Le gouvernement a adopté ce mercredi 10 novembre 2021 en Conseil des ministres, la Politique nationale de maîtrise d'énergie pour la période 2021-2030.
« A l'horizon 2030, la maîtrise d'énergie au Bénin garantit la réduction considérable de la consommation, de la dépendance et des dépenses énergétiques sans préjudice de la qualité des services énergétiques », une vision que le gouvernement à l'occasion de l'adoption de la Politique, a rappelée. Pour y parvenir, il y a lieu selon le gouvernement, d'assurer une adéquation entre l'offre et la demande électrique, une gestion optimale des ressources et des consommations en biomasse et produits pétroliers ainsi qu'une amélioration du cadre juridique et institutionnel.
Raison pour laquelle le Conseil des ministres a marqué son accord pour sa mise en œuvre, focalisée sur l'efficacité énergétique, en vue de garantir un approvisionnement et une utilisation durable tout en préservant le couvert végétal.
Lancement de la campagne cotonnière 2021-2022
La commune de N'dali dans le département du Borgou accueille, ce jeudi 11 novembre 2021, la cérémonie officielle de lancement de la commercialisation du coton graine au titre de la campagne 2021-2022.
L'information a été rendue publique à l'issue du Conseil des ministres du mercredi 11 novembre 2021.
Le kilogramme de coton du 1er choix sera vendu à 265 FCFA soit le même tarif appliqué depuis la campagne cotonnière 2018-2019, selon le conseil des ministres du 22 septembre dernier.
Avec une production record de 728.000 tonnes pour la dernière campagne, le Bénin se classe premier producteur de coton en Afrique de l'Ouest. Une production record à atteindre ou à dépasser pour la campagne 2021-2022 afin de maintenir son rang dans la sous-région. Les objectif de production sont donc à la hausse pour cette campagne de commercialisation du coton graine.
M. M.
Le gouvernement a adopté, mercredi 10 novembre 2021, en Conseil des ministres, les décrets d'application de la loi relative à la santé sexuelle et à la reproduction en République du Bénin.
Selon le Conseil des ministres, l'adoption et la promulgation de la loi n°2003-04 du 3 mars 2003 relative à la santé sexuelle et à la reproduction n'a pas été suivie de textes d'application. Le Conseil a adopté deux décrets d'application à cet effet. Le premier organise notamment les conditions de promotion des produits et méthodes contraceptifs, les modalités d'autorisation de fabrication, d'importation, de distribution et de délivrance desdits produits, ainsi que les sanctions applicables aux contrevenants.
Quant au second, il fixe les conditions de création, d'agrément, de fonctionnement et de contrôle des structures de santé sexuelle et de la reproduction en République du Bénin, de même que le régime des sanctions applicables.
Le gouvernement a également adopté les décrets portant : cadre général de gestion des investissements publics ; modalités de déclaration et d'autorisation des installations d'autoproduction d'électricité en République du Bénin ; cadre juridique et institutionnel de la mise en œuvre de la Stratégie nationale d'électrification ; nomination des membres du Conseil d'administration de l'Agence nationale de surveillance des systèmes financiers décentralisés ; et nomination de membre du Conseil d'administration de l'Office béninois de recherches géologiques et minières.
A.A.A
Le coordonnateur du projet de protection contre l'érosion côtière, Philippe Zounmenou, est monté au créneau pour expliquer le phénomène de débordement des eaux observé depuis quelques jours dans certaines localités sur le littoral. Dans un entretien accordé à Kingo TV, il a expliqué le phénomène et rassuré les populations.
Selon Philippe Zounmenou, le déferlement des eaux est un phénomène auquel on est habitué dans le Golfe de Guinée, et qui survient chaque année sur la côte.
Suivant les prévisions des marées, la montée des eaux observée depuis le weekend écoulé sur le littoral, était prévisible. A l'en croire, le Bénin n'est pas le seul pays impacté. C'est toute la côte du Golfe de Guinée qui a été frappée, a informé le coordonnateur du projet de protection contre l'érosion côtière. « C'est un phénomène au terme duquel l'eau de mer qui a envahi la terre, se retire d'elle-même », a-t-il expliqué. Sur la façade du Bénin, trois points singuliers ont été enregistrés. Il a cité le point du PK 6 à hauteur de Le Bélier à Cotonou, la côte au niveau de la zone de Djègbadji à Ouidah, et le segment transfrontalier Hillacondji-Grand-Popo à hauteur d'Agoué.
