poumons dû au tabagisme en Algérie coûterait quelque 272 milliards DA pour le système de santé national chaque année.
Consciente des dangers que représente le tabagisme pour la santé publique et de ses répercussions économiques, l’Algérie a ratifié, il y a 12 ans, la Convention-Cadre de Lutte Anti Tabac (CCLAT OMS), à travers laquelle les pays signataires sont tenus d’appliquer, dans la mesure du possible et selon les capacités techniques, humaines et financières, un programme comportant six stratégies.
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Viele Jutzer und sogar etwas Country: Hansueli Oesch wird zu seinem 60. Geburtstag von seiner Familie geehrt.
Sie sind die erfolgreichste Familien-Gruppe der Schweiz, begeistern seit Jahrzehnten das Land. Oesch’s Die Dritten gehören aber auch zu den wichtigsten Schweizer Musik-Exporten: Sie haben von Amerika bis China bereits in 16 Ländern Konzerte gegeben. Immer im Mittelpunkt: Jodlerin Melanie Oesch (30).
Album nach Vätus GeschmackZum 60. Geburtstag ihres Familienoberhauptes Hansueli «Üelu» Oesch (59) Mitte Juli verändert sich nun aber die Optik. Der Scheinwerfer wird neu auf den Vater gerichtetet. «Vätu’s Wunschliste» heisst die CD, mit der er von der Familie gewürdigt wird. Sie beinhaltet vierzehn Titel, darunter ein alter Schlager, ein Ländler, ein Country-Song, ein Blues und einen Naturjutz. «Eigentlich wissen wir schon lange, dass es Vätus Wunsch ist, einmal ein Album ganz nach seinem Gusto zu gestalten», erklärt Melanie Oesch. «Zeitlich haben wir es aber immer wieder aufgeschoben – bis jetzt!»
Musiker nicht als HauptberufHansueli Oesch stand schon als Bub auf der Bühne. Damals zog er mit seinem Vater Hans (1936–2004) jodelnd durch die Schweiz. Mit elf erlernte er das Schwyzerörgeli – und ist dem Instrument bis heute treu geblieben. Er spielte bei den Jodlerfründe vo Stauffenalp, beim Schwyzerörgeliquartett Stockhorn und dem Trio Oesch. Hauptberuflich bewirtschaftete er den Familienhof in Schwarzenegg BE und arbeite als Pöstler.
Zusammen mit Gattin Annemarie (55) und den drei Kindern Melanie (30), Mike (29) und Kevin (27) gründete er Mitte 90er-Jahre Oesch's Die Dritten – und prägte mit ihnen in den letzten Jahren die Schweizer Volksmusik. «Vätu hat uns die ersten musikalischen Schritte beigebracht und mit uns früher stundenlang Lieder einstudiert, die wir ausgesucht hatten», erinnert sich Melanie. «Er hat uns immer machen lassen.»
Um ihn zu ehren, würden sie nun für einmal seine Wünsche berücksichtigen. «Dass wir die Vätu-CD just zu seinem 60. Geburtstag veröffentlichen dürfen, macht das Projekt umso schöner für uns», schwärmt Melanie.
Lenkt sich unsere Autorin Alexandra Fitz mit Kinderkram vom Alltag ab, wird sie schon mal ausgelacht. Doch das ist ihr egal. Denn Einschlafen mit Bibi Blocksberg ist eh besser als ohne!
«Werd mal erwachsen» – das ist mit das Schlimmste, was man von mir verlangen kann. Es bedeutet, dass ich noch ganz schön lila hinter den Ohren bin, auf jeden Fall nicht ready für die grosse Welt. Und – das beunruhigt mich mehr – das Gegenüber rät mir zu etwas, das ich gar nicht will. Etwas, das ich mehr nicht will als alles andere. Erwachsen sein ist deckungsgleich mit Verantwortung, Vernunft und Gewohnheit. Also Langeweile.
