The COVID-19 pandemic saw 3.5 billion people without access to digital technology and services and more than one billion children unable to continue their education. Credit: Mercedes Sayagues/IPS
By Samira Sadeque
UNITED NATIONS, Oct 14 2020 (IPS)
Digital technology has been crucial in ensuring community and connection during the coronavirus pandemic and subsequent lockdowns. And its shown that collaboration between the private and public sector can ensure that digital technology continues to advance in a way that improves people’s lives under crises, experts said on Tuesday, Oct. 13.
The COVID-19 pandemic saw 3.5 billion people without access to digital services and more than one billion children unable to continue their education, Dr. Julia Glidden, corporate vice president at Microsoft Worldwide Public Sector, said at the webinar.
“As digital services became lifelines, empowering responders, [the] crisis also highlighted the need for greater connectivity,” she said.
Speakers from Denmark, South Korea, China and Bangladesh were among those who shared their insights at the webinar “Accelerating Digital Transformation for Sustainable and Resilient Recovery from COVID-19”. It was organised by the United Nations Department of Economic and Social Affairs (UN DESA), Division for Public Institutions and Digital Government (DPIDG), and the Ministry of the Interior and Safety (MOIS) of South Korea.
The webinar focused largely on the importance of bringing together public and private sector partnerships and highlighted the need for civic engagement.
Particularly outspoken on this issue was Kyong-yul Lee, Secretary-General of the World Smart Sustainable Cities Organisation (WeGO), an international association of cities, and local and national governments.
Echoing the thoughts of other speakers about the importance of collaboration of public and private institutions, Lee added the importance of including citizens in the equations.
“If civic participation is active, PPP (referring to public-private partnership) becomes PPPP — public private people participation,” he said. “Citizens are not simple participants but active data collectors and problem solvers.”
In order to make sure these measures are effective, there is also the need for a change in mindset, Lee said.
“City officials should change their minds – they are not the owner of the city, and city administrators should be open minded and kept abreast of the times,” Lee added. “As it was the technology that changed the stone change, it’s technology that [will] usher in the smart age, so cities should awaken to it and invest in it for the future.”
In some places, such as the digital technology landscape in Bangladesh, a change in mindset is already happening, according to Anir Chowdhury, policy advisor of the Aspire to Innovate (a2i) Programme under the ICT division in Bangladesh.
Chowdhury said amid the COVID-19 outbreak, officials in the government have adopted measures that are helping accelerate their work, with many “major decisions” taking place via Whatsapp.
This means they are able to hold high-level meetings on 12-16 hours notice.
“This has really given a radical change in mindset that leapfrogging is possible and we can eliminate a lot of steps in our bureaucracy,” Chowdhury said. “A lot of things that were thought to be impossible are now possible.”
Xufeng Zhu, Professor and Associate Dean at the School of Public Policy and Management in China’s Tsinghua University, discussed the digital technology measures the Chinese government used to tackle the coronavirus pandemic.
The Chinese government was able to use the internet for processes such as online diagnoses and the release of information , among other services. The latter was helpful in aiding government authorities to curb the spread of misinformation spread.
Digital technology was also crucial for delivery services during the lockdown, and the delivery system fixing the blind spots in the cities, Zhu said.
Tech companies also have a big role to play, he added.
It was noted that while the alliance between governments and tech companies is important to note, the citizens have a crucial role to play in ensuring that these measures are effective.
“Citizens must play a more active role and participate in helping create smart cities,” said Lee of WeGO. “Citizens should change their mind too, they shouldn’t be passive bystanders, they are real owners of the city and they are asked to actively create the ideal smart city. A sense of ownership is critical and civil participation makes a big difference.”
Glidden offered a call to action.
“In the face of unprecedented global challenges, there’s also opportunities,” Glidden said. “I believe the need to catalyse collaborative partnerships and innovation of a global level has never been greater.”
She said a model that involves a vibrant mix of small and mid-size enterprises, and the public and private sector would be the ideal model to addresses “challenges of access and inclusion, which COVID-19 so dramatically showcased”.
She called for a model that “ultimately shows digital is a force for social good rather than disruption and division”.
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Plusieurs pays africains connaissent un niveau élevé d'endettement, les rendant plus fragiles face à la crise mondiale actuelle. Mais les pays les plus endettés du continent sont loin d'être ceux auxquels l'on pourrait penser.
Selon les dernières statistiques du FMI, les dix pays africains affichant le taux d'endettement le plus élevé début 2020 sont les suivants : le Soudan, avec une dette publique équivalant à 207 % du PIB, l'Érythrée (165,1 %), le Cap-Vert (123,5 %), le Mozambique (108,8 %), l'Angola (95,0%), la Zambie (91,6 %), l'Égypte (84,9%), la Gambie (80,9%), la Mauritanie (78,5 %) et la République du Congo (ou Congo-Brazzaville, 78,5 %).