Selon Philippe Zounmenou, le phénomène a effectivement impacté les populations riveraines. La façade maritime du Bénin étant sous surveillance, des décisions ont été prises suite aux instructions et recommandations des autorités au plus haut niveau pour que la situation soit maîtrisée.
A Grand-Popo, où il y avait un impact plus important, les populations ont été rapidement déplacées du point d'impact ; la zone a été sécurisée par les forces de sécurité publique, le terrain balisé et les dispositions ont été prises pour assurer leur sécurité, a souligné le coordonnateur.
Selon M. Zounmenou, les autorités ne sont pas restées insensibles à la douleur des populations. Plusieurs d'entre elles (préfet, maire, et autres) sont descendues sur le terrain pour « rester au chevet des populations et suivre techniquement le phénomène de manière à apporter des solutions idoines ». A Cotonou, poursuit-il, la situation a été suivie, et grâce aux ouvrages mis en place dans le cadre du projet de protection côtière, « un bon comportement de la bande côtière » face à ce phénomène exceptionnel, a été observé.
Selon Philippe Zounmenou, la montée des vagues de l'océan cette année est survenue en novembre alors que c'est le mois à partir duquel on amorce la période des basses marées. Ce qui, selon lui, dénote des changements climatiques objets de « regroupements » à travers le monde (Cop 26 à Glasgow).
F. A. A.
La zone administrative et commerciale de Ganhi est déclarée d'utilité publique. C'est l'une des décisions prises en Conseil des ministres ce mercredi 10 novembre 2021.
Cette décision selon le communiqué final du Conseil des ministres, participe de la volonté du gouvernement de rénover et de moderniser le secteur. « Le projet vise notamment l'aménagement de la berge sud-ouest de la lagune de Cotonou et du quartier Xwlacodji, avec l'installation d'un ponton pour l'accostage des embarcations dédiées aux loisirs sur le plan d'eau. Il favorisera également le développement d'activités commerciales, de loisirs et de services », renseigne le Conseil des ministres.
F. A. A.
Les vingt-six trésors royaux restitués au Bénin par la France seront accessibles au public à partir du 15 janvier 2022. L'annonce a été faite à l'issue du Conseil des ministres du mercredi 10 novembre 2021.
A leur arrivée en terre béninoise où une cérémonie d'accueil est prévue ce mercredi 10 novembre 2021, les vingt-six (26) trésors royaux restitués au Bénin seront « intégrés au patrimoine culturel national ». Le gouvernement a annoncé en Conseil des ministres ce qui est prévu à la suite de la cérémonie d'accueil.
« Après celle-ci, conformément aux pratiques muséales, les 26 œuvres passeront un temps d'acclimatation. Puis, à partir du 15 janvier 2022, elles seront accessibles au public à la salle du Peuple du palais de la Marina en association avec une exposition d'art contemporain, destinée à promouvoir le dialogue entre les époques, la connexion entre le Bénin d'hier et celui d'aujourd'hui. Chaque citoyen béninois pourra, cependant, dans sa relation intime avec ce patrimoine, lui attribuer selon son ressenti, une valeur artistique, culturelle, mémorielle, historique, patrimoniale ou spirituelle », a indiqué le Conseil des ministres du mercredi 10 novembre 2021.
Pour rappel, c'est pendant la période coloniale et en particulier à l'occasion de la guerre entre les troupes du royaume du Danxomè et l'armée française, que des milliers de pièces de nos biens culturels ont été illicitement emportés en France.
Mais, dès 2016, le Gouvernement a formulé une demande officielle en vue de leur restitution. Le retour au pays étant désormais une réalité, ces biens deviendront, d'après le décret pris à cet effet, insaisissables, inaliénables et bénéficieront de la protection appropriée en vertu des lois et règlements en la matière.
M. M.
Une dizaine de personnes ont été arrêtées à la suite du lynchage d'une femme et son amant à Possotomè, dans la matinée du mardi 09 novembre 2021.
Des interpellations après le lynchage d'une femme et son amant à Ouassa-Kpodji, un village de l'arrondissement de Possotomè, commune de Bopa. La direction départementale des Affaires Sociales et de la Microfinance du Mono a été saisie de l'affaire. Les éléments de la police ont procédé à l'arrestation de neuf personnes. Au terme de leur audition par le commissariat de police de Bopa, elles seront présentées au procureur.
