Les nouveaux bacheliers, ainsi que les étudiants en troisième année secondaire pourront bénéficier d’une bourse d’étude dans une université américaine. Dans un communiqué publié ce mercredi 14 octobre, suite à l’annonce des résultats de baccalauréat, l’ambassade des États-Unis en Algérie a félicité les nouveaux bacheliers, et a annoncé la disponibilité d’une bourse d’études tous frais […]
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C'est un véritable calvaire pour les enseignants de la commue des Aguégués qui doivent emprunter la barque pour se rendre dans leurs écoles.
Selon les enseignants de cette commune, la barque est dans un état de dégradation avancée. La barque se remplit d'eau à chaque fois. Les enseignants sont donc obligés de vider l'eau au fur et à mesure lors de la traversée.
« Nous prions Dieu pour que ça ne nous lâche pas », a témoigné un enseignant.
Les enseignants sollicitent le soutien des bonnes volontés et des autorités pour l'acquisition d'une nouvelle barque.
A.A.A
La Fédération béninoise de Basketball (Fbbb) a suspendu le district de Basket-Ball d'Abomey-Calavi le jeudi 08 Octobre 2020. Le non-respect des dispositions du Règlement Intérieur de la fédération est à l'origine de la suspension de six mois.
La Fédération béninoise de Basketball a suspendu le district de Basket-Ball d'Abomey-Calavi le jeudi 08 Octobre 2020. La suspension de six mois est intervenue parce que le district dirigé par Jubilé Djakpo n'a pas obtenu l'autorisation préalable de la Fédération conformément aux dispositions des articles 53 et 54 de son Règlement Intérieur.
Entre autre activités organisées sans l'aval de l'institution de tutelle, il y a l'Assemblée générale extraordinaire du samedi 03 Octobre 2020, le jeu concours du 3 contre 3 sur la période du 15 au 30 Juillet 2020.
La décision de suspension n'est pas du goût de Jubilé Dodji, le président du district de Basket-Ball d'Abomey-Calavi.
Dans une correspondance adressée le 12 Octobre 2020 à la Fbbb, Jubilé Dodji a rendu sa démission.
M.M.
L’auteur compositeur Frédéric Ehui, alias Meiway, s’affiche de plus en plus dans une posture d’opposant farouche à Alassane Ouattara qui est candidat pour un troisième mandat. Au sortir d’une rencontre avec le Secrétaire exécutif du PDCI-RDA, au siège du parti à Cocody, l’artiste s’est une fois de plus prononcé sur la situation politique de son […]
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Efforts by OSCE participating States to address the risks posed by small arms and light weapons (SALW) and stockpiles of conventional ammunition (SCA), particularly in preventing and combating the illicit trade in SALW, were the focus of a meeting organized by the German Chair of the Forum for Security Co-operation on 13 and 14 October 2020.
The Second Biennial Meeting was held to assess the implementation of the OSCE Documents on SALW and SCA, which stipulate the norms, principles and measures to regulate and manage the life cycle of SALW and ammunition, the production, transfer, storage, collection, and destruction of such weapons, and to control their export. The documents also provide for information exchange between participating States, which contributes to confidence-building.
“The OSCE provides a significant regional multilateral forum for the continued advancement of the regulation of SALW and SCA,” said Albrecht von Wittke, Head of Division Conventional Disarmament, Arms Control and CSBM Worldwide at Germany’s Federal Foreign Office. The partnership between regional and international organizations, like the UN and EU, or regional initiatives like the OSCE, in tackling the illicit trade in SALW is becoming increasingly more important and the OSCE has been at the forefront of this endeavour.”
Also addressing the opening of the meeting, Tuula Yrjölä, OSCE Officer-in-Charge/Secretary General, Director of Conflict Prevention Centre, said: “The OSCE conducts regular assessments of the implementation of the OSCE Documents on SALW and SCA, which also helps participating States to take effective action to address excessive accumulation and spread of SALW and conventional ammunition, built on informed and agreed recommendations.”
Noting the importance of integrating a gender dimension into policies regulating SALW and SCA, she added: “Mainstreaming gender aspects into SALW and SCA-related policies, as well as into standards and practical assistance frameworks, would contribute significantly to common efforts to combat illicit trafficking in SALW and SCA effectively”.