Ce classement correspond donc au niveau d'endettement des pays africains juste à la veille de la crise économique actuelle, liée au Covid-19. À ce stade, ces données peuvent être considérées comme étant les plus pertinentes pour effectuer des comparaisons, vu que les conséquences économiques de la pandémie actuelle pour l'année en cours ne peuvent encore être correctement estimées, et en particulier pour les pays en développement.
Les dix pays les plus endettés Afrique
Les « surprises » du classement
Le classement est donc dominé par le Soudan, pays d'Afrique connaissant une grave crise économique et qui est en période de transition politique depuis le coup d'État d'avril 2019. Une situation regrettable pour un pays qui n'est autre que le second producteur d'or du continent, après le Ghana, et qui a le grand avantage d'être abondamment irrigué par le Nil, le plus long des fleuves africains, et ses affluents. Il est d'ailleurs à noter que le Soudan fait désormais partie des cinq pays les plus pauvres du continent, avec un PIB par habitant de seulement 442 dollars début 2020.
Un autre élément surprenant du classement consiste en la place occupée par l'Angola, qui arrive au cinquième rang des pays africains les plus endettés. En effet, ce pays dispose également de très importantes richesses naturelles, et en particulier le pétrole dont il est le deuxième producteur continental, après le Nigeria. Toutefois, et comme pour ce dernier, l'Angola connaît aussi un déclin économique et un appauvrissement, avec en moyenne une croissance annuelle négative de -1,0 % sur la période de cinq années allant de 2015 à 2019 (et seulement 1,2 % pour le Nigeria), soit un taux largement inférieur au taux de croissance démographique du pays (3,3 % en moyenne sur la même période). Une évolution qui s'est notamment traduite par une baisse de 85 % de la valeur de la monnaie nationale par rapport au dollar depuis 2014 (près de 60% pour le Nigeria), et qui devrait se poursuivre pendant les quelques prochaines années, au moins, selon les prévisions en la matière, et comme pour le Nigeria. Ces deux pays souffrent notamment d'une tendance à la baisse de leur production pétrolière, et ne sont pas parvenus à diversifier leur économie et leurs exportations, qui reposent toujours presque uniquement sur les hydrocarbures (98 % pour l'Angola, et 94 % pour le Nigeria).
Enfin, ce classement fait apparaître qu'il n'y a que deux pays francophones parmi les dix pays les plus endettés du continent, et qui ne sont qu'à la 9e et à la 10e place, à savoir la Mauritanie et la République du Congo. Cette dernière devrait d'ailleurs sortir des dix premières positions au cours de l'année 2020 (mais il convient là de rappeler, encore une fois, qu'il est encore trop tôt pour avancer des estimations suffisamment fiables pour l'année en cours, compte tenu du contexte très particulier que le monde connaît actuellement).
L'Afrique francophone, partie la moins endettée du continent
L'Afrique francophone est d'ailleurs globalement la partie la moins endettée du continent, avec un taux d'endettement global de 50,1 % du PIB pour cet ensemble de 25 pays début 2020, et de 44,1 % pour sa partie subsaharienne composée de 22 pays (en tenant compte de la dette publique et du poids de chacune de leurs économies, selon les données disponibles mi-2020). Pour le reste du continent, le taux s'établit à 58,9 % pour l'ensemble de l'Afrique non francophone, et à 53,4 % pour sa partie subsaharienne. Le niveau d'endettement global de l'Afrique francophone est d'ailleurs largement inférieur à celui de la majorité des pays développés.
Dettes Afrique francophone
Cette assez bonne maîtrise de la dette, globalement, résulte en grande partie de la forte croissance économique que connaissent la plupart des pays d'Afrique subsaharienne francophone. Celle-ci constitue d'ailleurs la zone la plus dynamique - et historiquement la plus stable - du continent, dont elle a enregistré en 2019 les meilleures performances économiques pour la sixième année consécutive et pour la septième fois en huit ans. Sur la période 2012-2019, la croissance annuelle de cet ensemble de 22 pays s'est ainsi établie à 4,4% en moyenne (5,0 % hors cas très particulier de la Guinée équatoriale), contre 2,8% pour le reste de l'Afrique subsaharienne. Un dynamisme qui est particulièrement élevé au sein de l'espace UEMOA, qui n'est autre que la plus vaste zone de forte croissance du continent, avec une hausse annuelle du PIB de 6,4 % en moyenne sur cette même période de huit années.