Une ex-veuve a été surprise en pleins ébats sexuels avec un jeune homme mardi 09 novembre. La femme se serait remariée à cultivateur. Selon la tradition du village, les relations sexuelles extra-conjugales sont interdites. La femme et son amant ont été lynchés par les adeptes du culte Vodoun Zangbeto. Les dignitaires ont également prononcé des sanctions à l'encontre des amants.
A.A.A
Après avoir suscité une crise sans précédent entre l’Algérie et la France, le président français Emmanuel Macron joue la carte de l’apaisement. À l’horizon, une manifestation internationale devra se tenir à Paris, où la présence algérienne est plus que requise.
Dans ce contexte de crise diplomatique, Macron affirme avoir l’intention d’inviter son homologue algérien, Abdelmadjid Tebboune, à la prochaine conférence sur la Libye devant se tenir vendredi 12 novembre à Paris.
Selon un conseiller de l’Élysée, « l’Algérie est un acteur majeur dans la région et le président de la République souhaite la participation du président Tebboune à cette conférence ». Il affirme, en effet, que « le Président Tebboune a été invité par Macron à participer à la Conférence internationale sur la Libye ».
Or, la présence de Tebboune à cette conférence reste à présent entourée de doutes. Pis encore, des sources médiatiques françaises évoquent déjà que le président algérien pourra ne pas répondre favorablement à la sollicitation de son homologue français.
Selon le journal français l’Opinion, Macron a tenté de joindre, hier lundi dans la soirée son homologue algérien, mais en vain. À en croire cette source, Tebboune ne veut pas répondre au contact de Macron, par conséquent, la participation algérienne à la conférence sur la Libye est incertaine.
Ceci pourra devenir une certitude, notamment si l’on prend en considération les dernières déclarations du président de la République sur cette question. En effet, dans un entretien accordé au journal allemand Spiegel, Tebboune a écarté tout retour à la normale, d’au moins de sitôt.
« Je ne vais pas être le premier à faire le pas », affirmait TebbouneÀ ce propos, il avait affirmé : « Je ne vais pas être le premier à faire le pas, sinon je perds tous les Algériens ». Pour lui, « c’est un problème national, ce n’est pas un problème du président de la République ». D’ailleurs, il avait même répondu « non » à une question sur la possibilité que la crise bilatérale prenne « fin bientôt ».
D’un autre angle de visions, même si Tebboune a toutes les raisons de ne plus répondre favorablement à la sollicitation de Macron, l’enjeu de la question qui sera abordée vendredi prochain à Paris pourra peser lourd sur l’Algérie.
La prochaine conférence sur la Libye intervient au lendemain de la visite officielle en Algérie du vice-président du Conseil présidentiel libyen Moussa El Kouni, accompagné du Chef d’état-major libyen Mohamed Al-Haddad.
À l’issue de leur rencontre hier avec Tebboune, la présidence de la République a indiqué que « cette rencontre a été une occasion d’examiner les voies et moyens de renforcer la coopération bilatérale dans plusieurs domaines et d’échanger les vues sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun ».
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Girls at Malual Agai School in South Sudan are having a lesson about menstrual hygiene. The school is one of the beneficiaries from Multi-Year Resilience Programme (MYRP) funded by Education Cannot Wait (ECW). The fund aims to keep girls at school by supporting them and providing them with dignity kits. Credit: ECW
By Charlton Doki
Juba, South Sudan, Nov 10 2021 (IPS)
Ayom Wol sits under a tree in South Sudan in the scorching midday sun. He is a newly-trained teacher, preparing for tomorrow’s lessons. His school principal says he has to prepare while at school because there is no electricity at home.
The 29-year-old Wol teaches English and Science in Mitor Primary School in Gogrial West County of Warrap state. The school is among hundreds benefiting from a Multi-Year Resilience Programme (MYRP) funded by Education Cannot Wait (ECW).
Wol is among the teachers who have received teacher training with ECW funding, and the training has greatly improved his skills and capacity to prepare lesson plans and teaching materials.
Education Cannot Wait is the United Nations global fund for education in emergencies and protracted crises. In January 2020, it launched the MYRP in collaboration with the South Sudan government and local and international aid and development agencies. The MYRP programme focuses on building resilience within education in South Sudan.
ECW director Yasmine Sherif. Credit: ECW
“With one of the lowest school enrolment rates in the world, children and adolescents in South Sudan continue to bear the heavy burden of the years of conflict that ravaged their country. Girls are disproportionally affected. They represent three-quarters of the out of school children in primary education, and it is even worse at the secondary level,” says Yasmine Sherif, the Director of Education Cannot Wait.
