VIENNA, 4 June 2018 – OSCE Representative on Freedom of the Media Harlem Désir today expressed his concern that the Spokesperson of the General Prosecutor of Ukraine published a list, which includes journalist Miroslava Gongadze and Chair of the National Union of Journalists of Ukraine Sergiy Tomilenko, accusing them of being traitors.
“The publishing of a list including names of journalists, accusing them of being traitors, is unacceptable and dangerous. This can have serious repercussions for the safety of journalists,” Désir wrote in a letter to the authorities. “I strongly encourage the authorities to intervene and suspend such practices, especially those undertaken by government officials, given the sensitive and difficult environment in Ukraine at the moment.”
On 30 May, following an announcement by law enforcement that the death of journalist Arkady Babchenko was staged as part of a special operation, the Spokesperson of the General Prosecutor of Ukraine posted on her Facebook page a list of people, including Gongadze and Tomilenko, whom she named as traitors for their criticism of the state regarding journalists’ safety and impunity for crimes against media in the country.
“Journalists and media must be able to express their opinions openly and freely. Labelling those with critical voices as traitors put them at great risk, and it must not be tolerated,” Désir added.
The European Defence Agency’s Steering Board has given its green light to the development of a European Military Airworthiness Platform for Safety Information Exchange (EMAP SIX). This central database will enable participating Member States operating the same aircraft types to exchange airworthiness related safety information with relevant stakeholders on a need to know basis and in a secure environment.
The database will make airworthiness related safety information in the military domain available on a single central platform at European level. As such, the database will facilitate cooperation between Member States, with relevant civil aviation safety stakeholders, and further increase trust in European Military Aviation.
In a pilot phase, the MRTT and A400M common aircraft systems will be used for the initial development of the database. Subject to an evaluation of the results in the context of the European Military Airworthiness Authorities (MAWA) Forum, a further extension of the database to other aircraft systems is envisaged.
Operating common aircraft types in various national fleets also entails the existence of common technical safety risks. To mitigate identified 'unsafe conditions' effectively and to prevent hazardous or catastrophic events, competent airworthiness authorities coordinate the necessary measures with certificate holders and manufacturers by releasing mandatory safety information through the so-called ‘Airworthiness Directives’.
Currently, the responsibility for processing this information is split between participating Member States' national authorities and other relevant aviation safety stakeholders. The establishment of a central database facilitating a uniform and consistent exchange of oversight information and obligations will provide for the further harmonisation of administrative processes used by participating Member States’ National Military Airworthiness Authorities, reduce the related administrative burden and contribute to maintaining a high safety level. Beyond that, it will support further cooperation among EU Member States when joining efforts in development, procurement and operation of military aircraft systems.
Mehr als drei Wochen war sie wie vom Erdboden verschluckt. Mit einem Empfang im Weissen Haus wollte Melania Trump dem Rätselraten um ihr Verschwinden nun ein Ende setzen. Das gelang nur halbherzig.
Melania Trump (48) hat nach mehr als drei Wochen Abwesenheit ihren ersten Auftritt absolviert. Am Montagabend empfing die First Lady gemeinsam mit US-Präsident Donald Trump (71) die Familien gefallener Soldaten im Ostsaal des Weissen Hauses.
Aus Respekt gegenüber den Hinterbliebenen waren Journalisten nicht zugelassen, auf ihrem Twitter-Account veröffentlichte Melania Trump anschliessend aber drei Fotos von der feierlichen Zeremonie. «Heute Abend hatten der Präsident und ich die Ehre, unseren gefallenen Helden Tribut zu zollen. Danke an ihre Familien, die mit uns gefeiert und ihrer gedacht haben», schrieb sie dazu.
Als wollte sie der Öffentlichkeit ein trotziges Statement setzen: Seht her, hier bin ich doch. Donald Trump eröffnete die Veranstaltung laut CNN mit der Frage, wo denn die First Lady sei – um dann auf Melania Trump zu zeigen, die in einem schwarzen Kleid in der ersten Reihe sass. Dem Rätselraten um ihr Verschwinden setzte jedoch auch der halbherzige Witz des US-Präsidenten kein Ende.
Mehr als drei Wochen war die First Lady verschwundenWochenlang hatten sich die amerikanischen Medien gewundert und spekuliert, wo die First Lady sein könnte. Seit dem 10. Mai war sie nicht mehr gesichtet worden – da hatte das Präsidentenpaar noch von Nordkorea freigelassene Geiseln begrüsst. Vier Tage später teilte ihr Büro mit, dass sich Melania Trump im «Walter Reed»-Militärkrankenhaus in Bethesda (Maryland) einer Nierenoperation unterziehe.
