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Cora Schumacher enthüllt in der Sat.1-Dokureihe «Über Geld spricht man doch!» ihre Finanzen. Warum sich die Reality-TV-Bekanntheit dazu entschieden hat, verrät sie im Gespräch mit Spot On News.

Angesichts der bevorstehenden Wahlen zum EU-Parlament versuchen EU-Politiker aller politischen Richtungen, die Unzufriedenheit des Agrarsektors für sich zu nutzen. Zuvor hatte es eine bisher noch nicht dagewesene Welle von Protesten und Demonstrationen der Landwirte in der gesamten EU gegeben.

Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui est arrivé à Tunis ce lundi, pour participer à la première réunion consultative regroupant les dirigeants de […]

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In the debate about a follow-up programme after the end of the EU’s Recovery and Resilience Facility (RRF), a think-tank close to centre-right EPP has criticised “significant flaws” in the current programme, including the lack of a plan for repaying the joint EU debt.

Schlagerstar Helene Fischer hat sich für das letzte Konzert ihrer Stadiontournee 2026 einen besonderen Ort ausgesucht: Als erste Musikerin überhaupt tritt sie in der Münchner Allianz Arena auf.

Beim Schweizer Handball-Goalie wurden in einer Urinprobe Spuren von Methamphetamin gefunden. Immerhin drohen ihm strafrechtlich keine weiteren Konsequenzen mehr.

Pangolins, éléphants, rhinocéros et même hippopotames pourraient bientôt disparaître du continent africain. Et pour cause, ces espèces animales sauvages sont braconnées bien qu'elles soient toutes classées comme espèces en danger ou vulnérables. Mais une question taraude l'esprit. L'interdiction totale du commerce international de l'ivoire des éléphants ou des écailles contribue-t-elle à leur protection ou, au contraire, nourrit-elle le braconnage ?

Le braconnage des éléphants et des pangolins met en péril l'existence de ces espèces animales sauvages protégées. Pourtant, la lutte contre le trafic des espèces sauvages protégées fait généralement partie des compétences des services en charge de la protection de la faune et de la flore sauvages et des efforts de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES).

Les réseaux du crime international organisé qui revendaient principalement l'ivoire des éléphants d'Afrique se tournent désormais vers le pangolin. D'énormes quantités sont acheminées vers l'Asie, malgré l'interdiction mondiale du commerce des huit espèces de pangolins et les législations nationales des pays d'Afrique de protection et de conservation des espèces sauvages menacées d'extinction.

La demande transnationale de produits dérivés du pangolin et de défenses d'éléphants est à l'origine de la poursuite du braconnage et du commerce illicite. La viande du pangolin est un mets recherché en Asie. On attribue à ses écailles des propriétés magiques et curatives qui alimentent la demande en médication traditionnelle en Afrique et en Asie. La porosité des frontières, la mauvaise application de la loi et la corruption du côté de l'offre favorisent cette criminalité croissante en Afrique.

Trois tonnes d'écailles ont été saisies à Abidjan en 2017. En 2022, ce sont plus de 600 kg d'écailles de pangolins qui ont été saisies en Côte d'Ivoire, représentant à peu près le massacre de 3000 pangolins. Ces saisies ont été possibles grâce à la collaboration entre la DPFE-MINEF, UCT et EAGLE Côte d'Ivoire. Selon le réseau EAGLE, la disparition du pangolin est liée à l'avidité de sa chaire et des écailles dont on attribuerait des vertus thérapeutiques.

De même, les agents de l'Office Central de Répression du Trafic Illicite de Drogue et du Blanchiment (OCRTIDB) appuyés par le Ministère de l'Environnement et des Ressources Forestières (MERF) en collaboration avec EAGLE-Togo ont procédé à l'interpellation de quatre présumés trafiquants le 10 mars 2023, au moment où ils s'apprêtaient à conclure la vente de sept grosses défenses d'éléphants. Une perquisition immédiate au lieu de stockage de ces produits illicites, a permis de saisir douze autres grosses défenses d'éléphants, dont cinq sculptées et polies, deux petites pointes d'ivoire, treize statuettes en ivoires, un collier en ivoire, deux peaux de félins dont le lion, deux mandibules qui semblent être celles d'être humain et une tête de phacochère.

Aussi, plus de 20 tonnes d'écailles de pangolins ont été saisies dans la ville portuaire de Pointe-Noire en 2018 et neuf tonnes en 2020. Selon les responsables de Last Great Ape (LAGA), une organisation non gouvernementale qui plaide pour que la législation sur les espèces sauvages y soit appliquée, ces pangolins et leurs écailles étaient passés en contrebande depuis le port de Matadi en RDC. Parmi les trafiquants arrêtés au fil des ans figurent des ressortissants congolais, maliens, libanais et chinois.