Taking stock of global actions, and new challenges and opportunities in addressing the illicit trade in and trafficking of SALW, panel speakers highlighted the security risks and the importance of international and regional agreements.
Marjolijn van Deelen, Special Envoy for Non-proliferation and Disarmament at the EU’s External Action Service, said: “Especially in the context of today’s deteriorating security environment and erosion of the international arms control architecture, our organisations have a great responsibility and must play their role for the sake of global security.”
John Brandolino, Director of the Department of Treaty Affairs at the UN Office on Drugs and Crime, added: “Illicit arms flow is a complex undertaking that requires multiple and integrated responses that combine preventive and control measures at the global level. Our work on countering firearms trafficking is based on several interconnected pillars: from support for policy and legislative development to capacity-building and assistance in the implementation of preventive and security measures; from effective criminal justice responses to broad and inclusive national co-operation and to evidence-based research and analysis.”
Participants also discussed preparations for the UN’s Seventh Biennial Meeting of States on implementation of the Programme of Action of SALW.
“Moving forward, it is important that we design people-centred small arms control and ammunition management policies and frameworks, which are comprehensive, context-specific, gendered and prevention oriented,” said Izumi Nakamitsu, UN Under-Secretary-General and High Representative for Disarmament Affairs. “With a clear focus on impact, our engagement should be built on national ownership and geared towards multi-stakeholder partnerships, including regional organisations, civil society and youth activists.”
The meeting’s working sessions reflected on the importance of the OSCE’s Best Practice Guides on SALW and SCA; information exchanges as a way of assessing progress and gaps in implementing the OSCE Documents on SALW and SCA; and the functioning and efficiency of the OSCE’s Assistance Mechanism for providing support to States in addressing challenges related to SALW and SCA.
Si elle impressionnait de par ses compétences morales et un leadership efficace en politique, on en serait bien fier. Mais là, la jeunesse politique au Bénin, aujourdhui, est, en grande partie, en proie à un mal très profond : la propension à penser et à agir comme si en politique, tout se résume à la transhumance tous azimuts, au chantage, au marchandage, aux prestations de services politiques, au règne du mensonge.
S'il est vrai que de bons grains existent au sein de la jeunesse politique, il est extrêmement facile d'observer que dans une proportion inquiétante, une vraie pandémie ronge cette jeunesse et dont les principaux symptômes sont : absence totale de conviction politique, sens étriqué de l'engagement politique, déficit de sens de sacrifice digne d'un vrai militant, usage , à haute échelle, du faux.
Le mal est à son paroxysme, en dépit des garde-fous posés par la législation et les mesures prises pour encadrer la réforme du système partisan.
C'est vrai que la loi donne le droit et la liberté au militant d'un parti politique, d'en démissionner. Tout comme elle lui en avait donné le droit et la liberté d'y adhérer, sans contrainte. Nous sommes donc appelés, au moins, à respecter la loi. Au moins ! Mieux, le bon sens recommande qu'on ait des raisons valables pour envisager une démission. Si tant est qu'on est allé dans ce parti par conviction.
Déjà il faut s'assurer qu'on a le statut de membre dudit parti. Il faut éviter de faire de l'usurpation de titres, juste dans le vil dessein de fabriquer une étoffe trompeuse à sa personne et rechercher un effet plus fort que le normal à sa défection. Il faut aussi s'assurer qu'on ne nage pas dans une méconnaissance totale des textes fondamentaux du parti et, plus grave, des dispositions de la nouvelle charte des partis politiques.
L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN), fait l'objet, régulièrement de manoeuvres malsaines de gens tapis dans l'ombre qui n'ont trouvé mieux que donner dans la manipulation de la jeunesse politique ; en tout cas , dans sa partie manipulable, contre ce label politique. Le drame ici est que les jeunes de cette catégorie, même s'ils tiennent à affronter la vertu, ne sont pas capables , tout au moins, de dire à leurs manipulateurs : « Nous voulons bien le sale deal, mais ne nous ne sommes pas d'accord pour pousser loin le bouchon au point d'inventer ce qui n'existe pas, au point de justifier l'injustifiable, au point d'ériger le faux aux rangs de chose la mieux partagée ».
