Le Black Friday est enfin là, cette période où nous avons tous nos téléphones, nos tablettes et nos pc entre les mains afin de ne pas rater les ventes flash intéressantes. Ces promotions exceptionnelles ne se limitent pas uniquement aux vêtements, elles touchent également les prix des billets d’avion.
Plus de deux millions algériens en France peuvent maintenant bénéficier des offres commerciales exceptionnelles que les compagnies proposent à l’instar de la compagnie aérienne espagnole Volotea qui proposent 100 000 billets d’avion à seulement 1 euro, pour des départs en mois de décembre et janvier. Les trajets concernés incluent des vols depuis et vers la France, et ce, depuis des aéroports régionaux comme ceux de Lyon, Marseille ou encore Nantes pour des destinations vers certains pays de l’Europe ou encore vers des villes françaises.
Oui oui, vous pouvez faire un aller – retour à seulement 2 euros. Une bonne nouvelle mais pas pour tout le monde, car au moment où les voyageurs se réjouissent de cette promotion, certains responsables comme le ministre des Transports français, Jean-Baptiste Djebbari dénoncent ces prix « anormalement bas ».
« Un billet à 5 euros, ça n’existe pas ; quand ça existe, c’est que quelqu’un paie le différentiel de prix. Or ce sont souvent les collectivités, mises en concurrence par les opérateurs » a-t-il expliqué.
Un low-cost pas très low quant à l’AlgérieDes promotions pour le moins qu’on puisse dire intéressantes, mais pas en Algérie. Alors que Volutea n’opère pas encore de vols en Algérie, d’autres compagnies le font mais à des prix loin d’être bas, ne laissant aucun alternatif pour les voyageurs depuis et vers l’Algérie qui doivent dépenser des centaines d’euros pour voyager.
Des prix chers qui se rapprochent voire même dépassent parfois les prix des autres compagnies dites classiques. En attendant l’activité de nouvelles compagnies low-cost en Algérie, celles qui sont déjà actives n’ont que le titre de « low ».
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A közlemény szerint ezzel egyidőben fokozta tevékenységét a propagandamédia, és újabb hamis híreket készül “gyártani” a térségben szolgálatot teljesítő ukrán fegyveres erők lejáratására.
“Az orosz fegyveres erők parancsnoksága növeli az orosz megszálló erők harckészültségét az ideiglenesen megszállt területeken, Donyeck és Luhanszk megyékben” – fogalmazott a hírszerzési főigazgatóság. Kiemelte, hogy november 22-én az 1. (donyecki) és a 2. (luganszki) hadtestben nagyszabású parancsnoki állománygyakorlatok kezdődtek mozgósított tartalékosok, alegységek és a helyi megszállási igazgatások bevonásával.
A hírszerzés szerint a gyakorlatokat az orosz fegyveres erők déli katonai körzetének 8. egyesített erőinek integrált bizottsága irányítja.
Az UNIAN hírügynökség emlékeztetett arra, hogy Kirilo Budanov, az ukrán védelmi minisztérium hírszerzési főigazgatóságának vezetője a Military Times című amerikai szaklapnak adott interjújában – amelyből vasárnap idéztek ukrán hírportálok – azt mondta, hogy Oroszország több mint 92 ezer katonát vont össze az ukrán határok közelében, és támadást készít elő Ukrajna ellen január végére, február elejére.
Az ukrán határ mentén végrehajtott orosz csapatösszpontosításokról számoltak be a közelmúltban washingtoni tisztségviselők is, köztük Antony Blinken külügyminiszter, aki aggodalmának adott hangot az Ukrajna határainál megfigyelt szokatlan erőmozgások miatt.
Dmitrij Peszkov, a Kreml szóvivője hétfőn kijelentette: nem kizárt, hogy az orosz csapatok közelgő ukrajnai inváziójáról szóló jelentések Kijev állítólagos agresszív törekvéseinek, vagyis annak a szándékának az elleplezésére szolgálnak, hogy erővel oldja meg a Donyec-medencei konfliktust.
Válaszul Dmitro Kuleba ukrán külügyminiszter hétfői Twitter-bejegyzésében leszögezte: Ukrajna nem tervez támadó hadműveletet a Donyec-medencében, hanem az Oroszország által megkezdett fegyveres konfliktus diplomáciai rendezésének módját keresi.