Es gibt Sprüche, die mein Gefühl ganz gut beschreiben: «Werdet bloss nicht erwachsen, das ist eine Falle!» Gerne würde ich öfters antworten: «Ich bin nicht erwachsen, ich seh nur so aus.» Oder mir selber sagen: «Mit über 30 noch nicht erwachsen? Dann kann ich es jetzt auch lassen!»
Die Aufforderung, erwachsen zu werden, ist auch absurd. Wir sind doch alle noch ein bisschen Kind, zumindest bewahren wir uns etwas Kindliches. Eine Gewohnheit, die einen in unschuldige, heitere und zuckersüsse Kindertage zurückversetzt. Eine, die einen Moment schafft, weit weg von der bitterbösen Realität und dem nervenden Alltag, und einem stattdessen ein warm-wohliges Gefühl gibt. Das schafft mein Kinderkram.
Wenn ich davon erzähle – das mach ich selten –, lachen die Leute oft. So wie es eben Erwachsene bei ganz Kleinen tun. Das kann mir absolut nichts anhaben. Letztlich bin ich in dem Augenblick ein Kind, oder? Null Verantwortung, null Rechtfertigungsdrang. Ich fragte mein Umfeld, ob es auch an etwas aus vergangenen Tagen festhält. Und staunte.
Der eine zieht auf dem Balkon Bohnen, weil es ihn an sein Zuhause erinnert, und kauft Fischstäbli, obwohl jeder weiss, dass in diesem gepressten Fischmocken wahrlich nichts Gutes drin sein kann. Eine Freundin erzählt von einem Babybrei, den sie früher bekam, und wie sie noch heute Rüebli, Kartoffeln, Milch und Butter püriert und löffelt. Eine andere läuft immer noch am liebsten barfuss herum, wie damals als Kind, und schmeisst nach wie vor Pyjamapartys wie zu Schulzeiten. Und Sie, was haben Sie aus Ihrer Kindheit konserviert?
Mein Überbleibsel heisst übrigens Bibi Blocksberg. Die kleine Hexe, die sanfte Stimme des Sprechers und das Zischgeräusch nach einem Hexenspruch versetzen mich zurück in mein Kinderzimmer in den 90ern. Die Wirkung ist noch heute dieselbe: Ich kann gut einschlafen.
In this section you will find videos of Federica Mogherini, EU HR for Foreign Affairs and Security Policy, at the European Parliament.
(B2) Depuis les attentats de mars 2016, la Belgique semblait être repassée dans une zone plus calme, même si le couvercle était à peine posé sur une situation difficile. L’attaque à Liège ramène la question de la radicalisation, de la prison, à défaut du terrorisme pur, sur le devant de l’actualité.
Le roi Philippe et le premier ministre Charles Michel se sont très vite rendus dans la ville de Liège (crédit : Premier / police fédérale)
Une attaque au couteau
Il était 10h30 environ dans le centre de Liège à hauteur du café des Antonins sur le boulevard d’Avroy lorsqu’un homme est arrivé derrière deux policières sur la voie publique, les agressant mortellement au couteau. Il en profite pour dérober l’arme d’un des policiers. Il se dirige ensuite vers l’Athénée Léonie de Waha (un des gros lycées de la ville), tout proche. Au passage, il abat un jeune de 22 ans qui se trouvait dans un véhicule stationné sur le côte. Dans le lycée, il prend une femme de service en otage.
Une pénétration dans un lycée de Liège
La police (notamment le peloton anti-bandistime) intervient rapidement et abattent l’agresseur. Au bilan final : trois tués ainsi que l’auteur des coups de feux. Quatre policiers ont été blessés par balles : deux policiers en civils de la brigade judiciaire au bras et deux hommes du peloton anti-banditisme à la jambe, l’un d’eux plus légèrement atteint a pu sortir de l’hôpital ce mardi soir. Tous les élèves ont été confinés dans les classes d’abord, puis ensuite rassemblés dans le Jardin botanique, sous protection de la police.
Des éléments terroristes
Le parquet fédéral belge à été saisi, indiquant qu’il y avait des éléments terroristes dans cette attaque. « L’objectif de l’assassin était de s’en prendre à la police, c’est ce qu’il a fait d’emblée en se dissimulant derrière les deux agents de police, et après les avoir poignardées sauvagement dans le dos » indique Christian Beaupère le chef de la police de Liège, lors d’une conférence de presse ce matin à Liège.