“Together with our partners in the government, communities, civil society and the UN, Education Cannot Wait’s investment in safe, inclusive quality education for the most marginalised children and adolescents in the country can finally turn the tide for the next generation of South Sudanese to thrive and become positive changemakers for their young nation.
The MYRP provides an opportunity for children to access education in six of South Sudan’s ten states: Jonglei, Upper Nile, Unity, Eastern Equatoria, Lakes and Warrap. ECW allocated US$30 million as seed funding to support the three-year MYRP, which targets children in 355 schools and learning centres across the six states. These learning centres include 69 early childhood development centres, 213 primary schools, 21 secondary schools and 52 alternative education system centres, both for ‘Accelerated Education Programmes’ and ‘Pastoralist Education Programmes’.
Out of 117,256 beneficiaries reached by the MYRP during the first year of implementation, 46,010 are girls, and 1,647 are children with disabilities.
A Back-to-School campaign in Riwoto primary school, Kapoeta North County. The school is supported by ECW is working to ensure that all children, including those with disabilities, are able to attend school. Credit: ECW
Even though he has taught for nine years, Wol says, he became a better teacher after attending training supported through the MYRP.
“I now know how to prepare a lesson plan and a scheme of work for any subject,” Wol says. “I have also learned from the training how to support children who are living with disabilities.”
Joseph Mogga, the Education Programme Manager for Christian Mission for Development in South Sudan’s Jonglei state, says the MYRP helps train teachers on how to handle inclusion, especially of children with disabilities, amongst other issues.
“We are going to train teachers on how they can teach in an inclusive setting. Here in South Sudan, vulnerability is more pronounced when the child with a disability is a girl,” he says, adding that this project supports an inclusive and safe learning environment for all girls and boys, including those with disabilities.
The Director-General for Gender Equity and Inclusive Education in the Ministry of General Education and Instruction, Esther Akumu Achire, says that some cultures and traditions in South Sudan deprive girls of their right to education, promoting harmful practices, such as child, early and forced marriage.
“This is very common among our people, and these are among the cultural barriers we are trying to change.”
Malual Agurpiny Primary School flooded. ECW is at the forefront of ensuring that children benefit from quality education even in crises. Credit: ECW
Long distances to schools and climate-change-induced floods also disrupt education.
“The long distances to get to school scares some parents from sending their children to school because they feel that the schools are too far, and there is conflict and insecurity. Sometimes, you hear about rape which scares the parents for their children.”
Achire says about 2.8 million children remain out of school. She is grateful for the MYRP initiative supporting the education sector in South Sudan.
“The MYRP is doing a good job. We have realised that the girls and the children with disabilities are taken care of. We are now trying to ensure that the girls, even young mothers, are now back to school and that they are learning well.”
Adolescent girls are given dignity kits, and children with disabilities are provided for. “Children with disabilities are given some assistive devices which help them continue learning,” Achire says. “In fact, with awareness-raising on children with disabilities and the importance of girls coming to school, the enrolment is going up.”
A critical aspect of the programme is the teacher training component.
“We could have the girls in schools, but if the teachers are not there or if they do not know how to teach, it becomes a problem. But with the MYRP, teacher training is being conducted,” she says, adding that the training also focuses on reducing gender-based violence.
ECW staff are hard at work despite the flooding to ensure the schools are functional. Credit: ECW
Ayuen Awien, a primary seven pupil at Keen Primary School in Gogrial West County, Warrap state, attests to the benefits of being involved in the ECW programme.
Early and forced marriages are common in her community, so she is considered vulnerable and eligible for support. Awien says the school environment offers her safety.
“I feel secure here because our teachers are against early and forced marriages,” says Awien. “I would probably have been forced to get married if I was not in school.”
Awien says she has received books, dignity kits, playing and learning materials and is quite comfortable in school. In the future, Awien says, she wants to be a doctor.
“I encourage other girls who are at home to enrol and stay in school. If you study, you will have a better life in future, and you will be able to help your parents as well,” she says.
The MYRP programme has distributed 1.2 million textbooks to all targeted counties to facilitate learning for all children targeted by the programme.
According to Mogga, the MYRP is probably the only programme highlighting the plight of children with disabilities.
“In Duk County, wheelchairs, crutches, hearing aids are distributed. Eyeglasses for children who need them so that they can attend classes and be able to see what’s written on the blackboard easily were also donated,” says Mogga.