2018 februárjában életbe lépett a Donyec-medence Ukrajnába történő visszaintegrálásáról szóló ukrán törvény, amely Oroszországot agresszornak, megszálló államnak, a szakadár ellenőrzés alatti településeket pedig Oroszország által ideiglenesen megszállt területeknek minősítette. Moszkva váltig tagadja, hogy támogatná fegyverekkel, illetve katonákkal a kelet-ukrajnai szakadárokat, a Donyec-medencében dúló háborút Ukrajna belső konfliktusának, polgárháborúnak nevezi.
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Depuis la réouvertures partielle des frontières aériennes la fin d’août dernier, les services de la police des frontières ne cessent d’enregistrer les tentatives de contrebandes.
La dernière tentative enregistrée ne date pas de très longtemps, lorsque les éléments de la police des frontières de l’aéroport international d’Alger, Houari Boumediene, ont pu suspendre une tentative de contrebande d’une grosse somme d’euros à l’étranger.
Il s’agit en effet, de quelque 118 000 euros, qui étaient en possession de deux personnes qui tentaient de quitter le territoire national en direction de Dubaï.
Saisie de plus de 118 000 euros en possession de deux individusSelon un communiqué rendu public ce mercredi 24 novembre 2021 par la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), la police des frontières de l’aéroport international de la capitale a arrêté deux personnes, avec un montant de 118 500 euros. Ces dernières s’apprêtaient à quitter les lieux en direction de l’aéroport de Dubaï.
Par ailleurs, la même source a fait savoir qu’après l’achèvement de la procédure judiciaire, les deux suspects ont été transférés vers les autorités judiciaires compétentes, afin de connaitre plus sur les circonstances de ce fait.
Il est également utile d’indiquer que les tentatives de contrebande sont très souvent déjouées par les éléments de la police des frontières, et ce, dans les différents aéroports du pays.
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Le préfet du Littoral Alain Orounla a eu une séance de travail, mardi 23 novembre 2021, avec les organisations et associations de travailleuses de sexe ainsi que les représentantes des belles de nuits et partenaires nationaux et internationaux.
Mécontentes de l'opération lancée contre les prostituées et les maisons de tolérance, les travailleuses de sexe ont réussi à rencontrer le préfet Alain Orounla.
Le préfet du département de l'Ouémé, Marie Atrokpossou, le Secrétaire exécutif du Conseil National de Lutte contre le VIH/SIDA, la Tuberculose, le Paludisme, les Hépatites, les Infections Sexuellement Transmissibles et les Épidémies (CNLS-TP), la représentante du chef de l'État au sein du CNLS-TP ont également pris part à la séance de travail.
« Vous vous imaginez mon ravissement quant à l'organisation de cette première réunion en écho au cri de cœur plus qu'au coup de force qui a été le mien. Ce qui témoigne du sens d'écoute aigu du Chef de l'État qui par l'autorité du CNLS-TP a organisé cette première rencontre pour que nous débattions enfin de cette question restée tabou, ambiguë jusqu'à présent », a déclaré Alain Orounla lors de la rencontre.
Selon le préfet du Littoral, les balises sont aujourd'hui posées et les réflexions ont été échangées et nourries. « (…) on a admis ensemble que les choses ne pouvaient continuer comme cela se faisait », a ajouté l'autorité.
Pour le Préfet de l'Ouémé, la séance de travail a permis de « toucher du doigt le fait que le travail du sexe doit être véritablement encadré ».
« C'est heureux que mon collègue du Littoral ait percé l'abcès et je pense que cela nous amène à mener de bonnes actions », a-t-elle affirmé.
A en croire, la représentante du Chef de l'État au sein du CNLSTP, Mme Médégan Kiki Valentine, tout le monde a reconnu finalement que cette action est positive. « Elle nous a ouvert les yeux. Ce sujet était considéré comme tabou, aujourd'hui tout le monde en parle, tout le pays en parle. Et ça nous permet de régler les problèmes dans ce milieu-là, d'aider à améliorer leurs conditions de travail. Derrière ce travail, il y a beaucoup de problèmes, les problèmes de santé publique », a-t-elle expliqué.
Cette rencontre intervient dans un contexte où le préfet Alain Orounla a lancé une opération de traque lancée contre les prostituées et les maisons de tolérance. « L'ambition, c'est de décourager les réseaux de proxénétisme (…). Nous entreprenons de faire fermer tous ces espaces qui polluent le département. Toutes ces maisons dès qu'elles sont répertoriées seront fermées », avait déclaré le préfet du Littoral. Pour les prostituées, il s'agit d'un problème d'offre et de demande. Le mieux à faire selon elles, est d'encadrer l'activité.
Akpédjé A. Ayosso