Une radicalisation en prison
Très vite, le nom de l’auteur des faits est apparu : Benjamin Herman, un homme de 36 ans, originaire de Rochefort, condamné notamment pour trafic de drogues et pour divers faits de délinquance. Détenu à la prison de Marche-en-Famenne (une prison moderne), il était « en congé pénitentiaire de deux jours pour préparer sa réinsertion en vue de sa libération prévue en 2020 » indique la RTBF. Il s’est « converti à l’Islam en fréquentant un autre prisonnier à Arlon » et radicalisé en prison, a confirmé le ministre de la Justice Koen Geens, lors d’une interview sur la Première mercredi matin (30 mai). Il était fiché depuis 2017 par la Sûreté de l’Etat.
La police visée
Pour le bourgmestre de Liège, Willy Demeyer, « c’est la police [surtout] qui était visée » et pas tellement la population. « Plusieurs signes l’indiquent ». « Il s’agit d’un loup solitaire » a confirmé de son côté le ministre de la Justice Koen Geens. L’OCAM, l’office d’évaluation des alertes, a maintenu le niveau 2 de l’alerte principale.
(Nicolas Gros-Verheyde)
Mis à jour mercredi 30 mai
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Credit: Bigstock
By Danielle Nierenberg and Emily Payne
NEW ORLEANS, United States, May 29 2018 (IPS)
Many factors contribute to the cost of a tomato. For example, what inputs were used (water, soil, fertilizer, pesticides, as well as machinery and/or labor) to grow it? What kind of energy and materials were used to process and package it? Or how much did transportation cost to get it to the shelf?
But that price doesn’t always reflect how the plant was grown—overuse and misuse of antibiotics, water pollution from pesticide runoff, or whether or not farm workers harvesting the tomatoes were paid a fair wage. It turns out cheap food often comes with an enormously expensive cost to human and planetary health.
Danielle Nierenberg
Agricultural production, from clearing forests to producing fertilizer to packaging foods, contributes 43 to 57 percent of global greenhouse gas emissions (GHG). And almost 40 percent of all food that is produced is lost or wasted. As that food decomposes in landfills, it releases methane, which is 25-times more potent of a GHG than carbon dioxide—in fact, landfills are the third-largest source of human-related methane emissions in the U.S.
Often, today’s food systems are incentivized to favor low-cost, processed foods. Corporations and large-scale producers are often subsidized to grow select staple crops, which are typically grown in monocultures using practices that strip soils of nutrients. And it’s becoming increasingly clear that poor diets have produced a global public health crisis.
Six of the top eleven risk factors driving disease worldwide are diet-related, and the World Health Organization estimates the global direct costs of diabetes to be more than US$827 billion per year.
To feed 10 billion people by 2050, we need to start thinking of food production, health care, and climate change as interconnected. As the world’s population grows, so does the need for more resilient food and agricultural systems that address human need while minimizing environmental damage and further biodiversity loss.
Emily Payne
In a recent report by The Economics of Ecosystems and Biodiversity for Agriculture & Food (TEEBAgriFood), a new framework was developed to look at all the impacts of the value chain, from farm to fork to disposal. The framework hopes to give policymakers, researchers, and citizens more reliable information on the real and unaccounted for costs of our whole food system—not just parts of it.
This type of systems thinking supports a shift away from measuring the success of food production by metrics like yield per hectare, which fails to provide a complete picture of the true, often invisible costs of the entire system.
Changemakers across the globe are rising to this challenge and bringing sustainable and regenerative practices into the farming of the future. Recognizing that farming is in a period of transition, they are helping build a system that increases food production to meet a growing population while reducing harm on the environment and feeding those in need.
It’s now easier than ever to access resources and learn how our everyday decisions impact not just ourselves, but our environment and public health. The Barilla Center for Food & Nutrition developing the Double Pyramid to help people make food choices which are both healthy for people and sustainable for the planet. And recognizing carbon footprints and water footprints allow individuals to better understand how deeply intertwined the food system and climate change are.