Obwohl die Operation offenbar unkompliziert verlief und Trump das Krankenhaus nach fünf Tagen am 19. Mai verlassen konnte, wurde sie auch die folgenden zwei Wochen nicht gesichtet.
Am 30. Mai äusserte sie sich auf Twitter zu den Spekulationen: Sie fühle sich grossartig und sei mit ihrer Familie im Weissen Haus, wo sie «für Kinder und die amerikanische Bevölkerung hart arbeite».
Dennoch dauerte es eine knappe weitere Woche, bis sie mit dem Hinterbliebenen-Empfang das erste Mal nach 25 Tagen wieder in die Öffentlichkeit trat. Eine Erklärung für ihr Verschwinden? Fehlanzeige.
Das ist ungewöhnlich für eine Frau, die das wichtigste unbezahlte Amt der Welt innehat – und sich in ihrer Rolle zunehmend wohlzufühlen schien. Auch ihr Image hatte sich in den vergangenen Monaten stetig verbessert. Anfang Mai genoss sie laut einer von CNN veröffentlichten Umfrage die Zustimmung von 57 Prozent der Amerikaner – wesentlich mehr als ihr Gatte. (kin)
Le commissaire européen à l’agriculture, l’Irlandais Phil Hogan, a répondu à mes questions sur la réforme de la Politique agricole commune (PAC) qu’il propose
Vous serez le premier commissaire, depuis 1958, à présider à une baisse du budget de la PAC Quel effet cela fait-il ?
Je suis sans aucun doute le premier commissaire à l’agriculture confronté au départ d’un Etat membre. Et malheureusement, comme il s’agit d’un grand pays, le Royaume-Uni, il laisse derrière lui un trou de 12 milliards d’euros par an qu’il faut combler. A cela s’ajoute le fait que les Etats veulent que l’Union s’occupe davantage de nouvelles priorités, comme l’immigration ou la défense, ce qui est légitime. Ces deux éléments ont des conséquences budgétaires même si on peut le regretter.
Cela n’aurait pas été le cas si la Commission s’était montré plus ambitieuse, par exemple en proposant un budget à 1,20 % du PIB communautaire, un chiffre avancé par Jean-Claude Juncker en septembre dernier, ce qui aurait évité des coupes dans la PAC. Or, elle se contente d’un petit 1,08 %, soit le niveau actuel.
J’aurais été ravi d’avoir un budget plus important ce qui m’aurait éviter de faire des coupes dans les dépenses agricoles. Mais nous sommes dépendant des Etats membres et de leurs contributions. Or six d’entre eux, dont l’Autriche, le Danemark, les Pays-Bas, la Suède ou encore la Finlande ont refusé tout effort supplémentaire. Or l’accord sur le cadre financier pluriannuel requiert l’unanimité. Néanmoins, j’espère que les négociations vont permettre d’aboutir à un accord plus ambitieux. Je suis très optimiste sur ce point, ce qui nous permettra de réduire voire de supprimer l’impact de la proposition actuelle pour les agriculteurs.
Pour l’instant la PAC souffre particulièrement.
Son budget, dans notre proposition, se monte à 365 milliards d’euros pour la période 2021-2027, ce qui, au niveau des prix actuels, représente une baisse de 5%. Si le la contribution UE au second pilier consacré au développement rural diminue de 15%, les aides au revenu ne baissent que de 3,9 %au maximum.
Le Parlement européen affirme que la baisse est de 15%.
C’est une « fake news ». Mais je vois bien comment ce chiffre est obtenu : alors que la PAC n’a jamais été indexée depuis 62 ans, certains se mettent à le faire pour donner l’impression que la baisse est plus importante. Ce calcul ne repose sur rien.
Avec votre réforme, la PAC sera gérée pour l’essentiel par les Etats membres et non plus par Bruxelles.
