Sébastien Ajavon assigne l'Etat béninois devant la Cour africaine des droits de l'homme. Votre journal relaie la Plaidoyerie des parties
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Am Sonntag erfasste ein Schneerutsch in der der Nähe des Klausenpasses zwei Autos. Die drei verletzten Personen konnten das Spital wieder verlassen. Das Rentnerpaar Kümin erzählt, wie es die Fahrt erlebt hat. Der Pass ist seit Montagmittag wieder geöffnet.
Am Sonntag um 14.00 Uhr donnert eine meterbreite Lawine über die Klausenstrasse und reisst zwei Autos in die Tiefe. Drei Personen werden dabei verletzt. Wie die Kantonspolizei Uri mitteilt, konnten die drei das Spital am Sonntagabend verlassen und befinden sich auf dem Weg zur Besserung.
Im weissen Audi sitzen Therese (83) und Albin (80) Kümin. Ihr Auto wird 100 Meter den Hang runtergerissen. «Ich wollte noch ausweichen, aber dann rumpelte und knallte es schon», sagt Albin Kümin zu TeleZueri. Er und seine Frau steckten bis zum Hals im Schnee. Der Mann habe seine Frau als erstes gefragt, wie es ihr geht. Doch sie habe nicht reagiert. «Ich konnte dann aussteigen und habe sie rausgezerrt», sagt der 80-Jährige. Dabei habe er gesehen, dass seine Frau lebt.
Bis auf ein paar Schnittwunden und einer gequetschten Rippe geht es den Rentnern gut. «Besser hätte es gar nicht kommen können», sagt Albin Kümin.
Für die Urner Baudirektion war der Schneerutsch unvorhersehbar, denn die Lawine war als ungefährlich beurteilt. Die Klausenpassstrasse wurde am Montagmittag wieder für den Verkehr geöffnet. Zu diesem Schluss kamen Fachspezialisten, nachdem sie die Gefahrensituation am Montag neu beurteilt haben. Zurzeit laufen die Strassenräumungsarbeiten auf Hochtouren.
Augenzeuge passierte die Stelle nur kurz vorherBruno Lacher entkam der Lawine nur knapp. «Ich stand auf dem Klausenpass und schaute aus sicherer Entfernung auf die verschüttete Strasse. Wenige Augenblicke zuvor war ich selber noch an genau der Stelle vorbeigefahren», schilderte der Augenzeuge den bangen Moment gegenüber BLICK. «Der Anblick hinterlässt schon ein wenig ein komisches Gefühl.» (rey/man)
Selon les dernières informations disponibles, la candidature du Rwanda à la présidence de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) semble se confirmer. Par ailleurs, cette probable candidature semble bénéficier du soutien d'un certain nombre de pays, dont ferait partie la France.
Le CERMF condamne toute éventuelle candidature rwandaise à la présidence de l'OIF pour les deux simples raisons suivantes :
un pays anglophone ne peut être élu à la présidence de l'OIF ;
un des régimes les plus totalitaires de la planète ne peut être élu à la présidence de l'OIF.
En effet :
le régime rwandais est une des quatre pires dictatures du continent africain, qui sont au degré « zéro » en matière de liberté d'expression (avec l'Égypte, l'Érythrée et le Swaziland) ;
le régime rwandais est probablement le seul au monde avec celui de la Corée du Nord à avoir pour habitude de faire assassiner ses opposants même en pays étranger ;
le dictateur rwandais est de facto au pouvoir depuis 1994 (officiellement depuis 2000) et a modifié la constitution du pays en 2015 afin d'être en mesure de se maintenir au pouvoir jusqu'en 2034, soit 40 années de règne. Le totalitarisme du régime rwandais a d'ailleurs une influence directe sur nombre de pays africains de la région qui sont en train de revenir sur le processus de démocratisation qu'ils avaient amorcé. Encouragés, inspirés et « rassurés » par l'« exemple » rwandais.
enfin, rappelons que le président rwandais est responsable de la mort de plusieurs dizaines de milliers de civiles dans l'est de la RDC voisine dans les années 1990 et 2000.