No one person or organization will be able to fix this food system. Businesses, policymakers, farmers, and, of course, eaters have a responsibility to help protect natural resources, improve social equity, and create a more sustainable food system through more informed decisions and responsible consumption.
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Excerpt:
Danielle Nierenberg is Founder and President of Food Tank. Emily Payne is a food and agriculture writer based in New York
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Zürich und St. Gallen könnten mit etwas Losglück in der Europa-League auf attraktive Gegner treffen. Dasselbe gilt für Luzern. Doch beim FCL wird man sich noch immer über den FCZ-Cupsieg ärgern – und über die flöten gegangenen Millionen!
In Luzern werden sie am Sonntagnachmittag erst einmal leer geschluckt haben, als im Stade de Suisse der Cupfinal abgepfiffen wurde. Es waren die Zürcher, die jubelten – und damit aus Luzerner Sicht definitiv die Falschen! Denn hätte Meister YB auch noch den Cupsieg geholt, wäre der FCL direkt für die Europa-League-Gruppenphase qualifiziert gewesen ...
Doch so wird nichts aus dem Luzerner Traum. Statt den 3 Millionen Franken Startprämie, die der Super-League-Dritte auf sicher gehabt hätte, gibt es nun deutlich weniger Kohle. Der FCL muss in der 3. Qualifikationsrunde beginnen und sich dort erst einmal mit umgerechnet 270'000 Franken begnügen.
Der Weg in die Gruppenphase ist ein steiniger: Mögliche erste Gegner sind Feyenoord Rotterdam oder Sporting Braga. Und: Wohl auch Sevilla, Besiktas Istanbul, Leipzig oder Atalanta Bergamo, sollten diese in der 2. Quali-Runde ihrer Favoritenrolle gerecht werden.
Doch erst einmal gilt für den FCL: Abwarten. Die Auslosung findet am 23. Juli in Nyon statt.
Bereits früher Bescheid weiss hingegen der FC St. Gallen – als Tabellenfünfter der Super League darf er noch in der 2. Qualifikationsrunde ran. Hier geht die Auslosung schon am 19. Juni über die Bühne.
Die Ostschweizer sind gesetzt. Mögliche Gegner sind aufgrund der grossen Anzahl (oft unbekannter) Teams schwierig vorauszusagen. Aber: Mit den Glasgow Rangers befindet sich zumindest ein namhafter Kontrahent im Lostopf!
Am meisten auf die Europacup-Abende in der kommenden Saison dürfen sich aber die Zürcher freuen. Der FCZ greift dank des Cup-Erfolgs direkt in der Gruppenphase ein. Heisst: Millionen und attraktive Gegner auf sicher! Welche Mannschaften nach Zürich kommen, zeigt sich am 31. August in Monaco. Der frischgebackene Cupsieger kommt in Lostopf 2, 3 oder 4.
Es winken grosse Spiele gegen Chelsea oder Granit Xhakas Arsenal. Bayer Leverkusen ist ebenfalls ein möglicher Widersacher, eventuell auch Marseille, Lazio Rom oder Eintracht Frankfurt (dann mit Neu-Trainer Adi Hütter).
Und ganz besonders: Je nach Topf-Zuteilung könnten die Zürcher auch auf die AC Milan treffen – so käme es zum Rodriguez-Bruder-Duell zwischen FCZ-Mittelfeldmann Roberto (27) und Milanista Ricardo (25). (mpe)
Die Europa-League-Daten im Überblick:
19. Juni: Auslosung 2. Quali-Runde (mit St. Gallen)
23. Juli: Auslosung 3. Quali-Runde (mit Luzern)
6. August: Auslosung Play-offs
31. August: Auslosung Gruppenphase (mit Zürich)
20. September: 1. Spieltag Gruppenphase
Eine wahre Redeschlacht ist heute im Nationalrat angesetzt: Die EU will beim Thema Waffen härter durchgreifen, die Schweiz muss durchgreifen. In den Gräben sitzen sich Waffennarren und Linke unversöhnlich gegenüber.