Peu de gens savent que déjà 50 % des dépenses actuels de la PAC sont décidés par les Etats membres. Surtout, les agriculteurs et les Etats membres ont constaté que la réforme de 2013 a créé beaucoup trop de complexité pour tout le monde. Mon but est donc de simplifier la PAC, de la rendre plus compréhensible et plus cohérente pour les agriculteurs. C’est pour cela que je veux mettre en place un nouveau système de mise en œuvre basé sur les résultats, un système qui n’est plus axé sur la conformité à des règles décidées ici, ce qui a créé une atmosphère de peur chez les agriculteurs. Nous allons désormais demander aux Etats membres de se conformer à 9 objectifs (trois économiques, trois environnementaux et trois sociaux). Pour cela, ils devront nous présenter des programmes de mise en œuvre que nous approuverons et dont nous contrôlerons la réalisation. Il s’agit d’un grand changement : une politique définie au niveau européen, une mise en œuvre effectuée au niveau national. Ce point est vu d’un œil positif par les agriculteurs, les Etats membres et le Parlement européen.
Est-ce qu’il n’y a pas un risque que chaque pays mette l’accent sur des objectifs contradictoires, par exemple l’un privilégiant les objectifs environnementaux pendant que l’autre pousse à la productivité, ce qui à terme se traduira par une fragmentation de l’Europe agricole ?
Je comprends que cela puisse être une préoccupation. C’est pour cela que nous précisons bien que la PAC restera commune et que nous veillerons à ce que ces objectifs n’aient pas d’effets néfastes sur la concurrence et la compétitivité. J’insiste : il n’y aura pas de fragmentation du marché agricole européen puisque les décisions politiques continueront à se prendre au niveau communautaire. Le principe de subsidiarité sera appliqué seulement au niveau de la mise en œuvre.
Quelle est la vision du futur de la PAC définie par ces objectifs ?
Comme cela a toujours été le cas, il faut que les agriculteurs puissent produire suffisamment d’aliments afin que nous restions les leaders du marché mondial. Mais, en même temps, il faut davantage de qualité, à la fois des produits eux-mêmes, mais aussi dans la façon dont on produit, afin d’assurer la durabilité de l’environnement. Nous devons aussi protéger le modèle familial agricole : c’est la raison pour laquelle nous devons mieux cibler l’utilisation des ressources pour permettre aux petits agriculteurs de survivre dans un contexte de marché. Enfin, les agriculteurs ont un rôle à jouer dans le développement rural.
Une partie des organisations syndicales craint que l’Europe devienne une zone de basse pression agricole qui à terme importera de la viande d’Amérique latine et du blé de la mer noire…
Ca ne sera pas le cas : cette réforme ne remet pas en cause le modèle exportateur européen et notre politique commerciale ouvre de nouveaux marchés à nos agriculteurs, notamment en Asie.
Dans les accords commerciaux signés par l’Union européenne, n’y a-t-il pas une tendance à faire de l’agriculture une variable d’ajustement ?
Si je me base sur les accords conclus depuis mon arrivée, ce n’est pas le cas. Avec le Japon, par exemple, personne ne pensait que nous obtiendrions un quota d’importation de 75.000 tonnes de bœuf, une pleine libéralisation du secteur laitier, une ouverture plus grande du marché des vins et liqueurs. Avec la Chine, nous avons obtenu des quotas d’importation de bœuf. Même chose avec le Mexique. Pour le Mercosur, attendons le résultat de la négociation.
Cette réforme ne vise-t-elle pas aussi à rendre les Etats responsables de la PAC pour éviter que la colère paysanne se tourne systématiquement contre Bruxelles ?
C’est vrai, notre réforme va donner plus de responsabilité aux Etats ce qui les obligera à rendre compte de leurs décisions. Cela sera fort inconfortable pour certains ministres qui avaient pris l’habitude de se défausser sur « Bruxelles ». Mais l’objectif premier reste vraiment de simplifier la PAC, d’introduire plus d’équité entre les agriculteurs, de réformer la chaine alimentaire pour un meilleur partage de la valeur ajoutée, d’encourager davantage d’investissement dans les zones rurales.
Votre réforme porte une attention particulière aux jeunes agriculteurs.
Ce sera la première fois que la PAC se pose la question du renouvellement des générations. Il faut savoir que seulement 6 % des agriculteurs européens ont moins de 35 ans, ce qui montre l’ampleur du défi que nous affrontons. Un des neuf objectifs que nous proposons concerne donc le soutien aux agriculteurs de moins de 40 ans : chaque pays devra s’engager à aider, en consacrant 2 % de l’enveloppe qu’il recevra, un certain nombre d’entre eux à s’installer. Le budget agricole continuera à majorer les aides directes pour ceux qui s’installent pour la première fois et fera passer l’aide à l’installation de 75.000 à 100.000 euros. Mais c’est un sujet qui concerne aussi les Etats puisque nous n’avons pas de compétence en matière de fiscalité, notamment pour créer des incitations à l’installation, de transmission de l’exploitation, d’accès à la terre.