Une présidence rwandaise de l'OIF aurait donc pour conséquences :
de disqualifier totalement l'OIF en matière de langue française et de francophonie ;
de disqualifier totalement l'OIF en matière de démocratie et de droits de l'homme.
…et donc d'ôter à l'OIF le peu de crédibilité qui lui reste encore (elle qui, pour ce qui est du premier point et contrairement au Commonwealth, compte de nombreux pays ne partageant pas la langue officielle de l'organisation, et qui, de surcroît, ne respectent aucun de leurs engagements).
Par ailleurs, un soutien français à une probable candidature du régime rwandais à la présidence de l'OIF aurait également pour conséquences :
de discréditer la diplomatie française en matière de langue française et de francophonie ;
de discréditer la diplomatie française en matière de démocratie et de droits de l'homme.
Enfin, le CERMF condamne fermement la visite prochaine du dictateur rwandais à Paris et sa rencontre prévue avec le président français. Par ailleurs, et malgré une forte propagande officielle (digne d'une compagne permanente de marketing), il convient de rappeler que le Rwanda demeure un des pays les plus pauvres du continent (environ 720 dollars par habitant, soit moitié moins que la moyenne subsaharienne). Et ce, alors même que c'est un des pays en développement les plus massivement aidés au monde depuis une vingtaine d'années, proportionnellement à sa population et grâce à ses relations particulièrement étroites avec certaines grandes puissances étrangères qui avaient aidé les dirigeants actuels du pays à multiplier, à partir de l'Ouganda, les attaques meurtrières au Rwanda dans les années qui précédèrent le génocide, avant de prendre le pouvoir (1,090 milliard de dollars par an en moyenne sur la période triennale 2014-2016 selon l'OCDE).
Ilyes Zouari
Président du CERMF (Centre d'étude et de réflexion sur le monde francophone)
Invité dans l'émission ‘'90 mn pour convaincre'' de la radio nationale ce Dimanche 20 Mai 2018, l'ancien ministre de la décentralisation et de la gouvernance locale, Raphaël Edou a déclaré qu'il ne faut pas dire que les communes ne gèrent pas bien. Pour lui, il est de la responsabilité de l'Etat de veiller à la bonne gouvernance des fonds publics au niveau des communes. « Il faut transférer les ressources tel que c'est prévu et veiller sur la bonne gestion. Cela veut dire que les indicateurs de gestion sont mis en place avec des mécanismes de suivi rigoureux », a précisé l'ancien ministre. Pour lui, aujourd'hui, on ne peut pas affirmer que les maires, les élus gèrent pas bien les ressources, mais font des efforts. Se référant à l'esprit et à la définition même de la décentralisation, il a affirmé que c'est « le lieu par excellence pour tout citoyen de participer aux actions publiques locales ». A ce niveau, poursuit-il, nous sommes tous dans la mal gouvernance. Selon Raphaël Edou, ce que le gouvernement devrait faire, c'est de prendre tous les cas de mal gouvernance, d'afficher tous les tableaux et d'ouvrir le débat. « Quand vous faites des ciblages et vous n'ouvrez pas le débat à tout le monde, là, on ne peut pas comprendre », a-t-il renchéri.
Le responsable des plaidoyers de l'Associations nationale des communes du Bénin Ancb, Stanislas Hounkanlin, invité lui aussi dans l'émission, a martelé que les textes ont prévu la mise en place d'un fonds pour financer un peu le fonctionnement des communes. Une volonté qui s'est matérialisée selon lui, à travers la création du Fadec qui est aujourd'hui la seule structure financière pour drainer les ressources vers les communes même si à la date d'aujourd'hui, toutes les attentes des communes ne sont pas encore comblées. En 2018, c'est moins de 5% voire 4% des recettes budgétaires de l'Etat qui ont été envoyées vers les communes, a informé Stanislas Hounkanrin alors que selon les différentes études réalisées au niveau de l'Ancb pour voir la proportionnalité des charges qui incombent aux communes et les ressources nécessaires pour la mise en œuvre de ces compétences sont estimées au-delà de 10%. Dans la sous-région, en l'occurrence dans l'espace Uemoa, poursuit le responsable des plaidoyers de l'Ancb, c'est indiqué qu'il fallait mettre au moins 15% des recettes budgétaires de l'Etat à la disposition des communes pour leur permettre d'avoir suffisamment de ressources pour mettre en œuvre les compétences.