Heute Mittwoch steht eine wahre Monsterschlacht im Nationalrat an. 42 Minderheitsanträge wurden eingereicht und müssen beraten werden. Es geht um ein hochemotionales Thema: die Verschärfung des Waffenrechts.
Ursprung der Gesetzesänderung ist die EU, die ihre Waffenrichtlinie nach den Terroranschlägen in Brüssel und Paris verschärft hat. Konkret sollen halbautomatische Gewehre und Pistolen mit grossen Magazinen verboten werden.
Schweizer AusnahmenAls Schengen-Mitglied muss die Schweiz nachziehen. Doch der Bundesrat hat ein paar Ausnahmen ausgehandelt, um der Schweizer Miliztradition gerecht zu werden. Die EU hat der Schweiz zugestanden, dass Armeeangehörige halbautomatische Waffen nach Hause nehmen dürfen. Nach Ende der Dienstzeit dürfen sie diese wie Sportschützen besitzen, wenn sie Mitglied in einem Schützenverein sind oder nachweisen, dass sie regelmässig schiessen.
Die Ratslinke möchte die neue EU-Regel möglichst unverändert übernehmen und pocht auf eine schärfere Umsetzung als der Bundesrat. Sie will mehr Jugendschutz, eine getrennte Aufbewahrung von Waffe und Munition und strenger formulierte Ausnahmen.
Referendum ist angedrohtAuf der anderen Seiten steht die SVP, die sämtliche Änderungen ablehnt. So dürfte sich die Schlacht um die Waffen in der Mitte entscheiden. Der Kompromissvorschlag aus der Feder der CVP-Nationalrätin Ida Glanzmann (59) sieht vor, dass die Armeewaffe nicht als «verbotene» Waffe bezeichnet wird. Zudem soll, wer die Waffe nach Ende der Dienstzeit behält, nicht Mitglied eines Schiessvereins sein oder regelmässig üben müssen. Ebenso wenig sollen grosse Magazine verboten werden.
Ob das den Schützen, der Aktion für eine unabhängige und neutrale Schweiz (Auns) und der Waffenlobby von Pro Tell reicht, muss allerdings bezweifelt werden. Sie halten schon ordentlich gefüllte Kriegskassen für ein Referendum bereit. (sf)
BLICK berichtet live aus der Debatte im Nationalrat.
NAMIBIA - Eine Leoparden-Attacke kostet Rentner Hardy Specker (61) fast das Leben. Gegenüber «RTL Extra» erzählen er und Frau Petra Windmeisser (60) von den schrecklichsten Stunden ihres Lebens.
Es hätte der Anfang einer neunmonatigen Traumreise durch den Süden Afrikas werden sollen. Doch schon nach zwei Wochen endet der Trip für Hardy Specker (61) und Petra Windmeisser (60) im absoluten Albtraum.
Mitte April ist das Pärchen im Wohnmobil in einem Canyon im Osten Namibias unterwegs – weit abseits jeglicher Zivilisation. Um ein Uhr nachts hört Specker ein Kratzen am Wohnmobilfenster und will dieses schliessen.
Dann passiert das Unfassbare: «In dem Moment, als ich rausschaue, springt mir ein Leopard frontal ins Gesicht», schildert der Rentner die Begegnung mit dem Raubtier gegenüber «RTL Extra».
«Sein Ohr war zerfetzt»Specker hat Glück im Unglück. Weil sich der Leopard an seinem Kopf festkrallt, «hat er keinen Halt gefunden, um den finalen Halsbiss anzusetzen».
Fast vier Minuten kämpft der 61-Jährige um sein Leben, während seine Frau ihn an den Beinen festhält. Dann kommt Specker die rettende Idee, und er tut, was er einmal in einem Artikel über Hai-Attacken gelesen hat: «Ich habe ganz fest in seine Augen hineingedrückt.» Mit Erfolg: Der Leopard lässt endlich los.