Ces performances résultent elles-mêmes des nombreuses réformes accomplies par la majorité des pays francophones, et notamment en matière de bonne gouvernance, de diversification et d'amélioration du climat des affaires (même si de nombreux progrès restent à accomplir). Sur ce dernier point, certains pays ont ainsi réalisé un bon considérable entre les classements Doing Business 2012 et 2020, publiés par la Banque mondiale, et notamment le Togo (passé de la 162e à la 97e place), la Côte d'Ivoire (de la 167e place à la 110e place), le Sénégal (de la 154e à la 123e) ou encore le Niger (passé de la 173e à la 132e place). Ce dernier talonne ainsi désormais le Nigeria (131e), et fait largement mieux que l'Angola (177e) ou encore que l'Éthiopie (159e).
Grâce à ce dynamisme, la Côte-d'Ivoire vient par exemple de dépasser le Nicaragua en termes de richesse par habitant, pour devenir le premier pays africain au sous-sol pauvre de l'histoire à devancer un pays d'Amérique hispanique, avec un PIB par habitant de 2 286 dollars début 2020, contre 1 913 dollars (hors très petits pays de moins de 1,5 million d'habitants, majoritairement insulaires et ne pouvant être pris en compte pour de pertinentes comparaisons). Et ce, tout en ayant réussi l'exploit de dépasser le Ghana et le Nigeria, deux voisins regorgeant de richesses naturelles, pour devenir le pays le plus riche de toute l'Afrique de l'Ouest (2 202 dollars et 2 230 dollars par habitant, respectivement pour ces derniers). Quant au Niger, géographiquement pénalisé par son enclavement, il vient de réussir la performance de dépasser la Sierra Leone, et de quitter ainsi la place peu enviable de pays le plus pauvre d'Afrique de l'Ouest (555 dollars par habitant, contre 504 dollars). Enfin, des pays comme le Mali et le Bénin, qui ne font pourtant pas partie des plus riches de leur région, ont même un PIB par habitant supérieur à des pays comme l'Éthiopie ou le Rwanda, situés en Afrique de l'Est et bénéficiant d'une couverture médiatique favorable.
Au passage, et au niveau continental, il est à noter qu'il n'y a désormais plus qu'un seul pays francophone parmi les cinq pays les plus pauvres, tous situés en Afrique de l'Est (à savoir le Burundi, et les quatre pays anglophones que sont le Soudan du Sud, devenu le pays le plus pauvre du monde, le Malawi, la Somalie et le Soudan). De plus, il convient de souligner que les pays francophones sont globalement les moins inégalitaires du continent, la République centrafricaine semblant même être le seul pays francophone parmi les dix pays africains les plus inégalitaires (arrivant à la cinquième position pour l'indice GINI, selon les données de la Banque mondiale, toutefois basées sur des enquêtes pas toujours récentes en la matière). Enfin, il n'y a aujourd'hui plus aucun pays francophone dans les six dernières places du classement international de la Banque mondiale pour le climat des affaires, désormais majoritairement occupées par des pays anglophones (en 2012, cinq des six derniers étaient francophones).
Cette évolution globalement favorable de l'Afrique francophone n'était d'ailleurs pas aussi facilement prévisible il y a quelques décennies, au moment des indépendances. En effet, il convient de rappeler que le Royaume-Uni avait pris le contrôle des terres les plus fertiles du continent (le Ghana, la Nigeria - avec le delta du fleuve Niger et ses affluents, le Soudan et le Soudan su Sud - avec le Nil et ses affluents, la Tanzanie, le Zimbabwe…), ainsi que des territoires les plus riches en matières premières (les trois premiers pays producteurs d'or du continent, que sont le Ghana, le Soudan et l'Afrique du Sud - longtemps premier producteur mondial en la matière, le premier producteur de pétrole qu'est le Nigeria - devant l'Angola, ancienne colonie portugaise, le premier producteur de diamants qu'est le Botswana, ou encore le deuxième producteur de cuivre qu'est la Zambie). L'Afrique francophone a donc réussi son rattrapage par rapport au reste du continent, dont elle constitue même désormais la partie la plus prospère, globalement (ou la moins pauvre, selon la manière de voir les choses).
