Une triste nouvelle vient de secouer la wilaya de Djelfa, située dans les hauts-plateaux, à 300 km au Sud d’Alger. L’information relayée largement par les médias nationaux porte en effet sur le décès tragique et énigmatique d’un enfant âgé de 6 ans.
La victime est sortie hier vendredi 29 octobre vers les coups de 10h du matin pour jouer dans son village. Sa famille qui croyait que l’enfant était chez les voisins, s’est rendu compte vers 14h que l’enfant est porté disparu. Depuis, tous les habitants du village ont été vainement mobilisé pour retrouver le petit ange.
Dans la soirée de ce vendredi, la dépouille de la victime a été retrouvée par un des voisins, dans un sac en plastique. Ce dernier a été découvert d’après les témoignages, dans une maison abandonnée depuis les années 90.
Un phénomène de plus en plus récurrentLa chaine arabophone Echorouk s’est déplacé sur le lieu de l’incident et a interrogé les habitants du village dont le seul souhait est de trouver une solution à ce pénible problème qui touche de plus en plus la population infantile.
Un des voisins a d’ailleurs confié que cet incident est loin d’être le premier dans ce village, situé à l’ouest de la wilaya de Djelfa. Il convient de préciser par ailleurs que la dépouille de l’enfant a été transférée par les agents de la protection civile à la morgue de l’hôpital, tandis que les services de la gendarmerie ont lancé une enquête sur l’affaire.
Rappelons en conclusion que plus 2453 enfants algériens ont été victimes de violences, au cours des premiers mois de l’année 2021. Certains d’entre eux, ont perdu la vie alors que leurs ages ne dépassent pas les 15 ans.
L’article Djelfa : un enfant de 6 ans retrouvé mort dans un sac en plastique est apparu en premier sur .
Le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, ministre des Finances, a présidé ce samedi 30 octobre une réunion du Gouvernement consacrée à l’étude de plusieurs projets relevant de différents domaines.
Il s’agit entre autre des secteurs des télécommunications, commerce, industrie et travaux public. L’inédit dans cette réunion concerne en effet l’intention du gouvernement de procéder à la délivrance d’autorisation au profit de nouveaux opérateurs dans le secteur des communications numériques.
Dans sa réunion hebdomadaire, le gouvernement a étudié le projet relatif à la mise en place d’un décret exécutif fixant les conditions de délivrance de l’autorisation générale. Cela vise à améliorer et optimiser la qualité des services en matières de communications électronique afin de satisfaire les besoins du public.
Selon le communiqué ayant sanction la réunion, ce projet permettra d’une part de faciliter les procédures et démarches relatives à l’octroi de l’autorisation, et d’inciter les opérateurs économiques à stabiliser leurs investissements d’autre part.
Par ailleurs, les montants des redevances prévues par ce texte seront totalement adaptée en fonction des spécificités du marché national des communications électroniques, qui constitue une des priorités du plan de relance économique.
Projets relatifs aux autres secteursOutre les télécommunications, la réunion du gouvernement a porté également sur le domaine du commerce. À ce sujet, un projet de Décret exécutif fixant les conditions et les modalités d’application des régimes de licence d’importation ou d’exportation de produits et marchandises, a été examiné.
Ainsi, le secteur des travaux publics a bénéficié d’une étude portant sur la réalisation de plusieurs liaisons rocade ainsi que l’aménagement des accès routiers dans la capitale Alger.
Enfin, le gouvernement s’est penché également sur l’industrie, et ce, en décidant de lever toutes les contraintes qui entravent la mise en exploitation des projets d’investissements achevés.
L’article Communication électronique : vers l’autorisation de nouveau opérateurs est apparu en premier sur .
Les fonds monétaires en circulation sur le marché parallèle se retrouvent visiblement dans le viseur du gouvernement. Ce samedi 30 octobre 2021, le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a encore réitéré les approches de l’exécutif dans ce sens.
Intervenant en marge du lancement de l’observatoire national de l’épargne, le Premier ministre a affirmé que le gouvernement se penche sur toutes les approches permettant le recouvrement de ces masses en circulation en dehors du circuit bancaire.
« Concernant les fonds en circulation sur le marché parallèle, nous sommes en train de travailler, au niveau du gouvernement, sur toutes approches devant permettre d’avancer dans le processus de récupération de cette masse en circulation dans le marché parallèle ».
Or, ajoute encore le même intervenant, « cela ne sera concrétisé qu’avec une volonté effective au niveau des banques, qui devront désormais travailler avec plus de sérieux et sans épargner aucun effort ».
Ces institutions financières devront, selon le Premier ministre, mener un travail « de sensibilisation sur la nécessité de la bancarisation de l’argent en circulation dans le marché parallèle ».
Benabderrahmane mise sur le facteur de la confianceComme condition, il cite le facteur du recouvrement de la confiance auprès des opérateurs. « Cela ne sera concrétisé qu’avec le recouvrement de la confiance auprès des opérateurs ; un facteur qui devra créer la différence entre la situation actuelle et celle escomptée », souligne le même intervenant.
D’ailleurs, il précise que les fonds qui circulent sur ce marché sont issus d’un commerce légal, mais pas déclaré. « Et c’est cette différence que nous devrons tous comprendre », a encore préconisé le premier responsable au gouvernement.
« Certes, nous luttons contre le blanchiment d’argent et la bancarisation des fonds issus des activités commerciales illégales, mais à l’origine, toutes ces masses monétaires, ou du moins leur majorité, sont issues d’activités légales, mais non déclarées », explique Benabderrahmane.
Ainsi, « si ces opérateurs ressentent de la confiance auprès des banques et des institutions financières, ils déposeront ces fonds volontiers au niveau de ces institutions », ajoute-t-il. D’où la nécessité de fournir tous les moyens et de mener des campagnes de sensibilisation continue dans ce sens.
Par ailleurs, le ministre des Finances souligne qu’une fois remis dans le circuit bancaire, ces fonds seront destinés au financement de l’économie nationale.
L’article Capter l’argent de l’informel : la nouvelle approche du gouvernement est apparu en premier sur .