Written by Clément Evroux.
On 9 July 2024, the successful maiden flight of the new heavy-lift rocket Ariane 6 reinstated the EU’s autonomous access to space. This came after several months of reliance on private United States launchers as a result of the temporary unavailability of an EU rocket.
In recent years, the space sector has witnessed the conjunction of three trends. First, the space economy has grown globally, also because of competitive private actors. Second, as a consequence, space is now increasingly congested, with ever more space objects floating in orbit. Third, space has become a contested domain. With 80 countries having at least one satellite registered, space operations can now be instrumentalised: for instance, in 2021, Russia conducted an illegal anti‑satellite strike.
In her political guidelines for 2024-2029, the President of the European Commission, Ursula von der Leyen, refers to space as an enabler of EU competitiveness, to be supported through investment. The guidelines mention space as a key domain for EU open strategic autonomy, to be enhanced through further cooperation by an EU–NATO partnership. Furthermore, Mario Draghi’s September 2024 report on the future of European competitiveness stresses that, despite owning world-class space infrastructure and services, the EU is under-investing in space compared with its global competitors, and is lacking a unified legal framework on space.
Ursula von der Leyen’s mission letter to Andrius Kubilius, nominated on 17 September 2024 as Commissioner-designate for Defence and Space, names a set of initiatives to unleash a space contribution to EU competitiveness. It includes, in particular, the task of preparing a proposal for an EU space law to ensure a common EU playing field in space while ensuring security, safety, and sustainability. The letter also sets the task of fostering a strong and innovative space sector with a view to achieving several objectives, including maintaining the EU’s autonomous access to space, curating EU spatial infrastructure, and enhancing the use of space data and services.
Read the complete briefing on ‘EU space policy: State of play‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
Le nouveau marché moderne régional de Pahou sera officiellement ouvert le jeudi 21 novembre 2024
En prélude à l'ouverture du nouveau marché moderne de Pahou prévue pour le 21 novembre prochain, l'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM) a procédé au tirage des places au sein dudit marché.
La cérémonie qui vise à donner des chances égales aux bénéficiaires du joyau s'est déroulée, jeudi 14 novembre 2024, en présence d'un huissier de justice.
Pahou entrera à son tour dans l'ère de la modernité après Cadjèhoun, Aïdjèdo, Ahouangbo, Mènontin, Azovè,Houègbo et Glazoué. Le projet s'inscrit dans le cadre du vaste programme de modernisation des marchés initié par le gouvernement du Bénin.
M. M.
« Littéraire de jeunesse : Le monde des petits dévoreurs de mots ». C'est sous ce thème que se déroulera la 3è édition du Salon National du Livre, du 20 au 23 novembre 2024 au Palais des congrès à Cotonou. En prélude à cette grande messe littéraire, l'Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC), bras armé du Ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts et la Bibliothèque nationale ont tenu une conférence de presse. C'est le jeudi 14 novembre 2024 en présence d'acteurs de la chaîne du livre.
Du 20 au 23 novembre 2024 au Palais des Congrès de Cotonou, le Salon National du Livre 2024 braquera ses projecteurs sur la littérature de jeunesse. Le Salon, selon Florent COUAO-ZOTTI, Conseiller technique à la culture du Ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts et Délégué général du Salon, mettra en lumière une production africaine et francophone pleine de fraîcheur et d'entrain, à une époque où l'intelligence artificielle bouleverse la création artistique et littéraire.
« L'enfant, spectateur et créateur de mondes infinis, devient le bâtisseur du patrimoine littéraire de demain », a souligné le délégué général du Salon lors d'une conférence de presse tenue jeudi 14 novembre 2024 au Ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts.
Près de 100 invités dont des figures emblématiques comme le conteur congolais Mwankuni, l'illustratrice russe Svetlana, et Abouet, bédéiste ivoirienne, sont attendus au Salon. Les écrivains de pays tels que France, Haïti, Cameroun, Congo, Londres interviendront lors des échanges. Il y aura des animations dont une bande dessinée réalisée à l'initiative du Ministère béninois de la culture. A la cérémonie de clôture, un hommage sera rendu aux anciens à travers le spectacle de chants, de danses, de slam.
« Ce rendez-vous littéraire sera un espace de convergence, un moment privilégié où les rêves, les idées et les sensibilités se rencontreront pour former une unité enrichie par la diversité. Ainsi, de nouvelles fenêtres s'ouvriront sur l'imaginaire », a expliqué le délégué général.
C'est un « événement important », selon le Directeur général de l'Agence de développement des arts et de la culture (ADAC). Il permettra de regrouper les amoureux et les sympathisants du livre. Une trentaine de stands est prévue pour l'exposition des œuvres.