À la source, les braconniers attrapent les pangolins dans leur habitat naturel. Puis, des groupes criminels et des clients venant de villes, leur achètent les animaux braconnés et leurs produits. Les cartels, composés de Camerounais et de Nigérians, exportent ensuite les pangolins vers l'Asie en passant par les grands pôles de transit, comme les ports de Douala, au Cameroun, et de Lagos, au Nigeria.

Du coup, le Cameroun, le Nigeria sont des pays importants pour le transit des écailles de pangolins et quelques pays de l'Afrique de l'ouest dont le Togo, sont eux des pays de transit d'ivoire. Parfois, les trafiquants soudoient les fonctionnaires aux frontières et aux douanes afin de garantir le passage illégal des produits de la faune sauvage et de se faire délivrer de fausses déclarations en douane.

Les principales destinations sont les marchés chinois, thaïlandais, malaisien et vietnamien. Une autre route est utilisée, au nord, traversant le Tchad et le Soudan, pour le trafic de pangolins et d'autres animaux en voie de disparition à destination des marchés des pays arabes.

Une chose est d'interdire le commerce international des défenses d'éléphants ou des écailles de pangolins ou de détruire les saisies d'écailles ou d'ivoire, l'autre chose, est d'accorder une priorité à la protection des espèces sauvages protégées en voie d'extinction comme le pangolin et l'éléphant qui sont sur la liste rouge de la CITES. Et aussi, sensibiliser les populations, augmenter le financement des enquêtes sur la criminalité liée à la faune sauvage, améliorer la collaboration entre les forces de l'ordre dans les différents pays, sans oublier le renforcement des capacités sur la criminalité liée aux espèces sauvages afin de prévenir et d'enrayer ce type de crime.

Les partenaires internationaux du développement devraient également fournir des fonds et des formations afin de concevoir et mettre en œuvre des politiques de lutte contre le trafic d'espèces de la faune sauvage. Ces initiatives sur plusieurs fronts peuvent susciter l'engagement et la coopération nécessaires à l'échelle internationale pour mettre fin au trafic d'espèces sauvages. Cela pourrait aussi démystifier les propriétés médicinales que l'on attribue à ces animaux, ce qui en ferait baisser la demande.

Le mal est profond ! Selon l'UICN, le trafic de pangolins en Afrique a augmenté de 150 % entre 1970 et 2014. Et, entre 500 000 et 2,7 millions de pangolins sont capturés chaque année dans les forêts des pays de l'Afrique centrale. Conséquence : l'espèce reste menacée d'extinction.

L'éléphant, selon WWF, 30 000 éléphants étaient tués chaque année, soit une moyenne de 80 par jour. Du coup, les populations d'éléphants d'Afrique ont considérablement diminué de 80 % ces dix dernières années.

Rappelons que le pangolin est intégralement protégé par le traité de la Convention internationale sur le commerce d'espèces sauvages menacées (Cites) depuis septembre 2016. Même si en Chine, les écailles sont toujours autorisées dans certains établissements hospitaliers, et pour fabriquer des médicaments brevetés. Pour protéger toutes les populations d'éléphants africains, elles ont été classées, dès 1989, à l'annexe I de la Convention, ce qui interdisait totalement leur commerce, vivants ou de leur ivoire. Mais cette protection a été affaiblie en 1997 et 2000, au Botswana, en Namibie, en Afrique du Sud et au Zimbabwe car les mesures de préservation semblaient fonctionner. Seulement, vingt ans plus tard, le trafic très lucratif de l'ivoire pousse toujours les pachydermes africains vers leur disparition.

(EAGLE-Togo/avril/2024)

C’est visiblement la saison des voyages en famille. Après Air Algérie qui a dévoilé sa nouvelle offre, intitulée “OSRA”, la compagnie aérienne française, ASL Airlines, […]

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TASR: 3.109 új számítógépet és laptopot kapnak a járási hivatalok 2,4 millió euró értékben, a belügyminisztérium EU-s támogatásból szerezte be a felszerelést. A számítógépek felének leszállítását már megkezdték, a többit nyár elejéig kapják meg a hivatalnokok. A belügyi tárca emellett 80 GPS helymeghatározót is vásárolt az uniós támogatásból a járási hivatalok számára, 88.800 euró értékben – tájékoztatta a TASR-t a tárca sajtóosztálya.