Vous proposez aussi de plafonner les aides directes à 100.000 euros par exploitation et par an avec une dégressivité à partir de 60.000 euros.
Je crois qu’il faut instaurer de l’équité et de la justice dans la distribution des aides. Les contempteurs de la PAC lui reproche de distribuer 80% des aides à 20% des agriculteurs : un rééquilibrage est nécessaire, notamment en Europe de l’Est, au bénéfice des petites et des moyennes exploitations. Ce sera un point dur de la négociation à venir.
Elmondta: az utazásszervezőknek eddig is kellett biztosítékot letenni, illetve biztosítást kötni arra az esetre, ha fizetésképtelenek lennének. Az utazási irodák csődjekor azonban elsősorban a külföldön rekedt utasok hazaszállítása volt a figyelem középpontjában, arról általában nem gondoskodtak, hogy a már befizetett részvételi díjakat is vissza tudják fizetni. Ez a rendszer válik biztonságosabbá – hangsúlyozta.
A biztosítékok meglétéről tájékoztatni kell az utasokat még a szerződés megkötése előtt. Az utazási irodák működési engedélyt is csak akkor kapnak, ha eleget tesznek a feltételeknek, az engedély meglétét az interneten ellenőrizni lehet – jelezte Lambert Gábor.
A Mabisz kommunikációs vezetője kiemelte: a pótlólagos garancia az utazásszervezők csődjekor ad védelmet, nem helyettesíti a hagyományos utasbiztosítást.
ZÜRICH - ZH - Sollte die Schweizer Stimmbevölkerung die Vollgeldinitiative annehmen, hätte das wahrscheinlich spürbare Auswirkungen auf den Schweizer Finanzplatz. Zu diesem Schluss kommt die Ratingagentur S&P in einer am Dienstag veröffentlichten Studie.
S&P macht in der Studie drei hauptsächliche Auswirkungen einer Umstellung auf Vollgeld aus. Erstens sei zu erwarten, dass eine Annahme sowohl die Banken wie Investoren stark verunsichere. Wenn diese Verunsicherung anhalte, - es zum Beispiel unklar bleibt, wie sich die Banken an die neuen Verhältnisse anpassen können - leide darunter zweitens in einer nächsten Phase die Einschätzung der Bonität der Banken. «Es könnte einen unmittelbaren Effekt auf bevorstehende Ratings von Schweizer Banken haben», schreibt S&P.
Längerfristig bestehe drittens die Gefahr, dass Vollgeld die Profitabilität der Schweizer Banken schwäche und die Frage nach deren künftige Geschäftsmodell aufwerfe. Kurzfristig geht S&P bei der Auswirkung auf die Profitabilität von keinem oder sogar eher einem positiven Effekt aus. Der Grund dafür sind die Negativzinsen, die zurzeit das Einlagengeschäft der Banken zu einem Verlustgeschäft machen.
Höhere RefinanzierungskostenAuf längere Sicht und mit wieder positiven Zinsen sei jedoch zu erwarten, dass die Refinanzierungskosten der Banken ansteige, weil sie sich vermehrt über den Kapitalmarkt und über teurere längerfristige Einlagen finanzieren müssten. S&P geht in diesem Zusammenhang davon aus, dass die Bankkunden nach einer Umstellung Guthaben von ihren zinslosen Vollgeld-Girokonten auf verzinste Bankgeld-Depositenkonten verschieben.
Diese grössere Abhängigkeit der Banken von längerfristigen Einlagen dämpfe zwar, wie von der Initiative beabsichtigt, das Risiko eines Liquiditätsengpass bei den Banken. Dennoch sei ein Bankrun, das massenhafte Abfliessen von Kundengelder in kurzer Zeit, dennoch möglich, schreibt S&P. Anstatt in Tagen würde sich dieser Prozess jedoch auf Wochen oder sogar Monate erstrecken.
Als nicht absehbar bezeichnet S&P dagegen, wie sich ein Vollgeldsystem auf die Kreditvergabe auswirken wird. «Es könnte je nach Ausgestaltung der Gesetzgebung und der Strategieentscheide der Banken entweder positiv oder negativ ausfallen», heisst es im Bericht. (sda)