William CODJO a souligné les mutations numériques auxquelles la chaîne du livre fait face. « On ne lit plus seulement des écrits, mais des mixtes combinant images et textes (…) C'est dans ce contexte particulier que l'Agence de développement des arts et de la culture (ADAC) est appelée à structurer l'économie de la chaine du livre au Bénin », rappelle le DG ADAC. La mission de l'ADAC est, selon le DG, d'accompagner cette transition, en soutenant les éditeurs, distributeurs et libraires dans leur adaptation aux nouvelles exigences du secteur.
Selon les conférenciers, l'Organisation du Salon illustre l'ambition du Gouvernement, via le Ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts, de soutenir la promotion de la littérature béninoise et de la hisser sur la scène internationale.
M. M.
La Société pour l'attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet (ICANN) a signé un Protocole d'accord avec Smart Africa, marquant ainsi une étape décisive dans le développement des compétences en matière de gouvernance de l'Internet en Afrique. Smart Africa est une alliance de pays africains, d'organisations internationales et d'acteurs du secteur privé mondial dont la mission est de faire avancer l'agenda numérique de l'Afrique. Grâce à cette collaboration, l'ICANN et Smart Africa cherchent à encourager la transformation numérique en tirant parti de l'expertise et des ressources de chacune des organisations.
Le protocole d'accord met en avant un engagement commun en vue de promouvoir un Internet stable, sûr et inclusif en Afrique, tout en jetant les bases d'une collaboration à long terme. En vertu de ce protocole, les deux organisations, en étroite coopération avec la Coalition pour une Afrique numérique s'engagent à :
– organiser des événements de développement des capacités et des ateliers de formation pour autonomiser les parties prenantes africaines ;
– organiser des activités de communication et de promotion de la participation afin de sensibiliser le public aux enjeux de la gouvernance de l'Internet, là où les missions de l'ICANN et de Smart Africa s'entrecroisent ;
– accroître la participation des parties prenantes africaines aux discussions sur la gouvernance de l'Internet.
« Cette collaboration avec Smart Africa témoigne de la volonté de l'ICANN de garantir que chaque communauté dispose des ressources et des connaissances nécessaires pour façonner leur avenir numérique », a indiqué Sally Costerton, présidente-directrice générale par intérim de l'ICANN. « Ensemble, nous bâtissons une infrastructure Internet plus robuste et plus sûre, qui permettra à un plus grand nombre d'Africains d'être en ligne, tout en favorisant l'autonomisation des communautés et la croissance économique sur tout le continent. »
« L'Internet est un levier incontournable de la transformation numérique africaine, et ce partenariat avec l'ICANN démontre notre engagement en faveur d'un avenir numérique plus sûr, stable et inclusif pour le continent. La signature du protocole d'accord marque une étape stratégique du renforcement des capacités de l'Afrique en matière de gouvernance de l'Internet. Cette collaboration nos permet de doter les parties prenantes africaines des connaissances et des ressources dont elles sont besoin pour façonner l'avenir de l'Internet », a déclaré Lacina Koné, PDG de Smart Africa.
En outre, l'ICANN et Smart Africa travaillent en partenariat dans le cadre d'une initiative de la Coalition pour une Afrique numérique visant à mettre en place des programmes de développement des capacités sur mesure pour les gouvernements et les législateurs. Cette initiative aidera les parties prenantes africaines à approfondir leurs connaissances sur les fonctions techniques de l'Internet et à améliorer leur contribution à la gouvernance mondiale de l'Internet. Elle s'aligne aussi sur la mission de la Coalition pour une Afrique numérique, lancée par l'ICANN pour connecter davantage d'Africains en ligne, grâce à une infrastructure Internet sûr et résiliente.
À propos de Smart Africa
Smart Africa est une alliance de pays africains, d'organisations internationales et d'acteurs du secteur privé mondial qui ont pour tâche de faire avancer l'agenda numérique de l'Afrique. Forte de l'engagement audacieux et innovateur des chefs d'état africains, l'Alliance cherche à accélérer le développement socio-économique durable du continent et à faire entrer l'Afrique dans l'économie du savoir grâce à un accès abordable aux réseaux à large bande et à l'utilisation des TIC. Dans la perspective de créer un marché numérique unique en Afrique d'ici 2030, Smart Africa rassemble des États membres pour accélérer la numérisation du continent et créer un marché commun. Lancée en 2013 par sept chefs d'État africains, l'Alliance compte aujourd'hui 39 pays membres représentant plus d'un milliard de personnes et plus de 50 membres du secteur privé déterminés à promouvoir la vision de l'Afrique et à contribuer à son progrès.
À propos de l'ICANN
La mission de l'ICANN est de garantir un Internet mondial sûr, stable et unifié. Pour contacter une personne sur Internet, vous devez saisir une adresse sur votre ordinateur ou autre dispositif : un nom ou un numéro. Cette adresse doit être unique pour permettre aux ordinateurs de s'identifier entre eux. L'ICANN coordonne ces identificateurs uniques à l'échelle mondiale. La société ICANN a été fondée en 1998 en tant qu'organisation à but non lucratif, reconnue d'utilité publique. Elle rassemble au sein de sa communauté des participants du monde entier.
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