Wegen Spionageverdachts für China hat die Bundesanwaltschaft drei Deutsche festnehmen lassen.

Szlovákiából és Magyarországról összesen 51 projekt kapott támogatást, 1.448.335 euró összértékben, a legtöbb Kassa megyében valósul meg – tájékoztatott a megyei hivatal.

Der ehemalige US-Präsident Donald Trump steht seit dieser Woche in New York vor Gericht. Die Vorwürfe sind heftig, das Drama garantiert. Nun wurde eine Liste mit den wichtigsten Zeugen veröffentlicht – doch wer sind diese Leute?

Der Bundesrat will wegen der angespannten Finanzlage in den kommenden vier Jahren weniger für Bildung und Forschung ausgeben. Der Bundesrat riskiere so, Erfolgsfaktoren für die Zukunft zu verspielen, kritisieren Akteure von Wissenschaft, Bildung und Forschung.

L'agence de notation Standard & Poor's « S&P » rehausse la notation de crédit du Bénin de « B+ » à « BB- » avec une perspective « Stable »

Le 19 avril 2024, l'agence de notation S&P a rehaussé la notation de crédit de la République du Bénin qui passe de « B+ » avec une perspective « Positive » à « BB- » avec une perspective « Stable ».
Cette décision remarquable renforce la position du Bénin parmi les meilleurs crédits d'Afrique sub-saharienne, derrière le Botswana et aux côtés de l'Afrique du Sud et de la Côte d'Ivoire. L'agence salue à travers cette décision les avancées réalisées par le pays ces dernières années dans le domaine de la gestion économique, budgétaire et financière, dans un contexte d'instabilité régionale.
S&P rappelle le fort dynamisme économique enregistré par le Bénin, marqué par une croissance qui a dépassé les prévisions avec un taux de 6,4% en 2023. L'agence anticipe la pérennité de cette tendance avec une croissance moyenne supérieure à ce taux entre 2024 et 2027.
Ces projections sont soutenues par la solidité des politiques économiques menées par les autorités et l'exécution efficace du Programme d'Actions du Gouvernement. S&P met particulièrement en avant l'expansion du port de Cotonou et le développement rapide de la zone économique spéciale de Glo Djigbé, qui contribuent à la transformation structurelle de l'économie béninoise et au développement de secteurs à forte valeur ajoutée.
L'agence S&P a également salué la performance budgétaire de l'année 2023, qui a surpassé ses prévisions, soulignant l'augmentation des recettes budgétaires du pays grâce à l'amélioration des capacités des administrations fiscales et douanières.
La stratégie de financement du Bénin et sa gestion proactive de la dette, illustrées par l'émission d'un Eurobond inaugural en dollar d'un montant de 750 millions de dollars, sur une maturité de 14 ans le 13 février 2024, sont également louées par S&P.
Enfin, l'agence reconnaît la forte crédibilité du pays auprès des bailleurs internationaux, ainsi que sa capacité à mobiliser des financements innovants, qui lui permettent d'atténuer efficacement les répercussions de la remontée globale des taux d'intérêts sur l'économie nationale.

Is it possible that a single piece of legislation could sway Georgia - an official candidate for EU membership since December - away from its EU path? And if so, does it mean that Vladimir Putin is winning back this former Soviet republic, the birthplace of Stalin?

Le 6 mai 2024 va se dérouler le premier tour de l'élection présidentielle au Tchad. Actuellement, les candidats en lice sont en campagne.

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UN Live’s CEO Katja Iversen at the launch of ‘Sounds Right’. Credit: Naureen Hossain/IPS

By Naureen Hossain
NEW YORK, Apr 22 2024 (IPS)

UN Live’s CEO, Katja Iversen, says the way to engage people in the environment is through popular culture—film, music, gaming, sports, food, and fashion. She is excited about the Sounds Right project, which puts the sounds of nature—bird songs, waves, wind, and rainfall—at the center of a campaign to support those involved in climate action.

In an exclusive interview with IPS, Iversen shares the motivation behind this innovative project.

The Sounds Right initiative was officially launched on April 18. It established NATURE as an official artist, eligible to earn royalties. Music fans were invited to support nature conservation by listening to NATURE’s recordings or tracks with musicians. This initiative was developed and delivered by the Museum for the United Nations (UN Live) and a broad range of partners in the music and environmental sectors.

IPS: How was the Sounds Right initiative conceived? What is the significance of recognizing NATURE in the same way that we recognize and reward musical artists through royalties?

Katja Iversen: The “Sounds Right” initiative was conceived as a global music movement to prompt conversations about the value of nature, raise innovative financing for conservation, and inspire millions of fans to take action.