L'ancien préfet des départements du Zou et des Collines, Armand Maurice Nouatin, a déploré les écarts de comportement, les écarts de langage de certains maires qui se croient tout permis et se croyaient tout permis du fait de leur élection à la tête d'une commune. Regrettant ces écarts, il a souligné qu'il fallait quelque part ne pas en tenir compte. Pour lui, la tutelle a des principes et se conçoit selon la loi, en deux grandes fonctions à savoir, une fonction d'assistance et de conseil à la commune, de soutien des actions de la commune et d'harmonisation de ces actions avec celles de l'Etat, et un rôle de contrôle de la légalité des actes pris par le maire. La tutelle en principe ne devrait pas servir de bâton pour frapper le maire, a rappelé l'ancien préfet.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Arrivée du Président de la République S.E.M Patrice Talon ce samedi 20 mai 2017 à Riyad (Arabie Saoudite) sur invitation de Sa majesté le Roi Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud , pour prendre part au Sommet islamo-arabo-americain qui est prévu pour démarrer demain dimanche 21 mai 2017.
La délégation conduite par le Président de la République est entre autre composée du Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Monsieur Aurélien Agbenonci et du Ministre d'État chargé du Plan et du Développement, Monsieur Abdoulaye Bio Tchané.
Le Président de la République S.E.M Patrice Talon a été accueilli à son arrivée à riyad par le Prince muhammad bin Abdelraman , député-maire de la ville de riyad.
This report is for the media and the general public.
At 11:04 on 20 May, two SMM patrols consisting of ten members and four armoured vehicles positioned themselves about 20m south of a checkpoint of the armed formations inside the disengagement area near Zolote (government-controlled, 60km west of Luhansk) on its southern edge. All patrol members were outside the vehicles, five of whom were speaking with two unarmed members of the armed formations, and saw an additional five to eight members of the armed formations (one armed with an assault rifle (AK-type), the remainder unarmed) walking around the checkpoint inside the disengagement area. At 11:06, the patrol members heard an undetermined explosion 300-500m north (assessed as inside the disengagement area). (The SMM had previously observed an anti-aircraft gun (ZU-23, 23mm) about 10m north-west of the abovementioned checkpoint inside the disengagement area. See SMM Daily Report 3 May 2018.)
Both patrols immediately left the area and returned safely to their bases in Sievierodonetsk (government-controlled, 74km north-west of Luhansk) and Kadiivka (formerly Stakhanov, non-government-controlled, 50km west of Luhansk), respectively.
With European elections coming up in May 2019, you probably want to know how the European Union impacts your daily life, before you think about voting. In the latest in a series of posts on what Europe does for you, your family, your business and your wellbeing, we look at what Europe does for patients getting treatment abroad.
Do you suffer from a medical condition that cannot be treated in your home country, or you have to wait too long for treatment? You might be interested to know whether you can access other EU countries’ health systems and if your home insurance will cover at least a part of the costs of getting treatment abroad.
EU rules on cross-border healthcare could come to your aid in such a situation. They grant patients the right to benefit from planned medical treatment, such as specialist consultation, surgery or treatment for a specific medical condition, in another EU country on the same terms and at the same cost as people who live in that country. While some countries may have restrictions in place for access to treatment for organisational reasons, these should not discriminate against patients coming from another EU country.
© satyrenko / Fotolia
And what about the issue of reimbursement? If the treatment is covered by your insurance, but is not available at all, or not in time, in your home country, your health insurer is obliged to reimburse your expenses up to the level of costs you would have normally incurred in your home country.
National Contact Points for planned medical treatment, either in your home country or in the country where the treatment is available, will help you identify the health provider offering the treatment you need. Your home National Contact Point also provides information about reimbursement options and about whether you need to ask for prior authorisation.
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