Comment comprendre que des noms fictifs soient régulièrement alignés sur des listes pour faire croire qu'il y vagues de démissions à l'UDBN ? De parfaits inconnus. Ce faux et usage de faux n'est plus à démontrer.
Comment comprendre que même dans des cas où, il y a un militant qui choisit d'exercer son droit de démissionner, que ce dernier fasse le choix délibéré et malsain de s'attribuer des titres qu'il n'a jamais portés au sein du parti, le rang qu'il n'a jamais occupé dans l'UDBN ! Facilement on sattribue, comme on n'achète des galettes d'arachide, les titres de membre fondateur, de coordonnateur, etc. . , ceci juste pour se donner une importance et un poids politique que l'on na pas.
Si tant est que celui qui a l'intention de démissionner est important, pourquoi aurait-il besoin de donner dans du faux et usage de faux ? Bien dommage !
Il y a du travail à faire pour inviter un peu de vertu dans la politique.
Par médias interposés, sur le terrain, on multiplie les assauts contre l'UDBN. C'est la preuve que l'UDBN dérange plus d'un et devient la cible des jaloux de son offre politique et de son label en politique. Mais c'est sans compter avec le mental d'acier de l'Amazone Claudine Afiavi Prudencio. Ces manoeuvres sont loin, très loin de pouvoir entamer mon moral. La Présidente et les membres du Bureau Exécutif National de l'UDBN ont bien conscience de ces manoeuvres qui sont à la base des sirènes malveillantes que les détracteurs font retentir sur le toit de l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau.
L'UDBN a de gros défis à relever. L'UDBN a conscience de la taille du travail à faire. L'UDBN a conscience de ce que tout n'est pas rose. Mais de là à vouloir faire croire à l'opinion que l'UDBN est un parti qu'on peut déstabiliser par ces vilaines manoeuvres, les détracteurs se sont proprement plantés. Ils ont tapé poteau, comme on le dit vulgairement ! Ni le parti, ni ses responsables, à commencer par moi-même la Présidente, Mme Claudine Afiavi Prudencio, n'en sont ébranlés. Puisque, contrairement à ce que pensent certains détracteurs, ignorants de l'histoire politique du Bénin, ceux et celles qui dirigent et animent l'UDBN ne sont pas nés de la dernière pluie. Ils ne sont surtout pas entrés en politique par accident et hier ! Ils ont un parcours. Un parcours qui, toute modestie gardée, mérite considération.
Qu'il soit clairement retenu par les uns et les autres : l'UDBN peut enregistrer des défections en son sein. C'est possible. C'est une réalité que vie toute organisation politique dans son processus de croissance. C'est de la même manière que le parti enregistre beaucoup d'adhésions, sur toute l'entendue du territoire national et hors du Bénin. Les démissions on en observe en grands nombres dans les autres partis de la place également.
Mais pour ceux qui nourrissent l'intention de rompre les amarres avec l'UDBN, il faut qu'ils aient l'honnêteté intellectuelle de s'éloigner du faux, du mensonge, de l'usurpation de titres et d'autres arguments dignes de tâcherons politiques et non de véritables militants de parti politique, surtout à l'ère de la réforme du système partisan.
Que ceux qui pensent donner de coups foirés à l'UDBN en pensant pouvoir signer sa mort, se le tiennent : ils se battront longtemps et en vain ! Vaines seront leurs oeuvres. Le présent et l'avenir du Bénin politique comptent et compteront avec l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau. La réforme du système partisan, impulsé par le Président Patrice Talon ne mérite pas ces pratiques rétrogrades, peu orthodoxes, complètement indignes de la jeunesse politique de mon pays, le BENIN ! Ce qui est clair, les réfractaires aus bons changements, finiront par se rendre compte qu'ils font fausses routes.
Mme Claudine Afiavi PRUDENCIO,
Présidente de l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN)
En Conseil des ministres ce mercredi 14 octobre 2020, le gouvernement béninois a autorisé l'acquisition et le déploiement d'équipements agricoles dans le cadre de la mise en œuvre du Programme national de développement de la mécanisation agricole.
Dans le but d'améliorer continuellement les méthodes culturales ainsi que la productivité et la production agricoles, le gouvernement a initié le Programme national de développement de la mécanisation agricole.