Globalement, les pays francophones sont donc mieux armés pour faire face à la crise majeure que traverse aujourd'hui le monde. Certes, le niveau d'endettement n'est pas le seul élément qui compte, mais il demeure incontestablement l'un des plus importants, avec de sérieuses conséquences aussi bien sur la capacité d'un pays à se relever que sur sa souveraineté.
https://www.cermf.org/les-dix-pays-africains-les-plus-endettes-fragiles
De nouvelles mesures communes pour la circulation entre les pays de l’UE ont été approuvé hier, mardi 13 octobre. Selon SchengenVisaInfo, les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne ont adopté, mardi 13 octobre, la nouvelle proposition de coordination des mesures de restriction de voyage dans l’UE, présentée il y a plus d’un mois par […]
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On the occasion of the 20th anniversary of the landmark UN Security Council Resolution 1325 on Women, Peace and Security (WPS), the OSCE and UN Women joined forces to host an online event on 12 October 2020. Experts reviewed commitments and charted the way forward on this landmark resolution, the first international agreement recognizing that conflict affects women differently than men and calling for the meaningful participation of women in peace processes. A wide range of WPS practitioners from civil society and women’s organizations, government officials and representatives of international organizations participated in the event.
“Over the past twenty years, the women, peace and security agenda has stood to accelerate the achievement of gender equality, to increase women’s voices and their inclusion in political and peace processes, decision-making and leadership,” said Inid Milo, Head of the OSCE Task Force of the Albanian OSCE Chairpersonship.
Alia El-Yassir, UN Women Regional Director for Europe and Central Asia said: “Creating a peaceful world for future generations requires the empowerment of women in conflict resolution and peacebuilding efforts, and bringing them to the table. Given all that we know and the challenges that the world is facing, advocating for women´s rights and women’s equal participation in peace processes is more important now than ever.”
Participants noted that although scientific studies and practice show that women’s inclusion in peace processes ensures a more sustainable outcome, they are still largely absent from official peace negotiations. They pointed to the need for transformative measures to change the cultural norms that continue to prevent women’s full participation.
Discussions focused on real experiences in implementing the WPS agenda and the presentation of useful tools, such as the OSCE Toolkit on Inclusion of Women and Effective Peace Processes and the first-ever women, peace and security index created by the Georgetown Institute for Women, Peace and Security together with the Peace Research Institute of Oslo. The index shows a direct correlation between the well-being of women and the well-being of nations.
Participants recommended, for a strategic way forward, connecting women’s peace efforts at the local level to official peace processes, involving the private sector and enhancing media representation of women leaders in peace and security efforts.
Le joueur béninois, Moïse Adilèhou, n'est pas malade du Coronavirus. Il a été testé négatif ce lundi 12 octobre 2020.
Arrivée lundi 5 octobre au regroupement de Chantilly pour le match contre le Gabon, l'international béninois a dû quitter la sélection nationale pour retourner à Nanterre jeudi 8 par précaution de l'encadrement technique. Le club NAC Breda où il évolue aux Pays-Bas avait indiqué qu'un joueur de leur effectif était testé positif. Ce qui a poussé le sélectionneur national, Michel Dussuyer à éviter tout risque, et à l'écarter de son effectif. Désormais testé négatif, il pourra rejoindre ses coéquipiers lors des prochains matchs, notamment la double confrontation face au Lesotho en novembre prochain dans le cadre des éliminatoires de la prochaine CAN.
F. A. A.
Le Directeur général du Millénium Challenge Corporation Sean Cairncross a tenu ce mardi 13 octobre 2020, une séance avec les responsables du MCA-Bénin II.
A la suite de sa rencontre avec le personnel du MCA-Bénin II, le Directeur général Cairncross a visité une bénéficiaire du programme Women Energy Entrepreneurship Initiative. Il s'est également rendu sur quelques chantiers de mise en œuvre du Compact dans Cotonou.
Durant son séjour au Bénin, M.Sean Cairncross aura des séances de travail avec des autorités gouvernementales.
A.A.A
Plusieurs ministres de l’époque de Bouteflika ont été auditionnés par la Cour d’Alger, dans le cadre du procès de l’homme d’affaires Ali Haddad. Le point commun entre eux, à part d’être tous incarcérés, était de tout mettre sur le dos de l’ancien président déchu. À commencer par l’ancien premier ministre Ahmed Ouyahia qui a nié […]
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An OSCE-supported seminar on the protection of freedom of expression and the judicial regulation of defamation took place on 10 October 2020 in Nur-Sultan. The OSCE Programme Office in Nur-Sultan co-organized the event with the Academy of Justice under the Supreme Court (Academy), NGO Legal Media Centre, Internews Kazakhstan and the United States Agency for International Development (USAID). Some 55 Master students of the Academy attended the seminar.
An international expert delivered a presentation on the institute of defamation and protection of reputation in the legal system, the relation of defamation to human rights and the appliance of international standards in the Russian Federation. Participants reviewed some practical cases, the main elements of defamation and protection of reputation trials. The expert also provided a comparison of the legislation between the Russian Federation and Kazakhstan and discussed with participants the ways to improve the judicial practice.
The event is part of the Office’s activities aimed at promoting media freedom and freedom of expression in line with OSCE principles and commitments.
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