The original idea came out of a project called VozTerra in Colombia, which the Museum for the United Nations—UN Live helped initiate. The initiative, as it looks today, has been developed by UN Live in close partnership with musicians, creatives, and nature sound recordists, as well as environmental, campaigning, and global advocacy organizations and VozTerra.

The significance of the initiative is that it treats NATURE as the artist she truly is and nature’s sounds—such as bird songs, waves, wind, and rainfall—as artistic works deserving of royalty payment. It leverages the power of music to connect fans with nature by having artists feature natural sounds in new and existing tracks.

It is going to be really big. To test things out, NATURE was discretely established as an official artist two weeks ago on various streaming platforms, including with some pure nature sounds. As of today, on Spotify alone, NATURE is in the top 10 percent of artists, with over 500k monthly listeners and almost 5 million streams—even before the initiative is officially launched and a playlist with artists featuring nature tracks goes online.

IPS: How was the Museum for the UN—UN Live able to bring together artists, music executives, and environmental groups for this initiative?

Iversen: The Museum for the UN—UN Live, together with EarthPercent, has organized the collaboration between artists, music executives, and environmental groups by leveraging our unique position at the intersection of culture, sustainable development, and diplomacy. We, at UN Live, have a track record of engaging very diverse communities in innovative cultural programmes, and we were able to draw on our extensive networks and entrepreneurial skills to bring together a broad variety of groups around a great idea.

It is a truly unique coalition of partners, including EarthPercent, AKQA, Hempel Foundation, Dalberg, Count Us In, VozTerra, Axum, Music Declares Emergency, Earthrise, Eleutheria Group, The Listening Planet, Biophonica, Community Arts Network, Limbo Music, LD Communications, No. 29, and Rare.  We developed the initiative in consultation with the UN Department of Global Communications, and we’ve also joined forces with The Nature Conservancy, Wildlife Conservation Society, APCO, Riky Rick Foundation, AWorld x ActNow and others to reach the many millions of people.

Sounds Right poster.

IPS: How do you foresee artists and environmental groups from developing countries connecting with this initiative now and in the future?
Iversen: We are very serious about this not being a Global North undertaking. Recognizing that the global majority is often at the forefront of experiencing the impacts of loss of biodiversity and climate change while living in some of the world’s most important ecosystems, this is also where the solutions and the most important voices are found—both the voices of humans and nature. Of the first group of 16 artists on the first Feat Nature playlist, there are musicians from Venezuela, Colombia, Kenya, India, and Indonesia. And on future compilations, more will come.

Just imagine that as NATURE the artist grows and grows, more and more musicians will want to collaborate and feature nature in their music. We are looking forward to working with musicians from across the globe and will, in time, potentially also develop special releases focused on certain geographies, issues, or groups.

The funds raised will be distributed under the guidance of the Sounds Right Expert Advisory Panel, a group of world-leading biologists, environmental activists, representatives of Indigenous Peoples, and experts in conservation funding. The majority of the experts are from the global majority.

IPS: How does ‘Sounds Right’ go toward serving the SDGs?

Iversen: Well, we are the Museum for the United Nations, and we are here to rally the world around the work, values, and goals of the United Nations, so naturally Sounds Right is also aligned with the SDGs.

More particularly, it aligns with the goals related to life on land (SDG 15) and underwater (SDG 14) by funding conservation projects through royalties collected from nature-based recordings. Additionally, by raising awareness and fostering an appreciation for the environment through music, the initiative supports SDG 13 (climate action) and SDG 17 (partnerships for the goals) and also justice.

Importantly, Sounds Right is an example of the power of popular culture and exemplifies how creative industries and popular culture platforms can contribute to achieving the SDGs, including by merging artistic expression with environmental activism.

IPS: How does the Museum for the UN—UN Live leverage culture to promote the SDGs?

Iversen: If we could solve the world’s problems and achieve the SDGs with data, facts, figures, and reports alone, it would have been done. What we also need is to work with culture, norms, opinions, feelings, and hearts. We know that popular culture—film, music, gaming, sports, food, fashion—affects people’s opinions, norms, and actions. So if we really want to change and if we want to reach the many, we go to where the many are. It’s in their earbuds, it’s on their phones, it’s on their screens, and it’s on their sports fields. That’s where you hit both the head and the heart.

That’s what we need, in addition to the facts and the figures. U.N. Live worked with popular culture, unleashed the power of popular culture to reach many people—millions and billions of people—because they use popular culture. So we have to go where the people are with the messages they can understand and the actions they want to take.

IPS UN Bureau Report

 

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