En 2018 et 2019, l'Etat a subventionné au profit des producteurs l'acquisition de près de cinq cents (500) tracteurs.
« Après cette première expérience conduite avec succès et face à la demande croissante des producteurs, le Conseil a autorisé l'acquisition d'autres engins et équipements agricoles pour un montant d'environ dix (10) milliards de FCFA, en vue de leur cession à raison de 50% de subvention pour le kit composé de matériels automoteurs et d'équipements associés ; puis de 30% pour les matériels optionnels », renseigne le communiqué final du Conseil des ministres.
Il s'agit de six cents (600) tracteurs, de semoirs agricoles, d'outils de préparation du sol, de remorques, de tarières, de chargeur frontal, d'accessoires pour les tracteurs, de repiqueuses de riz, de camions ateliers, de matériels de production de fourrages, de lames niveleuses.
A cela s'ajoutent de pulvérisateurs pour le traitement et l'entretien des cultures, de moissonneuses lieuses pour la culture du riz, de récolteuses tractées pour la culture du maïs et du soja, de semoirs mono-graine et de rouleaux destructeurs de végétation, de motoculteurs et accessoires, puis de récolteuses pour la culture du coton.
Conformément au plan de riposte contre la Covid-19, « la possibilité de crédit bancaire sera facilitée aux acteurs du secteur agricole, à travers le mécanisme de financement du Fonds national de Développement agricole (FNDA) ».
A.A.A
Le conseil des ministres du mercredi 14 Octobre 2020 a procédé à six nominations dans les ministères des Affaires étrangères et de la Santé.
Au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération, Monsieur Marc Hermanne G. Araba est Ambassadeur, Représentant permanent du Bénin auprès des Nations-Unies à New-York.
Marc Hermanne G. Araba a été secretaire général au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération.
M. M.
Le conseil des ministres du mercredi 14 Octobre 2020 a procédé à six nominations dans les ministères des Affaires étrangères et de la Santé.
Au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération, Monsieur Marc Hermanne G. Araba est Ambassadeur, Représentant permanent du Bénin auprès des Nations-Unies à New-York.
Marc Hermanne G. Araba a été secrétaire général au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération.
M. M.
Le gouvernement a publié les statistiques de la pandémie du Coronavirus au Bénin à la date du 12 octobre 2020..
Selon les chiffres à la date du 12 octobre 2020, le Bénin compte un total de 2478 cas confirmés. 2330 personnes sont déclarées guéries, 41 patients sont décédées, et 107 sont encore sous traitement.
Le gouvernement en publiant ces derniers chiffres invite les populations au respect des règles barrières, et à appeler le centre d'informations Covid-19 au numéro gratuit 136.
F. A. A.
Le gouvernement a adopté ce mercredi en conseil des ministres le décret portant institution du Comité national de gestion et de sécurisation des pâturages.
Le Comité a pour mission de mettre en œuvre le plan national d'orientation et de développement des activités pastorales.
« Préparer, mettre en œuvre et suivre les activités de gestion du pâturage, prévenir les conflits entre éleveurs et agriculteurs, participer au règlement diligent des conflits éventuels ». Tels sont, entre autres, les missions confiées au Comité national de gestion et de sécurisation des pâturages.
Le Comité est institué à travers un décret pris mercredi 14 Octobre 2020 en conseil des ministres. Le gouvernement entend réorganiser le modèle d'élevage en contenant les mouvements des bêtes dans les communes et les départements.
Le conseil a révélé que « les activités de transhumance, tel qu'elles se déroulent, sont sources de conflits permanents entre les éleveurs et les agriculteurs, avec des conséquences souvent dramatiques ». C'est dans la perspective de préserver la sécurité et de leurs biens que le gouvernement a pris le décret.
Le Comité national de gestion et de sécurisation des pâturages aura ses démembrements dans les communes et les départements. Il est doté également d'un sous-comité technique qu'il l'aidera dans la mise en œuvre du plan national d'orientation et de développement des activités pastorales.
Le conseil a donné des instructions aux ministres associés à la mise en place pour que le Comité national de gestion et de sécurisation des pâturages commence sa mission au plus tôt.
M. M.