The MYRP implementing partners are now looking at school infrastructure to assess whether the facilities are accessible to physically challenged learners.
Schools are often in inaccessible areas, but nevertheless, ECW staff ensure that the children get the provisions they need. Credit: ECW
Mogga explains that disruptions to children’s education include conflict, floods, loss of family members and traditional practices such as early marriage. Boys are also expected to look after the cattle when they are supposed to be at school.
“For boys and girls who have been out of school, there was no glimpse of hope,” Mogga says, adding that the ECW-supported programme is a “timely intervention in favour of promoting access to education for out-of-school children.”
To help ensure that girls enrol and stay in school, the MYRP addresses the challenges that force girls and young mothers to drop out.
Programme implementers say the support protects the girls from sexual abuse and exploitation, including sexual exploitation – trading sex to earn money to pay for school fees and meet other basic needs.
“This support also protects girls from early marriages. If a girl is supported with this scholarship, they are happy, and it prevents the risk of early marriage because once they are out of school, the next option is getting married. But by keeping them in school with a scholarship and money offered to them and providing them with basic items like school uniform it prevents them from getting married early,” says Alberto Maker, an education project manager at UNKEA, one of the agencies implementing the MYRP in Gogrial County of South Sudan’s Warrap state.
Implementers of the MYRP stress that several challenges hamper boys’ and girls’ access to safe, inclusive quality education – including climate-impact disasters like floods.
Jacob Masanso, Education Consortium Manager of the MYRP, says recent unprecedented flooding destroyed classrooms in 340 schools across the country, thus exacerbating the shortage of school infrastructure and resulting in health risks.
“Flooding also makes access to target schools and communities hard. For example, some roads are impassable, causing delays in the implementation of certain interventions,” added Masanso.
ECW assisted with COVID-19 preventative equipment so schools could reopen. Credit: ECW
The MYRP also supported school reopening in the COVID-19 pandemic to ensure the safety of children and teachers.
“We provided handwashing facilities and COVID-19 preventive materials when schools reopened officially on 3 May 2021. The MYRP implementing partners worked closely with the Ministry of General Education and Instruction and other stakeholders focused on supporting safe school reopening, community mobilisation and engagement,” says Grazia Paoleri, the MYRP Secretariat Coordinator.
“We did this to ensure that both children previously out-of-school prior to the outbreak of COVID-19 and closure of schools and those who were in-school before COVID-19 return to school and learn.”
Paoleri said the funding gap for the MYRP in South Sudan is estimated to be nearly US$190 million by 2022. The Ministry of General Education and Instruction, together with education partners, have developed a funding strategy that guides resource mobilisation efforts for closing this gap to ensure continued access to quality learning opportunities for girls and boys in the country.
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Après l’importante hausse des cas de contamination à la covid-19 enregistrée hier, la quatrième vague n’est plus considérée comme étant un risque, mais plutôt comme une réalité qui ne va pas tarder à dévoiler son ampleur. L’Algérie, avec un taux de vaccination faible, court un danger considérable.
Aujourd’hui, le 10 novembre 2021, le ministère de la Santé a annoncé 124 nouveaux cas de contamination à la Covid-19 ces dernières 24 heures, contre 131 cas enregistrées lors de la journée d’hier. Toujours selon les mêmes chiffres, l’Algérie a déploré aujourd’hui le décès de 6 nouveaux patients des suites de complications liées au coronavirus.
En outre, le département de Benbouzid a fait état de 74 nouvelles guérisons et de 19 nouvelles admissions en soins intensifs.
Le total des contaminations à la covid-19 en Algérie depuis le début de la pandémie en mars 2020, a atteint aujourd’hui les 207.509 cas. Le Total des décès est quant à lui de 5962 cas.
4e vague : vers une réunion du conseil scientifiqueLa flambée est inévitable, s’accordent à dire tous les spécialistes. Face au risque sanitaire que constitue une quatrième vague, alors que la population dans son ensemble est très faiblement vaccinée, le conseil scientifique chargé du suivi de l’épidémie va se réunir aujourd’hui afin de prendre les mesure nécessaires.
C’est ce qu’a déclaré le ministre de la Santé aujourd’hui. Abderahmane Benbouzid a également indiqué que le pays pourrait revenir au confinement sanitaire s’il y a une importante hausse de cas de contamination.
L’article Covid-19 : le bilan détaillé de ce 10 novembre est apparu en premier sur .