Windmeisser, eine pensionierte Arzthelferin, zieht ihren Mann in die Küche des Wohnmobils, leistet sofort erste Hilfe und verbindet die Wunden mit Handtüchern. «Am Hinterkopf hingen Lappen herunter», beschreibt sie die grausige Szene. «Das Ohr hing weg, er war ganz zerkratzt und zerbissen an den Armen und hat auch an der Kehle ziemlich geblutet.»
Hilfe kommt erst Stunden späterWeil das Raubtier wohl das Blut roch, sei es noch etwa drei Stunden auf dem Dach des Wohnmobils geblieben, berichtet Windmeisser. Erst gegen 6 Uhr morgens hört ein Tourguide aus einer Ferienanlage die Rufe und kommt den Deutschen zur Hilfe. Auf halbem Weg, mitten in der Wüste, treffen sie einen herbeigerufenen Krankenwagen.
Eine Sanitäterin berichtet gegenüber «RTL Extra»: «Er lag in einer riesigen Blutlache. Wir hatten keine Ahnung, was passiert war, deshalb war es erst mal ein Schock, als wir ihn gesehen haben. Wir wussten erst nicht, ob er überhaupt noch lebt.»
Millimeter am Tod vorbeiSpecker muss in Namibia dreimal operiert werden. Was für ein Glück der Rentner hatte, erklärt Professor Frank Palm, Chefarzt der Mund-, Kiefer- und Gesichtschirurgie am Klinikum Konstanz, gegenüber dem Fernsehsender: «Das waren Millimeter, nachdem das Tier sich im Hals festgebissen hatte, die über Leben und Tod entschieden haben.»
Wieso sich der Leopard auf Specker stürzte, ist unklar. Normalerweise würden diese Tiere sich keine Menschen als Beute aussuchen, berichtet ein Experte der Afri-Cat-Stiftung. Womöglich leide die Raubkatze an Tollwut.
Schon vier Mal sei er in Namibia gewesen und habe noch nie einen Leoparden gesehen, sagt Specker. Er habe das Unglück aber gut verarbeitet und könne sich sogar eine Rückkehr in das Land im südlichen Afrika vorstellen. (aho)
Meghan Markle hat sich womöglich für die Schönheit unters Messer gelegt. Chirurgen interpretieren ein Foto aus ihrer Jugend unterschiedlich.
Hat sich Meghan Markle (36) etwa das Näschen verschmälern lassen? Dies behauptet zumindest das US-Portal «RadarOnline». Auf einem Foto aus Meghans Schulzeit scheint ihre Nase breiter als heute. Der Beweis, dass sich die Herzogin von Sussex operieren liess?
Der New Yorker Chirurge Matthew Schulman hält einen Beauty-Eingriff für wahrscheinlich. «Es sieht so aus, als hätte Meghan eine kosmetische Nasen-Operation gehabt», erklärt er. «Ihr Nasenrücken ist heute schmaler und ihre Nasenspitze kleiner. Das weist auf einen Eingriff hin.»
Chirurg Stephen Grifka pflichtet seinem Berufskollegen bei. «Es sieht so aus, als wäre der Nasenrücken geschmälert und die Spitze verfeinert worden. Dies geschieht, indem man den Knorpel modelliert. Um den Nasenrücken zu schmälern, muss man die Knochen nach innen bewegen. Das Resultat ist gelungen.»
«Vielleicht nutzt sie Füller?»Doch die Meinungen gehen bei Meghan Markle auseinander. Chirurg Adam H. Hamawy ist anderer Meinung: «Sie sieht nicht aus, als hätte sie je eine Operation gehabt, um etwas an sich zu ändern. Vielleicht nutzt sie etwas Füller? Vielleicht, aber ich glaube, das wars.» Er vermutet höchstens, dass der «Suits»-Star sich die Falten wegspritzen liess.
Dass die Nase der ehemaligen US-Schauspielerin auf dem Schulfoto oder anderen Bildern unterschiedlich breit aussieht, habe für ihn einen anderen Grund. Er sagt: «Jegliche Unterschiede können ihrem Gesichtsausdruck, ihrem Make-up oder den Lichtverhältnissen zugeschrieben werden.» (kad)